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(24/01/2011 16:00:45)

Google intégrerait du code Java dans Android sans autorisation

« Cette découverte pourrait être très profitable à Oracle, et se retourner contre Google, » écrit Florian Mueller dans un blog. Suite à un examen attentif du code des versions 2.2 (Froyo) et 2.3 (Gingerbread) d'Android, l'expert, à l'origine d'une campagne NoSoftwarePatents, a identifié six fichiers ressemblant très fortement à des fichiers Java. Ceux-ci viennent s'ajouter au nombre de fichiers pointés par Oracle et faisant déjà l'objet d'une action en justice. De plus, l'expert a mis à jour 37 fichiers présents dans le code d'Android dans lesquels il a trouvé une note indiquant que le code était la propriété de Sun. « Peu importe ce qu'affirme Google. Cet en-tête spécifiant le droit d'auteur est tout sauf une autorisation de placer l'ensemble sous licence Apache, » écrit-il. Google licencie Android à ses utilisateurs sous licence Apache. « Même si l'on faisait valoir que Oracle/Sun ont ensuite cédé les droits du fichier sous licence GPL - je n'ai pas trouvé de preuves concluantes à ce sujet -, cela ne permet pas de procéder à un tel transfert de licence. » Si les différences entre le code utilisé par Google et le code Java original, sont mineures, Florian Mueller a constaté néanmoins que celles-ci découlaient de l'utilisation d'un décompilateur. Ainsi, en décompilant sept fichiers Java différents avec le décompilateur Java JAD, l'expert a pu se rendre compte que le résultat obtenu était presque identique aux fichiers trouvés dans Android. Pour l'instant, Google n'a pas réagi à ses allégations.

Pour Ed Burnett, un développeur qui écrit certains papiers pour ZDnet, certains éléments de codes pointés par Florian Muller avaient été effacés et ne se retrouveraient pas dans les versions d'Android qui ont été livrées avec les appareils mobiles. « Sept fichiers servent de test pour le code et ne sont pas livrés avec le produit, » a t-il précisé sur un blog. « En outre, ceux-ci ont été supprimés d'Android en fin d'année dernière ou au plus tard au mois de janvier, » a t-il ajouté. « Les autres fichiers se trouvent dans un répertoire utilisé par le code natif des pilotes audio de certains processeurs, » a ajouté Ed Burnett. « Ces fichiers ne sont pas livrés avec Android, et ont probablement été transférés par erreur et devraient être supprimés, » a t-il déclaré.

Des retraits de code tâchés de suspicions


Cependant, Florian Mueller affirme que le code contenu par l'arborescence de test est relatif à la sécurité et qu'il a été livré sur nombreux appareils Android. « Même si le code sur d'autres fichiers ne se retrouve pas dans l'arborescence du système Android actuel, il a été utilisé dans deux versions qui tournent sur plus de la moitié des téléphones Android en circulation aujourd'hui, » fait-il remarquer. « D'un point de vue juridique, il n'est pas possible d'annuler une plainte en retirant simplement un ensemble particulier de fichiers - cela permet juste d'éviter des récriminations supplémentaires, » a t-il déclaré dans une interview.

Au mois d'août, Oracle avait déposé la plainte contre Google, affirmant que son système d'exploitation Android empiétait sur les droits d'auteur de Java acquis par Oracle avec le rachat de Sun. Google estime que cette plainte est sans fondement et nie l'infraction. Mais s'il est reconnu que Google porte atteinte à la propriété intellectuelle de Java, l'entreprise pourrait avoir à payer une redevance de licence à Oracle pour chaque appareil tournant sous Android. Le géant de l'internet pourrait certes répercuter ce coût sur les fournisseurs d'appareils mobiles. Mais, une telle condamnation pourrait surtout diminuer l'attrait d'Android en tant que système d'exploitation Open Source. Android, dont la popularité n'a pas cessé de croître au cours de l'année passée subit de nombreuses attaques sur le front juridique de la part de plusieurs entreprises. La plainte menée par Apple contre HTC concerne Android, de même que celle de Microsoft engagée contre Motorola et que Gemalto a intenté contre Google, Motorola, HTC et Samsung.

 

Crédit Photo : D.R

(...)

(24/01/2011 14:28:55)

Facebook lève 1,5 Md$ et se valorise à 50 Md$

Il s'agit de la plus importante levée de fonds de l'histoire de Facebook. En fin de semaine dernière, la société fondée par  Marc Zuckerberg a annoncé qu'elle avait obtenu 1,5 milliard de dollars, investis dans des actions ordinaires de classe A. Ainsi renforcé, Facebook se trouverait valorisé à 50 milliards de dollars.

Le fameux réseau social explique qu'il a, d'une part, obtenu un milliard de dollars par le biais d'une offre sursouscrite conduite par Goldman Sachs auprès de clients non américains. S'y ajoutent 500 millions de dollars levés un mois plus tôt auprès de la firme d'investissement russe Digital Sky Technologies (DSK), déjà actionnaire, de Goldman Sachs Group et de fonds gérés par ce dernier.

Cet apport vient conforter les réserves de trésorerie de Facebook et lui apporter une flexibilité financière qui lui permettra d'explorer toute opportunité qui se présenterait, a commenté son directeur financier, David Ebersman (en photo), sans fournir plus de précision. On peut penser à des rachats de technologie, bien sûr, ou encore à un développement de l'implantation (un projet de deuxième datacenter a été lancé cet été). 

Un apport étranger limité à 1 Md$

La société a précisé avoir été approchée par la banque d'investissement et DSK qui souhaitaient investir dans son capital et avoir trouvé l'opportunité intéressante. A l'origine, il était prévu de permettre à des investisseurs américains de participer à cette levée de fond. Mais Goldman Sachs a finalement décidé de la limiter à des investisseurs étrangers, craignant que l'attention des médias la rende illégale au regard des lois américaines de sécurité (ainsi que la banque l'a expliqué au Wall Street Journal), ce qui aurait mécontenté certains clients américains.

De son côté, Facebook ajoute qu'il aurait pu obtenir jusqu'à 1,5 milliard de dollars en fonds étrangers, une forte demande s'étant manifestée, mais a préféré limiter cet apport à 1 Md$. La société dépassant les 500 actionnaires, elle compte commencer à publier des résultats financiers à partir du 30 avril 2012.

Facebook songe à s'agrandir vers la Valley

En marge de cette annonce, le Wall Street Journal signale que Facebook serait en discussion pour changer de siège social. La firme, actuellement installée à Palo Alto, s'intéresse à un campus de la Silicon Valley situé à plusieurs kilomètres de là et précédemment occupé par Sun Microsystems. Selon l'une de ses porte-parole contactée par le quotidien américain, la société étudie des options pour trouver un emplacement à long terme qui conviendrait aux besoins de son activité en croissance.

Illustration : David Ebersman, directeur financier de Facebook
(crédit : Facebook)

(...)

(24/01/2011 13:10:43)

Trois autres poids lourds de Microsoft quittent le navire

Entré chez Microsoft en 2002, Brad Brooks va désormais diriger le marketing de Juniper au niveau mondial. « Chez Microsoft, Brad Brooks a dirigé le secteur grand public des produits Windows, » a déclaré Juniper. «Dans cette fonction, il a supervisé le lancement de Windows 7, le plus réussi dans l'histoire de Microsoft. Avant de rejoindre Microsoft, celui-ci s'était occupé de la gestion produits, du développement, du marketing et des ventes chez Lucent Technologies et AT&T. Au début de sa carrière, il avait travaillé comme analyste dans le renseignement pour le gouvernement américain, » rappelle Juniper dans son communiqué. « Chez Juniper Networks, Brad Brooks sera chargé d'élaborer et de mettre en oeuvre des stratégies de marketing global, notamment les solutions pour entreprises. » Désormais vice-président senior du secteur public Global Public Sector chez Salesforce.com, Matt Miszewski aura pour mission d'aider « les gouvernements à faciliter l'accès du cloud computing à leurs citoyens. » Après trois années passées chez Microsoft, il acquit la confiance « des dirigeants nationaux, régionaux et locaux comme conseil en stratégie pour mettre en place des politiques utilisant les technologies de l'information et de la communication et mener des programmes d'action individuels et citoyens. »

Des cadres plus faciles à remplacer que Bob Muglia

Quant à Johnny Chung Lee, celui-ci avait annoncé lui-même sa nouvelle affectation sur son blog. « J'ai quitté Microsoft pour rejoindre une équipe de Google travaillant sur des projets particuliers. Cette décision a été extrêmement difficile à prendre. Pendant plus de 2 ans et demi, j'ai contribué à créer les algorithmes pour Kinect, et je laisse derrière moi de nombreux collègues de grande qualité à Redmond. » Johnny Chung Lee a rendu un hommage appuyé à ceux qui ont travaillé avec lui sur la Xbox, ajoutant que la Kinect avait était vendue à 8 millions d'exemplaires au cours des deux premiers mois de sa commercialisation. « Ç'a été une expérience formidable de pouvoir être associé à ce projet exceptionnel, » a-t-il encore écrit sur son blog. « J'ai hâte de découvrir toutes les utilisations que les développeurs de jeu vont pouvoir trouver pour proposer des expériences amusantes avec la caméra. La Xbox est en très bonne position pour apporter des choses créatives et inattendues dans le domaine du divertissement. C'est à la fois une console et une plate-forme formidable, avec beaucoup de potentiel. Je suis impatient de voir comment la console va évoluer au cours des prochaines années et je souhaite à l'équipe Xbox beaucoup de chance, » a-t-il déclaré.

Même si Microsoft doit à ces trois cadres des contributions importantes, il sera sans doute plus difficile à l'entreprise de remplacer Bob Muglia, lequel a passé 23 ans à Redmond. Il est d'ailleurs prévu que celui-ci restera à la tête de la division Server and Tools jusqu'à l'été prochain, le temps que Steve Ballmer lui trouve un successeur.

Illustration principale : Brad Brooks, crédit photo D.R. (...)

(24/01/2011 10:12:41)

Annuels Cegid : une année de transition vers le SaaS

La rentabilité sera donc regardée de près (les résultats définitifs étant publiés le 2 mars). La société indique que son résultat brut d'exploitation sera supérieur au précédent (qui se montait à 59,4 ME). En revanche, son résultat opérationnel courant serait inférieur à celui de l'an passé (28,5 ME). Côté opérationnel, l'éditeur indique que ses ventes de logiciels ont progressé de 12% sur l'exercice. Celles en mode Saas s'envolent à +23%.  

Fin décembre, Cegid a finalisé deux projets de croissance externe. Un dans l'édition de logiciels de gestion pour collectivités locales, avec le rachat de Visa Informatique (6 ME de CA annuel, 85 collaborateurs). L'autre, Axeteam est un intégrateur (400 000 euros de CA, 3 collaborateurs). Cegid a parallèlement conclu un accord avec un syndicat de 8 banques pour le renouvellement d'une ligne de crédit de 200 ME destinée à financer sa croissance externe.

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(24/01/2011 10:01:16)

Team Partners Group : dernière ligne droite avant reprise

Le calendrier s'accélère pour le groupe Team Partners. Deux administrateurs judiciaires sont désignés. Ils procèdent à trois appels d'offres différents pour trouver des repreneurs.

-          Deux sociétés, la holding (« Team Partners Group ») et une de ses filiales SSII (« Team Partners ») sont proposées par Maître Hélène Bourbouloux. Les repreneurs ont jusqu'au 2 février pour se manifester. La première compte 55 salariés et a réalisé 9,3 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2010. La seconde a réalisé 51,6 ME en 2010 avec 691 salariés.

-          L'autre SSII, CGBI Team Partners, est traitée par Maître Francisque Gay. Les repreneurs ont jusqu'au lundi 31 janvier. Elle a réalisé 62 ME de CA en 2010 avec 682 salariés.

-          La partie Datem (gestion de fichiers et mailings) composée de 9 sociétés est gérée par Maître Bourbouloux, la date limite de dépôt des offres est fixée au mercredi 2 février. Ce sous-groupe représente 890 salariés et 62,6 ME de CA.

Le sous-groupe Datem est en cessation de paiement depuis le 1er octobre 2010, en redressement judiciaire depuis le 5 octobre, avec une période d'observation fixée à six mois. Le reste du groupe (holding et SSII) est en cessation de paiement depuis une semaine.

Sollicitée par notre rédaction, la direction de Team Partners Group, n'a pas eu le temps, ou pas souhaité, commenter les dernières évolutions de ce dossier.

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(24/01/2011 10:41:08)

SkySQL, un support mieux-disant pour MySQL qui séduit en Europe

En douze semaines d'existence, la société finlandaise SkySQL a attiré quarante entreprises vers son offre de support autour de MySQL. Ces clients sont à 95% situés en Europe pour l'instant, le lancement du service aux Etats-Unis n'ayant démarré qu'en novembre. SkySQL a été créée par d'anciens cadres de l'éditeur MySQL AB, à l'origine de la fameuse base de données Open Source, rachetée en 2008 par Sun Microsystems, puis absorbée par Oracle début 2010. En France et en Allemagne, qui constituent les principaux marchés pour MySQL après les Etats-Unis, l'intérêt des utilisateurs s'est tout de suite manifesté pour le support commercialisé par SkySQL. « Nous avons été très agréablement surpris par la demande », apprécie Michael Carney (en photo), directeur commercial Europe de la société et, lui aussi, ancien de MySQL. S'il est parfois difficile de convaincre des clients de changer de fournisseurs, même lorsqu'ils ont des soucis avec lui, cela n'a pas posé de problèmes cette fois-ci, fait-il remarquer. « Il est vrai qu'au niveau technique, cela n'a pas été difficile de basculer ».

Le support Platinum démarre à 3 000 euros

Cette alternative au support d'Oracle ne pouvait pas mieux tomber. En novembre, le repreneur de Sun a en effet relevé ses tarifs en supprimant son offre la moins chère. Face à lui, la proposition de SkySQL est 20% moins élevée, avec un support Platinum à 4 000 dollars (3 000 euros). « L'offre équivalente chez Oracle correspond à  MySQL Enterprise Edition, tarifée 5 000 dollars », rappelle Michael Carney. Parmi les clients de la première heure de SkySQL figurent de « très grosses entreprises, souligne le directeur commercial, parmi lesquelles de grandes sociétés de télécommunications, en France et en Allemagne ». 

« Les modifications de tarifs d'Oracle pénalisent les plus petits clients, d'autant qu'ils ont également supprimé l'offre Gold, une offre de support 24/24 à l'échelle mondiale comportant moins de support consultatif, souligne Michael Carney. Il faut maintenant acheter MySQL Enterprise Edition. Pour les anciens clients de Gold, nous proposons donc de basculer vers notre support Platinum pour un tarif démarrant à 3 000 dollars. » A l'instar d'Oracle, SkySQL fournit avec son service de support des logiciels complémentaires aidant à mieux utiliser la base de données. « Avec SkyEnterprise, nous avons créé l'outil de monitoring SkySQL Monitor en partenariat avec la société indienne Webyog, donne en exemple le directeur commercial. De même qu'Oracle a ajouté un outil de sauvegarde à chaud dans la nouvelle version Enterprise, nous en avons également un ».

Présent sur 13 pays et solutions cloud en vue

Dès la fondation de SkySQL, « nous avons été submergés de CV d'ex-collègues qui voulaient nous rejoindre. Nous avons pris les meilleurs sur les marchés clés que nous devions couvrir le plus rapidement, la France, les Etats-Unis..., relate Michael Carney. Nous pouvons embaucher les gens où ils se trouvent, nous sommes une société qui travaille bien à distance. » SkySQL est présent dans 13 pays. Il compte des clients comme le fournisseur de services d'informations financières BörseGo, le fabricant de produits de luxe Richemont, ou encore, en France, Canal+. Fin 2010, en douze semaines de commercialisation, le volume des ventes a atteint 7 chiffres, indique le fournisseur.

SkySQL prépare de nouvelles solutions pour le cloud avec l'objectif de devenir un acteur majeur sur les bases de données dans cet univers, ainsi que l'a déclaré Ulf Sandberg, CEO de la société. « Notre but est de placer MySQL en tant que serveur de base de données pour le cloud. Il y a de super produits Open Source qui tournent autour de cette base. Nous voulons créer une architecture de référence qui cimentera l'exploitation de MySQL dans le cloud », explique Michael Carney.

Illustration : Michael Carney, directeur commercial Europe de SkySQL (crédit : D.R.)
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