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(17/01/2012 14:42:12)

Syntec Numérique interpelle les candidats à la présidentielle

A moins de 100 jours de l'élection présidentielle, Guy Mamou-Mani, président de Syntec Numérique a dévoilé 10 propositions pour interpeller les candidats sur les métiers du numérique. Il a indiqué avoir déjà rencontré les conseillers des différents candidats, déclarés ou non, « avec très peu de connaissance de notre secteur, on part globalement de zéro » souligne-t-il. Il y a donc un travail pédagogique à faire. Les différentes propositions du Syntec Numérique s'articule autour de deux axes : Economie et Education d'un côté et les usages de l'autre.

Sur le premier, Guy Mamou-Mani veut créer une filière du numérique en France. « Nous avons un déficit de ressources et nos métiers emploient aussi bien des ingénieurs que des techniciens à bac +2 ». Il ajoute en 2011 « nous avons créé 40 000 postes, soit une création nette de 5 à 10 000 emplois ». La sensibilisation du numérique doit se faire à tous les niveaux et dès les classes primaires, collèges et lycées. Cela passe aussi par la modification des appellations des postes dans la nomenclature de la DARES qui date de 30 ans. Un accent particulier va être mis sur la féminisation des emplois dans l'informatique, les femmes ne représentant que 15% des effectifs des écoles d'ingénieurs.

Un guichet unique d'accès aux aides

Sur le plan de la fiscalité, le Syntec Numérique se prononce comme d'autres organismes professionnels « pour la pérennité du crédit impôt recherche (CIR) » qu'il souhaite sanctuariser. Guy Mamou-Mani soutient le projet de TVA social pour réduire le coût du travail. Il a par ailleurs annoncé qu'il allait remettre sur la table la question de la taxe professionnelle qui a abouti selon lui « à une augmentation de la pression fiscale de 20% pour les entreprises du secteur du numérique ». Le Syntec Numérique propose également la création d'un guichet unique, via un portail, qui centraliserait les aides, les subventions, le dépôt de brevets, etc.

Guy Mamou-Mani prend l'exemple du « département des Hauts-de-Seine où une entreprise numérique peut prétendre à 552 aides différentes. Il faut simplifier l'accès à ces aides. » Le volet social n'est pas oublié, le dirigeant du syndicat prône pour la mise en place d'un bonus/malus sur le respect de certains indicateurs sociaux plutôt que d'être systématiquement taxé. Ainsi sur la place des personnes handicapées dans les secteurs du numérique, Guy Mamou-Mani préfère investir dans « la formation certifiante plutôt qu'être ponctionné de 6% pour ne pas respecter les quotas dans les entreprises ».

Les usages et l'appel à l'union

Sur le deuxième volet, le Syntec Numérique veut développer les usages. La France est bien classée sur la partie infrastructure pour le haut et très haut débit, mais les services sont à la traîne explique le syndicat. « La moitié des PME n'ont pas de site Internet » rappelle Guy Mamou-Mani. Il souhaite donc la mise en place d'un crédit d'impôt numérique pour l'équipement des PME en matière de sites Internet, de CRM, d'ERP, etc... Autre élément, accélérer la modernisation de l'Etat. De bonnes choses ont été réalisées, constate le responsable avec la création de la DISIC, la dématérialisation des factures, la télémédecine, mais selon lui on peut aller plus loin sans nécessairement dépenser plus. « Il s'agit plus d'un problème culturel, que d'un retard dans les investissements », souligne le dirigeant.

Sur l'ensemble des propositions, le Syntec Numérique a promis de publier une synthèse des réponses des candidats avant la date de l'élection. En conclusion, Guy Mamou-Mani a lancé un appel à la création d'une union française des acteurs du numérique, dans le domaine de l'immatériel, pour donner plus de poids et de pression aux arguments du secteur. Il reste maintenant à savoir si cette main tendue trouvera un écho favorable auprès des autres organisations, comme l'Afdel, le CICF informatique, la FIEEC, etc.
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(17/01/2012 12:01:35)

Le Centre Hospitalier de Valence harmonise sa planification RH avec Equitime

Le Centre Hospitalier de Valence emploie 2 200 agents dont 300 médecins pour couvrir une zone de population de 450 000 habitants. La gestion des temps y est complexe à cause des rythmes de travail très particuliers au sein d'un tel établissement. Or il existait d'un côté un système de pointage entrées/sorties de personnel et de l'autre des tableaux de suivi sous logiciel bureautique (Excel en l'occurrence) sans relation avec la gestion de la paye. Cela entraînait donc une triple saisie. Le rapprochement des différents éléments aboutissait à des incohérences (notamment pour la gestion des jours de congé) et donc des conflits entre agents, cadres et DRH.

