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(28/01/2011 11:31:37)

Oracle a conçu un datawarehouse pour les institutions financières

Avec un datawarehouse spécifiquement conçu pour la finance, « on passe d'un mode de gestion fastidieux et non discriminant où toutes les données sont collectées, à une gestion contextualisée, ciblée et rapide, qui permet de prendre des décisions globales », explique Shekhar Ramakrishnan, vice-président et directeur général des Financial Services Analytical Applications d'Oracle, dans un communiqué. Selon lui, grâce à cette offre, une entreprise pourra être en mesure de stocker facilement des données financières, de générer des rapports, de gérer les métadonnées et d'effectuer d'autres fonctions financières de routine.

Trente applications financières disponibles

Le Financial Services Data Warehouse d'Oracle s'appuie sur un modèle développé par l'éditeur californien au cours des 15 dernières années et adapté aux besoins des services financiers. Celui-ci permet notamment de préparer les données de manière à ce qu'elles puissent être utilisées pour l'analyse client, les tests de conformité, le reporting et l'analyse des risques. Oracle propose environ trente applications financières qui peuvent fonctionner avec ce modèle de données, y compris celles concernant la gestion des risques en entreprise, la gouvernance, le risque et la conformité, la gestion de la compétitivité et une meilleure connaissance du client.

Utilisable avec des solutions analytiques externes

L'entrepôt de données se présente sous forme d'une infrastructure matérielle complétée des applications de gestion financière Oracle, des bases de données et des outils ETL (Extraction, Transformation et Chargement) préinstallés. L'ensemble peut fournir aux utilisateurs des rapports à la demande et des outils de business intelligence. Des applications analytiques provenant d'autres éditeurs peuvent être également utilisées pour analyser les données stockées dans le datawarehouse. Enfin, ce dernier a été configuré pour être facilement couplé avec des serveurs de base de données Exadata conçu par Oracle et s'appuyant sur du matériel Sun.

Le Financial Services Data Warehouse est disponible, mais pour l'instant, l'entreprise n'a pas souhaité en communiquer le prix.

Illustration : L'offre Financial Services Data Warehouse inclut un modèle de référence du domaine des services financiers, le FS Logical Data Model, qui permet aux clients d'étendre les modèles physiques pour des cas spécifiques à leur métier (source : Oracle) (...)

(28/01/2011 10:39:46)

Annuels Solutions30 : Croissance significative grâce au développement en Europe

En 2010, le chiffre d'affaires du prestataire de services IT pour les particuliers, les professionnels et les entreprises a atteint 54,6 M€, soit 21,6% de plus que l'année précédente. Solutions30 (ex-PC30) dépasse ainsi les prévisions de revenus, comprises entre 53 et 54 M€, qu'il avait faites en octobre dernier. Ce résultat est notamment dû au développement de la société en Europe, tout particulièrement en Italie et aux Pays Bas, où elle a réalisé 15% de son activité contre 12,8% en 2009. Après l'ouverture d'une filiale en Belgique en 2009 puis en Allemagne en 2010, Solutions30 projette de s'implanter en Espagne et au Royaume-Uni.

Les résultats de l'entreprise seront présentés plus en détail à ses actionnaires lors d'une assemblée extraordinaire prévue le 28 février. Cette réunion sera aussi l'occasion de leur faire valider le rachat des parts minoritaires des anciens managers de la division " desktop " de Sogeti rachetée par Solutions30 en juillet 2009. Le conseil de surveillance a déjà donné son accord le 20 janvier 2011.

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(28/01/2011 10:35:21)

Annuels Additeam : Un CA de 7,5 M€ en 2010

La SSII Additeam a réalisé en 2010 un chiffre d'affaires de 7,5 M€, soit une hausse de 16,2% comparée à l'année précédente. Ciblant principalement les grands comptes, ce prestataire de services créé en 2003 dispose actuellement d'un portefeuille de clients d'une quarantaine d'entreprises. La société est fortement implantée dans les secteurs du retail et de la banque/assurance/finance qui représentent respectivement 41% et 36% de ses revenus. 83% de ses prestations sont réalisées en régie, 14% au forfait et 3% en régie forfaitisée. En 2010, le taux d'inter contrat de ses collaborateurs n'a atteint que 4%.

