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(20/01/2011 13:52:49)

Vers un tarif social pour l'ADSL et le mobile

Le secrétaire d'Etat à la Consommation Frédéric Lefebvre doit tenir une table ronde, le 27 janvier prochain, invitant les opérateurs à faire des propositions sur un tarif social dans l'Internet fixe pour les foyers les plus modestes, selon le quotidien La Tribune. Ce projet avait déjà été lancé il y a un an par le Premier ministre François Fillon, qui avait évoqué à l'époque des offres triple play à 20 euros par mois pour les plus démunis. Des opérateurs avaient proposés dans le cadre de convention avec les bailleurs sociaux d'appliquer des tarifs bas pour l'accès téléphonique, plus un accès à Internet haut débit (limité à 512 kbits).

Pour rappel, Frédéric Lefebvre avait fait voter en 2008 le principe d'un tarif social dans la téléphonie mobile. Orange, propose par exemple depuis 2009 une offre spéciale à 10 euros par mois pour les bénéficiaires du RSA. Sur ces différentes initiatives, les opérateurs restent circonspects en estimant qu'ils vont de nouveau mettre la main à la poche, après plusieurs vagues successives de taxes, redevances, etc.

(...)

(20/01/2011 12:20:29)

Cisco investit dans le fabricant de puces multicoeurs Tilera

Fondée en 2004, Tilera propose des processeurs multicoeurs pour la partie réseau, le sans fil et les infrastructures pour des applications multimédias. Ces produits sont basés sur l'architecture de la société iMesh, qui est conçu pour évoluer vers des centaines de coeurs RISC-basé sur une puce unique. On ne sait pas si Cisco va utiliser la technologie Tilera ou si son investissement est tout simplement qu'un placement. En cas d'intégration du savoir-faire de Tilera, les processeurs pourraient équipés  une future génération de serveurs Cisco pour les datacenters et les environnements de cloud computing.

L'équipementier américain a investi ou acquis d'autres sociétés dans ce domaine depuis quelques années, comme Celeno, spécialiste des semi-conducteurs pour les réseaux multimédia résidentiels; Procket Network, qui propose des processeurs gérant les trafic haut débit pour les routeurs et CoreOptics, dédiée aux réseaux de transport optique 100 Gigabits . La technologie Procket est au coeur du processeur de Cisco QuantumFlow, qui a commencé avec le routeur ASR 1000 lancé en 2008 et est également inclus dans le routeur de coeur de réseau CRS-3.

Etendre sa gamme de produit


Tilera commercialise les processeurs multicoeurs depuis 2007 et dispose de deux produits: les puces TILE64 et TILEPro dont la commercialisation est prévue pour début 2011. Un premier serveur basé sur TILEPro 512 coeurs est maintenant disponible. Un autre processeur de la gamme TILE-Gx, qui comprend 100 coeurs, sera présenté ce trimestre.

En matière financière, Tilera dit qu'il est proche de l'équilibre opérationnel et s'attend à atteindre la rentabilité cette année. Le tour de table de 45 millions de dollars seront utilisés pour accélérer le développement de sa gamme de processeurs de quatrième génération, développez les ventes, le marketing et les nouveaux produits. Cet appel à investissement a été mené par Artis Capital Management. En plus de Cisco, les autres investisseurs sont WestSummit Capital Management et Comerica Bank, plus les actionnaires déjà présents Walden International, Bessemer Venture Partners, Columbia Capital et Samsung Venture Investment Co.

Tilera est basée à San Jose, avec des bureaux à Westborough, au Massachusetts, Yokohama, Shanghai et Beijing. (...)

(20/01/2011 09:59:20)

Arès : une reprise casse-tête

Le rachat d'Arès se révèle plus complexe que prévu. Distributique.com annonçait début janvier 2011 que les candidats à la reprise avaient jusqu'au 6 de ce mois pour se déclarer au tribunal de commerce d'Evry. C'est chose faite et huit entreprises sont en lice. Parmi elles, on peut notamment citer GFI, Alterup, Devoteam, Micropole, Osiatis ou Acti Group.