Cette situation était liée au fait que l'application choisie pour gérer le badgeage en 2002 n'était pas adaptée en terme d'ergonomie et de fonctionnalités aux besoins de l'établissement. Un groupe projet a donc été constitué pour lancer un nouvel appel d'offres, en mars 2010, avec une estimation de coût de 129 000 euros. Ce groupe de projet a établi un cahier des charges précis et l'a fait valider par les cadres de terrain, planificateurs des équipes.

GFI, Agfa et Equitime ont répondu à l'appel d'offres et c'est ce dernier qui a été choisi sur des critères de fonctionnalités et d'ergonomie, GFI étant moins cher. L'installation et le paramétrage ont été réalisés à l'automne 2010 et la mise en production en janvier 2011.

Après formation des cadres concernés, ceux-ci ont abandonné leurs réticences liées à la mauvaise expérience précédente. Petit à petit, l'ensemble des services a basculé sur le nouvel outil. Une évolution du déploiement est envisagée en ajoutant le module de gestion des demandes d'absences et de congés sur un mode workflow dématérialisé.

Le coût effectif final du projet n'a pas été communiqué

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(17/01/2012 09:02:28)

Lotusphere 2012 : IBM intègre messagerie et réseau social dans Connections 4

Les incitations à injecter du réseau social dans l'entreprise se sont largement multipliées ces derniers mois parmi les éditeurs de logiciels, sur tous les tons. Dans ce contexte, un précurseur comme IBM s'est parfois fait voler la vedette. Il a pourtant annoncé dès 2007 son outil de réseau social d'entreprise Connections. De surcroît, son offre prend racine dans une expérience de terrain, puisque Big Blue met ces pratiques en oeuvre au sein de ses propres équipes. Et depuis longtemps... « Voilà 15 ans que les employés d'IBM - 426 000 actuellement - ont recours à des logiciels de type social pour encourager la collaboration, et ce bien avant que la 'génération Y' s'installe sur Facebook », a souligné le groupe sur sa conférence Lotusphere (qui se tient  à Orlando jusqu'au 19 janvier). « IBM est le plus grand consommateur de technologies sociales », a pointé Jeanette Horan, CIO du groupe américain, en détaillant l'utilisation faite en interne : les 635 000 utilisateurs de Connections, en incluant les intervenants sous contrats, les 20 000 blogs individuels des collaborateurs, les 67 000 communautés, les 475 000 fichiers partagés, les 50 000 wikis, etc.

Jeanette Horan, CIO d'IBM
Jeanette Horan, CIO d'IBM (crédit : IBM)

Valider une transaction SAP depuis Connections 4

En 2012 comme en 2011, le rendez-vous consacré aux logiciels de communication et de collaboration d'IBM (Notes, Domino, Sametime...) est donc placé sous le signe du « social business ». Parmi les nouveautés du crû, IBM a présenté avec la version bêta de Connections 4 la première concrétisation du projet Vulcan dévoilé il y a deux ans. Il avait alors expliqué vouloir regrouper dans un seul produit des fonctions accessibles jusque-là dans différents logiciels. De fait, Connections 4 accueille les fonctions d'agenda et les e-mails, venant de serveurs Domino ou Microsoft Exchange, à côté de ses fonctions Profils (utilisées pour retrouver contacts et experts) et Communautés. Le logiciel va plus loin en affichant un flux d'activité dans lequel peuvent s'intégrer des données, structurées ou non, provenant d'applications externes. Une intégration qui s'appuie sur des spécifications standards comme OpenSocial et Activity Streams (cf activitystrea.ms). IBM donne en exemple la possibilité d'approuver une transaction SAP, d'explorer un fil Twitter, des vidéos ou des fichiers de connexion (logs), ou encore de signer un document électronique, le tout sans sortir de Connections. L'outil de réseau social vu comme un environnement de travail.

C'est l'une des constatations dégagées en 2011 par IBM Social Business Jam (un fil de discussion en ligne réunissant 4 000 participants). Pour être efficaces, les activités d'un réseau social doivent être en phase avec les processus métiers. Le tout devant se présenter de façon intégrée. Connections va également bénéficier de fonctions analytiques reposant sur l'offre Cognos. Elles permettront d'analyser l'activité et l'implications des utilisateurs dans le réseau social. La version 4 de Connections devrait arriver au deuxième trimestre (on premise). Déjà disponible sur iPhone, la déclinaison iPad du logiciel est sortie cet automne.

LotusLive devient IBM SmartCloud for Social Business

IBM a par ailleurs rebaptisé ses services de collaboration dans le cloud. Exit LotusLive, place à IBM SmartCloud for Social Business. L'offre reste la même pour l'instant. Elle devrait se compléter d'ici la fin de l'année d'un traitement de texte collaboratif, IBM Docs, en préparation depuis deux ans et déjà montré en preview. Ce logiciel n'a aucun lien avec la suite Symphony. Il s'agit d'un outil de partage de documents conçu pour faciliter les corrections multiples par différents groupes d'utilisateurs, par exemple sur des documents marketing. Pour concevoir Docs, IBM a étudié la façon dont les gens travaillaient en équipe autour d'un document, a expliqué Jeanette Barlow, responsable produit IBM Docs.

IBM Docs, en version bêta pour l'instant
IBM Docs (cliquer ici pour agrandir)

Pour mettre l'emphase sur les usages « sociaux », Lotusphere et ses sessions techniques se complètent cette année d'un deuxième événement, Connect2012, qui s'adresse aux directions métiers (DRH, marketing, commerciale...). L'enjeu : montrer comment les médias sociaux changent la façon dont les gens interagissent et quel parti en tirer, par exemple, pour mettre un produit sur le marché ou entrer en contact avec des clients. IBM veut aussi fournir à ces directions métiers des clés pour faire adopter ces outils de partage. Car c'est bien là que réside l'une des difficultés de ces projets : sans l'adhésion des utilisateurs, pas de flux d'activité, pas de réseau social. 

Pour cette 19e édition de Lotusphere, IBM a donc annoncé le lancement de services, sous forme d'ateliers techniques et de prestations de conseil, pour aider à développer une culture d'entreprise propre à favoriser l'usage des outils sociaux. Un programme qui inclut aussi des formations à la fonction de « community manager », des profils chargés de susciter et maintenir la participation des utilisateurs à la plateforme collaborative. Dans ce cadre, IBM a noué un partenariat avec la société Dachis Group, spécialisée sur la mise en place de ces organisations connectées et la mesure de l'activité associée.

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(16/01/2012 16:53:28)

Symantec s'offre LiveOffice, spécialiste de l'archivage en ligne

Symantec a annoncé le rachat  de LiveOffice, éditeur basé à Torrance en Californie, qui propose une variété de services de stockage et d'e-discovery en mode cloud, pour l'e-mail, la messagerie instantanée, les réseaux sociaux, le partage de fichiers et d'autres applications afin de répondre aux exigences réglementaires. La société travaille avec 20 000 sociétés dans 50 pays, selon son site internet.

Avec cette acquisition d'une valeur de 115 millions de dollars, Symantec va élargir son offre de produits d'archivage. Les clients auront ainsi le choix de stocker des informations soit sur site, soit dans les datacenters de Symantec ou opter pour une solution mixte. LiveOffice est déjà intégré à la plateforme e-discovery de Clearwell, qui coordonne la collecte d'informations dans le cadre d'actions en justice. Clearwell a été racheté en juillet 2011 par Symantec. Ce dernier va renforcer l'intégration de la solution e-discovery avec sa plateforme d'archivage Entreprise Vault.

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(16/01/2012 15:34:55)

Progress Software rachète Corticon, spécialiste des règles métiers

Progress Software étoffe son offre de réactivité opérationnelle (RPM) en rachetant la société Corticon. L'éditeur basé à Redwood en Californie propose une solution de gestion des règles métiers. Elle doit permettre aux entreprises de prendre plus rapidement des décisions. Le logiciel de Corticon s'appuie sur un moteur de règles « sans codage » autorisant l'automatisation des processus des décisions. L'éditeur annonce une réduction de 90% du cycle de développement et de modification des règles. Son produit phare est Corticon 5 qui comprend plusieurs modules, Server, Studio, Collaborator, Entreprise data connector (pour le dialogue avec les bases de données). On notera aussi une version beta de RulesCloud pour adopter des règles métiers aux services proposés en mode hébergé.

Le montant de l'opération n'a pas été publié.

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(16/01/2012 15:02:17)

Explosions chez 2 fournisseurs chinois d'Apple : la poussière d'aluminium en cause

Apple a confirmé que les explosions qui se sont produites l'an dernier dans les usines chinoises de deux de ses fournisseurs sont dues à la présence de quantité excessive de poussière d'aluminium. Dans le rapport qu'Apple publie chaque année et qui fait le bilan des efforts accomplis par ses fournisseurs en matière de sécurité des conditions de travail, de droit du travail et d'impact environnemental, l'entreprise indique que les explosions qui ont eu lieu l'année dernière dans les installations exploitées par Hon Hai Precision Industry - plus connu sous son nom commercial Foxconn - et Pegatron sont le fait de petites particules en suspension dans l'air.

L'explosion de l'usine de Foxconn en mai 2011 à Chengdu, en Chine, avait fait quatre morts et 18 blessés parmi les employés. Une autre explosion survenue au mois de décembre dans l'usine RiTeng Computer Accessory, une filiale de Pegatron, et située dans la région de Shanghai, avait fait 59 blessés, selon Apple. Pour ce dernier accident, d'autres sources avaient fait état de 61 blessés. Selon le rapport publié par Apple, dans les deux cas, c'est la présence de poussières combustibles - en particulier, de la poussière d'aluminium, qui est à l'origine des explosions. Les enquêtes effectuées au moment de chaque accident avaient avancé que la poussière d'aluminium produite lors du fraisage et du polissage des coques des iMac, MacBook et iPad était probablement responsable des explosions. Des experts, spécialisés dans les questions de qualité de l'air, et sollicités en mai dernier après l'explosion de Foxconn, avaient également orientés vers la piste de la poussière combustible.

Des explosions similaires chez les céréaliers

« Les très fines particules de matériaux de toutes sortes peuvent déclencher une explosion, » avait déclaré à l'époque Brian Edwards, directeur de l'ingénierie chez Professional Engineering (Atlanta). « La création de fines particules de poussière ou de poudre augmente la surface du matériau. Une étincelle peut provoquer une réaction exothermique rapide, » avait encore déclaré le directeur de l'ingénierie, utilisant un terme plus technique pour désigner l'explosion. « Cela diminue l'énergie minimale nécessaire pour la mise à feu et accélère la réaction. »

L'aluminium est « plus explosif que le sucre ou les poussières de céréales, » avait ajouté Brian Edwards, citant deux cas classiques d'explosion de poussières aux États-Unis. « Il faut une concordance parfaite d'évènements, » avait-il encore expliqué. « Il faut d'une part le bon niveau de concentration de poussières dans l'air, ensuite une quantité suffisante d'oxygène, et enfin une source d'inflammation. » Ce dernier avait émis l'hypothèse que la cause de l'explosion survenue dans l'usine de Foxconn était sans doute due à la présence de poussière d'aluminium dans les conduits d'évacuation chargés d'extraire la poussière des unités de polissage ou de meulage, qui en retour a enflammé la poussière dans l'unité de production. « Ce type d'explosions peut être violent, » avait-il fait remarquer. « Dans une explosion liée à la poussière, il est courant d'avoir des dégâts structurels, » avait conclu Brian Edwards.

La Chine verrouille toujours l'accès à certaines informations

Christopher Haase, directeur de l'environnement, de la santé et de la sécurité chez Environmentally Sensitive Solutions, une entreprise basée à Milwaukee (Wisconsin) qui développe des produits de nettoyage industriel, a déclaré que les usines chinoises étaient très en retard par rapport aux usines américaines dans la prévention des explosions où la poussière est en cause, en partie parce que la censure exercée par le gouvernement ne permet pas aux managers et aux experts d'avoir accès aux informations nécessaires pour améliorer la sécurité des lieux de production. « Ces dernières années, la Chine a instauré un Grand Firewall, empêchant les gens de communiquer entre eux, ou de se plaindre de leurs conditions de travail, » a déclaré Christopher Haase. « Ils demandent de l'aide, mais ils doivent utiliser des proxy et des messageries du genre Hotmail pour entrer en contact avec des experts occidentaux. » Le « Grand Firewall », c'est le nom utilisé par de nombreux citoyens pour qualifier l'action du gouvernement chinois en matière de contrôle de l'Internet.

