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(07/12/2010 11:05:22)

Semestriels SII : belle progression sur le chiffre d'affaires

SII est l'une des bonnes surprises du secteur des SSII. Son chiffre d'affaires progresse en effet de 11,4%, à 102,15 millions d'euros (M€) au 1er semestre, clos au 30 septembre dernier.  La rentabilité est également forte, avec un résultat opérationnel de 5,51 M€ (contre 2,62 pour la même période de l'exercice précédent), la marge opérationnelle se situe à 5,4% (contre 2,9%), le résultat net part du groupe à 3,32 contre 1,36.

Spécialiste de l'informatique industrielle et scientifique, SII met en valeur la forte croissance de son chiffre d'affaires et sa rentabilité. La société explique bénéficier de la croissance, de la stabilisation du mix prix/salaire, de la diminution du taux d'inter-contrats et de l'optimisation de ses coûts. Pour ses résultats annuels, la SSII anticipe un chiffre d'affaires de 213 M€, contre 200 M€ anticipés en début d'exercice.
(...)

(07/12/2010 11:05:16)

BI en Open Source : Pentaho ouvre un bureau en France

Editeur d'une suite décisionnelle en Open Source, l'Américain Pentaho étend sa présence européenne en s'implantant en France. C'est Michel Fritz, un ancien collaborateur de Talend (spécialiste de l'intégration de données) qui se voit confier la responsabilité de ce bureau français, installé à Nanterre. Pour l'instant constitué de deux personnes (l'une chargée des aspects techniques, l'autre du commercial), le bureau devrait s'étoffer l'année prochaine.

Pentaho, qui a acquis une certaine notoriété dans le monde de la Business Intelligence (BI), dispose déjà de six bureaux en Europe, en Angleterre, Allemagne, Belgique, Espagne, Suède et Irlande. La société a été créée en 2004 par Richard Daley et trois autres spécialistes de la BI qui avaient précédemment fondé deux sociétés dans ce domaine, AppSource Corporation, revendue à Arbor Software (repris par Hyperion, puis par Oracle), et Keyola, racheté par Lawson Software. « Ayant décidé de faire une suite BI en Open Source, ils ont recruté les plus grands projets dans différentes catégories pour les mettre sur une même plateforme », explique Vinay Joosery (photo ci-dessus), vice-président pour la zone EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique). Après s'être concentré sur la création du produit, ils ont investi dans sa commercialisation, il y a environ deux ans. En 2010, leur expansion européenne s'est accentuée. « Nous comptons actuellement 60 partenaires en Europe dont la moitié ont été recrutés cette année », confirme le vice-président.

Une suite intégrée incluant du datamining

L'offre principale de Pentaho repose sur sa suite qui rassemble des outils d'intégration de données (ETL), d'analyse, de reporting, de tableaux de bord et de datamining. C'est le produit le plus vendu par l'éditeur. Toutefois, il est possible de retenir simplement l'ETL ou la partie Reporting, explique Michel Fritz. « Dans la pratique, notre valeur ajoutée, c'est d'avoir une suite complète dont les différents éléments travaillent ensemble, explique le responsable du bureau français. Les développements se font de façon beaucoup plus rapide car les modifications se répercutent vite. »  Il met aussi en avant la solution de datamining (qui s'est fait connaître sous le nom de Weka avant d'être intégrée par Pentaho), l'un des points distinctifs de l'offre par rapport à celles de certains concurrents.

Pentaho, outil de conception des rapports
Outil de conception des rapports, cliquer ici pour agrandir l'image

En France, une partie de la mission de Michel Fritz consistera  à recruter de nouveaux partenaires. L'éditeur en compte déjà trois sur l'Hexagone, Smile, Linalis et Valuetis, qui couvrent la majorité des clients. « Nous cherchons à travailler avec des partenaires qui apporteront une valeur ajoutée par rapport à ce que représente Pentaho. Des sociétés ayant une expérience dans l'intégration Open Source, spécialistes de la BI et qui pourront apporter un spectre de spécialisation métier autour de Pentaho. »

L'éditeur dénombre 12 000 clients payants au niveau mondial dont environ 400 en Europe, indique Vinay Joosery. « Toutes les 30 secondes, nous enregistrons un téléchargement pour la suite BI », précise-t-il. L'adoption de l'offre Open Source se poursuit. « Il y a chaque jour 3 à 4 nouveaux clients qui souscrivent à une offre Pentaho dans le monde », ajoute Michel Fritz (photo ci-dessous).
Michel Fritz, responsable du bureau français de Pentaho (...)

