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(13/01/2011 12:34:58)
Steria et Capgemini décrochent la maintenance de Chorus
L'Agence pour l'informatique financière de l'Etat, l'AIFE, a retenu le groupement mené par Steria et Capgemini France pour assurer la maintenance de Chorus, l'application de gestion des finances qui met en oeuvre les dispositions de la Lolf (loi organique relative aux Lois de Finances). Il s'agit pour les prestataires d'un contrat de six ans s'élevant à 120 millions d'euros environ. L'AIFE est chargé de piloter le système d'information financière de l'Etat, basé sur les solutions logicielles de l'éditeur SAP. Ce projet Chorus est déployé depuis juin 2008 par programmes et en plusieurs vagues. La dernière vague de déploiement est programmée pour ce début d'année.
Un chantier complexe qui a connu des retards
On se souvient qu'il y a un peu moins d'un an, en mars 2010, la Cour des comptes s'était inquiétée des retards que subissait cet imposant chantier. A l'époque, l'institution de contrôle des comptes publics avait adressé un référé à Eric Woerth, alors ministre du Budget, remplacé depuis par François Baroin. Elle s'y plaignait de la complexité des informations comptables qui rendait difficile, pour elle, la vérification du budget. Alors même que l'objectif du projet visait à rationaliser les processus comptables et à améliorer la transparence de la gestion publique.
Capgemini et Steria rappellent qu'ils accompagnent depuis plusieurs années l'Etat dans la mise en oeuvre de la Lolf. Le nouveau système d'information doit être utilisé à terme par quelque 50 000 utilisateurs, dont 25 000 travailleront avec les applications de SAP. Chez Steria, les 150 collaborateurs participant au projet pourront intervenir sur la maintenance de Chorus, notamment à partir du centre de services SAP installé à Toulouse.
Illustration : Ministère du budget (crédit : D.R.)
iPad, Oracle, Google : Wozniak revient sur l'année 2010
La reconnaissance vocale doit avancer pour être capable d'« interpréter une grande variété de commandes », a déclaré Steve Wozniak, lors d'un événement dans la Silicon Valley. Le gourou a également salué l'iPad Apple et considère les tablettes sous Android comme les principaux concurrents. Il émet des doutes sur les capacités de Microsoft a à devenir un acteur important sur ce marché. En ce qui concerne Windows, il porte « trop de sentiments négatifs » sur l'OS de Microsoft basé sur ses propres expériences.
Il s'est ensuite prononcé sur les acquisitions d'Oracle et sur Google. « Les opérations de croissance externe d'Oracle s'apparentent à la volonté de rivaliser avec HP » souligne l'ancien employé de HP. Il avoue sa préférence pour Google, qui a un modèle économique conçu comme celui de la télévision, dans lequel il offre des services gratuits et les monétisent avec de la publicité.
Le SSD et fier d'Apple
Pour les entreprises, Steve Wozniack souligne la tendance récente de passer à la technologie Flash NAND pour les disques durs. Déjà, un dixième du trafic Internet provient de puces NAND Flash au lieu de disques durs classiques, déclare le directeur scientifique de Fusion-io, spécialiste de cartes de mémoire cache en Flash.
Celui qui le premier a quitté Apple en 1981, pour ensuite y retourner au milieu des années 80, s'est déclaré fier des récents lancements de son ancienne société. Il a cité les succès du téléphone portable iPhone, le lecteur de musique iPod, la tablette iPad, et les magasins de détail en ligne d'Apple, mais les exégètes auront remarqué l'absence de l'Apple TV dans son concert de louanges. (...)
NetApp s'offre Akorri Networks, un spécialiste de la virtualisation
NetApp a indiqué hier qu'il allait acquérir Akorri Networks, un éditeur de logiciels spécialisé dans l'optimisation des serveurs, le stockage et la performance des applications, pour un montant non encore communiqué. Les produits d'Akorri devraient permettre à l'entreprise d'étendre les fonctionnalités de NetApp OnCommand, sa gamme d'outils de gestion et d'optimisation du stockage. La plate-forme Akorri BalancePoint est utilisée par les administrateurs pour résoudre les incidents, optimiser, planifier et gérer les niveaux de service dans des environnements physiques et virtuels. Sa technologie rassemble les données sans requérir l'utilisation d'agents. Pour les services informatiques le fait de manier deux systèmes virtuels et physiques en même temps a tendance à gagner en importance.
Une plate-forme compatible avec de nombreuses solutions du marché
Même si les entreprises ont fait basculer bon nombre de leurs applications dans des environnements virtuels. elles sont encore nombreuses à les faire tourner sur des serveurs physiques. BalancePoint fonctionne sur de nombreux systèmes d'exploitation et de stockage et applications d'entreprise. La plate-forme est également compatible avec les commutateurs dédié au stockage de Brocade et de Cisco Systems, ainsi qu'avec les solutions de virtualisation développées par Microsoft et VMware. Akorri Networks a été fondée en 2005. Située à Littleton (Massachusetts), la firme compte parmi ses clients des entreprises comme Crocs ( un fabricant de chaussures), Time Warner Telecom et eBay.
Illustration : système de stockage NetApp FAS6200. Crédit photo : D.R
(...)
Un site pour lutter contre le phishing en France
L'éditeur de logiciels Microsoft, le site de paiement en ligne Paypal, et la société informatique française Cert-Lexsi ont lancé en France, une plateforme Internet permettant de lutter contre les sites frauduleux. Les internautes pourront ainsi signaler en quelques clics les sites francophones de phishing.
Baptisée « Phishing Initiative », cette opération consiste à inciter les internautes à signaler un site francophone suspecté d'« hameçonnage », une escroquerie visant à soutirer des informations personnelles (coordonnées bancaires, numéro de téléphone, etc.). Les sites signalés comme suspects pourront, après vérification, être bloqués des navigateurs web. Sur Internet Explorer, Microsoft assure que le blocage s'effectuera « en moins d'une heure », au lieu de 48 heures précédemment.
Les internautes détectant un site suspect peuvent dès à présent soumettre son adresse au site http://phishing-initiative.com.
(...)(13/01/2011 09:52:18)Les tablettes n'échappent pas à la taxe sur la copie privée
Réunie hier, la Commission copie privée, chargée d'établir le barème des taxes s'appliquant aux supports numériques (CD, DVD, cartes mémoires, etc.), a adopté de nouvelles tarifications selon différentes catégories de supports. La taxe sur les mémoires de stockage type disque dur/lecteur MP3 ou autoradios sera par exemple de 1 euro par appareil pour une capacité de 128 Mo, et de 20 euros pour des capacités supérieures à 20 Go.
Egalement concernées, les tablettes tactiles multimédias avec fonction baladeur, dotées d'un système d'exploitation pour terminaux mobiles ou d'un système d'exploitation propre. Il faudra ainsi compter 8 euros pour une tablette dont la mémoire interne est comprise entre 10 et 20 Go, 10 euros entre 20 et 40 Go, et 12 euros pour un modèle de plus de 40 Go.
L'iPad, disponible en trois versions (16, 32 et 64 Go), sera ainsi taxé à hauteur de 8, 10 et 12 euros. Les tablettes fonctionnant sous le système d'exploitation Google Android, comme la Samsung Galaxy Tab, les tablettes d'Archos ou celles de Toshiba, seront également taxées. La taxe devrait prendre effet après publication au Journal Officiel, probablement au 1er février 2011. La redevance pour copie privée compense le droit d'une personne à reproduire un oeuvre pour son usage privé en redistribuer les recettes de la taxe aux ayants droit (auteurs, interprètes, etc.).
