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(08/12/2010 15:57:11)
Dreamforce 2010 : Chatter de Salesforce.com s'offre une version gratuite
Chatter emploie des fonctionnalités classiques de réseau social comme les profils utilisateur, la mise à jour du statut, l'information en temps réel et le partage de fichiers. Maintenant, quand une personne acceptera une invitation Chatter , il recevra gratuitement ce service. Cette version aura cependant quelques limitations par rapport à d'autres versions du logiciel, tels que Chatter Plus, qui permet aux utilisateurs de « suivre » les données d'entreprises et de personnaliser leurs outils. Salesforce.com mise sur cette action marketing pour migrer les utilisateurs gratuits vers le modèle premium (15 euros par mois)
Quelques 60 000 clients de Salesforce.com sur 87 000 ont déployé Chatter depuis sa sortie, selon la société. Cette solution de collaboration a eu un impact important sur l'industrie IT, souligne Denis Pombriant, analyste chez Beagle Research. « En premier lieu, il a créé ou renforcé un marché de niche sur les technologies de collaboration. Deuxièmement, il est une nouvelle preuve de la robustesse du modèle de cloud computing et [de Salesforce.com plate-forme Force.com] en particulier. Et enfin, il popularise les médias sociaux », écrit-il sur son blog. Il ajoute « Chatter évite beaucoup de pièges vus dans d'autres médias sociaux car il est orienté vers l'entreprise et semble bien fonctionner d'après les retours ».
Marc Benioff, PDG de Salesforce a annoncé lors de sa présentation que le groupe lancera en février prochain, Chatter.com, qui sera disponible pour tout le monde, sans frais. Comme pour Chatter Free, le dirigeant espère que ce site permettra de recruter d'autres utilisateurs.
Vente de serveurs en hausse mais IDC note un net recul des machines Unix
Dominant largement le marché, les serveurs x86 se sont écoulés à 533 000 unités pour un chiffre d'affaires de 2,2 Md$ lors du troisième trimestre de cette année. Les croissances de leurs ventes en valeur et en volume se sont ainsi respectivement établies à 11 et 26,5%. Le fait que la progression des revenus soit plus de deux fois supérieure à celle des volumes indique bien que les serveurs x86 ont évité de tomber dans la catégorie des commodités (marchandises sans grande valeur) comme ce fut la tendance lors des trimestres précédents. La hausse de leur prix de vente moyen est en effet un signe que les entreprises placent de plus en plus leurs applications critiques sur ces machines, au détriment des serveurs Unix. En conséquence, les systèmes non x86 ont continué de voir leurs revenus reculer au troisième trimestre 2010 (-22,5%) et atteindre 939,3 M$ pour 10 000 unités vendues (-17,5%). C'est la première fois depuis 1996, date à laquelle IDC a commencé à comptabiliser les ventes de serveurs, que le segment des systèmes non x86 passe sous la barre du milliard de dollars de revenus.
Le segment des serveurs lames surperforme le reste du marché
Analysé sous l'angle des facteurs de forme, les résultats des ventes de serveurs en EMEA montrent une superformance de la catégorie des serveurs lames (+22% à 63 M$) comparées au reste du marché. Paradoxalement, cette croissance est due à la forte hausse des ventes des blades non X86 dans le sillage des hausses à deux chiffres obtenues principalement par IBM et HP sur les segments des serveurs RISC et EPIC. Pour le quatrième trimestre 2010, IDC reste d'ailleurs confiant dans le fort potentiel de croissance des serveurs lames non X86.
Premier fabricant de serveurs dans le monde, HP l'est aussi en EMEA pour le 11ème trimestre consécutif. Il dispose d'une part de marché en valeur de 43,7% en hausse de trois points par rapport au troisième trimestre 2009. IBM perd quant à lui du terrain, touché par des ventes en recul de 2,6% qui ramènent sa part de marché en valeur à 28% (-2 points). Dell conforte de son côté sa troisième position en captant 11,5% des revenus du secteur grâce à un chiffre d'affaires en hausse de 29,7%. Le plus gros flop revient à Oracle et la gamme de serveurs issues de Sun. Le renouvellement et le repositionnement ne sont intervenus qu'en début de semaine. Le géant de Redwood a vu ses ventes décroître de 21%. Il se trouve à la quatrième place, devant Fujitsu, du Top 5 des fabricants de serveurs par revenus d'IDC avec une part de marche de 6,1%.
(...)(08/12/2010 14:00:26)
La France compte 7 millions de mobinautes
En 2010, plus de 7 millions d'abonnés à la téléphonie mobile ont utilisé leur appareil pour se connecter à Internet. Selon les dernières estimations publiées ce mercredi 8 décembre par l'analyste GfK, les jeux mobiles représenteraient plus de la moitié en valeur des contenus téléchargés, soit 52%.
Derrière les jeux téléchargés, suivent les images, les sonneries et les vidéos, avec 30%. Toutefois, comparé à 2009, le téléchargement de ce type de contenus baisse de 7 points. A contrario, les applications devraient voir leur taux en valeur presque tripler, passant de 4 à 11%. Globalement, le "freemium", le téléchargement d'applications gratuites, remporte un franc succès auprès des mobinautes. GfK note par exemple que plus d'un tiers des applications (hors-jeux) sur l'App Store d'Apple sont gratuites.
Selon les estimations de GfK, il devrait se vendre 7,3 millions de smartphones en 2010.
