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(03/02/2011 14:13:49)
Rapports financiers : Consolider les déclarations Surfi
BPCE (Banques Populaires Caisses d'Epargne) et Crédit Agricole (39 caisses Crédit Agricole et Crédit Lyonnais) ont décidé chacune d'implémenter la solution e-Surfi de l'éditeur Invoke pour réaliser la déclaration Surfi de leurs groupes respectifs. La souplesse de l'outil et sa capacité à gérer le multi-société ont été des critères majeurs. La solution d'Invoke permet également de réaliser les contrôles réglementaires et la signature des fichiers avant expédition.
Si les fichiers doivent être livrés au format standardisé XBRL, deux solutions sont possibles lors de la compilation. Le Crédit Agricole, qui a débuté en 2008, a choisi de conserver de multiples formats en entrée (Excel, texte, XBRL...), en provenance des établissements affiliés. La solution a été implémentée dans un contexte d'instabilité des textes réglementaires, ce qui nécessitait de pouvoir adapter l'outil au fil des évolutions. A l'inverse, BPCE, qui a réalisé son projet en 2010, a choisi d'unifier l'ensemble des échanges en XBRL.
Les coûts des projets n'ont pas été spécifiés.
*Système unifié de rapport financier pour les établissements de paiement
Illustration : Invoke e-Surfi Portal (...)(03/02/2011 10:52:59)
Les réseaux sociaux d'entreprise : matures et puissants, mais parfois inadéquats
« Facebook est typiquement une anti-référence pour un réseau social d'entreprise à usage interne », admet volontiers Arnaud Rayrole, directeur général du cabinet Useo. Cela ne préjuge en rien, bien sûr, des usages pertinents du réseau social en communication vis-à-vis de l'extérieur. Mais la méconnaissance par les entreprises de la réalité du « 2.0 » en général et des réseaux sociaux destinés à l'interne en particulier, ainsi que les errements dans les usages, risquent d'avoir comme conséquences de nombreux échecs et l'abandon d'une source potentielle de grandes valeurs ajoutées. Les outils, eux, proposent pourtant toujours plus de fonctions, pour le meilleur comme pour le pire puisqu'un outil puissant en de mauvaises mains peut faire beaucoup de dégâts.
Une offre très étendue et écartelée
Useo a analysé les principaux outils disponibles sur le marché des réseaux sociaux d'entreprises pour les positionner en termes de services offerts sur deux axes, le relationnel (création de relations entre individus et échanges de documents) et le conversationnel (échanges d'informations, de commentaires, de liens...). L'étude se télécharge gratuitement sur le site Internet du cabinet et comporte aussi une partie sur les usages.
Les offres les plus riches sont les plus à même de stimuler les échanges et les partages pertinents, générateurs d'intelligence collective et donc de valeur ajoutée importante. Si les critères d'Useo sont devenus plus sévères que l'an passé, les offres se sont malgré tout déplacées dans la carte de positionnement vers le carré nommé « intelligence collective », ce qui prouve leur forte évolution fonctionnelle. Les plus matures sont pour la plupart de type SaaS (Software as a service), les progiciels vendus comme tels ayant tendance à se focaliser sur les partages documentaires et la relation interindividuelle, donc, sur la partie « relationnelle » de la carte (voir encadré). Les offres open-source sont globalement beaucoup moins riches fonctionnellement et se concentrent dans le bas de la carte.
Tendances 2011 : intégration multi-flux et émulation
Le marché est également largement écartelé entre offres d'acteurs classiques à tendance collaborative, destinées à des entreprises conservatrices déjà clientes, et offres réellement « sociales » émanant pour l'essentiel de nouveaux acteurs (avec l'exception notable d'IBM). Arnaud Rayrole anticipe : « 2011 sera soit l'année de la rupture, soit celle de l'absorption ». En 2010, plusieurs fonctions se sont généralisées dans la plupart des outils : boites à idées, votes sur les contributions, suggestions de mises en relation, etc.