Dans le même temps, GFI a officialisé devant son comité central d'entreprise que l'ancien Pdg d'Arès, Michel Berjamin, allait devenir le numéro 3 du groupe GFI, que sa candidature à la reprise d'Arès soit retenue ou non. A cette occasion, le CCE de GFI s'est exprimé au sujet du projet de rachat d'Arès et a voté « contre ». S'agissant d'un vote consultatif, cela ne peut empêcher l'opération. « La direction de GFI nous a présenté ce rachat comme une bonne affaire, mais nous n'avons pas obtenu toutes les réponses aux questions que nous avons posées dans un document de quatre pages », explique Catherine Lintignat, déléguée syndicale CFDT élue au CCE de GFI. Chez Arès, la suspicion est donc que Michel Berjamin pèse de tout son poids pour convaincre les cadres d'Arès de déclarer leur préférence pour un rachat par GFI.

Alterup se montre confiant


Cela étant dit, la première proposition de GFI n'est pas la meilleure, ni en termes de prix (1,7 M€), ni en termes d'emplois (358 personnes). Alterup fait mieux avec 2 M€ et 388 salariés repris, sur 457. « Il faut garder à l'esprit que le tribunal est seul souverain pour prendre la décision et qu'il le fera sur des critères objectifs », estime Nicolas Ros de Lochounoff, conseiller juridique d'Alterup et de son patron Georges Cohen (pour mémoire, il fut l'un des fondateurs de Transiciel, vendu à Capgemini).

Et l'avocat de rappeler que l'engagement d'Altarup est réel et que le candidat surenchérira s'il le faut, puisqu'il est possible de le faire jusqu'à 48 heures avant l'audience, qui devrait avoir lieu début février. « Alterup s'est porté candidat avec la volonté d'apporter la meilleure proposition », ajoute Nicolas Ros de Lochounoff. « Le comité d'entreprise d'Arès n'est opposé à aucune candidature : nous voulons simplement que chacun puisse faire valoir ses arguments et que le meilleur gagne », conclut Mina Chichib-Deydier, déléguée syndicale CFDT d'Arès.

 

Crédit Photo: D.R

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(20/01/2011 09:42:03)

MFP Soft absorbe Apsylis

« Nous préférons parler de fusion car il s'agit d'un projet stratégique porté par les deux sociétés », précise Eric Angelier. Ancien président d'Apsylis, il est aujourd'hui directeur général de MFP Soft aux côtés de Tony Pénochet qui en reste le PDG. En 2010, le nouvel ensemble réalisait un chiffre d'affaires de 7 M€, équitablement réparti entre ses deux composantes, tout en étant largement profitable. D'ici deux ans, il espère atteindre les 10 M€ de revenus.

Les similitudes entre les deux entités sont nombreuses : elles exercent le même métier, ciblent une clientèle de sociétés de services et proposent des produits très similaires sur le plan fonctionnel. Toutefois, en y regardant de plus près, des différences se font jour. MFP Soft s'adresse en effet aux petites entreprises parmi lesquelles il revendique 300 clients. De son côté, Apsylis se focalise sur les entreprises de taille plus importante dont 200 utilisent ses logiciels. En outre, alors que MFP travaille une cible de sociétés d'ingénierie et de conseil de tous horizons, Apsylis se spécialise sur les acteurs de l'IT.

Réaliser des synergies commerciales

Enfin, ce dernière a opté pour une stratégie de distribution totalement directe quand son homologue réalise environ 20% de ses ventes à travers des partenaires (souvent issus du réseau de Sage). « Nous allons accentuer notre politique de ventes indirectes pour mieux commercialiser nos offres en SaaS », préciser Eric Angelier et d'ajouter « nos synergies vont notamment se concrétiser entre nos forces de ventes qui passent à 23 personnes réparties entre Paris, Lyon, Strasbourg, Grenoble, Aix-en-Provence, Toulouse et Nantes, ajoute Eric Angelier. Bien entendu, les commerciaux issus des deux entités continueront d'approcher leur cible de clients traditionnels mais ils pourront se communiquer des leads. » Au-delà de l'aspect commercial, MFP Soft et Apsylis entendent également mutualiser leurs approches en R&D et en marketing. Par exemple, elles se doteront cette année d'une nouvelle marque commune dont seront estampillées les deux gammes de produits issues de leurs catalogues respectifs. Les logiciels en question disposeront de la même interface. Une approche qui permettra par exemple d'accompagner une entreprise évoluant du statut de TPE à celui de PME.

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(19/01/2011 17:09:46)

Des détails sur les brevets vendus par Novell au consortium dirigé par Microsoft

Ainsi, dans la demande déposée le 14 janvier par Novell auprès de la Securities & Exchange Commission américaine (SEC), on peut lire que « les brevets délivrés et les dépôts de brevet qui seront vendus à CPTN... concernent essentiellement des logiciels de gestion des systèmes informatiques, des outils collaboratifs et de gestion de fichiers pour l'entreprise, plus certains brevets en rapport avec des produits liés à la gestion des accès et des identités, même s'il est possible que certains de ces droits de propriétés intellectuelles se retrouvent dans une gamme de produits logiciels différents, » indique le document déposé par Novell.

« Historiquement, les brevets et les dépôts de brevets concernés par la vente ont été utilisés pour faciliter et protéger nos activités actuelles et à venir, et pour limiter le risque potentiel d'une action en justice qui nous accuserait de violer les droits de la propriété intellectuelle, » précise Novell. L'éditeur, qui ne licencie actuellement aucun de ces brevets, ne touche donc aucun reversement en contrepartie. Cependant, ces brevets restent « soumis à des licences n'ouvrant pas droit à des redevances, et ont été accordés par Novell pour la période pendant laquelle elle disposait de la propriété intellectuelle de ces brevets. » En novembre dernier, Novell avait d'abord annoncé son rachat par Attachmate, mettant fin à des mois de spéculations sur l'avenir de l'entreprise. Simultanément, celle-ci avait annoncé la vente de ses brevets, suscitant une nouvelle série de questions sur la nature de ce qui était vendu. Il est également apparu par la suite qu'Apple, Oracle et EMC étaient impliqués dans le consortium CPTN.

Même si Novell a déclaré qu'Attachmate conserverait le contrôle des droits de propriété intellectuelle sur son système d'exploitation Unix, on ne savait encore rien sur la nature des droits cédés à CPTN. Dans sa demande déposée le 14 janvier, Novell fait uniquement référence à des technologies associées à la vente des brevets, mais certaines interprétations semblent possibles. Ainsi, la référence à « des logiciels de gestion des systèmes informatiques pour l'entreprise » pourrait s'appliquer à la famille d'outils de gestion de charge de travail PlateSpin. Novell vend également une suite de gestion des systèmes de fichiers, File Management Suite, ainsi qu'une plate-forme de collaboration GroupWise et une gamme de logiciels de gestion des accès et des identités. Selon le document déposé à la SEC, environ 43 % des droits de propriété intellectuelle concernent des brevets délivrés aux États-Unis, 30 % se référent à des dépôts également sur le territoire américain, 22 % concernent des droits utilisés dans des pays étrangers, et 5 % sur des dépôts.

Une liste que le consortium souhaite compléter


À l'origine, CPTN devait acheter 882 brevets à Novell. Mais, sur le point de conclure l'affaire, Novell a découvert que «19 devant être cédés à CPTN conformément au Patent Purchase Agreement signé entre les parties étaient caducs et concernent des dépôts effectués en Australie, Allemagne ou Autriche, et non des brevets délivrés dans ces pays. » Novell a également constaté que l'un des droits de propriété avait été référencé deux fois. « En conséquence, si la vente de brevets se réalise, CPTN en achèterait 861 » indique encore le document. CPTN a proposé que Novell ajoute d'autres brevets et dépôts dans le portefeuille, afin de « compléter certaines familles de droits » et « de compenser ceux rendus caducs ou arrivés à expiration » Novell indique à ce sujet qu'« Attachmate n'a pas actuellement l'intention de consentir à ce que la liste des brevets, cédés en vertu de l'accord Patent Purchase Agreement, soit modifiée. »

Le document déposé par Novell éclaire également sur le calendrier de la transaction menée avec Attachmate et le CPTN. Il précise notamment que, en mai dernier, huit autres acheteurs potentiels, en dehors d'Attachmate, avaient présenté une offre de rachat non-contraignante. Y apparaît également la liste d'un certain nombre d'autres transactions possibles, impliquant de multiples partenaires. La première concerne une société identifiée sous le nom de « repreneur B, » lequel « a proposé une transaction à un prix d'achat global de 550 millions de dollars en numéraire. » Dans ce montage, un consortium d'achat devait reprendre la plate-forme des solutions logicielles de Novell et le « repreneur B » devait hériter des brevets. L'identité du repreneur B n'est pas révélée dans le document, de même qu'il n'est pas clair si le consortium évoqué fait référence à la Holdings CPTN ou à une entité liée. Novell n'a, de son côté, pas souhaité faire de commentaire à ce sujet.

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(19/01/2011 16:07:02)

Annuels IBM : un bénéfice net en hausse de 10%

IBM termine l'année en grande forme. Pour son quatrième trimestre 2010 (clôt le 31 décembre dernier), Big Blue a dégagé un bénéfice net à 5,3 milliards de dollars en hausse de 9% par rapport à l'année précédente. Sur cette période, le chiffre d'affaires a crû de 7% pour s'établir à 29 milliards de dollars. La rentabilité du groupe s'est également améliorée sur l'ensemble de l'exercice 2010 : le bénéfice net ressort à 14,8 milliards de dollars, en hausse de 10%, et les revenus annuels, en augmentation de 4% atteignent les 99,9 milliards de dollars. « Nous avons terminé une année exceptionnelle avec des bénéfices et des flux de liquidités records qui dépassent le haut de la fourchette d'objectifs des résultats du groupe », s'est réjoui le PDG  d'IBM Samuel Palmisano dans un communiqué. Le dirigeant a également précisé que Big Blue avait été couronné par une réorientation, au cours des dix précédentes années, de son business vers des activités à forte valeur ajoutée, et par ses 60 milliards de dollars investis dans la recherche et le développement. Il a ajouté que l'acquisition, par Big Blue de 116 entreprises avait aidé la firme a tripler son bénéfice par action, et à verser 100 milliards de dollars aux actionnaires.

Forte progression dans les pays émergents

Par zones géographiques, le chiffre d'affaires réalisé au cours du dernier trimestre 2010 est mitigé : il a augmenté de 9% en Amérique du Nord à 12,2 milliards de dollars, mais il a diminué de 2% en Europe, au Moyen-Orient et en Afrique pour atteindre 9,5 milliards de dollars. En Asie-Pacifique, les revenus ont grimpé de 14%  à 6,6 milliards de dollars. Le géant informatique s'attend, par ailleurs, à une forte croissance dans les marchés émergents (BRIC) :  selon lui, les recettes provenant du Brésil, de la Russie, de l'Inde et de la Chine ont augmenté de 19%, tandis qu'une cinquantaine d'autres pays ont enregistré une croissance à deux chiffres.

Au cours du quatrième trimestre, les revenus générés par la division logicielle ont augmenté de 7% à 7 milliards de dollars. Dans ce segment, les ventes du middleware WebSphere ont augmenté de 32%, alors que, de leur côté, les livraisons de logiciels Lotus ont chuté de 3%, ce qui, pour IBM, résulterait de sa difficulté à concurrencer des outils de collaboration tels que ceux développés par Microsoft. Le chiffre d'affaires de la partie décisionnelle reste solide (+19%) que ce soit sur les activités logiciels ou services. La firme d'Armonk avait récemment acquis Netezza, pour sa technologie de datawarehouse concurrente des systèmes Exadata d'Oracle. D'après Mark Loughridge, directeur financier d'IBM, cette technologie a  connu un important démarrage au cours du quatrième trimestre.

+69% pour les ventes de System Z

De son côté, la branche systèmes et technologies a progressé de 21% pour totaliser 6,3 milliards de dollars de chiffre d'affaires. L'activité systèmes a été en partie stimulée par les fortes ventes du mainframe System z, qui ont bondi de 69% sur un an. Ce quatrième trimestre a également été marqué par un redémarrage des contrats de services (+18%) dont la valeur s'est établie à 22,1 milliards de dollars. La firme espère que le premier trimestre de 2011 sera à nouveau tiré par les ventes de matériel et de logiciels,  estime son directeur financier. Ce dernier s' attend à ce que les recettes de l'activité services insufflent une nouvelle impulsion à l'entreprise.

Illustration : Sam Palmisano, PDG d'IBM (crédit photo : IBM)
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