(06/12/2010 16:36:16)

Moneo tombe dans le giron d'un fond d'investissement

Nos confrères de La Tribune ont signalé que la société BMS (Billettique Monétique Services) a été vendue par ses actionnaires historiques au fond d'investissements BlackFin Capital Partners. BMS a pour activité principale le porte-monnaie électronique Moneo. BMS a confirmé cette information en précisant que la SFPMEI (Société Financière du Porte Monnaie Electronique Interbancaire), établissement de crédit qui émet et garantit les encours de monnaie électronique, faisait également partie du périmètre de la cession.

Les actionnaires historiques de BMS se répartissent en trois blocs : le secteur bancaire (BNP-Paribas, Banques Populaires, Caisse d'Epargne, CIC, Crédit Agricole, HSBC, LCL, Crédit Mutuel, La Banque Postale, Société Générale), le secteur des transports publics (SNCF et RATP) et France Télécom. Simple porte-monnaie électronique autonome sur une carte à puce distincte, le système n'a pas cessé d'évoluer et de se repositionner : fonctionnalité embarquée sur des cartes bancaires classiques, en complément de cartes multiservices (comme pour payer sa cantine avec une carte d'étudiant), etc. Le manque de succès du système Moneo a sans doute incité les actionnaires historiques à jeter l'éponge.

Remplacer la monnaie pour les petits paiements

A la base, le système semble pourtant être une bonne idée : il s'agit d'éviter les échanges de pièces et de billets, notamment pour les très petites sommes. La manipulation des espèces est en effet fastidieuse. Elle implique en plus, pour le commerçant, de disposer d'une encaisse pour rendre la monnaie et conserver les paiements. De ce fait, elle est, enfin, génératrice de risques (détournements par le personnel, vols, pertes, erreurs de décomptes...).

Pour éviter les échanges télématiques coûteux entre banques et commerçants, comme avec les cartes bancaires classiques, le porte-monnaie électronique contient une certaine somme d'argent (chargée par une carte classique via un terminal comme un publiphone ou distributeur automatique de billets) qui peut être débitée par le porteur sans frais pour celui-ci, exactement comme s'il emportait des espèces dans un porte-monnaie classique, mais sans avoir à se préoccuper d'avoir de la monnaie.

Un système boudé par les commerçants

Or, le premier problème est que, justement, le coût du système est porté essentiellement par le commerçant qui se retrouve à devoir payer des commissions bancaires sur des petits montants, ce dont il n'a pas à souffrir avec des espèces. La rentabilité est limitée, étant donnée que l'encaisse reste obligatoire tant que Moneo n'est pas le seul système possible de paiement. Côté utilisateurs, les cartes spécifiques (téléphone, parking...) ont creusé leurs sillons tandis que les cartes bancaires classiques sont de plus en plus utilisables pour des montants faibles, notamment sur Internet. Enfin, d'autres systèmes plus adaptés (comme Paypal) se sont imposés dans les transactions entre particuliers qui ne peuvent pas se faire en espèces. La place pour Moneo s'est donc réduite comme peau de chagrin.

En perdant ses actionnaires historiques qui, tous, étaient intéressés au succès du système et disposaient d'une force de frappe importante, Moneo perd sans doute le dernier espoir de s'imposer. Du moins comme porte-monnaie électronique généraliste.