Une grande tendance en 2011 est l'intégration multi-flux. Il s'agit de gérer les flux externes (notamment d'outils publics comme Microsoft Live Messenger, Facebook ou Twitter) tant en entrée (intégration des contributions réalisées sur ces outils dans le réseau interne) qu'en sortie (déport d'une contribution choisie sur un outil externe). D'une manière générale, l'interopérabilité reste le grand défi des outils sociaux. La gestion d'identité doit pouvoir être supportée (voire remplacée) par la gestion d'identité du système d'information de l'entreprise. De même, tous les outils collaboratifs et sociaux doivent pouvoir communiquer entre eux, de la GED à la messagerie instantanée. Tout cela n'est pour l'instant qu'un doux rêve. « Il n'y aura jamais le réseau social unique de l'entreprise mais plutôt une juxtaposition de plusieurs outils qu'il faudra bien fédérer, alors qu'à ce jour aucun standard le permettant n'arrive à émerger, même si certaines plates-formes techniques sont communes à plusieurs outils comme Microsoft Sharepoint », regrette Arnaud Rayrole.
Des scores d'implication dans l'outil
L'année 2011 devrait surtout être celle de l'émulation entre participants par la création de « badges » comportant des scores d'implication dans l'outil. Or, les algorithmes à l'origine des scores sont encore très obscurs et clairement pas très au point. Arnaud Rayrole juge cependant l'offre d'IBM/Lotus un peu meilleure en la matière.
Deux types de critères sont pris en compte : le nombre de contributions et l'appréciation faite par les autres participants des dites contributions. Or un tel badge peut avoir de sérieux effets pervers : le quantitatif peut être privilégié sur le qualitatif, incitant les participants à multiplier les postures d'affichage voire les contributions consensuelles au lieu de fournir de la valeur ajoutée. Censé délivrer de l'intelligence collective, le réseau social pourrait se transformer en café du commerce en ligne, le pilier de bar devenant le plus valorisé des utilisateurs. Pire, en détournant la finalité du score, des manipulateurs ne fournissant pas de valeur ajoutée réelle pourraient se valoriser de façon outrancière auprès d'une hiérarchie focalisée sur des chiffres bruts.
Pas d'évaluation légale basée sur un score d'outil social
L'article 10 de la loi « Informatique et Libertés » spécifie qu' « aucune autre décision produisant des effets juridiques à l'égard d'une personne ne peut être prise sur le seul fondement d'un traitement automatisé de données destiné à définir le profil de l'intéressé ou à évaluer certains aspects de sa personnalité. » Or il semble avéré que certaines entreprises sont tentées d'user des scores dans les outils sociaux lors des évaluations annuelles. Certes, cette utilisation reste marginale mais pourrait constituer un facteur différenciant lors des discussions salariales. A plusieurs reprises en présentant l'étude à la presse, Arnaud Rayrole a insisté sur la nécessité de réfléchir à ce qu'impliquent ces outils dans les entreprises en associant les partenaires sociaux. [[page]]Parmi les autres sujets juridiques à discuter de toute urgence entre direction et représentants du personnel, Arnaud Rayrole a mentionné : la durée de conservation des informations (grand cheval de bataille de la CNIL), la capacité pour chacun de savoir exactement ce qui est stocké le concernant... Cette dérive de l'évaluation par le score est particulièrement gênante mais est loin d'être la seule. Or, la multiplication des usages inappropriés ou d'emplois inadéquats d'outils pourrait être source d'échecs répétés voire de conflits. Face à une promesse crédible de développement de l'intelligence collective, les échecs peuvent générer une forte désillusion, une sorte d'éclatement d'une « bulle 2.0 ». Les entreprises pourraient dès lors se détourner des outils sociaux, renonçant de fait à l'importante création de valeur qui peut en être issue.
« L'implémentation d'outils sociaux doit être considérée comme un projet de transformation de l'entreprise alors qu'elle est gérée empiriquement » regrette Arnaud Rayrole. Il est donc nécessaire de mieux organiser le projet côté Maîtrise d'ouvrage (MOA) : l'implémentation d'un outil social n'est pas un projet informatique. Malgré tout, c'est souvent le DSI qui se retrouve pilote ! La DRH est absente dans la plupart des projets : depuis des années, elle semble se centrer sur les plans sociaux et la gestion administrative du personnel. Or la logique « fiches de postes » n'est guère celle des outils sociaux ! Gérer les talents grâce à ces outils semble délicat pour les DRH actuels. Un consultant assistant à la présentation à la presse de l'étude Useo a déclaré : « les DRH sont plutôt des freins car ils ont du mal à prendre le train en marche alors qu'on leur demande d'être les chauffeurs. » Du coup, c'est souvent la communication interne voire le marketing qui représentent les métiers aux côtés de la DSI.
Pour une stratégie de petits pas gagnants
Face à cette situation, Useo recommande de développer des outils où l'utilisation générera des bénéfices rapides avant de poursuivre vers des outils aux bénéfices certes plus importants mais plus longs et délicats à obtenir. Cette stratégie de petits pas gagnants évite la désillusion. « La grand difficulté est de passer du communautaire au conversationnel, la mise en relation en elle-même n'étant plus aujourd'hui une réelle difficulté » indique Arnaud Rayrole. Or la valeur ajoutée importante est dans l'intelligence collective qui associe conversationnel et relationnel. Il faut donc multiplier les outils de dialogue et de collaboration avant d'évoluer.
Une stratégie possible pourrait être qualifiée de « darwinienne » : multiplier les essais et ne conserver que ce qui marche au bout d'un délai raisonnable. Cette stratégie a cependant l'inconvénient du manque de cohérence globale. Pour Useo, six points forts peuvent être constatés sur la situation actuelle des outils sociaux :
- Les outils sociaux ont une légitimité indéniable ;
- Les applications les plus diverses se voient dotées d'un « potentiel social » croissant (tout est « 2.0 ») ;
- Les entreprises sont cependant sous la menace d'une forte désillusion ;
- Le marché est écartelé entre vieux leaders des outils collaboratifs, conservateurs, et les jeunes pousses dynamiques et innovantes au risque de faire peur aux organisations stabilisées ;
- Les entreprises manquent de structuration de leur démarche de transformation 2.0 (côté MOA) ;
- Passer par des projets moins sophistiqués que l'outil idéal sera un passage obligé.
La longue route du 2.0 n'est donc pas encore arrivée à son terme.
Gestion des talents : Taleo met la main sur Cytiva
Le Canadien Taleo, spécialisé dans les outils de gestion des compétences, a annoncé hier qu'il avait racheté Cytiva, un éditeur de solutions de recrutement en mode SaaS, pour un peu plus de 11 millions de dollars canadiens. Grâce à cette acquisition Taleo entend se renforcer sur le segment des solutions de gestion des ressources humaines à destination des petites et moyennes entreprises. Ainsi, les clients de Taleo pourront bénéficier d'une plate-forme unifiée de gestion des compétences. Ce rachat résulte de l'engagement pris par le Canadien pour offrir au marché des PME une suite entièrement optimisée de gestion des talents, conçue pour répondre aux besoins uniques de ce segment.
Plus de 200 clients dans le monde
Le logiciel de Cytiva est utilisé par plus de 250 entreprises dans le monde, comme la chaîne californienne de meubles Restoration Hardware, la coopérative agricole Ocean Spray ou l'agence de communication Mediacom. Il a été reconnu par les analystes du cabinet Bersin and Associates pour ses aptitudes à gérer les embauches de candidats. Assujettie aux conditions de clôture habituelles, y compris l'approbation réglementaire, la transaction devrait être finalisée au début du second trimestre 2011.
(...)
Google accuse Microsoft de copier ses résultats dans Bing
La controverse a démarré mardi matin sur un blog de nouvelles technologies Search Engine Land, dont le rédacteur en chef, Danny Sullivan, a été directement informé sur la question par Google ces derniers jours. Selon l'article publié par Danny Sullivan, voilà plusieurs mois que Google soupçonne Microsoft de reproduire les résultats de recherche de certaines requêtes s'affichant en tête de page du moteur. À la suite de quoi Google a décidé de mener une opération de surveillance pour vérifier si la copie se produisait effectivement. Ainsi, Google a encodé des résultats de recherche aléatoires effectués avec des requêtes dont les termes étaient volontairement dénués de sens, pour découvrir plus tard, que lorsque ces requêtes étaient reproduites à l'identique dans Bing, elles donnaient les mêmes résultats. Google pense que les requêtes et les résultats correspondants sont capturés via des fonctionnalités incluses dans Internet Explorer et la barre d'outils de Bing.
