Flux RSS
Business
9034 documents trouvés, affichage des résultats 2811 à 2820.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(21/07/2010 23:02:38)
Quitus européen à l'opération SAP/Sybase
L'exécutif bruxellois a considéré que cette opération l'opération n'entraverait pas de manière significative l'exercice d'une concurrence effective dans l'Espace économique européen ou une partie substantielle de celui-ci. SAP a annoncé au mois de mai dernier l'acquisition de Sybase pour un montant de 4,5 milliards d'euros https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-sap-rachete-sybase-pour-ses-technologies-mobiles-et-in-memory-30663.html. Les deux acteurs vont développer des synergies dans deux domaines technologiques : l'accélération de l'analyse de données avec les traitements "in-memory" et le renforcement des solutions de mobilité.
SAP a d'ailleurs profité de cette acceptation européenne sans conditions suspensives, pour prolonger son OPA amicale. L'offre, lancée par le biais de sa filiale Sheffield Acquisition à un prix de 65 dollars l'action, clôturera finalement le 26 juillet, et non le 16 juillet comme prévu précédemment.
Trimestriels Yahoo : la web compagnie déçoit et surprend en même temps
Le chiffre d'affaires de Yahoo pour le second trimestre tombe en dessous des attentes et des estimations des analystes. Avec 1,6 milliards de dollars, soit une hausse très légère de 2%, le portail Internet ne réalise pas son objectif, situé entre 1,6 et 1,68 milliards. Et si l'on soustrait les commissions et autres frais payés à ses partenaires, le chiffre tombe à 1,13 milliards, soit 30 millions de dollars en deçà de ce que les analystes avaient estimé. Ce n'est pas pour rassurer les investisseurs, sachant que le concurrent direct, Google, a présenté une hausse de 24% de son chiffre d'affaires.
Carol Bartz, directrice Générale de Yahoo, explique cette faible croissance en juin, par des coupes dans les dépenses marketing d'importants acheteurs d'espaces publicitaires, toujours frileux face à une reprise économique en retrait. Par contre pour le début du mois de juillet, elle constate que tous les investissements étaient revenus à la normale.
Un bénéfice net en hausse
A l'inverse, en terme de bénéfice net, Yahoo crée la surprise, en affichant 213 millions de dollars de profit, soit 51% de plus sur un an. L'entreprise a précisé que le chiffre d'affaires en provenance de la publicité était en hausse de 4%, tandis que celui originaire de cotisations, ainsi que de services comme Flickr Pro, est en baisse de 16%. Selon Carol Bartz, il faudra encore attendre quelques trimestres pour que les investissements effectués depuis son arrivée, l'année dernière, commencent à porter leurs fruits. Prudent, le groupe Internet estime que son chiffre d'affaires pour le prochain trimestre se situera entre 1,57 et 1,65 milliards de dollars, peut-être pour éviter encore une mauvaise surprise.
Réorganisation stratégique interne chez IBM
Ce rôle incombe à Steven A. Mills, qui devient ainsi vice-président senior et directeur du groupe systèmes et logiciels. Travaillant chez IBM depuis 36 ans, il était précédemment en charge de la partie logicielle. Rodney C. Adkins, vice-président pour les systèmes et le groupe de technologie reportera directement auprès de lui.
Cette combinaison matérielle et logicielle constitue une véritable rupture par rapport au passé, souligne Christopher Mines directeur de recherche chez Forrester Research. Il ajoute qu'une des principales raisons de ce rapprochement est que le hardware ne constitue plus que 20% des revenus d'IBM.
Autre facteur clé, l'écosystème a changé. L'analyste constate que la convergence intègre logiciel et matériel en offrant une diversité par rapport à l'ère Wintel (Windows et Intel) qui a perduré pendant 2 décennies. D'autre part certaines acquisitions comme Sun par Oracle montrent la synergie entre équipement et logiciel.
Les prétendants à la succession bien dotés
D'autres changements ont eu lieu notamment dans le domaine des services. Michael E. Daniels sera en charge de l'activité IBM Global Services, après s'être occupé de l'outsourcing et de l'intégration des services. Frank Kern, responsable des services aux entreprises depuis janvier 2009, rapportera directement auprès de lui. De son côté, Virginia M. Rometty s'empare de fonctions marketing et stratégie en complément de son poste actuel de responsable des ventes mondiales et de la distribution.