Dans son rapport, Apple dit avoir travaillé avec des experts extérieurs pour auditer tous ses fournisseurs concernés par la poussière d'aluminium. Tous, sauf un, ont mis en place les nouvelles mesures. « Nous avons établi de nouvelles règles en matière de traitement des poussières inflammables sur notre chaîne d'approvisionnement, » a déclaré Apple. L'entreprise a listé plusieurs exigences pour la ventilation, demande l'inspection régulière des conduits, et interdit d'utiliser de l'air comprimée pour le nettoyage, une pratique qui répand encore plus de poussière dans l'air. « Tous les fournisseurs, sauf un, ont mis en oeuvre les mesures de protection établies par l'équipe d'experts en externe, » a  indiqué Apple. « Le fournisseur qui n'a pas mis ses installations aux normes restera exclus tant que les modifications préconisées n'auront pas été appliquées. » Apple n'a pas mentionné le nom de ce retardataire.

Le rapport publié par l'entreprise californienne peut être téléchargé sur son site Internet.

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(16/01/2012 14:14:08)

SAP acquiert Datango, spécialiste du logiciel de formation

SAP a annoncé son intention d'acquérir Datango, spécialiste du logiciel de formation. Cette société basée à Berlin propose une plateforme, baptisée « Datango performance suite » pour créer de la documentation, des sessions d'apprentissage, du matériel pour le e-learning et pour traduire des contenus dans 40 langues, etc. Pour SAP, cette opération est un moyen d'élargir son portefeuille dans le domaine de l'enseignement et la formation. L'objectif est de fournir aux clients de SAP des outils logiciels pour former les utilisateurs sur les ERP et gérer les connaissances. L'offre de Datango sera directement intégrée aux solutions de l'activité Training & Education de SAP. A noter que les deux sociétés ont déjà eu l'occasion de travailler ensemble, car Datango avait choisi By Design de SAP pour développer son offre SaaS.

L'opération doit être finalisée au 1er trimestre 2012, mais le montant de l'acquisition n'a pas été dévoilé.

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(16/01/2012 10:07:16)

Tableau Software restructure son programme partenaire

«Tableau Software est à la BI, ce qu'est salesforce.com au monde du CRM » lance Bruno Saint-Cast, vice-président Europe. « Ce qui prend des mois avec d'autres solutions devient ici très simple, le coût par utilisateur peut descendre à 200 euros et moins, cet utilisateur devenant très indépendant de l'informatique ».  Les plus grandes bases de données au monde, Google, eBay, Wallmart, Zinga utilisent les produits de Tableau Software.

Avec 150 nouveaux clients en France en 18 mois, la question de la  vente indirecte se pose. Tableau compte plusieurs types de partenaires : alliance pour les grands comptes (Sopra, Atos, Cap), référents pour les apporteurs d'affaires, et revendeurs. Comme toute répartition, elle comporte des exceptions, par exemple Micropole à la fois référent et revendeur. Tableau compte une dizaine de partenaires en France et ne souhaite pas recruter outre mesure, mais conforter ses partenaires par son nouveau programme.

Celui-ci permet de certifier les différents partenaires, avec trois niveaux : bronze, silver, gold. Et des niveaux de remise appropriée correspondants. Ils ont accès à un centre de ressources dédié et à des formations.  

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(16/01/2012 10:01:12)

Altersis rachète Scopteam, spécialiste des tests de performance

La SSII d'Aix en Provence a acquis la société lyonnaise, Scopteam, spécialisée dans les tests de performance. Créée en 2008, Altersis réalise en 2011 5,8 millions d'euros (ME) de chiffre d'affaires (CA). « Nous nous sommes créés et nous restons sur une philosophie particulière liée aux contacts humains, c'est notre axe de recrutement, il se ressent chez nos clients, qui apprécient notre approche comme nos prestations » souligne Guy Puech, PDG d'Altersis.

La société  compte actuellement 78 salariés, elle va procéder à une quarantaine de recrutements en 2012. « J'avais annoncé que nous serions une centaine fin 2012, annonce faite mi 2010, ce sera le cas » note Guy Puech, sans triomphalisme. Pas le genre de la maison, mais l'ancien judoka a mis en pratique ses principes. Et vise 10 ME de CA en 2013.

Le rachat de Scopteam apporte une autre compétence, sur les tests, une implantation à Lyon et une autre à Paris. Une société rentable, avec un CA de 2,7 ME en 2011 avec 27 collaborateurs.  

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(16/01/2012 09:52:25)

Dell dévoile des certifications cloud

Dell a profité de son forum européen sur le stockage, qui se tenait du 9 au 12 janvier derniers à Londres, pour annoncer le lancement d'une nouvelle certification autour du Cloud Computing dans le courant du premier semestre 2012. Tout n'est pas encore finalisé, le fabricant réfléchissant encore à la meilleure façon de la mettre en oeuvre. On sait déjà que ce nouveau label revendeur, qui sera intégré au programme Partner Direct, va se décliner en trois catégories : Cloud Builder, Cloud Provider et Service Enabler. « Jusqu'ici, l'accompagnement que Dell offre à ses revendeurs dans la construction d'une solution de cloud privé se concentre principalement autour du matériel. Pour le reste, par exemple le choix de l'hyperviseur, ils sont autonomes, ce qui implique qu'ils aient fait l'effort préalable de se former eux-mêmes. Avec notre certification, nous allons leur apporter ce savoir-faire et les aider ainsi à accroître ou démarre leur activité sur le marché du cloud computing», explique Alexandre Brousse, le directeur du channel chez Dell France.

A l'issue de l'obtention de la certification Cloud Builder, les partenaires de Dell seront capables de mettre en place un cloud privé chez leurs clients. La certification Cloud Provider leur permettra quant à elle d'être en mesure de proposer une offre de cloud privé totalement hébergée chez eux ou en partie. Enfin, la catégorie Service Enabler atteste de la capacité d'un partenaire de Dell à gérer une infrastructure de cloud privé de A à Z.

Mieux classifier la documentation en ligne destinée aux revendeurs

Le forum européen de Dell a été aussi l'occasion de dévoiler de nouveaux outils destinés à faciliter les démarches commerciales et techniques des revendeurs. Le premier d'entre eux, le Storage Master Tool (SMT), offre un accès plus simple à la masse d'informations mises à leur disposition par le fabricant. Grâce au SMT, celles-ci sont désormais classées d'une part en fonction du type de produits qu'elles concernent (gouvernance, consolidation, virtualisation, optimisation des applications...) puis selon l'étape du cycle de vente durant laquelle elles sont utiles (identification, qualification, proposition et conclusion du contrat). «Le configurateur SMT est public mais l'accès à certaines informations nécessite d'être un revendeur membre de notre programme Partner Direct », précise Alexandre Brousse. Déjà disponible en Anglais, l'outil devrait être proposé en français à compter du mois de février.

Autre outil présenté par Dell, le Performance Analysis Collection Kit (DPACK) est destiné à la réalisation d'analyses automatisées de datacenters. Utilisé à l'origine en interne par Dell, il donne à ses revendeurs la possibilité de détecter des problèmes dans le système informatique d'un client. Il sert également au dimensionnement des différents éléments d'une solution (nombre de serveurs, mémoire, capacité de stockage) qui vont permettre de répondre aux besoins d'un client. L'outil doit être encore traduit en français mais serait déjà utilisé par des revendeurs en France.

En revanche, il faudra attendre le mois d'avril pour voir arriver le Online Solution Configuration Tool (SCT / outil de configuration de solution en ligne), troisième et dernier outil annoncé lors du forum européen de Dell. Basé sur un indexe renfermant l'ensemble des produits et des bundles du constructeur en matière d'infrastructure, il peut déterminer si les différents éléments d'une solution complète sont compatibles entre eux (des serveurs avec des commutateurs par exemple) et fonctionneront donc bien ensemble. Dell fournit déjà un configurateur de produits en ligne. Mais celui-ci ne peut attester que de la compatibilité des différents éléments constitutifs d'un seul produit. Cerise sur le gâteau, le SCT indique aussi au revendeur le prix public de la solution qu'il a créée. Dommage que le niveau de remise du partenaire n'y figure pas également.

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