Crédit photo : D.R.
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(06/12/2010 15:36:43)

Neutralité du Net : Le président de la FCC ouvert à une tarification à l'usage

Dans le cadre du débat portant sur la neutralité d'Internet, Julius Genachowski, président de la FCC (Federal Communications Commission), le régulateur américain des télécommunications, a dévoilé la semaine dernière certains éléments de sa prochaine proposition. Soumise aux autres membres de la commission, celle-ci sera susceptible d'être modifiée d'ici le vote prévu le 21 décembre prochain. Dans sa communication, Julius Genachowski a surtout parlé des grands principes et s'est montré plus discret sur les détails, soulignent nos confrères de Network World. Il a cherché à fournir des éléments pour chacune des parties prenantes, mais n'a guère donné de détails sur la façon dont il compte régler les désaccords. Par exemple, il a indiqué que sa proposition s'appuyait sur un ensemble de dispositions de la législation relatives aux communications, mais qu'elle ne reclassait pas le haut-débit comme un service de télécommunications placé sous le Titre II [du Telecommunications Act de 1996].

Le problème sur ce point, c'est que pour renforcer significativement la réglementation sur la neutralité d'Internet, la FCC devrait probablement reclassifier le haut-débit en tant que service de télécommunications. Or, la cour d'appel de Washington D.C. a statué, au printemps dernier, que la FCC n'avait pas le pouvoir de réglementer la gestion du réseau par les FAI dans son cadre légal actuel. Cela ne laisse de fait que deux options à l'agence indépendante créée par le Congrès des Etats-Unis (et dont le rôle équivaut à celui de l'Arcep en France). Elle peut attendre que les sénateurs américains légifèrent sur la neutralité d'Internet, ou bien elle peut changer la classification des services haut-débit en les faisant passer de la catégorie services d'information à celle de services de communication, ce qui lui donnerait le pouvoir d'imposer certaines règles communes aux FAI.

Des différences fondamentales entre sans-fil et filaire


Comment la FCC peut-elle encore agir sur le sujet ? Julius Genachowski s'est d'abord déclaré en faveur d'une reclassification qui dispenserait les FAI de la plupart des régulations traditionnellement appliquées aux opérateurs de téléphonie filaire. Toutefois, le projet du président de la FCC a déclenché une forte opposition de la part du secteur industriel et du Congrès et beaucoup se sont alors tournés vers ce dernier pour trouver des solutions. Lors de son intervention, en début de semaine dernière, Julius Genachowski n'a pas précisé comment il comptait régler ce problème. Il a simplement indiqué qu'il était convaincu qu'il existait une base juridique solide pour cette approche.

De même, il est resté vague sur la façon dont la FCC allait réguler le secteur du haut-débit mobile. Il a reconnu l'argument des opérateurs de téléphonie sans-fil selon lequel les réseaux haut-débit fixe et mobile ne peuvent pas être régulés de la même manière car ils sont fondamentalement différents. Mais le président n'a pas non plus retenu une approche non-interventionniste à propos du sans fil, puisqu'il a indiqué que la proposition devrait requérir des opérateurs du sans fil qu'ils renseignent leurs clients sur leurs pratiques de gestion du réseau et du trafic et qu'ils adoptent une règle de « non blocage ». Le président de la FCC a ajouté que l'agence de régulation contrôlerait de près le développement du marché du haut-débit mobile et serait prête à intervenir, si cela s'avérait nécessaire, en cas de pratiques anti-concurrentielles ou anti-consommateurs. [[page]]
Les industriels du sans-fil, regroupés au sein du CTIA, se sont montrés encourageants, tout en restant prudents, à la suite de la déclaration du président de la FCC. Ils sont satisfaits que Julius Genachowski ne veuille plus reclassifier les acteurs du haut-débit dans la catégorie service de télécommunication. Ils apprécient également de l'entendre reconnaître les différences fondamentales entre la gestion des réseaux sans-fil et filaires. En revanche, le groupement a affirmé que toute nouvelle règle adoptée pour l'industrie du sans-fil devrait être réexaminée d'ici deux ans.

Julius Genachowski a souligné que les FAI avaient besoin d'une flexibilité significative pour gérer leur réseau, par exemple, pour prendre en charge un trafic qui pourrait lui être dommageable ou qui ne serait pas souhaité par les utilisateurs, et pour s'attaquer aux effets d'un engorgement.

Une possible tarification à l'usage

La partie la plus délicate a toujours été la façon de traiter les problèmes d'engorgement. Ainsi, Comcast avait été critiqué en 2008, lorsqu'il s'était trouvé asphyxié par l'application de partage de fichiers peer-to-peer BitTorrent. Bien que Julius Genachowski affirme qu'il ne veut pas donner aux FAI le droit de ralentir le trafic des sites web ou les applications qui utiliseraient beaucoup de bande passante, il a en revanche indiqué qu'il était ouvert à la tarification à l'usage qui conduirait à facturer davantage aux utilisateurs si leur consommation dépassait une certaine capacité de bande passante. « La gestion raisonnable du réseau constitue une partie importante de la proposition, étant entendu que la notion de « raisonnable » tiendra compte de la technologie de réseau et de l'architecture concernées, a-t-il expliqué. Notre travail a aussi mis en évidence l'importance des initiatives pour promouvoir l'investissement dans le réseau et l'utilisation efficace des réseaux, ce qui incluent des mesures pour ajuster la tarification au coût, par exemple avec la tarification à l'usage ».

Même si le président de la FCC a fourni quelques indices sur ce qu'il prévoit de mettre dans sa proposition finale, il en a finalement dit assez peu. Il faudra donc en attendre la version définitive prévue pour le 21 décembre. Mais, qu'elle que soit la teneur de celle-ci, elle ne bénéficiera probablement pas du vote du Républicain Robert McDowell, membre de la FCC. Ce dernier n'est pas seulement opposé à ces mesures, mais il accuse également Julius Genachowski de « pousser un petit groupe choisi d'acteurs de l'industrie vers un choix qui s'apparente davantage à de la coercition qu'à un consensus ou un compromis ».

Illustration : Julius Genachowski, président de la FCC (crédit photo : FCC)
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(06/12/2010 11:10:33)

Les collectivités territoriales investissent dans les services en ligne

La dernière étude de Markess (*) sur les collectivités territoriales porte sur les logiciels et services. Globalement, ils représentent une dépense de 2,4 milliards d'euros en 2010. Elle devrait atteindre les 2,6 en 2012, avec un taux de croissance annuel moyen de 4,1%. Une dépense considérée hors dépenses matériels et hors dépenses de personnels.

Le budget informatique d'ensemble (matériel + personnel + logiciels + externalisation), lui, représente 1,9% de la dépense totale des collectivités territoriales, selon la DGCL (**).  Il augmentera entre 1 et 5% d'ici 2012. Parmi les collectivités, seuls les conseils généraux affichent une prévision de budget en baisse dans ce domaine. D'autres collectivités devraient laisser leur budget stagner : celles de plus de 50 000 habitants. Les régions auront une croissance comprise entre 1 et 5%. Deux types de collectivités envisagent des croissances supérieures à 5% : les intercommunalités et les communes de moins de 10 000 habitants.

L'affectation de ces budgets évolue. Surtout pour la partie « logiciels et services » qu'étudie Markess. Le cabinet a demandé à son panel de lister les priorités d'investissement, en distinguant la gestion interne de celle externe. Pour la première, arrivent en tête : la dématérialisation des documents, leur conservation (GED-ECM), le collaboratif, le pilotage, la certification électronique et la signature. Ces choix dépendent aussi des moyens dont disposent ces collectivités. Les communes de moins de 10 000 habitants, les syndicats regroupant les moyens informatiques de plusieurs collectivités, les intercommunalités semblent les plus propices aux investissements.

C'est bon pour l'image

En externe, les collectivités territoriales favorisent, par ordre décroissant : les sites webs et les fonctionnalités associées, les téléservices partiels, les sites webs informationnels, les paiements en ligne et les comptes citoyens. Globalement, ils favorisent les services en ligne dématérialisés, importants à la fois pour la modernisation des services, l'image de la collectivité, un meilleur service rendu aux usagers.