L'analyste pense que Samuel J. Palmisano, qui va atteindre 60 ans et donc l'âge de la retraite, pourrait demander de rester une ou deux années supplémentaires. Christopher Mines croit aussi que « Daniels et Rometty sont des successeurs potentiels évidents ».
Illustration: Steven Mills, IBM
(...)(21/07/2010 16:22:46)Trimestriels VMware : L'éditeur poursuit son ascension
Le spécialiste de la virtualisation continue sa montée en puissance. Les résultats du second trimestre 2010 montrent un chiffre d'affaires en progression sur un an de 48% à 674 millions de dollars et un bénéfice net en hausse de 129% à 74,5 millions de dollars.
Les revenus aux Etats-Unis affichent une croissance de 43% à 334 millions de dollars. De son côté,l'activité internationale croît de 53% à 340 millions de dollars. Mark Pee, directeur financier de VMware souligne que « les très bons résultats du second trimestre s'expliquent par une forte demande sur l'ensemble de nos produits et une croissance sur tous les territoires ».
Les ventes de licences de logiciels considérées comme la mesure de la croissance future, ont augmenté de 42% à 324 millions de dollars. Les revenus des services, y compris la maintenance de logiciels, ont grimpé à un rythme légèrement supérieur à 350 millions de dollars, a souligné la filiale d'EMC.
Fort de ces résultats, le directeur financier a révisé à la hausse ses prévisions « le chiffre d'affaires total pour le troisième trimestre est estimé entre 680 et 705 millions de dollars. Pour notre chiffre d'affaires 2010, nous relevons nos prévisions entre 2,725 et 2,8 milliards de dollars, soit une augmentation de 35% à 38% par rapport à 2009 ».
Crédit Photo: D.R
(...)(21/07/2010 12:42:11)Trimestriels Apple : L'iPhone, l'iPad et les Mac affichent des ventes record
Le PDG charismatique d'Apple pouvait savourer la présentation des résultats du troisième trimestre 2010, après son intervention sauvetage de la semaine dernière sur les problèmes d'antenne de l'iPhone 4. Steve Jobs a déclaré « Ce trimestre a été vraiment phénoménal et a dépassé toutes nos attentes ». Les chiffres sont là pour le prouver. Le chiffre d'affaires est en hausse de 61% sur un an atteignant 15,7 milliards de dollars. Certains pensent même que pour la première fois ce résultat dépassera le chiffre d'affaires de Microsoft (prévision de 15,15 milliards de dollars). En matière de bénéfice net, la progression sur un an est encore plus significative, +78% à 3,25 milliards de dollars. La marge brute a légèrement reculé à 39,1% contre 40,5% un an avant. Sur le plan de la trésorerie, le directeur financier du groupe a expliqué « nous avons généré 4 milliards de dollars de cash sur ce trimestre » et de prévoir pour le 4ème trimestre un chiffre d'affaires de 18 milliards de dollars.
Le trio magique
Pour expliquer cette excellente santé financière, la firme de Cupertino avance des ventes record de trois produits. L'iPad, lancé en début d'année, s'est vendu à 3,27 millions d'exemplaires. Du côté des Mac, 3,47 millions d'unités ont trouvé preneur. Enfin l'iPhone s'est écoulé à 8,4 millions au cours de la période, soit une progression de 61% sur un an. Seules les ventes de l'iPod s'érodent un peu à 9,41 milliards d'unités,- 8% par rapport à l'année précédente.
Devant de tels résultats, les analystes saluent principalement la réussite de la tablette d'Apple. Cette dernière a généré 2,17 milliards de dollars soit 14% du revenu global d'Apple. Pour Brian Marshall, analyste chez Gleacher & Company « ce succès confirme qu'un nouveau segment de marché est né et qu'il n'a pas cannibalisé les Mac, comme plusieurs personnes l'avaient prédit ». Ces résultats ont modifié aussi les prévisions de plusieurs cabinets d'analystes sur les ventes la tablette Apple, iSuppli estime à 12,7 millions le nombre d'unités vendues à la fin 2010. De son côté AbiResearch prévoit 11 millions de ventes.
En commentant les résultats, Steve Jobs a prévu « des produits étonnants d'ici la fin de l'année ». A suivre...
Les pratiques du e-commerce sous surveillance
Les autorités ont surtout relevé des manquements quant à l'identification du vendeur, des fausses annonces de réduction de prix et de fausses inscriptions gratuites. Mis en place en 2000 pour « veiller à la sécurité du consommateurs sur Internet », le Centre de surveillance du commerce électronique a effectué 9 728 contrôles en 2009 auprès de 7 353 sites marchands (soit 11% des sites marchands).
Des comportements litigieux
Ce travail a donné lieu à 189 procès-verbaux et 1.124 rappels de règlementation. Les autorités ont en effet eu du mal parfois à relever l'identité d'un vendeur, si celui-ci était un particulier ou un professionnel ou s'il était domicilié en France. Des pratiques commerciales trompeuses ont été aussi observées. Les internautes sont dans ce cas attirés par des offres avantageuses qui ne sont finalement que « très marginales, voire absentes ».
A noter que certains sites se permettent d'ajouter des frais accessoires ou des options non demandées explicitement par le consommateur dans le panier virtuel. Une pratique qui peut même se faire à l'insu de ce dernier.
Crédit Photo: D.R (...)
Trimestriels IBM : Un bénéfice en hausse de 9%
Pour son deuxième trimestre 2010, les bénéfices d'IBM ont augmenté de 9% par rapport à l'année précédente, avec une augmentation des ventes aux États-Unis et en Asie qui compense des résultats plus faibles en Europe. Le bénéfice net pour ce trimestre, terminé le 30 juin, a été de 3,4 milliards de dollars (2,61 $ par action), contre 3,1 milliards de dollars (2,32 $ par action) l'année dernière. Les revenus ont atteint 23,7 milliards de dollars, en hausse de 2% en glissement annuel. IBM a également relevé ses perspectives de bénéfices pour l'année à au moins 11,25 $ par action, en hausse de 0,05 $ par rapport à sa précédente projection. Samuel Palmisano, CEO de la compagnie, a expliqué que Big Blue allait accentuer la vente de produits à valeur élevée et le déploiement de Z et de systèmes Power cette année. Une annonce majeure sur les mainframes est d'ailleurs attendue demain jeudi à New York.
Le chiffre d'affaires de la division logicielle a augmenté de 2% au deuxième trimestre, et même 6% si l'on tient compte de la récente cession de l'activité gestion de projet du cycle de vie. Global Services augmente également son CA de 2% mais l'activité connait un léger tassement. La signature de contrats a en effet légèrement diminué de 12% à 12,3 milliards de dollars, une indication que les entreprises pourraient ralentir les nouveaux projets IT face aux incertitudes de l'économie mondiale, notamment la crise de la dette européenne. Cependant, IBM a également signé 15 contrats de service - contre 13 au précédent trimestre - pour une valeur de plus de 100 millions de dollars.
Bonnes ventes des serveurs x86
Les revenus de la partie Systems & Technology qui comprend les serveurs, ont augmenté de 3%. Si les ventes des serveurs System X (x86) ont grimpé de 30%, les Power ont reculé de 10% et les mainframes de 24%. IBM est aujourd'hui confronté à un nouveau défi dans le matériel avec l'arrivée d'Oracle, qui achève l'intégration de Sun Microsystems. Les ventes de certains matériels ont diminué, car les clients attendent l'arrivée de nouvelles technologies a expliqué le directeur financier d'IBM, Mark Loughridge,lors d'une téléconférence. Par exemple, le prochain système mainframe Z « n'est pas simplement un nouveau Z », selon Mark Loughridge. « Ce Z est un «système dans une cascade de systèmes ».
Sur une base géographique, les résultats financiers d'IBM sont toutefois mitigés avec une hausse de 3% en Amérique à 10,2 milliards de dollars, et de 9% dans la région Asie-Pacifique à 5,4 milliards de dollars. Mais le chiffre d'affaires a diminué de 6% en Europe, au Moyen-Orient et en Afrique, avec un chiffre de 7,4 milliards de dollars.
Illustration : Sam Palmisano, PDG d'IBM (crédit photo : IBM)
La diversification de Google séduit et inquiète
Les dirigeants de l'éditeur ont expliqué que la société avait réalisé des progrès important dans 3 principaux marchés prometteurs, la publicité sur écran, sur le mobile et l'hébergement de logiciel de productivité. Les analystes financiers sont convaincus par cette démarche, même si les revenus de ces marchés ne constituent pas une rupture fondamentale du modèle économique de Google.
Les principales recettes de la firme de Moutain View proviennent de la publicité du moteur de recherche, un segment hautement profitable et avec une position dominante sur ce marché. Mais fort de cette puissance, Google a été critiqué pour ne dépendre que de cette activité. La conséquence est que si un concurrent créé un meilleur outil de publicité, l'impact financier pour Google sera important.
Le décollage des marchés émergents constaté
Les analystes financiers, à travers leurs propres études, leurs calculs et commentaires des acteurs, semblent persuadés du potentiel des marchés émergents où Google est présent. En constatant une croissance non anticipée de 24% du chiffre d'affaires sur un an au second trimestre, Douglas Anmuth, analyste pour Barclays Capital, écrit « la croissance nous donne à penser que les nouvelles initiatives telles que l'affichage - et dans une moindre mesure la publicité sur mobile - gagnent du terrain et commencer à afficher des résultats significatifs ». De son côté Citigroup se focalise sur la forte progression des revenus sur le territoire américain. L'une des raisons de cette hausse est aussi l'affichage et la publicité sur mobile, « qui participent concrètement à la croissance du chiffre d'affaires total de l'éditeur ».
Crédit Photo: D.R
[[page]]
Ben Z.Rose, président de Battle Road Research estime que Google est en phase de générer entre 500 et 700 millions de dollars sur l'affichage cette année. « Il semble que YouTube soit particulièrement adapté pour cela » explique t'il en soulignant que le site de partage vidéo est la composante clé de la stratégie de la société de Mountain view sur l'affichage. Le dirigeant est aussi confiant sur la politique de Google dans les outils de productivité hébergés et de prédire « entre le coeur de métier et les orientations vers des nouvelles plateformes, alliés avec l'expansion à l'international, nous estimons que ses revenus progresseront de 20% par an ».
Des chiffres qui parlent
Patrick Pichette, directeur financier de Google et d'autres dirigeants ont dressé lors de la présentation des résultats une longue litanie de statistiques enthousiastes sur les activités en devenir. Ainsi, YouTube a attiré beaucoup de grands noms industriels comme Sony ou Coca-Cola, en générant 2 milliards de pages vues par jour et avec un taux de monétisation en hausse. Sur la partie mobile, 160 000 téléphones sous Android sont activés tous les jours et 70 000 applications sont disponibles. Les requêtes de recherches sur Android ont progressé de 300% au premier semestre 2010. L'activité Google Entreprise a indiqué que plusieurs grands comptes utilisaient la suite bureautique Google Apps, en concurrence directe avec IBM-Lotus, Microsoft, etc.
[[page]]
Plus explicite, la montée en puissance de ces différentes activités s'est traduite par une augmentation des dotations et le renforcement des équipes. Google a annoncé le recrutement de 1200 personnes au second trimestre soit plus que les deux trimestres précédents réunis. L'éditeur a réalisé depuis le début de l'année 15 acquisitions, dont certaines ont permis de dynamiser les activités émergentes : DocVerse acquis en mars pour améliorer Google Docs et Apps, Admob racheté 750 millions de dollars apporte son expérience dans la publicité sur mobile, enfin Invite Media acheté en juin s'adresse à l'affichage publicitaire.
Un avenir semé de doutes
Il sera intéressant de regarder les prochains trimestres pour savoir si les revenus issus de la diversification progressent toujours ou s'essoufflent sur la durée. Une possibilité si Google peinent à concurrencer les différents acteurs dans chacun des marchés. La firme Internet a investi beaucoup d'argent et le moindre faux pas pourrait avoir un impact financier important.
Comme d'autres analystes, Ben Z.Rose a constaté que le niveau d'investissements sur le second trimestre était très élevé, tout comme la frénésie d'acquisitions par rapport à l'année 2009 où seules 4 sociétés avaient été rachetées. Cela a eu un impact sur le bénéfice par actions, moins élevé que les prévisions des analystes financiers et l'action de Google a chuté de 4% à l'ouverture des marchés. Des analystes de Morgan Stanley ont écrit qu'il y avait un risque de continuer à investir à un niveau aussi élevé. Cependant, ils indiquent aussi que la discipline financière de l'éditeur lui a permis de traverser la crise de 2009 et que les investissements réalisés observent une certaine prudence, en donnant des résultats à moyen ou long terme.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |