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(27/01/2011 10:58:41)

Recrutements massifs chez Google en 2011

« En 2010 Google a recruté plus de 4 500 nouveaux Googlers, principalement dans les secteurs de l'ingénierie et des ventes. C'est la seconde vague importante de recrutement, juste derrière celle de 2007, au cours de laquelle l'entreprise a vu arriver 6 000 personnes. J'aime Google à cause de ses employés. C'est stimulant de faire partie de ses équipes et c'est pourquoi je suis très impatient pour 2011, parce que ce sera l'année d'embauche la plus importante dans l'histoire de l'entreprise, » écrit Alan Eustace, vice-président et directeur de l'ingénierie et de la recherche chez Google, sur le site de l'éditeur.

« Ces recrutements sont notamment liés aux efforts de plus en plus importants réalisés par Google dans la publicité mobile et le cloud, pour ne citer que ces deux secteurs où l'entreprise rencontre du succès, » écrit le vice-président. « Chose incroyable aussi, le système d'exploitation Android tourne désormais sur plus de 100 appareils mobiles et on compte plus de 300 000 activations par jour. Chrome comptabilise au moins 120 millions d'utilisateurs actifs et son usage s'étend de plus en plus rapidement. L'an dernier, plus de 1 million d'entreprises sont passées aux Google Apps et ont adopté son approche 100% web. » Le dirigeant de Google ajoute que l'entreprise cherche à embaucher « dans tous les domaines et partout dans le monde, » à des postes très divers. Google veut affronter « un certain nombre de défis parmi les plus difficiles dans le domaine informatique, comme développer totalement un système d'exploitation basé sur le web, effectuer de la recherche instantanée dans des index de plus de 100 millions de gigaoctets, et même travailler à mettre au point des voitures sans conducteur. » Il a indiqué au passage que chez Google, le nombre moyen d'ingénieurs logiciel travaillant sur un projet était de 3,5.

L'annonce de cette vague de recrutement a déjà suscité un certain nombre d'observations dans la presse américaine.

Sur le MercuryNews.com :

« Selon ces plans d'embauche, Google comptera plus de 30 000 employés d'ici le début de l'année 2012, un nombre encore nettement inférieur à celui de géants de la Silicon Valley comme Intel, Cisco Systems et Hewlett-Packard, mais deux fois plus élevé que celui de concurrents comme Yahoo, et plus de six fois la taille de l'entreprise devenue son plus redoutable concurrent, Facebook. »

Dans le Wall Street Journal :

«La semaine dernière, Google faisait savoir qu'elle testait un service d'offres d'emploi pour aider des entreprises locales à trouver du personnel. L'année dernière, l'entreprise a recruté plusieurs centaines de commerciaux pour contacter de petites entreprises, comme les spas, les restaurants et les hôtels pour faire connaitre les nouvelles opportunités offertes par la publicité en ligne pour promouvoir leur activité. Selon les recruteurs et des personnes au fait du sujet, Google a dû mettre la main au porte-monnaie pour garder des dirigeants clés. Les responsables de Google ont déclaré que l'entreprise était engagée dans une «guerre des talents » avec des sites de réseaux sociaux comme Facebook. À l'automne, Google a annoncé une augmentation des salaires de 10% pour l'ensemble de son personnel. »

De MarketWatch :

« Wall Street a longtemps soulevé la question d'un recrutement massif chez Google, dans la mesure où elle pouvait devenir un sujet de préoccupation potentiel, étant donné les coûts que ces embauches génèreraient. La société a répliqué qu'une vaste campagne d'embauche lui était nécessaire, pour accompagner l'entreprise dans ses objectifs, à savoir étendre largement son activité sur plusieurs nouveaux marchés. »

Illustration principale : Alan Eustace, vice-président et directeur de l'ingénierie et de la recherche chez Google

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(26/01/2011 15:28:41)

Google règne sur la recherche et progresse sur la navigation web en France

Selon ce baromètre, réalisé sur un périmètre de 20 736 sites web audités en 2010, Google s'est octroyé 90,8% des requêtes effectuées en ligne l'an dernier. Le premier moteur de recherche au monde est même parvenu à capter des parts au détriment de ses concurrents (il comptait 89,9% de parts en 2009), notamment Bing, le moteur de Microsoft.

Google a également profité de l'ouverture de la concurrence sur le marché des navigateurs web. Son logiciel Chrome est passé de 2,1% d'utilisateurs en 2009 à 7,8% en 2010. Dans le même temps, Internet Explorer a dégringolé. Principale victime de la politique d'ouverture imposée par la Commission européenne à Microsoft, « IE » a perdu 10 points de marché en France en 2010.

Avec 52,8% de parts de visites web, Internet Explorer reste cependant le navigateur le plus utilisé par les internautes français, devant Firefox de Mozilla (30,9%, contre 29,4% en 2009), Google Chrome, et Safari. Le navigateur d'Apple a tiré profit du succès de l'iPhone et des Mac pour s'établir à 8,3% de parts de visites. La firme de Redmond reste encore largement dominant dans le classement des systèmes d'exploitation, avec près de 90% de parts de marché.

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(26/01/2011 14:15:53)

Smartphones et PC portables ont animé les ventes technologiques en 2010

Après deux baisses annuelles consécutives, en raison de la crise, le marché français de la high-tech est reparti à la hausse. En 2010, les ventes de produits technologiques vendus dans les circuits de distribution grand public ont représenté quelque 17,7 milliards d'euros (+0,9%). Un niveau semblable à celui enregistré en 2008, mais qui reste tout de même inférieur au record de 2007 (18,7 milliards). « En quantités vendues, les Français ont acheté plus de 100 millions de produits technologiques en 2010, soit une croissance de +6% par rapport à 2009. C'est un nouveau record ! », a commenté Olivier Malandra, Directeur de l'électronique grand public chez GfK Retail & Technology France.

Cette croissance provient essentiellement des produits mobiles (téléphones et PC portables, tablettes tactiles). A noter, la plupart des familles de produits ont vu leurs prix baisser en 2010, souligne le cabinet. Au rayon informatique, les Français ont acheté en 2010 pas moins de 5,1 millions d'ordinateurs portables, dont 1,3 million de netbooks. Un chiffre auquel viennent s'ajouter 435 000 tablettes vendues l'an dernier. Ces ardoises tactiles, véritablement lancées en 2010, se sont surtout vendus en fin d'année (160 000 unités écoulées en décembre). Pour 2011, GfK table sur 6,5 millions d'ordinateurs mobiles vendus en France, dont 1,4 million de netbooks et 1 million de tablettes. Quant aux PC de bureau classique, les ventes sont restées stables, grâce notamment au succès des ordinateurs "All in one" (unité centrale intégrée au dos de l'écran tactile).

Le boom des smartphones


Côté télécoms, les ventes de téléphones portables ont culminé à 24,7 millions d'unités en 2010, soit 1,1 million de plus qu'en 2009 (+4,7%). Dans le détail, les Français ont acheté nettement moins de mobiles classiques (17 millions en 2010 contre 20 millions en 2009), mais deux fois plus de smartphones (7,7 millions contre 3,6 millions). En 2011, GfK prévoit 25,1 millions d'unités, dont quasiment le même nombre de smartphones (11,8 millions) que de mobiles (13,3 millions). Dans les autres segments, les ventes ont également progressé pour les appareils photo grâce à la baisse des prix et au boom des compacts hybrides, les caméscopes avec le succès des modèles de poche, les chaînes hi-fi, emmenées par la mode des docking station pour baladeurs MP3, les systèmes Home Cinéma, les disques durs externes, et les imprimantes.

Selon GfK, le marché français des biens technologiques devraient continuer de croître en 2011, pour se situer entre 17,5 et 18 milliards d'euros. Les TV, notamment les modèles connectés au Web, les smartphones et les ordinateurs mobiles (tablettes incluses) devraient une fois de plus constituer le trio gagnant de l'année.

 

Crédit Photo: D.R

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(26/01/2011 12:44:01)

Google acquiert SayNow, plateforme sociale et vocale

Basée à Palo Alto, en Californie, SayNow propose des applications utilisées par des célébrités et des personnalités sportives pour communiquer avec des groupes. Par exemple, le rappeur Souljaboy utilise un numéro de téléphone SayNow pour laisser à ses fans des messages vocaux, éventuellement leur parler et d'interagir les uns avec les autres.

La jeune société a annoncé son acquisition par l'éditeur de Moutain View dans une note sur son site web. Elle explique que l'objectif est de combiner son savoir-faire avec les équipes de Google Voice. « Nous n'avons pas de stratégie produit à annoncer tout de suite, mais nous aurons des choses à dire sur notre feuille de route dès que nous aurons terminé notre intégration, alors restez à l'écoute», souligne la note.

Dans un communiqué, Google a déclaré qu'il était « très heureux » de cette opération. « Nous sommes impressionnés par les services qu'ils ont déjà construit, et nous sommes impatients de travailler ensemble pour développer nos technologies basées sur la voix afin de mieux connecter les personnes » précise l'éditeur. Récemment, Google a annoncé la portabilité des numéros mobiles sur son service Google Voice. Les utilisateurs pourront ainsi garder leur numéro et non celui attribué d'office par Google.

Les deux entreprises n'ont pas publié le montant de cette opération.

On notera que SayNow proposait aussi une application orientée vers les utilisateurs professionnels, mais elle n'est apparemment plus disponible. Ce service, appelé Big Call était une application de conférence téléphonique pour les utilisateurs d'iPhone et Android permettant au modérateur de choisir les participants depuis sa liste de contacts (sans que ces derniers aient besoin d'appeler un numéro spécifique) . (...)

(26/01/2011 10:55:55)

1 terminal mobile sur 5 vendu sur Internet

Plus de 7% des téléphones mobiles achetés en Europe en 2010 ont été commandés directement sur Internet, selon un rapport du cabinet d'études marketing GfK. Les achats en ligne de portables auraient ainsi progressé de plus de 10% par rapport à 2009. Sur le créneau des smartphones, près d'un terminal vendu sur cinq l'a été sur Internet.

"L'importance grandissante des offres de pré-réservations et l'évolution des habitudes de consommation ont attisé la demande" explique Aaron Rattue, directeur de la division télécom/marketing de GfK. "Depuis plusieurs années Internet a été un canal important pour les biens techniques de valeur, et il va continuer à avoir une influence sur les ventes des téléphones moyen et haut de gamme".

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(26/01/2011 10:45:52)

Fidelity Programs tombe dans l'escarcelle d'Amabis

Amabis, éditeur de logiciels pour la qualité des données marketing, rachète son partenaire Fidelity Programs, fournisseur de solutions CRM. Le rachat de la SSII Fidelity Programs par Amabis s'inscrit dans une logique industrielle pour ce dernier. La société était partenaire de Fidelity Programs depuis plus de 25 ans et leurs activités étaient complémentaires : Fidelity Programs fournissait et installait les logiciels créés par Amabis. Le dirigeant de la SSII, Jean-Paul Devai, a confié sa société à Valéry Frontère, dirigeant d'Amabis, pour « garantir à nos clients et nos équipes des évolutions positives »

En 2010, Amabis réalisait un chiffre d'affaires de 1,8 M€ et Fidelity Programs de 700 000 €. Avec ce rachat, le chiffre d'affaires s'élève à 2,5 M€ pour un effectif de 22 personnes. Il s'agit d'une cession à 100% et de ce fait, aucune suppression d'emploi n'a eu lieu et Amabis possède désormais la base de données clients et la technologie de Fidelity Programs.

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(26/01/2011 10:28:25)

Annuels EMC : Bénéfices et chiffre d'affaires en nette hausse

Sur l'année 2010, le chiffre d'affaires d'EMC a été consolidé à 17 milliards de dollars, soit une hausse de 21% par rapport à 2009. Le bénéfice net GAAP a augmenté de 75% à 1,9 milliards de dollars. Le bénéfice net non-GAAP2 était de 2,7 milliards de dollars, en hausse de 46%, et le bénéfice non-GAAP2 « étendu et partagé » de 1,26 milliards de dollars, en augmentation de 40%. La société a réalisé une trésorerie disponible record de 4,5 milliards de dollars, soit une hausse de 36%, et une trésorerie opérationnelle de 3,4 milliards de dollars, en hausse de 31%.

Joe Tucci, président et directeur général d'EMC souligne : « La performance d'EMC en 2010 a été la meilleure de son histoire, marquée par une croissance rapide, des gains de parts de marché, une puissance financière et des investissements importants dans l'innovation technologique. Equipés d'un portefeuille de produits, de services et de partenaires stratégiques puissant et distinctif, nous n'avons jamais été plus confiant dans la position d'EMC pour mener à bien cette transformation de l'IT comme un service ».

David Goulden, directeur financier, note : « En 2010 nous avons exécuté notre triple play de manière impressionnante - en acquérant simultanément des parts de marché, en réinvestissant de façon significative dans notre entreprise et en fournissant une meilleure rentabilité. D'énormes progrès sur tous ces objectifs ont été réalisés tout au long de l'année ce qui positionne EMC sur la meilleure position financière et opérationnelle que l'entreprise n'a jamais eue. Nous sommes en excellente position pour continuer à faire évoluer nos résultats triple play en 2011. »

EMC a également continué à utiliser sa puissance financière pour effectuer des acquisitions stratégiques ciblées vers des zones à forte croissance, comme Isilon Systems, fournisseur de solution de stockage en cluster, et Greenplum, spécialiste en analyse d'entreprise, ou avec l'éditeur de logiciels de risques et de conformité Archer Technologies.

Crédit photo : D.R.

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(26/01/2011 10:30:47)

Tibco lance une plateforme sociale taillée pour l'entreprise

Tibco se risque à son tour sur le terrain des solutions de réseaux sociaux d'entreprise, du type de celle que propose Salesforce.com avec Chatter. Sa plateforme, baptisée Tibbr, annoncée fin 2009, vient d'être lancée par l'éditeur à San Francisco. On y retrouve le concept, désormais familier, des flux d'informations. A ceci près qu'au lieu de suivre l'actualité de contacts, les utilisateurs vont suivre des sujets (données, domaines -Fig1 ci-dessous- ou événements -Fig2) qui auront été générés par les applications exploitées dans l'entreprise. Cette solution est disponible à la fois en mode SaaS, comme un service en ligne, et sous la forme classique d'une application à installer en interne.

Pour Ram Menon, vice-président exécutif du marketing de Tibco, cette approche est plus intéressante que de simplement s'attacher à des personnes ayant les mêmes centres d'intérêt. « Billy qui s'occupe des livraisons à San Diego ne connaît pas Joe qui fait la même chose à Hong Kong. Mais Samsung est leur plus gros client, donne-t-il en exemple. Par conséquent, un sujet intitulé « Livraisons Samsung » pourrait être créé qui afficherait des données provenant du système logistique que ces deux utilisateurs pourraient suivre à travers Tibbr ».
Tibbr de Tibco - suivre des sujets
Fig 1 - Cliquer ici pour agrandir l'image

Tibco a également cherché à améliorer le filtrage des informations. « Les priorités diffèrent : si mon patron publie une information, je veux en être informé en temps réel, explique Ram Menon. En revanche, s'il s'agit d'une actualité sur une campagne marketing, je souhaiterai en être informé le matin, et puis qu'on me l'envoie ensuite sur mon poste. »

La plateforme autorise aussi l'intégration des flux provenant de réseaux sociaux extérieurs à l'entreprise, tels que Facebook. En revanche, la récupération des données ne se fera que dans un sens, afin d'être certain de ne pas laisser sortir des données au-delà du pare-feu.
Tibbr de Tibco - événements remontés des applications
Fig 2 - Evénements remontant des applications

Support des annuaires d'entreprise


Tibbr se complète d'un framework de flux d'événements qui permettra aux responsables métiers de créer des sujets sans passer par le département informatique. Par exemple, un responsable des ventes peut vouloir créer un fil d'actualité mis à jour à partir des champs de l'application de CRM (gestion de la relation client). La plateforme inclut aussi le support de terminaux mobiles et des capacités d'intégration avec les annuaires d'entreprise LDAP et Active Directory de Microsoft, pour l'authentification des utilisateurs.

Cet ensemble de fonctionnalités est le fruit d'un développement qui s'est révélé finalement plus long que prévu, a confié Ram Menon lors de la présentation de la plateforme. Tibco a livré une première version bêta plusieurs mois après l'annonce initiale. Mais l'éditeur s'est vite rendu compte que plaquer des fonctionnalités popularisées dans le grand public ne fonctionnait pas forcément pour l'entreprise, reconnaît le vice-président marketing monde. « Dans les secteurs industriels très régulés, les clients étaient très réticents à voir leurs conversations très privées flotter dans l'atmosphère. Tibco a donc estimé qu'il fallait en proposer une version à installer en interne. » Mais dès que vous parlez de « on premise », vous retombez tout de suite dans des projets qui s'étalent sur six mois. « Nous avons donc travaillé là-dessus ». En utilisant son expertise middleware, Tibco a développé des méthodes qui permettent à Tibbr de fonctionner sur des systèmes « on premise » en quelques heures, de façon assez comparable avec ce que proposerait une version SaaS, assure Ram Menon.[[page]]L'éditeur s'est également rendu compte que l'offre devrait disposer d'un solide support mobile au moment de son lancement. Tibbr s'accompagne d'applications natives pour les plateformes d'Apple, BlackBerry et sous Android. D'autres doivent suivre. De fait, Tibco pense que si un produit comme Tibbr ne peut pas être mis en oeuvre de façon universelle sur des terminaux mobiles, son adoption ne peut qu'être freinée.

La plateforme a déjà reçu une appréciation positive de l'analyste Ray Wang, PDG du cabinet Constellation Research, spécialisé depuis de nombreuses années sur les logiciels professionnels. Il trouve que cet outil de collaboration a beaucoup d'allure, surtout venant d'une société dont on n'aurait pas attendu ce style de produits. « C'est l'une des choses qui peut apporter de la pertinence à Tibco en 2011 », estime-t-il. L'aptitude de Tibco à filtrer l'information pour descendre jusqu'à l'information qui sera véritablement utile, c'est le composant crucial de l'offre, selon lui. « Nous sommes submergés par toute cette information », ce qui fait que même un modeste flux d'actualités sur un compte Facebook se transforme rapidement en vraie pagaille, fait justement remarquer Ray Wang.

La SSII Ciber passe de Yammer à Tibbr

L'un des premiers clients de Tibbr est le prestataire de services IT Ciber (8 000 personnes, plus d'un milliard de dollars de chiffre d'affaires). La plateforme va être déployée auprès de tous ses salariés, a indiqué Tony Hadzi, président de Ciber pour l'Amérique du Nord. La société va migrer de la plateforme de collaboration Yammer pour passer sur Tibbr, a-t-il expliqué. Yammer a été remarquablement accepté par les salariés, une adoption qui a en outre nécessité peu d'efforts de la part de l'encadrement de Ciber. Comme la société utilisait la version gratuite du logiciel, cette expérience a constitué une façon peu coûteuse de tester l'intérêt du réseau social interne, relate Tony Hadzi.

Le groupe Ciber connaît une période de transformation et poursuit l'objectif de rassembler une organisation jusque-là plutôt fragmentée, explique celui qui est aussi le vice-président exécutif de la société. « Nous avons lancé le concept de réseau social et mon intention d'adopter une approche agnostique. Il s'agissait davantage, pour moi, de restructurer la société et d'utiliser ce moyen comme l'un des outils principaux pour changer l'état d'esprit des équipes sur le terrain et de mes cadres dirigeants ».

Mais, avec le temps, la société a trouvé insuffisantes les fonctionnalités de Yammer. « L'expérience de Tibco dans les solutions d'intégration a constitué un argument de vente pour Tibbr », pointe Tony Hadzi. Yammer constituait davantage une solution ponctuelle, tandis que Tibco proposait un produit pouvant être déployé à l'échelle de l'entreprise. (...)

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