Une controverse publique et vive entre les 2 géants
Mardi, lors du « Farsight 2011: Beyond the Search Box», parrainé par Big Think et Microsoft, Matt Cutts, un ingénieur logiciel travaillant pour le moteur de recherche de Google, a ouvert le débat en rapportant cette accusation et demandé des explications à Harry Shum, un vice-président de Microsoft qui participait à la table ronde. « Ce n'est pas comme si nous avions copié quelque chose. Ce sont des informations que nous fournissent les utilisateurs, qui acceptent de partager ces données avec nous, » a déclaré Harry Shum, lequel travaille sur le développement des outils de recherche chez Microsoft. Cette réponse a déclenché un vif échange entre les deux hommes, l'un répétant la question, l'autre réitérant sa réponse... Demandant à Google un commentaire officiel, notre agence de presse IDG News Service a obtenu de son porte-parole Amit Singhal la réponse catégorique suivante : « les tests de Google ont conclu que Bing copiait les résultats du moteur de recherche de Google. » Google se félicite de la concurrence à condition que la compétition se passe au niveau des algorithmes de recherche et de l'innovation, et non pas « sur des résultats de recherche recyclés, et copiés chez le concurrent, » ajoute Amit Singhal dans sa déclaration.
Un coup de bluff de Google ?
Dans le même temps, Microsoft a donné sa version des faits, par la voix de Stefan Weitz, le directeur de Bing, lequel minimise l'accusation portée par Google. « Nous ne copions pas les résultats de recherche de Google. Nous utilisons de multiples variables et de nombreuses approches différentes pour établir le classement des résultats. L'objectif principal est de déterminer au mieux l'intention de la recherche afin de fournir, pour une requête donnée, la réponse la plus pertinente possible. Des programmes opt-in dit « de permission marketing, » comme la barre d'outils, nous aident à hiérarchiser les données. C'est l'un des nombreux éléments d'entrée que nous, et d'autres moteurs de recherche, utilisons pour classer les sites. » Dans un blog de Microsoft, Harry Shum qualifie l'accusation de Google « de coup de bluff pour faire monter les requêtes de queue au top du classement », une méthode qui ne reflète pas fidèlement la manière dont Microsoft utilise les données «opt-in de ses visiteurs » et affiner l'expérience de recherche de l'utilisateur.
On ne sait pas ce que Google envisage de faire par la suite, ni si le géant de la recherche sur Internet compte faire monter la pression dans le cas où il estimerait le procédé illégal. Par contre, Google a clairement réussi à installer une forte controverse dans un évènement sponsorisé par Microsoft et à porter ombrage à Bing. Ce n'était certainement pas le résultat escompté par Microsoft quand celui-ci avait décidé de parrainer l'événement.
(...)(02/02/2011 16:25:01)Trimestriels Nintendo : CA et bénéfices en nette baisse
A deux mois de la fin de l'année fiscale, l'ensemble des résultats de Nintendo clignotent en rouge. Le constructeur nippon a annoncé la vente de 15,7 millions de DS (tous modèles confondus) et de 13,7 millions de Wii entre avril et décembre derniers. Au cours de cette même période en 2009, Nintendo écoulait 7,3 millions d'exemplaires supplémentaires de sa console portable et 3,3 millions de Wii en plus. La DS atteint tout de même les 144 millions d'unités écoulées dans le monde depuis son lancement en 2005 tandis que 85 millions de Wii ont trouvé acheteurs en quatre ans.
Le marché des jeux vidéo ne se porte pas mieux. Avec 99 millions de ventes entre avril et décembre derniers, les titres DS accusent une baisse de 21%. Les Pokémon et Mario se partagent les premières places avec Pokémon version blanche et version noire (5,32 millions), New Super Mario Bros. (3,73 millions), Les Pokémon Argent/Or (3,32 millions) ou Mario Kart (2,8 millions). Sur les 150,5 millions de jeux Wii (six millions de moins qu'en 2009), Wii Sports en concentre 12,19 millions. Suivent Wii Sports Resort (10,21 millions), New Super Mario Bros. (6,58 millions) ouSuper Mario Galaxy 2 (6,15 millions). Au total, 16 jeux vidéo estampillés Nintendo ont franchi la barre du million d'exemplaires vendus.
La société japonaise affiche un chiffre d'affaires de 7,35 milliards d'euros, en recul de 31% en comparaison à ses résultats enregistrés entre avril et décembre 2009. Etablis à 452 millions d'euros, ses bénéfices sont en chute de 74,3% en un an.
Illustration principale : Siège social de Nintendo à Kyoto, crédit photo Moja
Annuels Osiatis : des revenus à 243,6M€ en hausse de 4,6%
L'année 2010 se termine bien pour Osiatis. Au cours du 4ème trimestre, la SSII a connu une nouvelle accélération de sa croissance. A 64,8M€ son chiffre d'affaires a progressé de 7,9%, dont 5% en organique, par rapport à la même période de 2009. Sur l'ensemble de l'année, les revenus ont augmenté de 4,6% (dont 3,3% en organique) pour s'établir à 243,6M€.
Croissance soutenue des services aux infrastructures
La dynamique est restée forte dans les services aux infrastructures qui représentent 88% du volume d'affaires consolidé. Au cours du 4ème trimestre 2010, cette activité a crû de 9,5% par rapport à la même période l'année précédente et de 6,9% sur l'exercice 2010 portant son chiffre d'affaires annuel à 213,5M€. Sur le marché français, les services ont progressé de 12,5% au cours du dernier trimestre 2010 (par rapport à la même période en 2009) et de 7,8% sur l'ensemble de l'année. Les revenus générés par les filiales internationales d'Osiatis ont légèrement progressé par rapport à l'an dernier (+2,6%) pour s'élever à 34,8 M€.
En revanche la branche développements et nouvelles technologies est en repli, avec de revenus à 30,2 M€, en baisse de 9,1% par rapport à 2009. Osiatis a toutefois précisé qu'au cours du 4ème trimestre, le recentrage progressif de cette activité aurait permis de contenir la baisse de volume d'affaires à -2,6%. La SSII compte évoiler ses résultats en mars prochain .
(...)
Microsoft propose 2 certifications cloud à ses partenaires
Microsoft on line services compte 800 partenaires revendeurs certifiés, dont 350 activés, c'est-à-dire avec au moins une vente réalisée. L'objectif quantitatif est d'atteindre les 1 500 certifiés d'ici à fin juin, (date de clôture de l'exercice fiscal chez l'éditeur). La moitié de ces 1 500 compterait au moins une vente réalisée. Au total, Microsoft souhaite que 15% de ses partenaires soient certifiés cloud d'ici fin juin, dont la moitié avec déjà une vente enregistrée. Mais, Microsoft veut surtout distinguer, parmi l'ensemble de ces partenaires, les meilleurs d'entre eux. Deux certifications sont donc lancées : essential et accelerate (la plus élevée).
Pour être « essential », le partenaire doit se certifier en ligne (dans le cadre de Microsoft Partner Networks) et présenter 250 utilisateurs BPOS et 250 sur CRM online (lancé en janvier). « Accelerate » nécessite le passage d'un examen en ligne (où il faut obtenir le niveau 300 sur 400 points possibles) et 3 références clients. Ce niveau s'adresse aux partenaires axés sur les projets complexes.
Microsoft leur propose une rémunération très étudiée : 12% et 6% la première année (sur le chiffre d'affaires de la 1ère année) et 6% chacune des années suivantes. L'abonnement est de un an. « Dans ce système, les services de migration sont particulièrement intéressants, explique Olivier Pigois, directeur d'ABC Systèmes, certifié « Accelerate. Pour nous, ils vont représenter 2, 3, 10 fois le coût de l'abonnement annuel ».
Microsoft compte également sur CRM online, lancé au mois de janvier dernier, pour pousser ses offres cloud en direction des PME françaises, jusqu'ici rétives au CRM. L'occasion pour les partenaires par exemple d'intégrer le CRM dans Outlook.
Lotusphere 2011 : IBM a les yeux tournés vers le cloud et l'intégration
« Get Social, Do Business » (Aller vers le social, c'est faire des affaires), tel est le leitmotiv du millésime 2011 de Lotusphere d'IBM à Orlando. Et l'aspect social est décliné sur l'ensemble des métiers de l'entreprise, relation avec le client, échange et partage entre centres d'activités, webconferencing, boîte à idée, etc. Pour mettre en perspective cette montée en puissance du partage de compétences, IBM avait invité Kevin Spacey en guest star. Ce dernier a rappelé son intérêt de voir émerger et de dénicher de nouveaux talents à travers son site triggerstreet.com (sorte de mymajor company, qui demande une contribution aux internautes pour financer les premiers longs métrages). Il est aussi connu pour avoir produit le film relatant la vie de Mark Zuckerberg, PDG de Facebook, « The social network », qui a obtenu 6 nominations pour la prochaine cérémonie des oscars.
La bureautique dans les nuages
Après le show bien rôdé, place aux annonces. La première est la disponibilité au deuxième semestre 2011 de la suite bureautique Lotus Symphony (reposant sur une base du logiciel Open Source Open Office) en mode cloud. Cette version hébergée se décline en traitement de texte, tableur et outil de présentation. Elle sera accessible aux utilisateurs de Lotus Live et entre en concurrence directe avec les offres d'Oracle, Microsoft et Google. On retrouve ainsi des fonctionnalités comme le partage et la modification de document en temps réel et en simultané. Jeff Schick, vice-président Social Software d'IBM a indiqué que la suite en version cloud serait payante, comme une option au sein de la plateforme en ligne LotusLive. Aucune précision n'a été cependant apportée sur le montant de cette option, mais le prix devrait être suffisamment agressif pour être compétitif. IBM souhaite qu'une majorité de ces clients migrent vers cette solution. Une version « technical preview » est déjà disponible pour les développeurs pour travailler sur l'intégration et l'enrichissement des fonctionnalités.
Renforcer le dialogue avec les applications d'entreprises
Pour améliorer les offres collaboratives, l'accent a été mis à Lotusphere sur une plus grande intégration entre les services proposés par IBM et les applications d'entreprises. La semaine dernière, Big Blue avait ainsi annoncé des passerelles entre LotusLive et SugarCRM et Ariba, pour accompagner le développement du « social commerce », capable de dialoguer entre les revendeurs et les partenaires commerciaux. Pour accélérer ce processus d'intégration et d'adoption au sein de l'entreprise, IBM propose un ensemble d'outils basés sur des API qui se chargent d'agréger le contenu des différentes applications et de le délivrer au sein d'un framework rénové. Jeff Schick admet s'être inspiré de Facebook pour proposer le système « streaming activity ». Sur la même interface, le collaborateur dispose de sa messagerie et de son flux d'informations provenant des applications mis en mode collaboratif (Twitter, Facebook, mais également des ERP comme SAP). « Cela évite de basculer d'une application à une autre, le collaborateur peut interagir directement sur l'information », précise le responsable. Ce framework, qui peut se définir comme une extension de la solution Lotus Connections, s'adapte à l'ensemble des postes clients, y compris les smartphones ou les tablettes. Il s'agit aussi de la première étape du projet Vulcan, présenté lors de l'édition précédente de Lotusphere.
Le co-CEO du constructeur canadien RIM, Jim Balsillie, a tenu à présenter la disponibilité de ce framework sur la tablette maison, le Playbook. Les autres constructeurs ou éditeurs ne sont pas oubliés. La disponibilité sur iPhone et iPad, ainsi que l'interopérabilité avec Android et Symbian est également assurée pour l'application Lotus Live Notes Traveler.
Illustration : Séance de questions/réponses, de gauche à droite, Jim Balsillie, co-CEO de RIM, Alistair Rennie, General Manager de Lotus Software et Collaboration Solutions, Jeff Schick, Vice-Président de Social Computing Software, Kevin Canaugh, Vice-Président Messaging et Collaboration Software, et Larry Bowden, Vice-Président de l'activité Portail et Web Experience Software.
Crédit Photo: D.R. (...)
390 millions de terminaux mobiles vendus au 3e trimestre 2010
Dans le monde, 390 millions de téléphones mobiles et smartphones auraient été vendus lors du quatrième trimestre 2010, soit une hausse de 15,6% par rapport à la même période un an plus tôt. Selon les données provisoires de l'analyste ABIresearch publiées ce lundi 31 janvier, les ventes sur l'année représente 1,36 milliard d'unités.
Nokia reste en tête des constructeurs avec 31,7% de part de marché, contre 20,7% pour Samsung, son dauphin. Apple continue son ascension pour atteindre 4,2% de part de marché. Parmi ces mastodontes de la téléphonie mobile, l'analyste ABIresearch note toutefois les bonnes performances de HTC, Huawei, ZTE et TCL, marques avec lesquelles il faudra compter à l'avenir.
(...)(01/02/2011 09:49:40)Annuels Proservia : Chiffre d'affaires en progression de 8,3%
La SSII Proservia a réalisé, en croissance organique, un chiffre d'affaires de 47,8 millions d'euros sur son exercice annuel 2010, en progression de 8,3%. L'activité a redémarré fortement au second semestre, qui progresse de 10,6%, alors que le 1er semestre affichait 6% de hausse. Les résultats complets et la rentabilité seront publiés le 6 avril prochain.
Sur l'exercice annuel précédent (2009), Proservia réalisait un chiffre d'affaires de 44,2 ME, quasi stable par rapport à 2008 et en recul de 6,16% à périmètre comparable. Un exercice 2009 fortement affecté par la situation économique « avec le gel de certains projets non prioritaires, une pression particulièrement forte sur les prix et une concurrence accrue ».
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