Spie Communications rachète Sertig
Spie Communications (279,3 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2009) rachète Sertig (7,9 ME en 2009). Cette filiale du groupe Serlog travaille essentiellement dans les grands comptes, en Ile-de-France sur les infrastructures distribuées et l'infogérance des postes de travail. Elle est plutôt orientée sur le secteur privé et le secteur banque-assurance, alors que la même activité chez Spie s'exerce plutôt dans le secteur public. Spie Communications possède en effet une filiale dédiée, Spie Infoservices.
Le directeur des activités grandes entreprises en Ile-de-France de Spie Communications, Fariborz Farhoudi devient président de Sertig, Ronan de Cuverville, responsable de business unit prenant les fonctions de directeur délégué de Sertig. Ensemble, Spie Infoservices et Sertig représenteront un chiffre d'affaires total de 22 ME.
App Store, une marque contestée par Microsoft
Apple a déposé cette demande en 2008 pour les biens et services, vendus par « services de magasin de détail offrant des logiciels fournis via Internet et d'autres types de réseaux ». La même année, la firme de Cupertino avait lancé l'App Store en même temps que son iPhone 3G. La boutique est maintenant disponible sur n'importe quel périphérique qui exécute le logiciel iOS de la société, à savoir l'iPod Touch et iPad, et très récemment une version dédiée aux Mac a été ouverte.
Mardi, Microsoft a déposé une requête en première instance pour demander le refus de considérer App Store comme une marque. Dans son recours, l'éditeur de Redmond a déclaré: « app » est un terme générique pour ce qui est vendu sur l'App Store et que « store » est également un terme générique pour les services de magasin de détail. Le grand rival d'Apple a aussi mis en avant les propos de Steve Jobs généralisant les termes déposés « Amazon, Verizon et Vodafone ont tous annoncé qu'ils créent leurs propres app store pour Android. » Enfin, Microsoft considère que les consommateurs, les commerçants et les médias utilisent «App Store» pour désigner indistinctement les boutiques en ligne où les applications sont vendues.
Microsoft a lancé une boutique en ligne pour les applications fonctionnant sur Windows Phone 7 depuis la fin 2010. En décembre, le cabinet IDC estimait que l'offre applicative de l'éditeur avait atteint 4 000 applications disponibles en seulement deux mois. Cette croissance est bonne si l'on se réfère à la même période pour les magasins en ligne d'Apple et Android mais bien loin de 300 000 applications de l'App Store et des 150 000 de l'Android Market.
Le consortium CPTN, piloté par Microsoft, renonce au rachat des brevets de Novell
Début décembre 2010, Microsoft, Apple, Oracle, et EMC avaient informé l'organisme régulateur allemand de leur intention de créer le consortium CPTN Holdings en vue de l'achat de 882 brevets détenus par Novell. Mais le 30 décembre, le groupe dirigé par Microsoft a retiré sa demande d'autorisation sans fournir aucun motif aux autorités allemandes. Ces dernières semaines, l'Office fédéral des cartels allemand avait reçu des lettres et des recommandations de diverses organisations Open Source, notamment de l'Open Source Initiative (OSI) siégeant aux États-Unis et de la Free Software Foundation Europe (FSFE).
En effet, ces derniers s'inquiétaient vivement du fait que ces brevets, dont certains intègrent du code originel Open Source, puissent tomber entre les mains d'entreprises dont les produits sont en concurrence avec un logiciel libre. Compte tenu de l'engagement passé de Novell dans le développement du logiciel libre, il semble très probable que certains de ces brevets recouvrent des technologies utilisées dans le développement de plusieurs logiciels Open Source. « Les fondateurs et les dirigeants du CPTN portent avec eux une longue histoire attestant de leur opposition aux logiciels libres et de leur volonté d'en détourner la valeur, alors qu'ils sont au coeur de l'infrastructure de l'Internet et de la plupart des logiciels et des services parmi les plus répandus. De plus, la plupart du temps, les produits Open Source sont les seuls ou les principaux concurrents de produits représentés par les entreprises du consortium CPTN, » a déclaré l'OSI dans son courrier.
