Flux RSS

Business

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

9034 documents trouvés, affichage des résultats 2711 à 2720.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(23/08/2010 17:27:19)

Summit Partners investit 100 millions de dollars dans Avast Software

Les solutions de sécurité sont décidément très recherchées. Après l'acquisition de McAfee par Intel ,  Avast a indiqué que son capital comprenait un actionnaire supplémentaire. Ce dernier, Summit Partners a en effet investi 100 millions de dollars dans la société tchèque.  Connue pour ces solutions gratuites pour le grand public, Avast Software indique qu'il protège un ordinateur sur cinq dans le monde entier contre les logiciels malveillants.

« Avec Summit Partners, nous allons poursuivre notre stratégie visant à offrir une solution gratuite au plus grand nombre. Nous n'avons pas l'intention de changer notre business modèle et nous conservons notre positionnement de vente au détail » explique Vince Steckler, PDG d'Avast Software. Avec cette opération capitalistique, Scott Colins, directeur général du fonds d'investissements rejoindra le conseil d'administration de l'éditeur.

Cette augmentation de capital intervient sur un marché de la sécurité en plein ébullition. Rapprochement, fusion-acquisition, les éditeurs de logiciel de sécurité pour les résidentiels et les entreprises sont très courtisés. L'orientation vers les services web et le cloud computing augmentent la demande en solution de sécurité.

 

Illustration: Vince Steckler, PDG d'Avast

Crédit Photo: D.R

(...)

(23/08/2010 16:33:07)

Appliances analytiques : Teradata, en forme, reprend les actifs de Kickfire

Le chiffre d'affaires de Teradata a progressé de 21% sur ses ventes de produits au 2e trimestre 2010, à 223 M$, à taux de change constant. Ainsi, le fournisseur de bases de données et solutions de datawarehouse vient d'enregistrer ses deux meilleurs trimestres, a souligné son PDG Mike Koehler, lors de l'annonce des résultats début août. Sur les trois premiers mois de l'année déjà, la croissance avait dépassé 20% sur les produits, à 200 M$. Les activités conseil et maintenance ont progressé dans des proportions moindres (+4% environ). Sur ces six mois, le chiffre d'affaires total de la société américaine atteint 899 M$ (423 M$ pour les produits, 249 M$ pour le conseil et 227 M$ pour les services de maintenance), soit une progression de 12% par rapport à l'an dernier, à taux de change constant. Sur la période, le bénéfice net a augmenté de 32%, à 141 M$.

C'est dans ce contexte plutôt favorable que Teradata a racheté très discrètement, cet été, la propriété intellectuelle et les ingénieurs de Kickfire, une start-up de Santa-Clara qui développe des appliances analytiques. En revanche, il n'est pas prévu que Teradata revende la gamme de produits existants de Kickfire. 

La start-up est connue pour son utilisation de la base de données Open Source MySQL et d'une puce gérant les traitements SQL pour doper la performance des requêtes. Cela faisait plusieurs semaines que des rumeurs circulaient autour de son nom, mais l'identité de Teradata comme repreneur n'a été communiquée que début août. En juin, la société californienne comptait dix clients payants, d'après ce que son PDG Bruce Armstrong avait indiqué à l'analyste Curt Monash (à lire sur le blog DBMS2).

L'apport se situera au niveau matériel

Teradata récupère ainsi des développements qui vont l'aider à s'engager dans la voie des technologies « advanced pipelining » (traitements parallèles), a expliqué Darryl McDonald, son vice-président exécutif pour le développement marché et le marketing. Des technologies exploitées sur les supercalculateurs et mises à profit jusque dans les consoles de jeux, souligne-t-il.

Salué pour ses produits, Kickfire avait à l'inverse essuyé des critiques sur sa stratégie d'approche du marché. Daniel Abadi, professeur assistant de sciences informatiques, à Yale (New Haven Connecticut), a récemment regretté, par exemple, que la start-up ait choisi de bâtir une solution propriétaire au-dessus du code de MySQL qui doit sont succès à son ouverture.

