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(08/07/2010 14:41:44)

Spie Communications acquiert Veepee

Drôle d'anniversaire pour Veepee, qui s'offre pour ses 10 ans, à Spie Communications. Aucun montant n'a été dévoilé sur cette union, mais l'opérateur de services IP a réalisé en 2009 un chiffre d'affaires de 16 millions d'euros. Fondé par Eric Rousseau, Veepee a démarré sur un marché de niche très porteur, les médias en assurant, via une plateforme multi-opérateurs, l'envoi des fichiers (photos, maquettes, vidéo etc.) aux imprimeurs ou aux diffuseurs. Cette expertise a évolué avec le temps vers les services managés et plus récemment vers les offres clouds. Il dispose de son propre datacenter en plein coeur de Paris.

L'acquisition par Spie Communications ouvre donc une autre étape de la vie de Veepee avec une industrialisation des services proposés. Pour l'intégrateur, cette opération lui permet de répondre à des demandes spécifiques (maîtrise du Wan, criticité et sécurisation des infrastructures IP) des PME et grands comptes. Veepee, qui va devenir une filiale, comprend 60 personnes et les différentes équipes seront intégrées au sein de Spie Communications.

(...)

(08/07/2010 13:38:40)

IBM et l'Union européenne créent un consortium sur le cloud

Cette entité devrait développer des modèles scientifiques sur des systèmes informatiques, capables de gérer les services web depuis différents environnements matériels et logiciel dans un système cloud flexible, explique IBM dans un communiqué.

Les systèmes actuels ne sont pas maniables et chaque modification nécessite une intervention manuelle. Les chercheurs espèrent trouver un cadre pour réduire le temps de conception et le déploiement de ces services en les accueillant sur un cloud central. Ces travaux pourront s'inspirer d'un projet déjà mis en route, baptisé Pincette.

Les chercheurs se pencheront également sur un projet nommé ACSI (Artifact Centric Service Interoperation), qui repose sur le concept, introduit cette année par IBM, de hub d'interopérabilités. Ces pôles offrent une plateforme cloud au sein de laquelle les logiciels en ligne et les services  peuvent facilement être créés et déployés. Les clients paieront pour le service d'intégration et aussi pour l'hébergement en fonction des données stockées et les transactions réalisées.

Les universités retenus pour ce consortium sont la Sapienza Universita de Rome, L'université libre de Bozen Bolzano, l'Imperial College (Royaume-Uni), la Technische Universiteit Eindhoven (Pays-Bas), L'Université de Tartu en Estonie et enfin Collibra NV (Belgique).

(...)

(08/07/2010 11:03:10)

Direction changée et ambition renforcée pour le CICF Informatique

Elue le 23 juin dernier pour deux ans, Marie Prat en était jusqu'ici la vice-présidente. C'est son prédécesseur, Jacques Setton qui fut à l'origine de la création de ce syndicat dédié aux petites entreprises du secteur informatique (Revendeurs, sociétés de conseil, agences web, éditeurs de logiciels...). L'organisation est affiliée à la Chambre de l'Ingénierie et du Conseil de France. Cette fédération regroupe 11 syndicats patronaux et 1200 adhérents actifs dans les domaines de l'ingénierie et du conseil, dans divers types de secteurs d'activités (BTP, hôtellerie-retauration, Management, Industrie...).

Un ambitieux plan de recrutement

« De nouvelles adhésions sont enregistrées tous les jours. D'ici la fin de sa mandature, la nouvelle équipe dirigeante s'est fixée l'objectif réaliste de recruter deux cents nouveaux adhérents », indique Marie Prat. Sans un nombre suffisant d'entreprises derrière lui, il est en effet difficile pour le syndicat de faire entendre sa voix, notamment sur les initiatives gouvernementales qui concernent ses membres.

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La présidente du CICF Informatique est d'autant plus confiante dans la capacité du syndicat à rassembler que le vivier dans lequel il peut recruter est important : « D'après l'Insee, la France compte environ 80 000 sociétés [Ndlr : Au sens des codes APE] susceptibles de nous rejoindre.»

Des outils et de la pédagogie

L'élargissement du nombre de services fournis aux adhérents du syndicat constitue le deuxième axe de travail de la nouvelle direction. Outre des contrats d'assurance RCP et de garantie social d'entreprise négociés, ainsi que des formations à des prix préférentiels, le CICF Informatique propose déjà une newsletter et met à la disposition de ses membres une plate-forme collaborative. Pour aller plus loin, sa commission Economie et Marché planche par exemple sur la mise en place d'un observatoire des petites entreprises du secteur IT. L'objectif est de fournir aux adhérents du syndicat des indicateurs sur les activités à fort potentiel de revenus dans leur secteur ou encore sur les métiers qui recrutent. Ces types d'information devraient être disponibles d'ici la fin 2010.

Le CICF Informatique souhaite également organiser en région des événements comme le petit déjeuner d'information sur le Cloud Computing qu'il a mis sur pied en juin à Paris. « Nous allons d'avantage solliciter nos 15 chambres régionales pour organiser localement des événements de ce type », conclut Marie Prat. (...)

(08/07/2010 11:02:34)

APX se renforce dans la virtualisation avec Kappa

Les projets de virtualisation de postes de travail ne sont pas encore légion. Mais ce marché représente un potentiel de revenus importants qui aiguise l'appétit des prestataires de services en infrastructure. Encore faut-il qu'ils aient les compétences pour en capter une partie. Tel n'était pas le cas de la SSII APX qui vient de remédier au problème en rachetant sa consoeur Kappa. Cette structure de taille modeste a réalisé en 2009 un chiffre d'affaires de 7 M€ pour un effectif de 30 personne réparties entre Lorient (siège) et Paris. Elle réalise 40% de son activité autour des solutions de VMware, 40% autour des solutions Citrix et 20% autour d'hyper-V de Microsoft. L'an dernier, APX affichait quant à elle 178 M€ de chiffre d'affaires pour plus de 1500 collaborateurs.

Ambition dans la virtualisation

« Nous voulons devenir le leader sur le marché de la virtualisation », martèle Bruno Lampe, le directeur général et co-fondateur d'APX. Or, jusqu'ici, la SSII ne pouvait mettre en avant dans ce domaine que des compétences dans la virtualisation des serveurs, dont dispose également Kappa, et du stockage. « Il est essentiel que nous maîtrisions toutes les problématiques de la virtualisation. Après les serveurs, l'enjeux est aujourd'hui d'être bien positionnés sur le poste de travail où la compétition s'organise. Cela nous permettra de profiter dans les meilleurs conditions de l'envolée des projets de virtualisation du stockage attendue en 2011 », explique Bruno Lampe.

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Le rachat de Kappa va également permettre à APX de dégager plus de revenus récurrents. Grâce aux compétences de son acquisition, la SSII va en effet proposer des services de support de niveau 2 et de maintien en condition opérationnelle autour des technologies Citrix et VMware.

Une intégration en douceur

Pour parvenir à l'intégration totale des équipe de Kappa au sein des siennes, APX veut agir en douceur. Un souci qui témoigne de l'expérience acquise par la SSII dans ce type d'opération qu'elle a mené dix fois lors des dix dernières années. En pratique, le nom de Kappa et le mode de fonctionnement de ses équipes vont perdurer jusqu'au 31 décembre prochain. A l'issue de cette période, elles rejoindront le pôle virtualisation d'APX. Il sera dirigé par Armel Kermorvant qui n'est autre que le président de Kappa. Celui-ci sera notamment chargé de diffuser le savoir-faire de ses équipes en termes de virtualisation de postes de travail à travers les 13 agences d'APX en France. (...)

(08/07/2010 11:03:54)

Jean Noël de Galzain, PDG de Wallix au secours de Mandriva

Après des années de difficultés financières et des semaines de rumeurs (un éventuel rachat par Linagora ou par l'anglais Lightapp était évoqué), Mandriva entre dans une nouvelle phase.  « Arnaud Laprévote  (*) m'a appelé pour me demander un coup de main, j'ai réuni une équipe et réussi à construire un plan, nous explique Jean-Noël de Galzain, Pdg de Wallix (**) qui entre au conseil d'administration de Mandriva.  Bertrand Glineur, ancien DSI du Crédit Foncier devient également administrateur.

Jean-Noël de Galzain annoncera, début septembre, le nouveau tour de table (ainsi que  le nom des actionnaires qui ont pris le contrôle de la société avec lui) et la nouvelle équipe de direction. Pour l'heure, il donne des précisions sur son plan de redressement qui tient en deux étapes. D'ici la fin de l'année 2010, Mandriva sera restructurée avec une baisse des coûts de fonctionnement, pour l'amener à l'équilibre financier. « Depuis dix ans, la société perd de l'argent, on veut tout simplement que fin décembre, elle commence à en gagner ».  Dans un second temps, en 2011, Mandriva sera refinancée et prendra de nouvelles orientations.

Mandriva sera totalement en indirect

Parmi ces orientations, deux sont déjà arrêtées. D'abord, Mandriva va évoluer vers une distribution commerciale exclusivement en indirect à travers des revendeurs et des intégrateurs. C'est le modèle suivi par Wallix, dans le domaine de la sécurité, ces derniers mois.

Ensuite, Mandriva  prendra plus fortement le virage de l'entreprise où, malgré la demande, elle n'a pas su s'implanter.  l'éditeur proposera ainsi des offres de gestion de parcs, actuellement, elle est surtout focalisée sur le poste de travail, les serveurs et les appareils mobiles. Une deuxième ligne de produits sera donc mise au point, d'où la nécessité d'investissements supplémentaire à partir de 2011. La solution « Mandriva Linux 2010 Spring », développée par l'actuelle direction, sortira comme prévu dans une semaine.

« Mandriva est une perle technologique, avec des produits bien conçus, souligne Jean-Noël de Galzain. C'est la dernière distribution Linux européenne avec une communauté de 3,5 millions d'utilisateurs. Le nom est connu dans le monde entier. C'est pourquoi nous avons engagé un plan ambitieux pour lui donner une bonne gestion et une nouvelle dynamique ».
(...)

(08/07/2010 11:03:28)

La cotation de Facebook bientôt en orbite ?

(Source EuroTMT) L'idée de l'entrée en bourse n'est pas neuve. L'information avait déjà circulé sur la Toile en 2007. Puis en mars dernier après la publication dans le Wall Street Journal d'une interview du golden boy. « Nous entrerons en bourse un jour, tout simplement parce qu'il s'agit du contrat que nous avons avec nos investisseurs et nos employés. En revanche, nous ne sommes pas vraiment pressés » déclarait à l'époque le fondateur de Facebook. Reste aussi la grande question qui circule dans le milieu des affaires, quelle sera la valorisation de la société ?

Quid de la valorisation

L'an dernier, quelques analystes estimaient que la firme pourrait être valorisée à hauteur de 40 milliards de dollars, voire 59 milliards en 2011. Pour preuve, des analystes américains citaient l'exemple de Google qui avait atteint les 27 milliards de dollars lors de son introduction en bourse en 2004. Aujourd'hui, Google pèse environ 150 milliards de dollars. Du coup, toutes les estimations sont permises en ce qui concerne Facebook. Pour la petite histoire, la décision de faire le triple saut périlleux aurait été prise après la mise au point des résultats financiers enregistrés en 2009. Une année record pour le site créé en février 2004. Depuis décembre 2009 Facebook rassemblerait plus de 400 millions de membres actifs au niveau mondial dont 15 millions en France. Soit une augmentation de 50 % par rapport à 2008.

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Toujours côté chiffres, le site a réalisé 800 millions de dollars de chiffre d'affaires, contre 300 millions l'année précédente. Selon la rumeur, ces recettes seraient par ailleurs assorties d'un bénéfice net estimé à plusieurs dizaines de millions de dollars. Ce rythme de croissance particulièrement exceptionnel en période de crise est justifié en coulisse par l'augmentation du nombre de visiteurs d'une année sur l'autre.

Garder le contrôle de la société

L'entreprise compte aujourd'hui quelque 700 salariés ainsi que des collaborateurs occasionnels éparpillés aux quatre coins du monde. Côté gestion, le passage en bourse ne changera rien au système actuel. De fait, Mark Zuckerberg n'a aucunement l'intention de lâcher les commandes de l'avion au contraire. Cet homme dont le patrimoine personnel est estimé à 4 milliards de dollars par la revue Forbes se dit en effet très à l'aise dans ses bottes de grand patron.

Et son prochain objectif, mis à part l'entrée en bourse, est de rassembler un milliard d'internautes d'ici peu. L'idée est ambitieuse mais elle permettrait à Mark Zuckerberg, de concrétiser un autre objectif, à savoir augmenter le chiffre d'affaires publicitaire. Des accords ont déjà été passés à titre de ballon d'essai notamment avec l'agence Tribal DDB de Chicago.

Rebaptisée «  proximity and delivery system », la formule mise en place permet de toucher les consommateurs équipés de smartphones et de leur offrir des ristournes dans les cafés Starbucks moyennant un message expédié via Facebook. Une idée que Mark Zuckerberg veut développer en s'associant à plusieurs entreprises. Cela devrait avoir lieu avant la présentation en bourse pour augmenter les recettes, et donc la valorisation de Facebook.

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(07/07/2010 16:15:45)

E-commerce : la fraude a encore augmenté en 2009

Fia-Net, filiale du Crédit Agricole, spécialisée dans la labellisation des e-commerçants et l'analyse des transactions financières marchandes, publie son Livre Blanc pour 2010 concernant les fraudes bancaires en ligne observées sur l'année 2009. Le volume étudié représente plus de 3 milliards d'euros de chiffre d'affaire, répartis en 17 millions de transactions sur lesquelles la société a relevé 450 800 tentatives de fraude.

Une hausse globale, mais sur des paniers plus restreints

Les e-commerçants ont subi des tentatives de fraudes pour un montant de 86 millions d'euros, soit un taux de 2,82%, supérieur aux 2,69% de l'année précédente, sur la somme totale des transactions. Cela représente un taux d'impayés quant à lui stabilisé à 0,15% du chiffre d'affaire des marchands en ligne, sur des paniers moyens ayant statistiquement baissé de 435 € à 357 € par rapport à 2008. En somme, il y a plus de fraudes, mais sur des montants moins importants qu'auparavant et donc plus difficilement repérables. Fia-Net tente aussi d'extrapoler ces résultats par rapport à l'ensemble du marché français des transactions commerciales en ligne, identifié par la FEVAD (Fédération de l'e-commerce et de la vente à distance). L'entreprise estime alors, sur les 25 milliards d'euros de chiffre d'affaire relevés par la fédération, que le montant des tentatives de malversations s'élèverait à 705 millions d'euros, et que 36 millions auraient effectivement été détournés par ces attaques.

Des réseaux criminels bien organisés

Fia-Net constate que les fraudeurs, organisés en réseaux pour la plupart, rivalisent d'ingéniosité en développant des moyens sans cesse réinventés pour parvenir à leurs fins. La société relève que le nombre de tentatives effectuées par des personnes connues de ses services a augmenté de 47%, soit 140 064 sur les 450 800 relevées.

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Le chiffre est à corréler avec le nombre d'identifications estimé à 53 000, soit une hausse de 42%. D'après les analyses, ceux-ci effectueraient en moyenne 2,64 délits chacun, pour un montant moyen de 295 €. L'étude remarque aussi que le nombre de réseaux organisés a triplé, de 2394 en 2008 à 7009 en 2009. Ils sont désormais composés de moins d'individus, afin de limiter les risques de détection.

Le textile comme nouvelle cible de choix

Même si le matériel informatique reste le secteur le plus sujet aux malversations (panier moyen d'impayés de 614 €), un regain d'intérêt est observé pour les articles textiles et mode, avec 92% d'augmentation des impayés par rapport à l'année précédente. Le secteur représente même 51% du nombre de fraudes total relevé. Fia-Net note en effet qu'il s'agit de produits plus facilement et discrètement recelés que les produits informatiques.

Les fraudes à la carte bancaire restent donc un risque majeur pour le e-commerce, et ce malgré la mise en place de dispositifs de sécurité de plus en plus précis. Les capacités d'adaptation des criminels en ligne, que ce soit au niveau de leur structure, du mode opératoire ou de leurs outils font qu'il est bien difficile de diminuer le taux de tentatives, mais aussi celui d'impayés. La stabilité de ce dernier, relevée depuis trois années consécutives par l'agence de certification, démontre tout autant la faculté des solutions de sécurité e-commerce à résister à ces attaques, que leur incapacité à renverser notablement la tendance.

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(07/07/2010 15:42:31)

EMC acquiert Greenplum, spécialiste de la BI

EMC va s'emparer de la société Greenplum, pour un montant non dévoilé. Cette acquisition devrait donner naissance à une entité spécifique, « Data Computing Product » sur la technologie proposée par la jeune société. Elle sera dirigée par le CEO de Greenplum, Bill Cook qui répondra à Pat Gelsinger.  L'entreprise vend des logiciels pour analyser de grandes quantités d'informations qui sont collectées dans plusieurs bases de données et traitées séparément pour apporter plus rapidement des résultats aux requêtes. « La solution repose sur l'infrastructure de stockage et de calcul de la société pour permettre aux utilisateurs d'obtenir des réponses sur les données » souligne Scott Yara, co-fondateur de Greenplum.

Lors d'un passage à Paris pour signer un partenariat de distribution avec Team Partner, les deux fondateurs de Greenplum, Scott Yara et Luke Lonargan, ont présenté leur société. Basée à San Mateo en Californie, elle a été fondée en 2003. Elle compte 140 employés, qui seront intégrées dans EMC. Pour la petite anecdote, on retiendra que le nom de la société a été trouvé par un des enfants d'un dirigeant, qui après avoir proposé Apple, a finalement choisi ce qu'il voyait dans un panier de fruit, Greenplum (reine claude). Lors d'une discussion avec Luke Lonargan, il nous avait indiqué être en discussion avec EMC et vouloir proposer à la fin de l'année 2010 une appliance (en concurrence avec Terradata ou Netazza).

La donnée a une valeur ajoutée

A travers plusieurs exemples, Greenplum a démontré la valeur ajoutée des millions d'informations intégrées dans les bases de données. Ainsi, pour l'opérateur T-Mobile, le traitement des données a permis de comprendre les raisons du taux d'attrition des abonnés et de leur proposer des offres ad hoc.

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Un service à la volée a même était installé, pour que les salariés puissent, sans passer par les responsables IT, émettre des requêtes sur la base de données. Idem pour une banque américaine, qui avec la crise, avait eu l'opportunité d'acquérir plusieurs sociétés concurrentes. Elle a chargé Greenplum de travailler sur les différentes données pour mieux accompagner les clients des différentes sociétés rachetées (offre adaptée, uniformisée, etc.). Luke Lonargan explique que « peu de gens savent que les données de leur entreprise représente un atout majeur, il suffit simplement de leur démontrer que la donnée a une valeur ajoutée à condition de la traiter ».

Pour EMC, l'intégration de la technologie Greenplum va impacter plusieurs divisions dont le stockage, la sauvegarde, la sécurité. Elle suivra en cela l'expérience du rachat de Documentum, à la différence que ce dernier traitait des données non structurées, alors que Greenplum s'adresse aux informations structurées, souligne Chuck Hollis, vice-président d'EMC. Celui-ci a déclaré qu'il continuera à vendre l'ensemble du portefeuille de produits Greenplum tout en développant un matériel intégré. EMC poursuit ainsi sa montée en puissance autour des services du traitement de la data et de la BI. Il est probable que cela annonce d'autres acquisitions en la matière pour compléter cette nouvelle division.j

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(07/07/2010 11:33:57)

Le centre de développement de T-Systems à Lille repris par Airial

La très discrète SSII Airial, filiale du groupe belge RealDolmen, reprend le centre opérationnel de T-Systems à Lille. T-Systems, filiale de services informatique de l'opérateur historique de télécommunications allemand  Deutsche Telekom  se défait d'une partie de ses activités. Le centre de Lille est spécialisé dans le développement de solutions pour le secteur de l'assurance vie.

Pour Airial et Real Dolmen c'et une triple opportunité : se renforcer dans l'assurance vie, disposer d'une structure sur Lille (complémentaire au plan régional pour Real Domen très implanté en Belgique et au Luxembourg) et un centre de nearshore pour Airial après celui de Paris. L'activité assurance vie intéresse les clients financiers et les caisses de retraite susceptibles de commercialiser elles aussi de l'assurance vie.  La présence sur Lille est logique pour Airail présent essentiellement à Paris et pour sa  maison mère en Belgique.

Cette structure lilloise devrait compter pour 15% dans le chiffre d'affaires 2010 d'Airial, en 2009 il se montait à 33 millions d'euros (ME). Le groupe RealDolmen, auquel appartient Airial, réalisait 260 ME de CA lors de son dernier exercice annuel, clos au 31 mars dernier. The Gores Group s'en est totalement retiré, les deux principaux actionnaires de RealDolmen sont désormais deux groupes belges : la famille Colruyt et la société Quaero.  En France, RealDolmen détient également la société Oriam et semble attentif aux possibilités de croissance externe.

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