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(09/07/2010 16:37:52)
Contrit, Google obtient finalement sa licence commerciale en Chine
Le gouvernement chinois a décidé d'accorder le renouvellement de la licence d'exploitation du site google.cn, d'après l'entreprise. « Nous sommes très heureux que le gouvernement ait reconduit notre licence ICP (Internet Content Provider), et sommes vraiment impatients de pouvoir continuer à fournir notre moteur de recherche et des produits locaux à nos utilisateurs chinois » indique un post obséquieux sur le blog officiel de Google. Les autorités pékinoises ont informé l'entreprise de leur décision vendredi, d'après la porte parole de la firme, Jessica Powell. Pour autant, le ministre chinois de l'industrie et de l'information n'a pu être joint pour commenter cette annonce.
Un pas en arrière
Ce renouvellement serait une bonne nouvelle pour les internautes, d'après Liu Ning, du cabinet de consulting BDA, qui ajoute que « Google est important pour le marché chinois du moteur de recherche. S'il venait à en disparaître, Baidu le dominerait intégralement et ce ne serait une situation profitable ni pour les utilisateurs, ni pour les publicitaires, à mon avis ». En effet, à la différence du reste du monde, Google occupe en Chine une position de nain face au moteur de recherche local, Baidu. A côté de cela, cette décision entérine le pas en arrière opéré par la firme. Après avoir décidé de fermer la version chinoise de son site et de redouter le trafic vers Hong Kong suite à des attaques contre les services Google, et notamment le piratage de comptes Gmail, l'entreprise a finalement mis fin à sa fronde et humblement demandé le renouvellement de sa licence commerciale.
La punition par le délai
Google aura donc attendu plus d'une semaine la décision des officiels chinois. Cette licence d'exploitation doit être revue annuellement, poussant les entreprises à se plier aux demandes des autorités pour continuer à travailler en Chine. La redirection du trafic implémentée en mars par Google vers la version basée à Hong Kong de son moteur de recherche avait passablement énervé les autorités, et rendu incertaine l'issue de la démarche de renouvellement subséquente. Plus tôt dans la semaine, un porte parole du ministère chinois avait déclaré que la longueur du délai de réponse était due à une soumission tardive de la demande faite par Google. Pour autant, le PDG de la firme, Eric Schmidt, avait affirmé jeudi être confiant dans la reconduction de la licence d'exploitation. (...)
VMware évasif sur la sortie de son hyperviseur client
Presque deux ans après l'annonce par VMware de son initiative « Vclient » pour donner une option VDI à ses différents produits, l'éditeur n'a toujours pas activé cette technologie. Certes, il offre la virtualisation du poste de travail à partir des serveurs, mais il avait annoncé en 2008, un hyperviseur de type Bare Metal , « Virtualisation Client », pour PC.
Ces derniers permettent aux postes de travail d'exécuter une machine virtuelle installée directement sur le terminal d'un utilisateur, plutôt qu'à partir d'un serveur au sein d'un datacenter. Cette approche ouvre la voie au modèle « apportez votre propre ordinateur au travail ». Ces portables une fois installé fonctionnent avec un OS virtuel et des applications de l'entreprise, bien séparés de l'usage personnel.
Sur ce type de solutions, VMware a comme concurrent Citrix qui devait dévoiler son hyperviseur client en 2009. Finalement, l'éditeur a attendu mai 2010 pour dévoiler Xen Client.
Une réorientation vers PCoIP ?
Sollicité sur un calendrier, Bogomil Balkansky, vice-président du marketing produit de VMware, indique « nous n'avons pas de calendrier » et de reconnaître « ce n'est pas un problème informatique facile à résoudre ». Le responsable pense peut-être aux hypothèses émises par le cabinet Gartner pour expliquer ces retards : des difficultés pour intégrer les différents pilotes et la réticence des fabricants à embarquer l'hyperviseur client au sein des machines.
Bogomil Balkansky avance un autre élément : le développement de PCoIP (PC over IP), le protocole de VMware autorisant l'accès à distance aux postes de travail et serveurs de clients légers. Cette technologie prend le pas sur les travaux sur l'hyperviseur bare-metal. Elle est surtout un moyen d'éviter l'écueil des pilotes, audio, USB, webcam, etc.
Deux stratégies semblent donc se dessiner entre Citrix qui va pousser son hyperviseur client, sur une base installée moins importante que celle de son concurrent. VMware de son côté va devoir choisir une position plus claire entre hyperviseur bare metal ou PCoIP, au risque sinon de voir partir ses clients vers les sirènes de Citrix.
Le gouvernement dit non à la redevance sur les PC
Répondant à une question de Jean-Claude Flory, député UMP de l'Ardèche, le ministre du Budget a écarté l'idée d'une extension de la redevance aux ordinateurs. "Aucune étude ne permet en effet d'affirmer que les ménages français consomment désormais principalement les programmes de télévision sur ordinateur : on observe plutôt des phénomènes de duplication, l'ordinateur devenant "un second écran". C'est la raison pour laquelle le Gouvernement est défavorable à une extension du champ d'application de la taxe aux micro-ordinateurs", a-t-il expliqué. Toutefois, François Baroin juge nécessaire le "suivi de cette question, au travers notamment de l'examen récurrent des modes de consommation des foyers".
L'idée de taxer les ordinateurs de la redevance audiovisuelle avait refait surface ces derniers jours, suite à la remise d'un rapport au Sénat, dans lequel deux parlementaires préconisent de considérer les ordinateurs individuels comme des postes de télévision, et donc de les soumettre à la redevance audiovisuelle. Les deux rapporteurs estiment que les personnes possédant un ordinateur pour recevoir la télévision, mais ne possédant pas de téléviseur dans leur foyer, doivent être soumises à cette taxe.
En janvier 2009, le Sénat avait adopté, contre l'avis du gouvernement, un amendement qui étend la taxe des téléviseurs aux ordinateurs capables de recevoir les programmes des chaînes TV. Toutefois, cette extension n'a jamais été validée en commission mixte paritaire. (...)
5 milliards d'abonnés à la téléphonie mobile dans le monde
Selon le rapport d'Ericsson, la 5 milliardième ligne de téléphonie mobile a été ouverte jeudi 8 juillet. En 2000, le nombre d'abonnés s'élevait à 720 millions, soit à peine le chiffre d'utilisateurs que compte la Chine actuellement. Les recrutements évoluent désormais à un rythme de 2 millions par jour, grâce à la forte croissance des pays émergents, notamment la Chine et l'Inde.
Sur les 5 milliards d'abonnements mobiles, la part des contrats 3G (réseau mobile de troisième génération) s'élèverait à 500 millions. Un chiffre qui devrait atteindre les 3,4 milliards en 2015, selon Ericsson. Avec 5 milliards d'utilisateurs, la téléphonie mobile représente l'une des technologies personnelles la plus adoptée dans le monde, avec le téléviseur (environ 5 milliards également), mais loin devant le PC (près de 2 milliards).
La technologie sans contact entre réflexion et perspective
« Le défi que nous voulons relever est de faire de la France le leader mondial de la technologie sans contact. » Signée Christian Estrosi, ministre de l'industrie lors d'une conférence sur l'évolution du sans contact en France, cette citation montre l'ambition gouvernementale au sujet de la technologie NFC (Near Field Communication) et du sans contact en général. Un message similaire avait déjà été passé par Luc Chatel, il y a un an, alors au même poste.
Le voeu du ministre risque de ne pas aller bien loin. Force est de constater que depuis cinq ans toutes les expérimentations butent au final sur la question de la répartition des revenus entre les opérateurs télécoms et les banques, et du modèle économique au sens plus large. Une source proche d'un opérateur notait récemment que le niveau élevé d'endettement des opérateurs mobiles français auprès des banques ne favorise pas la négociation. Faudra-t-il en arriver à la solution japonaise portée par l'opérateur NTT Docomo qui possède un écosystème propriétaire avec son propre système de crédit ? D'autres options sont aussi à trouver du côté de la grande distribution.
Tour de France des projets
Quoiqu'il en soit, la conférence du 6 juillet n'aura pas abordé cette question épineuse. Elle a commencé en faisant le point sur trois projets pilotes emblématiques du NFC en France, à savoir Caen, Bordeaux et Nice (Strasbourg ou Besançon n'étaient pas présentes). Le projet Caennais a démarré en 2005. Elle est la première ville au monde à avoir réalisé des paiements par mobile au travers de cas d'usage comme de la billettique sans contact installée dans les parkings Vinci dès 2005.
Le développement s'est poursuivi dans la ville normande avec la mise en place du projet Pégasus/Payez mobile en associant 6 grandes banques et 4 opérateurs de téléphonie mobile. Une mobilisation dont l'intérêt a été souligné par Josette Travert, Maire adjointe de Caen et présidente de l'université de Caen : « le fait d'avoir plusieurs banques et opérateurs nous a permis d'avoir une expérience à grande échelle qui n'est pas limitée à 1 ou 2 acteurs. »
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Cette expérience de paiement mobile a eu des résultats positifs puisque 94% des utilisateurs souhaitaient une généralisation du procédé. La dernière phase d'expérimentations déployée actuellement sur la ville est un projet international réunissant 25 partenaires et se nommant Smart Urban Spaces. Ce dernier vise à tester l'interopérabilité d'une carte de vie citoyenne basée sur le mobile. Elle est distribuée auprès de 2500 utilisateurs et 160 commerces du centre-ville de Caen et a pour cadre d'usage le paiement, la billettique, les programmes de fidélisation et la gestion des événements.
Autre projet présenté : celui de Bordeaux. La diffusion du sans contact y est orientée sur 4 axes majeurs de la politique municipale : l'éducation, la participation, l'internet pour tous et les services. Une carte ville à été lancée autour de ces orientations permettant l'accès à certaines infrastructures municipales. En 2007 cette carte a été simplifiée et a muté en carte sans contact multimodale. Aujourd'hui 35 000 bordelais possèdent une telle carte.
L'objectif de la municipalité est de dématérialiser cette carte sur d'autres supports comme le mobile ou sur une clé USB. Cette évolution va être installée en partenariat avec Applicam, Neowave, Orange Business Services et BNP Paribas.
Enfin, l'expérimentation la plus récente concerne la ville de Nice. Celle-ci a déployé un projet NFC. Nommé Cityzi, il repose sur des téléphones mobiles NFC (le Player One de Samsung, un des rares téléphones commercialisés embarquant du NFC) ou sur une carte bancaire sans contact. Il offre de services large avec des offres de billettique pour les transports, des informations culturelles, des infos contextuelles dans la ville et surtout depuis peu, le paiement. Environ 500 commerçants sont équipés de terminaux sans contact. 11 banques et les 3 opérateurs mobiles dominants sont partenaires.
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Florence Barale, élue en charge du développement du NFC sur la ville de Nice, insiste sur la nécessité d'une « implication forte des collectivités territoriales pour permettre une implantation efficace ».
Intermodalité et nouveaux projets
Lors de la conférence, Pierre Hérisson, député de la Haute-Savoie et président du groupe d'étude poste et communications électroniques a également tenu à rappeler qu'il restait « encore des marges d'amélioration au sujet de l'acceptation du sans contact par tous les publics et notamment les plus âgés ». Roland Ries, sénateur-maire de Strasbourg et président du groupement des autorités responsables du transport (GART), a quant à lui mis en avant la nécessité de mettre en oeuvre l'intermodalité entre moyens de transports : « l'intermodalité permet de mieux organiser l'offre et d'optimiser les déplacements sur notre territoire ». Cette prise en compte va permettre, selon lui : « un essor mondial du sans contact ».
En conclusion, Christian Estrosi, ministre l'industrie, a fait l'annonce des 12 lauréats de l'appel à projet « objets communicants et sans contact » qui se partageront une enveloppe de 4,5 millions d'euros sur un effort global en recherche et développement de 12,5 millions d'euros. Ces projets touchent des secteurs comme le commerce, le tourisme ou encore la santé. Pour pousser les territoires à l'innovation et à l'appropriation de nouvelles technologies, le ministre à également confirmé la labellisation dès 2010 de 3 à 5 territoires « leaders du sans contact ». Bref, on continue d'avancer à petits pas sans progresser réellement tant que la répartition des revenus entre les banques et les opérateurs n'aura pas été clarifiée.
Le marché des semi-conducteurs va progresser de 8,8% par an d'ici 2014
IDC dresse un tableau de l'évolution des semi-conducteurs entre 2010 et 2014. Ce marché avait diminué de 9% en 2009. En 2010, il marché devrait se monter à 274 milliards de dollars avant de passer à 295 en 2011 et d'atteindre les 344 en 2014. Une croissance moyenne de 8,8% par an. Cette croissance sera à deux chiffres sur le marché des PC, tiré par les applications pour PC mobiles, et celui des smartphones. Ce sera également le cas pour l'industrie militaire, l'aéronautique, l'automobile.
Ces données sectorielles s'accompagnent de l'envolée de la mémoire (DRAM et flash), indispensable pour les ordinateurs portables, les netbooks et les smartphones (...)
Aubay avale Adex
La SSII Aubay, 147,2 millions d'euros (ME) de chiffre d'affaires (CA) en 2009, rachète Adex qui en a réalisé 16,3. A l'origine de ce rapprochement, la volonté du Pdg d'Adex, Alain Stern (un ancien d'Axime-Atos et d'Oracle) d'assurer, à 60 ans, la pérennité de ses activités.
Adex, comme Aubay est essentiellement orientée sur le secteur banques finances et dans les grands comptes. En plus, coté technologies la société possède de fortes compétences en Java et en .Net. Dernière caractéristique, Adex est implantée en Ile-de-France mais aussi en PACA, Aubay étant sur Nantes et l'Ile-de-France. Aubay se donne deux ans pour amener Adex aux mêmes ratiox de rentabilité qu'elle. (...)
L'audiovisuel s'interroge sur son futur modèle économique
(Source EuroTMT) Dans un premier temps, on serait tenté de se dire : « une étude de plus ! » Mais après avoir écouté les explications fournies par Gilles Fontaine, directeur général adjoint de l'Idate (Institut de l'audiovisuel et des télécommunications en Europe), la nouvelle étude sur l'avenir de la télévision, publiée par le cabinet situé à Montpellier, a, au moins, un mérite par rapport aux études précédentes. Il met les dirigeants de l'audiovisuel face à leurs responsabilités en décrivant très précisément la révolution en cours dans leur secteur.
Si depuis quelques années, la conséquence la plus visible de l'irruption d'internet dans l'audiovisuel, à savoir la dé-linéarisation de la consommation (autrement dit une diffusion à la demande), a déjà été diagnostiquée, l'étude de l'Idate analyse l'ensemble des bouleversements induits par le développement des services en ligne.
Changement de comportements
Selon l'Institut, il y en a deux principaux : le temps passé devant les chaînes de télévision pour regarder les programmes en temps réel se réduit. Cette période se concentre sur les événements à l'exemple des sports, de l'information, des émissions de télé-réalités. Deuxième enseignement, les chaînes télé ne sont plus les seuls prescripteurs de programmes vidéo. Elles sont maintenant concurrencées par les réseaux sociaux et les moteurs de recherche. Principale conséquence de ces bouleversements, on assiste à la fin d'une époque. Depuis le début de la télévision, cet univers était fermé, totalement contrôlé par les chaînes qui contrôlaient les contenus, le canal de distribution et le terminal.
Crédit photo France Télévisions
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Un monde qu'Internet fait voler en éclats, d'autant que le téléviseur devient lui aussi un terminal connecté, permettant à de nouveaux acteurs, comme les éditeurs ou les fabricants d'électronique grand public, d'entrer dans le jeu.
Revoir le modèle économique
La conclusion de l'étude est que les grands noms de l'audiovisuel doivent reconstruire leur modèle économique, sachant que cela paraît plus facile pour les groupes américains dont les contenus sont consommés sur l'ensemble, ou presque de la planète, que pour les groupes européens. Pour ces derniers, la situation se complique du fait que les contenus d'origine américaine, grands pourvoyeurs d'audience, et donc de recettes publicitaires, sont maintenant disponibles sur des sites en ligne, plus ou moins légaux, avant même que les chaînes européennes n'aient acquis les droits de leur diffusion pour leurs marchés domestiques respectifs. Il existe un délai de six mois entre la diffusion d'une série aux Etats-Unis et en Europe.
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Symbole de cette nouvelle concurrence, le déplacement des pics de trafic sur internet. Selon l'Idate qui a exploité les données fournies par Cisco, le premier pic de trafic qui était jusqu'à présent compris entre 17 et 19h est en train de se rapprocher du prime-time de la télé, 20-22 h, en raison d'une croissance des connexions en début de soirée sur des sites de vidéos en streaming proposant de véritables services de télévision de rattrapage, comme le site www.megavideostreaming.com qui permet de voir les séries américaines deux jours après leur diffusion.
Des pistes de survie
Pour autant, l'Idate estime que tout n'est pas perdu pour les groupes audiovisuels et propose six pistes de travail permettant de s'adapter à la nouvelle donne :
- s'internationaliser pour réduire les coûts et trouver de nouveaux relais de croissance,
- sortir du modèle généraliste,
- s'intégrer verticalement avec les opérateurs télécoms,
- devenir le gestionnaire du foyer numérique vidéo pour garder l'accès aux consommateurs,
- se replier sur la production de contenus,
- reproduire le modèle de diffusion en broadcast sur internet.
Et c'est certainement la mise en oeuvre de plusieurs de ces pistes qui garantira à certains de survivre.
L'UE dédouane encore Adwords de violation du droit des marques
En effet, les juges ont confirmé que les entreprises utilisant des noms de concurrents comme mots clés pour faire de la publicité sur Internet ne violent pas le droit européen des marques. Ce jugement pourrait donc avoir un impact important sur le modèle économique du service Adwords de Google.
La décision fait suite à une longue bataille entre Google et les propriétaires de marques. Le cas d'espèce impliquait un fabricant d'espace modulaire Portakabin et son concurrent Primakabin, qui fournit des cabines d'occasion (notamment de la marque Portakabin) . Ce dernier a choisi comme mots-clés pour le service de publicité de Google, Portakabin, portacabin, portokabin et portocabin. Les trois dernières variantes ont été intégrées pour prendre en considération les erreurs de frappe ou d'orthographe.
La juridiction européenne de Luxembourg a admis que quand un utilisateur effectue une requête sur la base d'un ou plusieurs mots, le moteur de recherche permet de trouver les sites qui semblent le mieux correspondre à ces mots. Il a en outre admis que les clients d'Adwords puissent choisir ces mots, dans des limites raisonnables, sans porter atteinte au droit des marques. La Cour rappelle « qu'il ne peut être interdit à un revendeur spécialisé dans la vente de produits d'occasion d'une marque d'autrui de faire usage de cette marque en vue d'annoncer au public des activités de revente qui incluent, outre la vente de produits d'occasion de ladite marque, la vente d'autres produits d'occasion, à moins que la revente de ces autres produits ne risque, eu égard à son volume, à sa présentation ou à sa mauvaise qualité, d'amoindrir gravement l'image que le titulaire a réussi à créer autour de sa marque. » (...)
Infor s'empare des activités ERP LN de Qurius
L'éditeur de solutions métiers dédiées aux entreprises du « mid-market » a annoncé la reprise des activités ERP LN de Qurius.
Les deux sociétés étaient à l'origine partenaires. Qurius est intégrateur d'Infor pour accompagner ces clients en matière d'architecture, de déploiement et de gestion de systèmes, ainsi que de solutions IT y compris sur les infrastructures. La firme belge disposait d'une compétence propre sur les solutions ERP LN, progiciel de gestion intégré. C'est cette activité que vient d'acquérir Infor.
L'accord prévoit que les 60 membres de Qurius en charge du service clients d'ERP LN en Italie, en Allemagne et en Espagne rejoindront les équipes d'Infor. Ce dernier reprend donc la main sur la distribution de sa solution PGI. Pour Dennis Michaelis, vice-président senior d'Infor « cette opération ne représente pas un changement de stratégie, elle nous permettra au contraire de continuer à investir dans notre programme Channel et de recruter de nouveaux partenaires partout dans le monde ».
Aucun montant n'a été dévoilé sur cette opération.
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