En essayant de prendre pied sur le marché très encombré des systèmes de bases de données analytiques, Kickfire s'est adressé à des clients qui disposaient de volumes réduits à analyser et ne souhaitaient pas investir dans les produits coûteux des grands éditeurs. Mais son offre ne disposait pas de capacités MPP (traitements massivement parallèles) ce qui ne pouvait que lui manquer alors que les volumes de données ne cessent de croître. « On sait bien que plus de 95% des datawarehouses ont une taille inférieure à 5 To et que les technologies MPP ne sont pas absolument nécessaires dans ce cas. On peut donc facilement penser, comme Kickfire, que le marché de volume peut s'aborder sans produit MPP, explique Daniel Abadi. Mais les entreprises voient plus loin, poursuit-il. Elles savent qu'elles devront traiter davantage de données à l'avenir et seront souvent réticentes à choisir un produit qui ne pourra pas monter en puissance. Les traitements MPP se font sur une grappe de noeuds qui fonctionnent en parallèle et Teradata utilise cette approche.

Interrogé par mail par nos confrères d'IDG News Service, Merv Adrian, analyste pour IT Market Strategy, pense que l'apport de ce rachat se situera au niveau matériel, en améliorant la récupération des données sur le disque dur.

(...)

(23/08/2010 14:41:48)

HP lance une contre-offre sur 3Par à 1,6 milliard de dollars

Il y a une semaine jour pour jour, Dell annonçait son intention d'acquérir 3Par, société spécialisée dans le stockage virtualisé. Le fabricant d'ordinateur a mis sur la table 1,15 milliards de dollars soit une valorisation de 18 dollars par action.

Aujourd'hui, coup de théâtre, HP souhaite lui aussi s'emparer de 3Par en annonçant une contre-offre à 24 dollars par action soit 1,6 milliard de dollars. Une lettre a été adressée en ce sens à David Scott, PDG de 3Par. « Notre dimension mondiale, nos solides accès au marché et notre engagement en faveur de l'innovation nous positionnent de manière unique en tant que complément idéal de 3PAR », déclare Dave Donatelli, le responsable de la branche de serveurs, de stockage et de réseau de HP. Pour l'instant, aucun commentaire n'a été donné par l'entreprise de stockage.

(...)

(23/08/2010 14:51:05)

Lancement du « Start-up Challenge » d'Amazon Web Services

Pour la quatrième année consécutive, Amazon Web Services (AWS) lance son concours « Start-up Challenge », ouvert aux jeunes entreprises basant leur activité sur ces services cloud. Les candidats vont être jugés sur la façon dont ils utilisent cette plateforme (stockage, puissance de calcul, bases de données). Les années précédentes, le concours a par exemple mis en avant la société MileMeter, vendant des assurances auto au kilomètre. Pour la première fois le concours offrira des prix récompensant des gagnants différents pour le continent Américain, l'Europe et l'Asie Pacifique. Au final donc, 5 demi finalistes de chaque région seront sélectionnés et dotés, pour finir à 6 finalistes et un grand gagnant mondial. Lancé ce 23 août, le concours recevra les candidatures jusqu'au 31 octobre prochain. La finale se tiendra à Palo Alto, en Californie, début décembre et sera diffusée en direct sur Internet.

Quelques obligations pour participer

Les jeunes entreprises qui viseraient le grand prix devront répondre à certains pré-requis pour être sélectionnées. Le premier critère consiste évidemment en l'utilisation d'Amazon Web Services par la start-up, vérifiable par la possession d'un compte sur les plateforme EC2 ou S3. Les autres pré-requis sont quant à eux plus libres d'interprétation, et stipulent que l'entreprise doit avoir une activité un minimum originale ou créative, qu'elle doit posséder une viabilité à long terme sur le marché et qu'elle répond à un besoin effectif sur celui-ci. Autres conditions, comme toujours dans ce type de concours, il ne faut pas que l'entreprise ait dépassé un certain seuil de chiffre d'affaires pour être éligible, seuil ici fixé à 10 millions de dollars maximum, et qu'elle n'ait pas reçu plus de la même somme en financements externes. Il faut enfin que la société soit privée et que son siège social soit situé nécessairement dans l'un des pays participant au concours, dont la France.