Parallèlement, Markess remarque une évolution dans la responsabilité des budgets IT des collectivités territoriales. Si la DSI pilote 44% des projets, les DGS (Directeur général des services) sont cités dans 38% des cas, les responsables métiers dans 38%. Ce qui montre à la fois, le poids de DSI structurée dans nombre de collectivités, celui des DGS qui ont bien un rôle de décision en matière IT, celui des responsables métiers. En fait, les collectivités territoriales ont tendance à connaître les mêmes priocessus que les entreprises privées. Autre phénomène, celui de la mutualisation et des échanges. 36% des collectivités interrogées par Markess mutualisent des investissements avec d'autres collectivités, 24% mutualisent leurs achats informatiques entre elles, 20% mutualisent des initiatives avec l'Etat, 11% avec un syndicat. Actuellement, cette mutualisation concerne évidemment les télécommunications et les plates-formes de dématérialisation. D'ici 2012, relève Markess, elle devrait aborder de nouveaux sujets : le contrôle de légalité, l'archivage à valeur probante, les logiciels métier, le collaboratif, des plates-formes à destination des citoyens.

Cette double ouverture, vers de nouveaux services dématérialisés et  vers plus de mutualisation,  ouvre de nouvelles perspectives aux prestataires externes. Une collectivité sur deux sollicite des prestations externes pour : l'assistance à maîtrise d'ouvrage, l'acquisition de logiciels et la formation. Le partage de la décision entre plusieurs directions, favorise également ce recours aux prestataires externes et montre la nouvelle maturité des collectivités territoriales en matière IT.

(*) 165 responsables interrogés dans les collectivités territoriales, 28 chez des prestataires.

(**) DGCL : Direction générale des collectivités locales, elle dépend du Ministère de l'intérieur.

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(03/12/2010 16:50:06)

BMC s'offre GridApp Systems, pour gérer les bases de données dans le cloud

Le logiciel Clarity GridApp est déjà intégré à la plate-forme BladeLogic Automation Server de BMC. Il devrait aussi s'insérer dans les autres technologies de BMC comme la gestion des cycles de vie dans le cloud. Les capacités d'automatisation libèrent du temps et des ressources. Cette acquisition donne à BMC des produits d'automatisation de base de données de niveau international.

La plate-forme Clarity de GridApp est compatible avec Oracle, DB2 UDB, MySQL, Sybase et SQL Server, ainsi que les systèmes d'exploitation Linux, Windows, Solaris, HP-UX et AIX. Elle prend en charge les clusters de base de données comprenant Oracle RAC, Microsoft Cluster Server et Veritas. Elle peut également être utilisée pour gérer les bases de données sur les clouds publics, y compris Amazon EC2 (Elastic Compute Cloud) et Go Grid. Les clients de GridApp sont Bank of America, General Electric, Lockheed Martin et Merrill Lynch. La société a noué aussi des partenariats avec Hewlett-Packard, Quest Software, Oracle, IBM et Microsoft.

Avec ce rachat, BMC entend bien concurrencer les autres «Big Four» (CA, IBM, HP) des fournisseurs de systèmes de gestion. HP a en août dernier racheté le concurrent de GridApp,  Stratavia.

(...)

(03/12/2010 11:14:30)

Datacenters : Nextiraone renforce sa collaboration avec Cisco

Premier intégrateur européen à obtenir la certification DCUC (Data center unified computing) sortie cet été, Nextiraone muscle son offre Cisco. « Elle se traduit pour nous par un niveau de formation et d'engagement renforcé avec Cisco, nous explique Philippe Hedde,  directeur général  de Nextiraone France, nous avons formé 60 personnes, 40 commerciaux et 20 architectes réseaux à ce nouveau programme en France». Cet accord, négocié au plus haut niveau entre les deux entreprises s'applique dans six pays : Allemagne, Autriche, Belgique et Luxembourg, France, Grande-Bretagne, Suisse. Il sera étendu en 2011 à tous les pays où Nextiraone est présent, 16 au total.  

L'intégrateur est engagé depuis des années aux côtés de Cisco. Il propose par exemple UCS, unified computing system, qui concerne notamment la virtualisation des serveurs, et compte avec lui plusieurs clients en France, dont la CNAV, la mairie de Drancy, Euratechnologies à Lille et le CHU d'Amiens. Le nouvel accord est un engagement supplémentaire. « Nous allons mettre le datacenter sur le réseau » résume Philippe Hedde. C'est ce nouvel axe que vise Nextiraone  grâce aux technologies Cisco. Jusqu'alors spécialiste des architectures réseaux et de leur maintenance, Nextiraone s'ouvre au monde de la virtualisation grâce aux technologies Cisco, UCS d'abord et maintenant DCUC.  « C'est l'expression d'une transformation majeure de Nextiraone », explique Philippe Hedde.

Nextiraone, lié historiquement à Alcatel-Lucent rééquilibre un peu plus ses relations avec ses deux grands partenaires. Avec Cisco, l'intégrateur est certifié : Data center networking infrastructure, Data center storage networking, Unified communications, Unified communications managed services. Il est également Authorized technology provider, ATP. L'accord est d'autant plus marquant que Cisco est d'abord passé par des intégrateurs informatiques, comme APX ou SCC pour déployer UCS et qu'un intégrateur réseau comme Nextiraone gagne aujourd'hui une place de choix à ses côtés pour la virtualisation.

Illustration : Datacenter avec équipements Cisco UCS et Nexus, crédit D.R.

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(03/12/2010 11:14:23)

Annuels TRSB : La SSII poursuit sa croissance sans faiblir

Rien ne semble pouvoir arrêter la SSII TRSB sur le chemin de la croissance. Ce groupe qui ne réalisait que 6 M€ de chiffre d'affaires en 2004 devrait clore cette année son exercice fiscal sur des revenus en hausse de 50% à 35 M€. Même en 2009, alors que la crise assombrissait les bilans de nombreuses entreprises, le prestataire de services est parvenu à faire progresser son activité de plus de 20%. Pour acquérir la taille qu'elle a aujourd'hui, TRSB à, certes, réalisé des acquisitions : celles de l'intégrateur de PC Elonex en 2008, puis du mainteneur EFS dont les comptes seront consolidés dans ceux du groupe pour la première fois cette année. Elle n'en néglige pas pour autant sa croissance organique qui devrait atteindre +22% en 2010 et continuer sur un rythme annuel moyen de +25% dans les prochaines années. Ce qui devrait contribuer de façon non négligeable à l'atteinte du cap des 100 M€ de chiffre d'affaires que l'entreprise prévoit pour 2013. 

Poursuivre les acquisitions et recruter

Pour remplir cet objectif, TRSB se met en ordre de bataille. Ainsi, en vue de financer la poursuite de sa stratégie d'acquisition, la SSII a levé 4 M€ auprès de CDC Entreprise dans le cadre du Fond Stratégique d'Investissement (FSI) créé par les pouvoirs publics. « Notre politique de rachats vise à compléter notre offre, notamment dans le domaines des infrastructures à valeur ajoutée », explique Philippe Guinchard, le président et fondateur de TRSB. La société doit aussi capitaliser sur l'acquisition d'EFS dont le développement a été confié à Didier Fougeron, un ancien directeur commercial de Computacenter France. Cette filiale qui cible les entreprises du retail, en maintenant notamment leurs terminaux point de vente (TPV), apporte non seulement de nouveaux revenus au groupe mais aussi un vivier de clients vers qui TRSB va pousser ses prestations traditionnelles (Infogérance et externalisation, conseil et architecture, mise en oeuvre et déploiement, helpdesk...). EFS dispose en outre d'une équipe de 100 techniciens itinérants en France qui vont permettre à son acquéreur de proposer des services d'infogérance de proximité. 

L'autre pilier, et non des moindres, que l'entreprise renforce est son effectif. A l'heure actuelle, elle dispose de 560 collaborateurs. Elle vise de 200 voire 300 nouvelles embauches l'an prochain. Un rythme de recrutement à peu près équivalent à celui qu'elle a suivi cette année. Une bonne partie des ressources de TRSB sont réparties entre ses 5 agences (Lyon, Montpellier, Aix-Marseille, Nice et Strasbourg) et son siège parisien. Dans le courant du premier trimestre 2011, la SSII devrait se renforcer au nord de la Loire en ouvrant deux nouvelles agences, l'une à Nantes, l'autre à Lille.
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