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(19/01/2012 10:29:20)

Closer IT, le spécialiste marocain du nearshore créé une filiale en France

Basée à Casablanca, créée au mois de juillet 2011, la société Closer IT ouvre une filiale à Paris pour démarcher des clients. Au Maroc, elle va assurer des prestations d'assistance technique. Ce centre de développement sera spécialisé sur quatre technologies : java, .Net, SharePoint et les technologies de test. Closer IT promet des prestations 40% moins cher et aligne une équipe de jeunes ingénieurs, soit issus des écoles marocaines, soit venus de France avec une expérience de l'assistance technique déjà éprouvée.

La société compte deux partenaires opérationnels : Oceane Consulting  et Integritis. Elle a été créée par deux associés, un ancien de Cap Gemini, Christophe  Maleuvre, un autre de Logica, Khalid Solh.

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(19/01/2012 09:57:13)

Annuels Esker : des résultats records soutenus par le SaaS et l'international

L'éditeur français spécialisé dans l'automatisation des processus documentaires et la dématérialisation des documents de gestion peut se frotter les mains. Notamment porté par un excellent dernier trimestre, le chiffre d'affaires de son exercice 2011 a atteint 36,29 M€ (millions), en hausse de 13% comparé à l'année précédente. Il s'agit de la meilleure performance de la société depuis sa création en 1985. Elle la doit en totalité aux ventes de ses solutions de dématérialisation dont les revenus annuels ont crû de 19% à 29,58 M€. De leur côté, les chiffres d'affaires issus des ventes de ses serveurs de fax (activité historique d'Esker) et de ses solutions d'émulation de terminaux ont chuté respectivement de -9% (4,6 M€) et -6 % (2,1 M€).

Deux autres facteurs ont également contribué à la belle réussite de l'éditeur cette année, en commençant par sa présence aux Etats-Unis où ses revenus ont enregistré une hausse de 19% en 2011. En deuxième lieu, Esker a profité de la progression soutenu de ses ventes de solutions en mode SaaS qui ont représenté 48% de son activité en 2011. A titre d'exemple, l'activité cloud a connu une croissance de 25% sur le seul quatrième trimestre 2011.

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(18/01/2012 15:20:46)

SAP rachète SAF, spécialiste de la gestion de prise de commande

C'est lors de la convention annuelle de la NRF (évènement sur la distribution) à New York que SAP a annoncé l'acquisition de SAF. L'acronyme du nom de la société signifie Simulation, Analysis, Forecasting et propose des solutions automatisées de prises de commandes et de prévisions.  Les solutions de SAF seront intégrées dans celles de SAP, dont l'application Forecasting and Replenishment. L'objectif est de donner aux distributeurs  les moyens d'interagir, en quasi temps réel, avec leurs chaînes d'approvisionnement pour éviter les risques liés aux excédents et aux sur-stocks.

Le montant de l'opération n'a pas été dévoilé

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(18/01/2012 11:54:23)

Rideau noir sur plusieurs sites web pour protester contre SOPA et PIPA

Google a noirci son logo et posté un bref message sur sa page d'accueil : « Dites au Congrès: S'il vous plaît ne censurez pas le web ! ». Le message, qui a été visible pour les utilisateurs non américain, comportait un lien vers une pétition s'opposant aux lois SOPA (Stop Online Piracy Act) en discussion à la Chambre des représentants  et PIPA (Protect IP Act) en débat au Sénat. Ces lois prévoient de lutter contre les contrefaçons sur Internet. Elles ont été demandées par les industries de la musique et du cinéma et prévoient notamment le blocage d'un site via le filtrage DNS, dès qu'une infraction est constatée, sans action judiciaire préalable.

Plusieurs sites vont également participer à ces actions qui vont débuter à 8h00 du matin sur la côte Est des Etats-Unis. Ben Huh, le PDG de Cheezburger, qui gère sites humoristiques, a déclaré dans un message sur Twitter qu'une panne d'électricité allait se déclencher dès 8h du matin sur l'ensemble de ses sites. La Fondation Wikimedia Foundation a déclaré lundi que la communauté Wikipédia avait décidé de noircir sa version anglaise pour protester contre les lois SOPA et PIPA. Dans un message intitulé « Imaginez un monde sans un savoir libre », l'encyclopédie en ligne considère que le Congrès américain envisage une législation « qui pourrait être fatal à un Internet libre et ouvert ». Le noircissement de la page devrait durer 24 heures. Les militants de l'Electronic Frontier Foundation ont également noirci le fond de son site Internet et a superposé une bannière sur son logo où il est écrit « Stop Censure ».

Certains ont été plus loin en fermant purement et simplement l'accès à leurs sites. C'est le cas de Craiglist, mais uniquement aux Etats-Unis, avec la simple mention : « Imaginez un monde sans Craiglist, Wikipedia, Google. Le groupe de hackers Anonymous a aussi rejoint le mouvement en postant des messages contre la loi SOPA sur ses sites web. Le site d'actualités Reddit a décidé de fermer son site pendant 12 heures.

Twitter résiste et le Congrès révise

Twitter ne participera pas à ces opérations. Dick Costolo, PDG du site de micro-blogging a indiqué « la fermeture d'un site n'est pas la bonne réponse à cette problématique ». Plus tôt, il avait indiqué dans un tweet que « la fermeture d'une entreprise mondiale en réaction à une seule question de politique nationale était stupide ».

Samedi dernier, trois responsables de l'administration du président américain Barack Obama ont publié une déclaration qui semblait s'opposer aux lois SOPA et PIPA. Ils ont déclaré que « le piratage par des sites étrangers constitue un problème grave qui exige une réponse législative forte, mais l'administration ne soutient pas un cadre réglementaire qui réduit la liberté d'expression, augmente le risque en matière de cyber sécurité, ou porte atteinte à la dynamique et à l'innovation de l'Internet ». Jimmy Wales, cofondateur de Wikipedia, a averti sur Twitter que les rumeurs sur la mort de SOPA et PIPA sont peut-être prématurées. De son côté, un parlementaire américain, Lamar Smith, le principal artisan de SOPA et président de la Commission sur la Justice, a annoncé une session le mois prochain sur les différentes remarques faites sur ces lois.

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(18/01/2012 11:19:05)

1,5 million de tablettes écoulées en 2011 en France

2011 a été une année faste pour les tablettes en France avec des ventes qui ont été supérieures aux estimations du cabinet d'études GFK. Les ventes sont montées à 1,45 million d'exemplaires auprès des particuliers en 2011 selon Les Echos. C'est plus que les prévisions de ces distingués analystes, qui tablaient avant les fêtes de Noël sur un total de 1,2 million de ventes sur l'ensemble de l'année. Le parc de tablettes atteint désormais les deux millions d'appareils en circulation en France. (...)

(18/01/2012 10:20:14)

La SSII Eolen acquiert la société AS+

AS+ est spécialisée dans les télécoms et l'aéronautique avec une présence de 40 ingénieurs à Toulouse. Avec le rachat par Eolen, AS+ est filialisée à 100% comme l'était Amundis, acquise en septembre dernier. D'autres opérations de croissance externe devraient suivre chez Eolen.

« C'est dans la période actuelle de crise et de nervosité, qu'il est intéressant d'apporter aux sociétés de nouvelles orientations, note Pascal Leblanc, PDG de Groupe Eolen. « Je compte bien avoir des appels de dirigeants de sociétés situées entre 50 et 200 salariés souhaitant s'adosser à un groupe qui préservera leur ADN. Je cherche avant tout des niches d'expertises, des sociétés positionnées dans le conseil et l'ingénierie ».

La société compte ainsi toujours réaliser 80 millions d'euros (ME) de chiffre d'affaires (CA) en 2015. Sur 2011, la croissance organique fut supérieure à 15% avec 22 ME de CA. En 2012, ce CA devrait passer à 27 ME. L'été prochain un fonds d'investissement pourrait faire son entrée au capital, mais Pascal Leblanc semble totalement allergique à l'idée d'une entrée en bourse.



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(18/01/2012 10:13:29)

La SSII CIS Valley dévoile son plan d'action 2012-2014

La société de services CIS Valley travaille depuis juin dernier sur son plan d'orientation stratégique 2012-2014, qui doit l'amener à réaliser 51 millions d'euros de chiffre d'affaires d'ici trois ans contre 29,6 millions d'euros en 2011. Cet objectif chiffré était déjà connu. Michel Rouvellat, le président de cette filiale de la holding Aquitaine Valley l'avait déjà expliqué à nos confrères de Distributique. Peu disert, à l'époque, sur les détails de ce plan d'actions, l'homme est en revanche en mesure de les dévoiler aujourd'hui. On apprend ainsi que la réalisation de l'objectif de l'entreprise devra passer par la progression l'ensemble de ses pôles d'activité : Intégration, lnfogérance, Etudes et Projets. Les revenus de ce dernier pôle, qui ont atteint 2,8 millions d'euros en 2011, devraient progresser de 82% d'ici trois ans pour atteindre alors 5,1 millions d'euros. Le chiffre d'affaires tiré des prestations d'infogérance devrait passer de son côté de 4,3 M€ environ l'an dernier à 7,4 M€ en 2014, soit une hausse de 72%. Enfin, la croissance de l'activité d'intégration, la plus grosse contributrice à l'activité globale de CIS Valley, devrait s'établir à +25% pour 27,5 M€ lors de la dernière année de son plan d'orientation. « Nous devrions y parvenir aisément puisque c'était le niveau d'activité que dégageait cette branche avant la fusion entre CIS et Aquitaine Valley », précise Michel Rouvellat.

L'atteinte de ces objectifs passe notamment par une réorganisation des forces de vente de l'entreprise. La SSII a décidé de rompre avec son approche précédente qui consistait à dédier une équipe de commerciaux à chacun de ses métiers et d'opter aujourd'hui pour une force de vente capable de commercialiser l'ensemble des produits et services de son catalogue. Une approche qui évite une forte augmentation de la masse salariale mais qui n'est pas sans occasionner des coûts supplémentaires. « Nous avons prévu une hausse de notre budget formation de 5% par an jusqu'en 2014, explique Michel Rouvellat. En 2011, il atteignait déjà 150 K€. » Les recrutements de la SSII seront donc ainsi maîtrisés puisque le nombre de ses collaborateurs ne passera "que" de 118 aujourd'hui à 160 en 2014. En outre, « nous allons faire beaucoup plus appel à la sous-traitance,répond Michel Rouvellat. Sur notre seule activité Etudes et Projets, la moitié de la croissance sera assurée par ce biais cette année. »

Un développement important des offres d'infogérance et du pôle Etudes et Projets

L'élargissement de son offre et de sa clientèle est le second grand pilier sur lequel repose le plan d'orientation 2012-2014 de CIS Valley. Pour délivrer une partie de ses prestations dans le domaine de l'infogérance, la SSII dispose de son propre centre de données à Bruges (33), près de son siège de Bordeaux(*). Ce dernier va faire l'objet d'investissements qui vont améliorer son taux de disponibilité sur les moyens généraux et lui permettre ainsi d'accueillir d'avantage de clients en 2012. A termes, cela ne sera toutefois pas suffisant pour éviter la saturation annoncé du centre de données de Bruges. En prévision, CIS Valley est en passe de conclure un accord avec un groupe bancaire qui doit prochainement ouvrir son centre de données doté d'un taux de disponibilité de 99,999%, dans lequel la SSII va pouvoir louer de l'espace pour de nouveaux clients. L'offre de son pôle infogérance en matière de SaaS va également être étoffée.
[[page]]Jusqu'ici, CIS Valley ne diffuse de cette façon que son logiciel maison CAP Valley qui cible principalement les organismes consulaires en quête d'un outil de gestion de leurs relations avec leurs adhérents.
« Demain, nous nous ouvrirons aussi au monde de la santé grâce à l'agrément d'hébergeur des données santé à caractère personnel que nous a délivré le ministère de la Santé », indique Michel Rouvellat. En outre, la SSII a entamé des discussions avec des éditeurs dont il compte héberger et diffuser les offres en mode SaaS, quel que soit le type d'applications concerné.

La croissance de l'activité Etudes et projets devrait se nourrir quant à elle d'une ouverture à une cible de clientèle plus large que celle des organismes consulaires. « Notre pôle Etudes et Projets commercialise notre applications CAP Valley en mode licence et propose des développements d'applications collaborative sur le base des technologies Microsoft, principalement aux organismes consulaires. Depuis le second trimestre 2011, nous ouvrons progressivement notre catalogue à toutes les PME et PMI ». Ces dernières représentent actuellement 20% de l'activité du pôle Etudes et Projets contre 80% pour les organismes consulaires. En 2014, la part des revenus générés par ces deux types de clients devrait être équilibrée. Si CIS Valley mise en partie sur la sous-traitance pour mieux répondre aux besoins de ces entreprises et organismes consulaires, la SSII a également recruté quatre collaborateurs maîtrisant les domaines du travail collaboratif et des technologies web cet été. La SSII veut aussi développer l'activité de son pôle Etudes et Projets dans le domaines du décisionnel, sur les technologies Business Objects et SQL Server 2012 qui sera livrée dans le courant du premier semestre de cette année.

A la lecture de l'ensemble des dispositions prises par CIS Valley et des objectifs qu'elle s'est fixé, il semble évident que la SSII a bien balisé sa route. Mais, en dépit des jalons qu'elle a posés, un incident de parcours peut toujours arriver puisqu'il ne lui a pas échappé que la France, en autres, subit les effets d'une crise économique qui pourrait s'aggraver de surcroît.
« Nous avons mis en place des indicateurs que nous allons suivre tous les mois. Si un changement important du contexte économique intervenait, nous modifierons notre plan d'actions », conclut Michel Rouvellat.

(*) CIS Valley dispose également d'agences à Nantes, Orléans, Toulouse et Montpellier.

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(18/01/2012 09:56:00)

Le Syntec Numérique veut se rapprocher de l'Afdel

La France éternelle est trop souvent représentée par ses tribus gauloises habituelles, une flopée d'associations toutes plus actives les unes que les autres, mais très dispersées, s'occupe ainsi du numérique. On pense évidemment à l'Afdel, au Simavelec, au SNJV, à la Fieec, Atena et la FFT dans les télécoms et tant d'autres. La liste est non limitative. Des organismes se surajoutent comme le Conseil national du numérique, couvert de fleurs par les dirigeants du Syntec Numérique.

Guy Mamou-Mani, le président de ce syndicat invite chacune d'elles à participer, sous une forme à définir, à un front commun. A l'approche des présidentielles, se multiplient en effet les initiatives de ces différents représentants du monde numérique. Jeudi dernier, l'Afdel présentait ses propositions, ce mardi 17 c'était au tour du Syntec Numérique. D'autres devraient suivre et ces représentants vont rencontrer les candidats aux présidentielles, du moins leurs conseillers en charge du numérique. Beaucoup de propositions sont communes, du moins très proches, un front commun permettrait d'être plus crédible, et « ce n'est pas une opa » précise Guy Mamou-Mani.

10 propositions réparties en 3 chapitres

Le Syntec Numérique a pour sa part présenté ce mardi 17 ses dix propositions pour les candidats aux présidentielles. Elles s'articulent autour de trois axes : créer un éco-système social et fiscal, développer les usages, moderniser l'Etat. Sur le 1er point, le Syndicat propose de : développer une filière éducative autour du numérique, sanctuariser le CIR (Crédit impôt recherche), créer un réseau (pourquoi pas un portail) unique d'accès aux multiples aides et financements proposés aux PME, valoriser la responsabilité sociétale des entreprises du numérique.

Côté usages, le Syntec Numérique propose de les développer dans les PME  et TPE à l'aide d'un Crédit impôt numérique, leur permettant de créer des sites dans leurs entreprises, de s'équiper en CRM ou ERP. Enfin, sur l'Etat, le Syndicat veut convaincre que ses propositions sont à coût nul, donc qu'elles favorisent les économies de l'Etat tout en développant une meilleure perception du service public par les usagers. Le Syntec Numérique insiste particulièrement sur l'éducation et la santé, à la fois côté usages et côté modernisation de l'Etat.

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(18/01/2012 09:42:25)

Lotusphere 2012 : accompagner les utilisateurs vers le réseau social

La qualité des outils fournis n'est pas une condition suffisante pour réussir un projet de réseau social en entreprise. L'implication des dirigeants est indispensable, ainsi qu'une équipe dédiée à ces usages. Au deuxième jour d'un Lotusphere axé sur le « Social Business », IBM a donné la parole à Wendy Arnott, responsable médias sociaux du groupe canadien TD Bank qui a déployé la plateforme de contacts Connections. Sixième banque d'Amérique du Nord, la société compte 85 000 employés. Après un projet pilote sur 500 personnes, l'application collaborative a été déployée auprès de 50 000 collaborateurs au Canada, avec un taux d'adoption multiplié par sept par rapport aux prévisions. Un succès dû à l'implication des équipes dédiées, estime la DSI du groupe, Glenda Crisp. De son côté, elle relève parmi les points sensibles la mise en place d'accès Single sign-on et l'intégration avec Microsoft SharePoint. Le groupe bancaire poursuit son déploiement sur 25 000 personnes aux Etats-Unis.

Profils, documents, communautés, wikis, microblogging

L'application Connections permet de dresser des profils de l'ensemble des collaborateurs pour faciliter les recherches de contacts et d'expertises au sein d'une entreprise. Elle propose aussi de créer des communautés internes, d'organiser ses activités, de publier et partager des documents, d'animer un blog, d'alimenter des wikis, de partager ses signets et de diffuser des informations par microblogging. La version 4 du logiciel, prévue pour le 2e trimestre, accueille les e-mails et les communautés externes, et elle déroule un flux d'activité qui peut intégrer des données venues d'autres applications. IBM Connections est un produit indépendant qui n'a pas besoin de s'utiliser avec les logiciels Notes/Domino. « 50% des ventes se font à des clients qui utilisent MS Exchange, nous n'essayons pas de leur vendre Notes », a rappelé ce matin Mike Rhodin, vice-président senior, responsable d'IBM Software Solutions Group. En revanche, IBM fournit gratuitement certaines fonctions de Connections aux utilisateurs de Notes/Domino : Profils, pour la recherche de contacts, Fichiers, pour le partage de documents, et le microblogging.

Mike Rhodin, responsable du groupe Software Solutions chez IBM
Mike Rhodin, vice-président senior, responsable d'IBM Software Solutions Group (crédit : M.G.)

Des vidéoconférences Polycom depuis Connections

L'analyste Ray Wang, PDG du cabinet Constellation Research, constate les avancées réalisées par IBM sur ces solutions de Social Business. « L'an dernier, nous avons vu beaucoup de marketing. IBM présentait sa vision et expliquait où il voulait aller. Cette année, nous voyons la réalisation de ces développements : certaines capacités à manipuler les fichiers, l'intégration, la mobilité... », énumère-t-il. « Et si l'on regarde du côté des fonctions complémentaires, ce que fait un partenaire comme Polycom est très intéressant ». Polycom présente sur Lotusphere 2012 l'association de ses solutions de vidéo avec Connections et avec Sametime. La plateforme de communication unifiée d'IBM est intégrée de façon native avec son offre RealPresence. A travers Sametime, Polycom permet aux utilisateurs du réseau social Connections de lancer une vidéo directement depuis leur interface. Il est aussi possible de rejoindre une réunion video hébergée sur RealPresence à partir d'un navigateur web sans disposer de Sametime.

Ray Wang pointe aussi tout ce qui a trait à la « gamification », démarche qui recourt aux techniques du jeu pour faciliter l'apprentissage, renforcer l'implication des employés ou la fidélité des clients. Un procédé que l'analyste présente comme un bon moyen d'amener des utilisateurs à participer au réseau social. IBM Connections devrait bénéficier d'un partenariat avec Bunchball, l'éditeur de la plateforme en ligne Nitro, qui a déjà sorti des solutions pour Salesforce.com et Jive. 

Budget : des décisions prises par les directions métiers

En résumé, Ray Wang estime qu'il y a eu beaucoup de travail de fait. « Et la bonne nouvelle, c'est que ce marché est encore très jeune. IBM a donc l'opportunité d'opérer un changement. » L'activité traditionnelle de messagerie, Notes, n'est sans doute pas au mieux, suggère l'analyste en soulignant qu'il en va de même pour Outlook et les outils de productivité bureautique. « Ils se renouvellent. La question est donc de savoir où aller pour choisir un jeu complet de solutions. Et c'est là-dessus que parie IBM ».  Ray Wang rappelle que Connections existe aussi en version SaaS, sur LotusLive, et que l'on peut facilement s'inscrire au service par petits groupes, sans que l'outil soit imposé par la hiérarchie. « Il y a un effet viral qui peut se produire si l'on essaie le produit, de la manière dont un Google progresse ».

L'analyste attire enfin l'attention sur les sessions de la conférence Connect 2012 qui, au sein de Lotusphere, s'adressent aux directions métiers. « Ce sont ces utilisateurs qui prennent en fait les décisions. Nos enquêtes montrent que les budgets IT baissent de 5% sur un an. En revanche, les dépenses technologiques des entreprises montent de 18 à 20%. Et qui prend les décisions, sinon les métiers. Il est donc très important de regarder ce que font ces directions. » Sur Connect 2012, Ray Wang animait lui-même une session pour « démystifier » les méthodes de « gamification ».

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(17/01/2012 15:49:03)

Le réseau Free Mobile a-t-il vraiment été activé ?

Les huissiers rentrent en piste dans la réponse des concurrents à Free Mobile. Selon le Figaro, plusieurs huissiers ont sillonné les rues de grandes villes pour vérifier que le nouvel opérateur a bien activé son réseau. Cette action a été diligentée par plusieurs opérateurs qui ont constaté que le réseau de Free mobile n'était pas « allumé ». Faux rétorque Xavier Niel au quotidien qui dit respecter son obligation de couverture de 27% de la population avec son propre réseau. Elle a d'ailleurs été  vérifiée par l'ARCEP en décembre dernier, déclenchant ainsi l'accord de roaming.

Les difficultés rencontrées ont peut-être d'autres causes comme la gestion d'un afflux massif de clients entraînant une saturation des serveurs de Free mobile. En tout cas, les concurrents du récent opérateur n'ont pas l'intention de se laisser faire alors que la barre des 1 million de clients va être prochainement atteinte par Free mobile après moins de 2 semaines d'existence. (...)

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