Des récompenses sous la forme de services

Outre le grand gagnant mondial, qui recevra un chèque 50 000 dollars, ainsi que 50 000 dollars en crédits de services AWS, des services de support, un tutorat technique d'un an et une offre d'investissement de la part d'Amazon, les gagnants « intermédiaires » recevront leurs lots sous la forme de crédits AWS. Déjà, tout participant éligible recevra pour 25 dollars de ces crédits. Les cinq demi-finalistes régionaux se verront dotés de 2 500 dollars à dépenser sur la plateforme, tandis que les six finalistes disposeront de 10 000 dollars utilisables de la même manière.

Ce genre d'initiatives commence à réellement se développer chez la plupart des grands acteurs du marché. Entre IBM qui a récemment lancé son concours « Global Entrepreneur » et Microsoft qui depuis 2 ans propose le programme « BizSpark » qui soutient les start-ups, ces jeunes entreprises disposent de divers moyens pour arriver à maturation avec l'aide de ces grands groupes. Les critères d'originalité et de viabilité économique des projets sont en règle générale le dénominateur commun de ces différents concours. (...)

(23/08/2010 12:29:34)

Facebook acquiert Hot Potato, réseau social géolocalisé

Hot Potato a annoncé sur son blog son rachat par Facebook sans donner d'indications sur le montant de l'opération. Le service de cette société  vise à permettre aux personnes de partager ce qu'ils font avec leurs amis et se connecter avec d'autres personnes qui font la même chose dans le même lieu. Les gens visitent la page et choisissent le début d'une phrase comme "je participe à ..." ou « j'écoute..." puis complètent les informations. Ils ont ensuite se joindre à un groupe de personnes qui ont posté des intérêts similaires. Le groupe peut partager ses photos et vidéos et se poser des questions.

Hot Potato a cessé de recruter des utilisateurs et à indiquer que les actuels devront télécharger toutes les informations et le contenu qu'ils veulent sauvegarder. Dans environ un mois, l'entreprise supprimera toutes ces données sans les transférer à Facebook. On note toutefois que ce service avait des passerelles avec le réseau social, recherche d'amis sur les deux sites,  intégration des profils Facebook et des comptes Twitter.

Concurrencer Foursquare


Cette annonce est à rapprocher du lancement la semaine dernière de « Places » aux Etats-Unis par Facebook. Les services de géolocalisation commencent à se développer sur les réseaux sociaux comme le montre le succès de Foursquare, application que l'on retrouve justement sur Facebook. Ce dernier entend bien concurrencer cette solution à travers des éléments qualitatifs à la localisation. Hot Potato sera donc un élément complémentaire à cette stratégie.

(...)

(23/08/2010 11:39:55)

La Cnil juge "prématurée" la reprise de Google Street View

La Commission national de l'informatique et des libertés (Cnil) juge "prématurée" la reprise de la circulation des véhicules Google dans le cadre de son service Street View. Elle rappelle que ses investigations sur la manière dont Google avait collecté des données personnelles via des bornes Wi-Fi de particuliers étaient toujours en cours. Vendredi dernier, Google a annoncé la reprise en France de ses véhicules chargés de photographier les rues et routes de l'Hexagone pour son service Street View. Cette application complémentaire de Google Maps permet de naviguer virtuellement grâce aux vues panoramiques prises par ces véhicules.

En mai dernier, le travail effectué par les voitures de Google avait été interrompu, la firme américaine ayant constaté la collecte de données de communication de particuliers par les détecteurs de bornes Wi-Fi embarqués dans ses véhicules. Google assure dans un communiqué avoir rectifié le problème en modifiant l'équipement de ses voitures.

(...)

(23/08/2010 11:40:41)

Google acquiert Like.com, site de shopping visuel

Google a acheté Like.com, qui offre un moteur de recherche visuelle de produits en vente sur Internet. Ceci devrait augmenter les capacités de recherches de type « shopping » de Google et améliorer des services tels que son moteur Products, encore en bêta. Il y a plusieurs années, des rumeurs circulaient déjà, signalant que la firme de Mountain View était intéressée par le rachat de Like.com, appelé Riya lors de sa création en 2004.

Intelligence artificielle destinée au shopping

Munjal Shah, PDG et co-fondateur du site, a annoncé ce rachat sur la page d'accueil de son entreprise. « Pour nous, rejoindre Google est un moyen d'élargir exponentiellement notre vision et notre passion », a-t-il écrit. Utilisant la vision par ordinateur et l'apprentissage automatique des machines, Like.com fournit un moteur de recherche visuel centré principalement sur les vêtements, bijoux et éléments de décoration. « Nous avons développé une technologie qui nous fait comprendre visuellement ce que des termes comme « chaussures rouges à talons hauts » ou « robe à fleur sans manches » peuvent vouloir dire », peut-on lire dans une description de l'entreprise. Like.com possède aussi Covet.com, décrit comme un guide de shopping mode, et le studio de mode virtuel Couturious.com.

Le PDG du site n'a donné aucun détail financier sur la transaction, et Google n'a pour sa part pas encore répondu à la demande de précisions.


Illustration : Munjal Shah, PDG de Like.com
Crédit Photo : D.R.

(...)

(20/08/2010 17:44:30)

Une faille affecterait près de 40 applications sous Windows

Une quarantaine d'applications Windows contiennent une faille critique qui peut être utilisée par des pirates pour prendre le contrôle de PC et y introduire du code malveillant, a averti HD Moore, responsable sécurité de l'éditeur Rapid7, via Twitter cette semaine. Il y a quatre mois, un bug a été rectifié par Apple dans son logiciel iTunes pour Windows. Mais on le trouve toujours dans de nombreux autres programmes, y compris le shell de Windows, affirme l'expert en sécurité, sans toutefois préciser le nom des applications vulnérables, ni leur éditeur. Chaque logiciel devra être corrigé séparément. HD Moore est par ailleurs le créateur du projet Open Source Metasploit destiné notamment à évaluer les risques d'intrusion.

Des informations accessibles aux entreprises

Dans son « tweet », il pointe vers un bulletin publié sur le site d'Acros (un éditeur slovène) qui détaille une vulnérabilité d'iTunes pour Windows. Celle-ci peut être exploitée par des hackers pour inciter des utilisateurs à télécharger et ouvrir un fichier infecté, ou à se rendre sur un site malveillant. Apple a corrigé ce bug en mars lorsqu'il a livré la version 9.1 de son player. Ce problème n'affecterait pas les Mac, selon le constructeur. Le bulletin d'Acros sous-entend que la faille concerne d'autres programmes que iTunes. Il précise que des informations complémentaires peuvent être communiquées aux entreprises et administrations, mais que leur divulgation publique fournirait trop de détails ce qui augmenterait de façon inconsidérée le risque d'exploitation de la faille.

On peut penser qu'Acros n'aurait peut-être pas signalé le problème s'il s'était effectivement limité à iTunes et s'il avait été corrigé il y a plusieurs mois déjà. HD Moore confirme que le bug s'étend au-delà et qu'il est tombé dessus en recherchant le ver affectant les raccourcis de Windows (identifié par Microsoft en juillet qui l'a corrigé le 2 août avec un patch d'urgence, procédure rarement utilisée par l'éditeur en dehors de ses 'Patch Tuesday' réguliers).

Un vecteur très différent suivant les applications

L'expert en sécurité constate que le vecteur de diffusion « est très différent entre les applications », mais le résultat se matérialise dans une .dll chargée après l'ouverture, par l'utilisateur, d'un fichier sain partagé sur un réseau local ou sur Internet. Dans un e-mail de réponse à nos confrères de Computerworld, il note qu'il est possible d'obliger un utilisateur à ouvrir un fichier partagé, que ce soit à partir d'un navigateur web ou en trompant d'autres applications, par exemple, par l'intermédiaire de documents Office embarquant un contenu. Cela lui rappelle un peu les attaques mises en oeuvre avec le ver touchant les raccourcis. Par exemple, les hackers pouvaient lancer une attaque à la volée en exploitant le bug des raccourcis depuis des sites malveillants via WebDAV et pouvaient embarquer leur code dans des documents Office, qui parvenaient aux victimes potentielles comme d'innocentes pièces jointes à des e-mails.

Pour résoudre ce problème, chaque éditeur concerné devra donc livrer son propre correctif, avertit HD Moore. Il existe peut-être des solutions de contournement, mais le problème principal réside dans l'application elle-même et pas nécessairement dans le système d'exploitation, souligne-t-il. Il peut y avoir des correctifs à appliquer au niveau de l'OS, mais ceux-ci risquent d'affecter les applications existantes.

(...)

(20/08/2010 17:05:58)

Nokia acquiert Motally

Nokia se dote d'une compétence dans la statistique dans le domaine de la mobilité avec le rachat de Motally. Cette société américaine, de 8 personnes, propose des outils de traçabilité des usages sur les sites et les applications mobiles.

L'entreprise d'Espoo souhaite intégrer ces outils, à travers l'interface utilisateur du framework Qt, pour les OS Symbian, Meego et le langage Java. Aujourd'hui, les outils de Motally sont compatibles avec iPad et l'iPhoned'Apple, Blackberry  de RIM et les smartphones Android.

Avec ces solutions, les développeurs pourront, par exemple, identifier l'opérateur, la localisation de l'abonné, sur quels  OS tournent les applications et le comportement des utilisateurs. Nokia espère rendre la lecture de ces statistiques plus lisibles auprès des développeurs et des éditeurs pour «optimiser leurs applications mobiles ».

La plupart des éditeurs de ces solutions statistiques sont basés aux Etats-Unis et s'intéressent en priorité à l'iPhone ou aux téléphones Android. Nokia n'a pas donné le montant de ce rachat, mais l'acquisition devrait être finalisée d'ici la fin septembre.

(...)

(20/08/2010 14:35:22)

Trimestriels HP : hausse globale pour les derniers résultats de l'ère Hurd

Après le scandale entourant l'ex-PDG de Hewlett-Packard, Mark Hurd, la société a profité de l'annonce de résultats positifs pour déclarer vouloir aller de l'avant et faire oublier cet épisode malheureux. Avec un chiffre d'affaire en hausse de 11,4%, soit 30,7 milliards de dollars contre 27,6 milliards à la même période de l'année passée, HP peut en effet se féliciter de la stratégie mise en place durant l'ère Hurd. Le bénéfice net ne vient pas démentir ce fait, ayant augmenté pour sa part de 6% et passant donc de 1,7 à 1,8 milliards de dollars. Cathie Lesjak, directrice financière et PDG intérimaire en attendant le remplacement de Mark Hurd, déclare que « lorsque vous avez une stratégie gagnante, il n'y a aucune raison de la changer, et c'est le cas ici », ajoutant que le renouvellement du PDG ne devrait pas affecter la stratégie actuelle. Néanmoins, ces chiffres ne prennent pas encore en compte la chute du cours de l'action de l'entreprise conséquente au scandale.

Tous les secteurs en hausse

Les ventes trimestrielles sont en hausse pour tous les principaux produits d'HP. La division Personal Systems Group, qui fournit les PC portables et de bureau, affiche une hausse de 17%, représentant donc 19,9 milliards de dollars de chiffre d'affaire, tandis que le secteur des imprimantes a lui bondi de 9% à 6,2 milliards. Le marché du stockage et des serveurs à destination des entreprises grimpe pour sa part de 19%, soit un revenu de 4,4 milliards de dollars, au sein duquel les ventes de serveurs x86 ont très largement augmentées là où celles des systèmes haut de gamme Itanium sont au contraire en baisse de 15%. Les services et logiciels, quant à eux, n'ont crû respectivement que de 1% et 2%, soit 8,6 milliards de dollars et 863 millions de dollars.

Pour le dernier trimestre de l'année fiscale 2010, HP estime que le chiffre d'affaire sera compris entre 32,5 et 32,7 milliards de dollars, tandis que pour les résultats annuels, l'entreprise s'attend à un revenu global compris, lui, entre 125,3 et 125,5 milliards.

Illustration : Cathie Lesjak
Crédit Photo : D.R.

(...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >