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(01/02/2011 09:48:51)

Aura tombe dans l'escarcelle d'Umanis

Umanis n'avait plus pratiqué de croissance externe depuis quatre ans. La SSII comble son appétit en rachetant 100% d'une société qui représente la moitié de sa taille. « Plusieurs raisons entrent en ligne de compte dans cette décision, nous explique Laurent Piepszownik, PDG du groupe Umanis. Nous voulons devenir un acteur français de référence, atteindre la zone des 100 à 150 millions d'euros de chiffre d'affaires, avec un fort maillage régional. Aura Group correspond à notre ambition. »  

Les sociétés se veulent complémentaires. Umanis, spécialiste de la Business Intelligence (BI), est essentiellement orienté grands comptes et détient une demi-douzaine d'implantations en région, tandis qu'Aura évolue uniquement en région parisienne. Le groupe racheté a réalisé 25,7 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2009, contre 55,6 M€ pour Umanis. « Aura avait besoin de s'adosser à une société plus importante », note Laurent Piepszownik.

La croissance externe peut se poursuivre

Aura compte plusieurs filiales : Ingénierie, Infrastructures (systèmes et réseaux), Computer (externalisation du service achats). « Ingénierie » réalisant la moitié de l'activité, « Infrastructures » un peu plus de 15%. La société est rentable, nous explique Laurent Piepszownik. Son intégration sera progressive. Umanis se définit comme une société hyper process avec, par exemple, le logiciel Gippssi. En comptabilité, elle utilise Cegid qui va s'appliquer à Aura, laquelle utilisait Sage.

D'autres opérations de croissance externe sont possibles chez Umanis. Le groupe n'a pas utilisé toutes ses lignes de crédit.

(...)

(31/01/2011 17:18:45)

Contrôle d'accès : Wallix ajoute l'authentification forte à son appliance

L'appliance Wallix AdminBastion, mise au point par l'éditeur français Wallix, permet à une entreprise de savoir, en temps réel ou différé, quels utilisateurs accèdent à quels équipements informatiques, à quel moment et de quelle façon (adresses IP, identifiant, plages horaires, protocoles...). Qu'il s'agisse de mouvements internes, ou de connexions externes effectuées par des prestataires. Chacun se connecte au WAB avec un identifiant et un mot de passe unique, stocké dans l'appliance, quels que soient les équipements cibles auxquels il veut accéder. La solution fonctionne sans déploiement d'agent système sur les équipements administrés ni sur les poste de travail. La version 2.2 propose maintenant une authentification forte, tant des utilisateurs internes qu'externes, au moyen d'un certificat X509 V3 conservé dans le navigateur ou dans un périphérique externe compatible PKCS#11. « Le certificat peut être stocké sur une carte à puce ou un token USB », donne en exemple Marc Balasko, ingénieur avant-vente chez l'éditeur. En mettant un WAB en passerelle, cette procédure pourra être utilisée dans des environnements et sur des équipements qui ne prévoient pas d'authentification par certificat.

Par ailleurs, avec la version 2.2, les utilisateurs sont authentifiés sur les équipements cibles à partir de leurs crédentiels primaires (login, mot de passe...). En présence d'un annuaire LDAP ou Active Directory, l'identifiant et le mot de passe de l'utilisateur sont envoyés vers la base de données qui vérifie les droits de l'utilisateur et accepte, ou pas, la connexion. « Les différents serveurs sont placés en account mapping et c'est l'annuaire qui décide qui se connecte, explique Marc Balasko. AdminBastion n'a donc pas à gérer de multiples mots de passe sur de multiples serveurs. ». Ainsi, les mots de passe des comptes cibles ne sont pas connus des personnes qui se connectent. Si cette procédure ne passe pas par un annuaire, le WAB applique alors les critères prévus dans la politique de gestion mise en place (nombre de caractères, renouvellement...).

Régler la qualité de l'enregistrement

Pour tracer les mouvements, toutes les commandes frappées sont enregistrées par le WAB. Les sessions de travail peuvent également être enregistrées, au format Flash vidéo pour les sessions graphiques Windows Terminal Server (RDP) et VNC, ou au format texte pour les sessions SSH et Telnet. Elles peuvent ainsi être visionnées si nécessaire, par exemple à la suite d'un incident. Avec la version 2.2, trois niveaux de qualité sont proposés pour les enregistrements RDP et VNC. « Il est possible de dégrader légèrement la qualité de l'enregistrement, en fonction des contraintes de stockage, explique Marc Balasko. Parmi les autres fonctionnalités de la v 2.2 figure aussi la coupure automatique des sessions en cas de débordement de la plage horaire autorisée, ainsi que le support natif du protocole VNC « demandé par certains clients pour prendre la main sur les postes en cas de helpdesk », explique Marc Balasko.
Wallix AdminBastion appliance de sécurité
Wallix a par ailleurs mis à jour les processeurs de ces appliances de sécurité : Core i3 530 double coeur pour le modèle d'entrée, Xeon X3470 Quad Core et X5670 Hexa Core pour les deux autres modèles. L'alimentation redondante est maintenant disponible sur tous les modèles. Trois niveaux de support sont proposés, Silver, Gold et Platinum, ce dernier comprenant une garantie matérielle avec intervention H+2.

Des bureaux au Benelux, en Suisse et aux Etats-Unis

Wallix compte désormais une centaine de clients, notamment dans les secteurs de l'énergie, de la banque et de l'assurance. Soixante d'entre eux ont été gagnés en 2010. « Nous avons senti qu'il y avait une forte demande du marché l'an dernier », a confirmé Jean-Noël de Galzain, directeur général de l'éditeur français. Sa société a enregistré 400% de croissance sur ses ventes de produits. « Nous avons ouvert un bureau à Londres, nous nous développons au Benelux, en Suisse et cet été nous avons décidé de nous étendre là où les contraintes sont les plus fortes en matière de réglementations et de sécurité, c'est-à-dire aux Etats-Unis. » Le dirigeant ajoute que sa société travaille autour de la mise en conformité des architectures d'information avec des partenaires américains. Au passage, il a rappelé que l'idée de développer l'offre WAB, sortie en 2007, s'était concrétisée à la suite d'une démarche d'audit d'un client historique de la société, grand groupe industriel français, qui avait externalisé chez Wallix la sécurité informatique d'une centaine de ses filiales.

« Nous gérons de plus en plus de terminaux différents dans des environnements de plus en plus éclatés, a par ailleurs souligné Jean-Noël de Galzain. Si la sécurité périmétrique [apportée par les antivirus] reste un besoin important, l'enjeu, c'est maintenant de gérer les personnes, la complexité et les risques. » Il rappelle le contexte : réseaux sociaux, cyberdélinquance, fuites d'informations. « Pas une semaine sans que l'on entende parler de vol de données aux Etats-Unis, parce que certains utilisateurs ont récupéré des informations auxquelles ils n'auraient pas dû avoir accès. Les grandes sociétés font fréquemment appel à l'externalisation. Cela signifie que l'on confie la sécurité de ses données à des gens que l'on ne connaît pas. » Il est donc primordial de savoir ce qui transite entre l'intérieur et l'extérieur de l'entreprise, de se mettre en conformité par rapport aux réglementations, de savoir tracer les mouvements et d'être ensuite capable d'exploiter les informations ainsi enregistrées.

Wallix distribue son offre en mode indirect en s'appuyant sur des professionnels de la sécurité. Un réseau de partenaires que l'éditeur a l'intention de continuer à développer en France et à l'étranger, a affirmé Jean-Noël de Galzain.

Illustration : La console d'administration de Wallix AdminBastion permet de suivre en temps réel ou de consulter en différé les connexions des équipes IT et des prestataires sur les équipements informatiques administrés.

(...)

(31/01/2011 15:19:45)

Résiliations d'abonnement : SFR traine des pieds

Depuis l'augmentation de la TVA sur les abonnements Internet, en ce début d'année, les clients Internet ont la possibilité de résilier leur abonnement, normalement sans frais. Selon le premier bilan de l'Observatoire des résiliations, lancé le 11 janvier dernier par l'UFC-Que Choisir, sur les 320 témoignages reçus, au 29 janvier à 12h, 80% concernait un litige avec un opérateur. Parmi les litiges les plus répandus, l'association consumériste note le refus de prendre en compte les résiliations sans frais, l'acceptation de la résiliation mais avec facturation "d'importants frais" et refus de portabilité pour résiliation.

L'opérateur SFR génère la majorité des litiges (76%), devant Orange (16%) et Alice/Free (8%). Face à ce constat, l'UFC-Que Choisir requiert des sanctions auprès des opérateurs de la part de l'Etat.

Crédit photo : HTC (...)

(31/01/2011 15:15:27)

Ventes de smartphones : Android dépasse Symbian au 3e trimestre 2010

Avec 32,9 millions de smartphones vendus dans le monde, lors du dernier trimestre 2010, la plateforme mobile Android de Google dépasse pour la première fois celle de Nokia, Symbian, dont le nombre atteint 31 millions. Sur la période, les ventes globales de smartphones passent le seuil des 100 millions d'unités, en hausse de 89% par rapport à la même période en 2009, précise l'analyste Canalys ce lundi 31 janvier.

Au quatrième trimestre 2010, les ventes de mobiles fonctionnant avec la plateforme mobile Android sont marquées par de très nettes progressions des constructeurs l'ayant adopté. LG a vu ses ventes de mobiles Android croître de 4 127%, Samsung de 1 474%, Acer de 709% et HTC de 371%. Sur l'ensemble de l'année 2010, Canalys précise que les ventes de smartphones peinent à atteindre les 300 millions d'unités, mais sont en hausse tout de même de 89% par rapport à l'année précédente.

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(31/01/2011 10:29:32)

Fujitsu se démarque sur le marché des stations de travail

Alors que la France est devenue le marché où les marques fortes s'accaparent plus des trois quarts du marché du PC (les cinq premières - HP, Acer, Dell, Asus et Toshiba - représentent plus de 75% des ventes), Fujitsu souhaite se démarquer en misant sur le créneau des stations de travail. « Nous cumulons tous les atouts qui permettent aux marques dites « challengers » de faire la différence sur certains segments, explique Didier Halbique, Directeur Commercial Channel de Fujitsu France. Nous avons une croissance de plus de 50% dans le domaine des stations de travail - autrement dit trois fois plus forte que celle du marché -, nos produits sont fabriqués en Europe, nous ne sommes pas « sur distribués », les marges sont plus importantes que sur les PC et nous avons tous les agréments associés au green IT. »

La marque est principalement distribuée via les grossistes Ingram Micro, Tech Data et ETC, les trois premiers distributeurs IT du marché français. « Nous savons que nous devons aller au-delà en proposant un écosystème fort avec des éditeurs, tels que Adobe, et garantir une disponibilité très rigoureuse », conclut Didier Halbique.
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(28/01/2011 17:24:43)

Trimestriels Microsoft : Loisirs et logiciels professionnels en hausse

Microsoft qualifie de « trimestre record » le chiffre d'affaires de 19,95 milliards de dollars qu'il a réalisé entre octobre et décembre 2010. Comparé à l'an dernier, la progression ne se limite pourtant qu'à 5%. Mais il faut se rappeler que l'éditeur avait alors engrangé d'importants revenus différés (1,71 milliard de dollars) provenant des pré-commandes de son système d'exploitation Windows 7, livré en octobre 2009. Si l'on ne tient pas compte de ces revenus, le chiffre d'affaires de ce deuxième trimestre fiscal 2011 (octobre-décembre 2010) a progressé de 15% par rapport à l'an dernier.

Comme à son habitude, Microsoft réalise une marge opérationnelle élevée sur le trimestre, à 40,9% de son chiffre d'affaires (42,3% sur le premier semestre de cet exercice 2011 qui s'achèvera fin juin). En revanche, son bénéfice net a légèrement baissé, à 6,63 milliards (-0,4%). Sur ce trimestre, la société a racheté 5 milliards d'actions et déclaré 1,3 milliard de dividendes.

+55% sur la division Loisirs

Les revenus ont été tirés par la division Loisirs, d'une part, et par les logiciels professionnels d'autre part. Le succès du capteur de mouvement Kinect et des consoles Xbox 360 qui lui sont associées ont dopé le chiffre d'affaires de l'activité de 55%, à 3,7 milliards de dollars par rapport à l'an dernier. Huit millions de Kinect ont été vendus en soixante jours depuis son lancement, ce qui a largement dépassé les attentes de Microsoft, a reconnu Peter Klein, le directeur financier du groupe.

Dans un tout autre domaine, la division Business a enregistré une progression de 24%, à 6 milliards de dollars, principalement grâce à la forte demande enregistrée sur la suite bureautique Office 2010, commercialisée en juin 2010. Les résultats obtenus avec Office ont dépassé les prévisions de tout le monde, assure Kevin Turner, directeur général de Microsoft, dans un communiqué. Sur ce trimestre, la division Business est celle qui pèse le plus lourd dans le chiffre d'affaires total du groupe fondé par Bill Gates : 30,2%. 

L'an dernier, c'était la division Windows qui figurait à la proue du navire. Cette année, elle vient en second et représente 25,3% du CA total. Son chiffre d'affaires s'élève encore à 5 milliards de dollars, même s'il est en forte baisse (-30%) par rapport à l'an dernier pour les raisons précédemment indiquées. L'éditeur souligne qu'à ce jour, plus de 300 millions de copies de Windows 7 ont été vendues. Au passage, Microsoft ajoute que la bêta d'Internet Explorer 9 a été téléchargée plus de 20 millions de fois.

Windows grignoté par les tablettes ?

L'analyste Andrew Bartels, du cabinet Forrester, estime que la principale surprise vient des bons résultats de la division Business. Non seulement Office, mais aussi les logiciels de gestion de la gamme Dynamics (en photo l'ERP Dynamics NAV) et le portail collaboratif SharePoint ont enregistré une forte croissance de leurs ventes. Cela indique une remontée sur le marché des solutions d'entreprise et c'est une bonne nouvelle pour Microsoft dont les revenus proviennent surtout des ventes aux entreprises, rappelle Andrew Bartels.

Illustration : Le logiciel de gestion intégrée pour PME Dynamics NAV 2009 R2, commercialisé par la Division Business de Microsoft.[[page]]
Parmi les domaines ayant moins bien marché sur le trimestre, Andrew Bartels, de Forrester, pointe les ventes de Windows 7 qui n'ont guère progressé par rapport à l'an dernier. « Le marché des ordinateurs sous Windows se ralentit un peu. Il est difficile de dire ce qui se passe de ce côté-là, mais il est possible que l'iPad affecte les achats de PC », avance-t-il. Lors d'une conférence téléphonique avec des analystes, Peter Klein, le directeur financier de Microsoft, a convenu que les ventes de tablettes, telles que l'iPad d'Apple et la Galaxy de Samsung, avait pu ralentir globalement celles de Windows. Dans les achats grand public, cette année, les netbooks ont été remplacés par des ultra-portables et des tablettes, a-t-il estimé en précisant qu'il s'agissait surtout de matériels complémentaire et non du poste principal. « Cela a occasionné un petit glissement du côté grand public ».

La division Serveurs au-dessous des prévisions

Du côté de sa division Serveurs et Outils, Microsoft a enregistré un chiffre d'affaires de 4,39 milliards de dollars, en progression de 10% par rapport à l'an dernier, mais 2% au-dessous de ce que Forrester avait estimé. Sur la première semaine de janvier, l'éditeur a annoncé que Bob Muglia, qui dirigeait cette division, allait quitter la société dans l'année.

Microsoft n'a pas fourni de résultats financiers détaillés sur ses offres de mobilité et de cloud, se contentant d'exprimer son enthousiasme sur ces deux terrains en évoquant notamment, pour le cloud, ses produits Office 365 et Dynamics CRM, ainsi que des clients comme Pixar Animation Studios et ADP convertis à Azure. Pendant la conférence téléphonique, Peter Klein a tout de même indiqué que la société avait vendu deux millions de licences pour Windows Phone 7 et que la plateforme mobile avait déjà attiré 24 000 développeurs. Du côté du cloud, le directeur financier a simplement affirmé qu'il existait un fort intérêt parmi les clients potentiels en entreprise. « Cela va venir, et bien qu'il soit incertain d'évaluer la rapidité de mise en route, une fois que ce sera prêt pour l'accélération, cela avancera très vite », a-t-il indiqué au sujet d'Azure.

Enfin, la cinquième division de Microsoft, Online Services, qui regroupe les outils de publicité et de publication et des services comme le moteur de recherche Bing et le portail MSN, a vu augmenter ses revenus de 19,34%, à 691 millions de dollars. Néanmoins, c'est une activité qui perd toujours de l'argent : 543 M$ de pertes opérationnelles sur le trimestre clos fin décembre 2010.

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(28/01/2011 16:23:38)

Un projet européen de gestion et de protection d'identité

Le projet ABC4Trust s'échelonnera sur quatre ans et comprendra deux expérimentations en Grèce et en Suède d'un système qui combinent les technologies de protection et de gestion d'identité d'IBM, de Microsoft et de Nokia Siemens Networks. ABC, représente un système de données basé sur les attributs, c'est-à-dire autour des informations minimales que peut transmettre l'utilisateur. Par exemple, plutôt que de donner la date de son anniversaire lors des renseignements sur son identité, un utilisateur devra seulement indiquer qu'il a plus de 18 ans.

Le test suédois aura lieu dans une école secondaire à Norrtullskolan. Le système de gestion des identités permettra aux élèves et aux parents de s'authentifier auprès des services médicaux et des conseils proposés par l'école. L'autre essai se fera à l'Institut de technologie de Patras, en Grèce, est sera aussi centré sur l'éducation. Les élèves seront amenés à voter pour classer les cours et les professeurs sans révéler leur identité.

ABC4Trust utilisera IBM Identity Mixer et Microsoft U-Prove, qui seront « maillés » ensemble à l'aide des technologies issues de la R&D de Nokia Siemens Networks. Le projet, qui a débuté à l'automne dernier bénéficie d'un budget total de 13,5 millions d'euros, dont 8,85 millions fournis par l'Union européenne.

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(28/01/2011 13:01:15)

Verizon en passe d'acquérir Terremark, fournisseur de services cloud

L'opérateur américain devrait lancer une offre publique d'achat entre le 10 et le 17 février sur toutes les actions ordinaires de Terremark. Les conseils d'administration des deux sociétés ont approuvé la transaction, mais elle est soumise aux actionnaires de la société, ainsi que les avis des autorités de la concurrence. Trois actionnaires ont déjà accepté d'apporter un total de 27,6 % des actions. Verizon prévoit conclure la transaction à la fin de ce trimestre. Son offre de 19 $ par action représentant une prime de 35 % sur le prix l'action Terremark.

Terremark propose des offres de colocation, des infrastructures gérées et des services de cloud computing au sein de 13 datacenters basés aux États-Unis, en Europe et en Amérique latine. La société adresse les grandes entreprises et les agences du gouvernement américain avec des ressources informatiques à la demande. Verizon, avec 220 centres de calcul dans 23 pays, offre des services de cloud à travers sa division Business. L'opérateur a annoncé qu'il s'oriente vers un modèle de prestations basé sur « Everything as a Service ».

Un renforcement de l'offre cloud

Verizon Business fournit des réseaux de télécommunications autour du monde pour de nombreuses grandes entreprises et commence à utiliser cette connectivité et cette capillarité pour fournir des services. Par exemple, l'an dernier l'opérateur a annoncé un produit de Calcul as a Service, permettant aux abonnés de déplacer facilement des charges de travail entre leurs propres infrastructures et celles de Verizon. Au début 2010, il avait également lancé un service de stockage en mode cloud, en s'appuyant sur Nirvanix, un spécialiste dans le domaine. En France, Verizon dispose d'une entité qui vise principalement les grandes entreprises et qui fournit lui aussi des services cloud. Cette opération démontre la montée en puissance des opérateurs télécoms, qui souhaitent devenir les principaux prescripteurs du cloud en entreprise.

 

Illustration : Datacenter de Terremark

Crédit Photo: D.R

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