Des atteintes pour le développement du logiciel libre
Karsten Gerloff, président de la FSFE, écrit pour sa part que « sur de nombreux marchés comme ceux des systèmes d'exploitation, des suites de productivité bureautique, ou encore ceux des serveurs web, les logiciels libres sont les principaux concurrents à l'offre de Microsoft. D'ailleurs, l'éditeur de Redmond n'a pas manqué d'initier certains procès pour revendiquer la propriété intellectuelle de ces brevets et étouffer la concurrence du logiciel libre, comme cela a été le cas pour TomTom, et mène depuis longtemps une campagne ininterrompue pour revendiquer des droits infondés sur des brevets et instiller la peur, l'incertitude et le doute quant aux perspectives du logiciel libre. » Il ajoute encore que « le CPTN pourrait également décider de vendre les brevets à des tiers, pour les mettre en sommeil, afin d'empêcher leur utilisation. » Il rappelle aussi que « en septembre 2009, Microsoft avait vendu 22 brevets explicitement liés à GNU/Linux lors d'une vente aux enchères où seuls des participants triés sur le volet avaient été admis. »
La décision de retirer le projet peut être considérée comme une victoire pour les défenseurs de l'Open Source. Mais, selon certaines analystes, cela ne signifie pas qu'il ait été définitivement ajourné. A ce jour, Novell, en cours de rachat par Attachmate, a convenu d'une vente séparée de son portefeuille de brevets au CPTN pour un montant de 450 millions de dollars. Quant à Microsoft, l'entreprise n'a fait aucun commentaire au sujet du retrait du projet de consortium.
Sigma construit son 3ème datacenter
Cette activité représente près du tiers de son chiffre d'affaires, qui était de 49 millions d'euros (ME) sur l'exercice 2009. Ce troisième datacenter sera situé sur un autre lieu que les deux centres de données actuels, basés au siège de la société. Il aura aussi d'autres caractéristiques. « Des capacités supplémentaires pour anticiper la croissance de ce marché, nous explique Christophe Le Jeune, responsable du pôle infogérance de Sigma, mais aussi les derniers niveaux de services, une gestion de l'énergie différente (puisque les coûts de l'électricité vont augmenter de 10% dans les années qui viennent) et des possibilités de colocation, ce qui sera un atout supplémentaire vis-à-vis de nos clients ».
La société se montre particulièrement optimiste sur ce marché de l'infogérance d'infrastructures qui est son axe de développement privilégié. Elle s'adresse ainsi aux PME de plus de 200 postes, des entreprises le plus souvent multi-sites, et compte aussi quelques grands comptes, sachant que ces grands comptes sont plutôt l'apanage des grandes SSII. Sigma vise un marché intermédiaire où les PME régionales et multi-régionales foisonnent, ce qui explique ses croissances de 9% en 2009, de 15% en 2010, de 20% prévus en 2011 pour l'infogérance d'infrastructure.
Nos clients doivent avoir du haut de gamme
« Nous sommes parvenus sur ce marché, note Christophe Le Jeune, à nous différencier par notre capacité à prendre en charge l'infrastructure des systèmes d'information d'un client car nous avons des exigences de disponibilité très élevées. Nos clients doivent avoir du haut de gamme, sans en supporter le coût, telle est notre conception de l'infogérance ». Sigma propose également des services d'infrastructures à la demande, stockage à la demande, machine virtuelle, par exemple et de la gestion de parcs.
Sigma, outre son activité classique de SSII (conseil et intégration), celle d'infogérance qu'il développe fortement, édite des logiciels métiers et des logiciels transverses. Avec 41% du chiffre d'affaires, l'édition est d'ailleurs la première activité de Sigma, suivi du conseil et de l'intégration, 30%, et de l'infogérance, 29%. La société recherche des possibilités de croissance externe pour renforcer ses compétences dans l'infogérance à distance et l'intégration de systèmes. « Une entreprise proche de nos méthodes et avec une clientèle complémentaire « note Christophe Le Jeune.
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