(...)(07/12/2010 12:56:55)La justice souhaite un débat contradictoire pour statuer sur OVH-Wikileaks
Hier soir, Octave Klaba, DG d'OVH, a fait parvenir aux rédactions un message indiquant les différents résultats de sa saisine judiciaire en fin de semaine dernière pour statuer sur la légalité de l'hébergement du site d'information Wikileaks. Il rappelle, par ailleurs, qu'il n'héberge pas directement le site, mais qu'il s'agit d'un de ses clients qui dispose d'un serveur dédié. Une première demande a été rejetée, car incomplète et complexe à traiter. Une seconde requête a été déposée le 6 décembre et après une étude par différents magistrats, le juge a rejeté la demande au motif qu'un tel dossier nécessitait « un débat contradictoire ».
Cette décision ne donne pas quitus à la société OVH, mais implique qu'une procédure judiciaire classique est nécessaire sur ce genre de sujet. L'hébergeur a déclaré qu'il n'avait pas l'intention d'assigner en justice son client, car aucune notification sur le caractère illicite des propos de Wikileaks n'a été soulevée. Il reste maintenant à connaître le diagnostic sur le sujet du CGIET, Conseil Général de l'Industrie, de l'Electricité et des Télécommunications, saisi par Eric Besson, ministre de l'industrie et en charge de l'économie numérique.
L'ebookstore de Google entre en piste
"Grâce à ce service, les lecteurs peuvent découvrir et acheter des livres soit directement depuis l'eBookstore Google, soit via l'un des libraires indépendants, partenaire de Google. Quel que soit le moyen utilisé pour acheter les livres, ils sont tous stockés dans la bibliothèque en ligne du lecteur", précise le communiqué. Avec cette plateforme de vente de livres numériques, Google vient ainsi concurrencer la bibliothèque Kindle d'Amazon.
Ce service permet aux internautes d'acheter des livres auprès de la librairie de Google ainsi qu'à d'autres vendeurs en ligne. Les ouvrages seraient alors accessibles sur de nombreux supports informatiques comme les ordinateurs, les tablettes ou les téléphones. L'éditeur indique avoir numérisé plus de 15 millions de livres. Le projet de la firme de Mountain View est encore confronté à des obstacles juridiques dans les autres pays.
(...)(07/12/2010 11:05:30)
Dématérialisation : Itesoft diversifie ses partenariats
Itesoft, spécialiste de la dématérialisation, déploie depuis trois ans une stratégie en indirect. Elle assure 30% du chiffre d'affaires, l'éditeur souhaite rééquilibrer encore plus son activité dans cette direction. Il compte cinq canaux différents. Historiquement, l'éditeur passe par de grands intégrateurs, des SSII de type Logica ou Steria pour une clientèle de grands comptes. Ces partenaires vont au-delà de la capture vers des notions de gestion de contenus.
Parallèlement, les spécialistes commercialisent les solutions Itesoft, tout autant comme distributeurs que comme intégrateurs. Des éditeurs proposent pour leur part les solutions d'Itesoft en OEM, c'est le cas d'Infor.
La dématérialisation s'ouvre à toutes tailles d'entreprise
Itesoft passe également par les spécialistes du BPO (Business Process Outsourcing), qui intègrent ses solutions, en particulier dans le domaine de la santé. Dernier cas de figure, celui des « influenceurs », apporteurs d'affaires ou consultants qui assurent la promotion des solutions de l'éditeur.
Ce déploiement de l'indirect, ou plutôt des « alliances » comme on dit chez Itesoft, accompagne la montée en puissance de la dématérialisation qui s'ouvre à la gestion de contenus et à toutes les tailles d'entreprises. « Nous recrutons de nouveaux partenaires, mais à valeur ajoutée, comme Applium qui évolue dans le monde SAP [intégrateur de l'offre All-in-One pour grosses PME], ou des externalisateurs », note Nathalie Moreau, la directrice des alliances de la société.
Illustration : siège social d'Itesoft à Aimargues, dans le département du Gard. L'entreprise dispose aussi de bureaux à Paris (source : Itesoft).
(...)
L'Association française des opérateurs mobiles rejoint la FFT
L'heure est aux regroupements. Après le Geicet dans le Syntec Informatique (devenu Syntec Numérique), c'est l'Afom (Association française des opérateurs mobiles) qui se fond dans la FFT (Fédération française des télécoms). L'Afom a été fondée par les trois grands opérateurs mobiles (Bouygues Telecom, Orange France et SFR) et elle a par la suite accueilli les MVNO (mobile virtual network operator) Debitel, Breizh Mobile, M6 Mobile, Universal Mobile, Virgin Mobile, TEN et NRJ Mobile.
De son côté, la FFT représente également les trois grands opérateurs, rejoints par Colt et Numericable-Completel ainsi que par l'Afors Télécom (Association française des opérateurs de réseaux et de services en télécommunications), qui regroupe les « alternatifs » : SFR, Bouygues Telecom, Hub, Naxos, Verizon, DartyBox, BT, Prosodie.
La FFT comptait déjà cinq commissions permanentes : consommation, contenus, développement durable, normalisation et sécurité. L'arrivée de l'Afom promet d'en créer une sixième, sur la mobilité. Jean-Marie Danjou, qui était délégué général de l'Afom devient directeur général délégué de la FFT, aux côtés du directeur général en poste : Yves Le Mouël.
La FFT renforcée représente toute la profession, mais essentiellement les grands opérateurs. Elle garde son nom.
Illustration : Jean-Marie Danjou, désormais DG délégué de la FTT (crédit : l'Afom)
- Les membres de la Fédération française des télécoms (source : site de la FFT) (...)
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