Pour le compte de son exercice 2011, la SSII anticipe un chiffre d'affaires de 9 M€. Elle réaliserait alors une croissance de 20%, soit une projection bien supérieure au 3% de hausse attendus par le Syntec pour le marché des logiciels et des services cette année.

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(28/01/2011 10:16:57)

Commandes publiques : La Ficome et la FEB manifestent leur colère

La nouvelle politique d'achat de l'Etat, qui a pour conséquence d'écarter  les prestataires de proximité, continue de susciter la colère d'organisations professionnelles. Deux d'entre elles, la FEB et la FICOME, mobilisent encore, car elles se heurtent à un mur d'incompréhension. En témoigne la Lettre que nous publions, envoyée par le président de la Ficome à ses adhérents pour les inciter à venir le 3 février à une réunion à l'Assemblée nationale, en présence des principaux responsables du dossier. (...)

(27/01/2011 17:40:19)

SAP France : le 4e trimestre a tiré les ventes de licences

Bien moins spectaculaire que la performance réalisée par SAP au niveau mondial (+35%), la progression affichée par sa filiale française sur ses ventes de licences atteint malgré tout 9% sur le quatrième trimestre (mise à jour : les chiffres France n'incluent pas Sybase). Une croissance avec laquelle SAP France avait renoué depuis le troisième trimestre (+6% alors), a rappelé ce matin Nicolas Sekkaki (en photo), son directeur général. Elle aura permis d'enregistrer, sur l'ensemble de l'exercice, une petite hausse de 3% sur les ventes de licences dans l'Hexagone. De fait, sur certains marchés matures, comme la France et l'Allemagne, SAP a enregistré des hausses moins marquées que sur les pays émergents ou, même, sur l'Amérique du Nord (sur l'ensemble du continent américain, les ventes de licences ont crû de 54% au 4e trimestre).

SAP France réaffecte ses commerciaux

Pour 2011, en revanche, « on nous demande une croissance à deux chiffres », annonce le dirigeant français. Un résultat déjà obtenu par la filiale au quatrième trimestre sur certaines activités, comme la Business Intelligence qui a enregistré 15% de croissance (+5% sur l'année complète). Au sein de ces gammes BI, les solutions de gestion du risque et de la conformité (GRC, governance, risk & compliance) se sont notamment très bien comportées avec une croissance à trois chiffres (*). « C'est le résultat d'un travail quotidien, nous avons refocalisé davantage de personnes sur la BI et nous en avons embauché, explique le dirigeant. Nous avons renforcé l'écosystème, réinvesti dans les régions et le retour est là. Mais nous n'avons pas encore réalisé tout le potentiel ». D'où la réorganisation pour 2011 annoncée la semaine dernière, qui traduit une volonté de mieux répartir les forces commerciales. Plus de 50% des commerciaux ont ainsi changé d'affectation de territoire.

Des clients n'ayant jamais acheté chez SAP

En dehors de la BI, plusieurs lignes de logiciels ont bien fonctionné au 4e trimestre chez SAP France, en particulier, le CRM (gestion de la relation client), avec là aussi, une croissance à deux chiffres, et la gestion des talents (HCM, Human Capital Management). La filiale a par ailleurs enregistré plusieurs affaires supérieures à 1 million d'euros au quatrième trimestre, et même un contrat supérieur à 10 millions d'euros. « Sur l'année, nous avons accueilli 300 nouveaux clients », dénombre Nicolas Sekkaki. Parmi lesquels au dernier trimestre, de grands clients et, de plus en plus, des entreprises qui n'avaient jamais acheté chez SAP, de même que des  « winbacks » remportés sur certains concurrents. Parmi ces nouveaux clients figure par exemple la société Elis, spécialiste de la location-entretien de vêtements professionnels, qui a opté non seulement pour l'ERP, mais aussi pour l'offre de CRM et pour des déclinaisons mobiles. Des déploiements qui permettent à cette entreprise d'accompagner sa stratégie de croissance externe. « Nous avons de nouveaux clients ERP sur des projets significatifs », confirme Nicolas Sekkaki. Parmi les marchés ayant le mieux fonctionné en cette fin d'année, le dirigeant cite par ailleurs le secteur public, les services, les biens de consommation et les sciences de la vie.

(*) D'autres activités BI, comme l'EIM (Enterprise Information Management) ont été plutôt en décroissance.

Illustration : Nicolas Sekkaki, directeur général de SAP France (crédit : LeMondeInformatique.fr)[[page]]

L'ensemble du catalogue ouvert aux partenaires

Parmi les grands axes stratégiques pour 2011, SAP France entend mettre l'accent sur son écosystème en ne limitant pas ses partenaires au marché des PME/PMI, mais en leur ouvrant aussi, selon affinités, le reste de son catalogue en fonction de leurs compétences. « J'ai créé une direction Ecosystème et Channel, dirigée par Dominique Comte [qui assurait jusque-là la direction de la division PME], a expliqué Nicolas Sekkaki. Cela regroupe les alliances, les distributeurs, les PME adressées en mode indirect et l'offre hébergée Business ByDesign. Il y a des produits de notre portefeuille applicatif que nous ne vendions pas [plus de 300 sur 3 000 au total]  parce que nous manquions de ressources pour les commercialiser. Ces produits-là vont maintenant pouvoir être distribués en mode indirect. » Dans les mois à venir, la filiale va ainsi ouvrir à ses partenaires, potentiellement, l'ensemble de ses clients.

En projet, une filiale pour l'Afrique du Nord

Outre cet axe important sur son écosystème, SAP France va développer ses efforts sur ses lignes de produits en croissance : le SCM (gestion de la chaîne logistique), la gestion des ressources humaines, le CRM... La réorganisation sera également très forte autour des industries avec des départements dédiés pour chacune et par segments de clients. Ces derniers sont répartis en trois groupes : les 38 comptes-clés de la filiale (40% du chiffre d'affaires de la filiale et jusqu'à présent 40% des commerciaux de SAP France, mais plus en 2011 avec la redistribution des forces), les clients Entreprise achetant de façon plus ponctuelle et « auxquels on s'adresse avec des profils très spécialisés », et, enfin, les nouveaux clients à conquérir. Nicolas Sekkaki va également créer une direction régionale. Par ailleurs, d'ici trois mois, le directeur général espère annoncer l'ouverture à Casablanca d'une filiale pour couvrir le marché de l'Afrique du Nord.

(...)

(27/01/2011 17:22:00)

IBM aide ses partenaires à fournir des solutions métiers aux PME

Depuis un an, IBM a unifié en une seule division ses activités « PME » et « distribution ». Avantage : le partenaire est en première ligne chez le client et l'équipementier l'accompagne commercialement et techniquement, la vente se fait autour de solutions plutôt qu'autour des seuls produits d'infrastructure estampillés IBM. En France, 500 partenaires, revendeurs, intégrateurs, éditeurs et sociétés de services ont intégré cette démarche. Des partenaires repérés et suivis par les commerciaux d'IBM implantés dans ses 19 structures régionales. Aujourd'hui, Big Blue passe à une phase supérieure.

Les partenaires de la distribution étaient voués à commercialiser les produits d'infrastructure d'IBM. A cette activité traditionnelle, ils sont incités à ajouter une partie solution. « Le client final veut une approche métier, non seulement un produit, mais une connaissance de son secteur » note Eric Taillard (en photo), vice-président d'IBM France chargé de la nouvelle division. L'approche métier est donc mise en avant. Elle implique de la part d'IBM et de ses forces commerciales un accompagnement différent des partenaires en indirect pour leur faciliter la transition, par exemple par des certifications (sur le stockage ou sur le cloud).

IBM va plus loin. D'abord en fournissant des listes de clients intéressés par une solution. Et ce, très finement (avec l'aide d'une agence marketing). « Nous pouvons par exemple, procurer à un partenaire la liste des entreprises intéressées par une solution de cash management sur telle ou telle région » lance Eric Taillard. A cette fourniture massive de leads s'ajoute l'apport de solutions. La France compte 800 éditeurs,  ils sont sollicités par IBM pour intégrer leurs produits dans des solutions vendues par les partenaires distributeurs d'IBM.

Dans certains cas, IBM peut même aider ces partenaires éditeurs à réécrire les codes de leurs produits, il dispose de centres spécialisés à La Gaude ou à Marne la Vallée. Cas particulier, celui des éditeurs intéressés par le cloud et le Saas. Ils sont traités par le « club alliances ». IBM va ainsi trouver les chaînons manquants pour que ses partenaires proposent des solutions métier.

41% des PME françaises voient leurs budget IT s'améliorer en 2011

Ces évolutions s'inscrivent dans le cadre de nouvelles attentes des PME mondiales. C'est du moins ce qu'estime IBM à la lecture d'une étude commandée au cabinet KS&R. Elle a permis d'interroger 2112 dirigeants ou responsables IT de PME dans le monde, avec un focus sur la France. Globalement, 53% des PME dans le monde (elles étaient 20% en 2009), et  41% en France, prévoient une croissance de leurs budgets IT pour 2011.

Cette  sortie de crise se vérifie par le basculement des priorités. La réduction des coûts qui réunissait 53% des réponses (sur le thème des « considérations stratégiques ») en 2009, tombe à 21%, le focus client grimpe de 11 à 31%, l'innovation passe de 11 à 18% (mais à 19% en France). Derrière ces généralités, les priorités IT vont clairement à l'amélioration de l'infrastructure existante, pour  75% des interviewés. A 70%, on trouve le collaboratif, le business analytics, l'information management. Entre 60 et 70% de réponses figurent les communications unifiées, la virtualisation, le cloud, le Saas et le CRM.

Concernant particulièrement le cloud, KS&R note que 66% des PME recherchent une telle solution. Dans le monde, elles en attendent d'abord une réduction des coûts, ensuite une meilleure facilité de gestion. En France, c'est l'évolutivité des ressources qui arrive en tête, ce critère n'est que huitième dans le monde. Les PME française classent en deuxième position la haute disponibilité et en troisième la réduction des coûts (qui arrive en tête dans le monde).  « Elles demandent à leurs prestataires d'être compétents en informatique et de bien connaître le métier de leurs clients », souligne Eric Taillard.

Illustration : Eric Taillard, vice-président d'IBM France, responsable de la division Global Business Partners et Mid-Market (crédit : IBM) (...)

(27/01/2011 17:01:50)

2 millions de mobiles Windows Phone 7 livrés aux opérateurs

L'OS mobile de Microsoft, lancé en octobre dernier, a franchi la barre des 2 millions de terminaux dans le monde. Toutefois, le porte-parole du groupe évoque le nombre de smartphones livrés aux opérateurs, et non le nombre de clients finaux qui ont acheté un téléphone. Greg Sullivan avance par ailleurs un taux de satisfaction très positif auprès des clients utilisant un Windows Phone 7. Citant un rapport, il indique que 93% des utilisateurs interrogés se déclarent « satisfaits » ou « très satisfaits » de l'OS.

Si ces chiffres semblent encourageants pour Microsoft, ils restent encore très éloignés de la concurrence. A titre de comparaison, Apple a écoulé 16 millions d'iPhone lors de son dernier trimestre fiscal, tandis que les smartphones sous Google Android se vendent à un rythme de 300 000 unités par jour (soit environ 27 millions en trois mois).

Une concurrence sur le long terme


« Nous savons que la compétition est rude, et qu'il s'agit-là d'un produit récent. Nous ne sommes pas dans un sprint, mais dans une course sur le long terme », a récemment déclaré Achim Berg, vice-président de la division mobile de Microsoft. Autre point faible de l'éditeur dans son offensive mobile, le nombre encore faible d'applications disponibles sur le Marketplace, la boutique virtuelle dédiée aux Windows Phone 7. Dans un récent rapport, la firme de Redmond a indiqué que son kiosque comptait 6 200 applications (dont 500 développées spécifiquement pour la France). Là aussi, Apple et Google ont une large avance dans ce domaine : 350 000 pour le premier et environ 210.000 pour le second.

Sorti le 21 octobre dernier en Europe et en Asie-Pacifique, puis le 8 novembre aux Etats-Unis, le système d'exploitation Windows Phone 7 équipe les smartphones de différents fabricants, dont Samsung, LG, HTC et Dell.

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(27/01/2011 16:57:16)

Grâce aux tablettes, les téléchargements d'apps vont exploser

La raison principale de cette croissance tient en un mot : les tablettes. Pour Gartner, les ardoises comme l'iPad, plus les dizaines d'appareils concurrents tournant sous Android ou d'autres systèmes mobiles - sans compter les téléchargements pour smartphone - expliquent en grande partie cette évolution exponentielle. « Les tablettes vont stimuler les téléchargements d'applications, » a ainsi déclaré dans une interview Stéphanie Baghdassarian, analyste chez Gartner. « Et contrairement à certains, nous ne pensons pas que cette frénésie résulte d'un effet de mode, » a-t-elle ajouté.

Apps Store d'Apple : 90% des téléchargements en 2010

Selon Gartner, en 2010, environ 90% des téléchargements d'applications étaient effectués sur l'App Store d'Apple, ouvert depuis juillet 2008. « Probablement, la boutique en ligne d'Apple conservera le titre de challenger et de meilleur vendeur jusqu'en 2014, même si son avance se réduit alors que d'autres « apps store » progressent, » a indiqué l'analyste. « Les concurrents ne manquent pas : l'Android Market, l'Ovi Store de Nokia, l'App World de RIM, Marketplace de Microsoft et les Samsung Apps, » a ajouté Stéphanie Baghdassarian. « Mais pour l'instant, Apple a une bonne longueur d'avance sur eux, » a-t-elle déclaré. Celle-ci n'a pas voulu estimer la part de marché que l'App Store pourrait perdre dans les prochaines années, mais a simplement dit que n'importe quel leader du marché devant faire face à une concurrence acharnée subirait une perte équivalente.

La qualité, pas la motivation principale

« Les applications vendues sur l'App Store sont réputées de bonne qualité, ce qui signifie qu'elles sont généralement sans bugs, parce qu'elles sont examinées et validées au préalable par les ingénieurs d'Apple, » a déclaré l'analyste de Gartner. Mais la qualité n'est pas la motivation principale de ceux qui téléchargent des applications, tout simplement parce que les clients achètent en général les applications proposées sur le marché associé au smartphone ou à la tablette qu'ils possèdent. Android a choisi d'adopter une philosophie ouverte pour les apps proposées sur l'Android Market, ce qui signifie que celles-ci « ne sont pas contrôlées, » a-t-elle expliqué. « C'est le risque pris par Android avec cette approche non sélective. » Certains chercheurs font également remarquer que les applications de l'Android Market peuvent très bien fonctionner sur un téléphone Android et moins bien sur un autre, ce que la politique d'Apple permet d'éviter.

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Une augmentation du téléchargement global moyen

Gartner ne dispose pas de données exactes sur le nombre d'applications utilisées par les propriétaires de smartphones et de tablettes, mais le cabinet d'étude estime que, pour l'iPhone, un client télécharge en moyenne quatre applications par mois. Cette estimation a été établie à partir du nombre d'applications téléchargées chaque seconde sur l'App Store l'année dernière selon un chiffre fourni par Apple, puis extrapolée à un volume mensuel et enfin divisée par le nombre d'iPhone présents sur le marché. Pour Carolina Milanesi, une autre analyste de Gartner, le nombre moyen de téléchargements par smartphone restera stable à mesure que le marché se développe, mais celle-ci a ajouté que les tablettes « susciteront plus de téléchargements de la part des utilisateurs, ce qui augmentera le téléchargement global moyen par appareil. »

 

2,5 milliards de téléchargements en 2009, 185 milliards en 2014

Depuis le lancement de l'App Store, Gartner a entrepris de comptabiliser les téléchargements d'applications. Ainsi, selon Stéphanie Baghdassarian, le cabinet a décompté 500 millions de téléchargements à la fin de sa première année d'existence. En nombre cumulé d'apps téléchargées sur toutes les boutiques en ligne, le cabinet arrive à un total de 2,5 milliards de téléchargements fin 2009 ; à 11,2 milliards fin 2010 ; et avance une prévision de 28,9 milliards d'ici la fin de cette année. Et sa projection à 2014 atteint 185 milliards de téléchargements d'applications.

Chiffre d'affaires : + 1000% entre 2010 et 2014

Côté chiffre d'affaires, celui des « Apps store » atteindra 15,1 milliards de dollars en 2011, en hausse de 190% comparé à 2010 où les recettes ont été de 5,2 milliards de dollars. A la perspective de 2014, ces revenus augmenteront de 1 000% par rapport à 2010, atteignant 58 milliards de dollars, toujours selon Gartner. Ces recettes comptabilisent à la fois les achats d'applications par les utilisateurs finaux, mais aussi les applications elles-mêmes dans ce qu'elles génèreront comme recettes publicitaires aux développeurs. Ces revenus se répartissent entre les propriétaires des boutiques en ligne et les développeurs. Apple par exemple, prélève 30% sur le prix de vente et restitue la différence aux développeurs. Quant à la publicité, elle a généré environ 16% du chiffre d'affaires des boutiques en ligne en 2010, lequel passera à 33% d'ici à la fin de 2014, selon Gartner. Enfin, au commencement de l'App Store d'Apple, presque toutes les applications téléchargées étaient gratuites. Mais leur pourcentage a diminué et devrait atteindre 81% de tous les téléchargements d'applications mobiles en 2011, selon Gartner. Le cabinet ajoute que le pourcentage de téléchargements gratuits continuera à baisser jusqu'en 2011, puis augmentera à nouveau entre 2012 et 2014.

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(27/01/2011 16:52:16)

Internet et mobile, un tarif social qui mécontente

Dans un communiqué, l'UFC tacle la proposition des membres du gouvernement pour un forfait mobile de 30 minutes et 30 SMS à 10 euros par mois. Elle estime que ce type d'offres existe déjà chez les opérateurs mobiles virtuels (MVNO) et que ces forfaits manquent de souplesse.

« Ce type d'offre doit ouvrir la possibilité de ne pas faire le même effort financier chaque mois, alors que le dispositif proposé -bien que sans engagement- implique un paiement mensuel pour maintenir une continuité de service. De ce point de vue, améliorer le prépayé en déplafonnant les durées de validité des crédits de consommation aurait été plus utile », explique l'UFC, qui souhaite par exemple étendre la validité des formules prépayées à 2 mois au lieu de 10 jours actuellement, tout en proposant des cartes de petit montant à bas prix (15 centimes la minute de communication).

Internet même combat


Autre point de discorde avec les mesures des deux ministres, l'offre de 20 euros concernant l'Internet fixe par le biais d'un subventionnement du fonds universel. Pour être accessible, ce forfait devrait être proposé à 10 euros maximum, indique l'UFC. L'association demande au gouvernement de « revoir sa copie ».

A l'issue d'une réunion avec les opérateurs, Eric Besson et Frédéric Lefebvre ont annoncé jeudi 27 janvier la signature, fin février, d'une convention pour la mise en place d'un tarif social de téléphonie mobile pour les plus démunis, dont les bénéficiaires du RSA.

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