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(26/04/2010 14:33:29)
Devoteam met la main sur Tieto France
La SSII Devoteam annonce le rachat des activités françaises du groupe scandinave Tieto, spécialisé dans la planification et l'ingénierie des réseaux mobiles ainsi que dans la conception de datacenters. Fondé en 1994, Tieto France est basé en région parisienne et compte 120 collaborateurs environ. L'entreprise devrait réaliser 20 M€ de chiffre d'affaires en 2010, dont 30% à l'international, principalement au Moyen-Orient et en Afrique du Nord. Son rapprochement avec Devoteam sera consolidé à compter du 1er mai prochain. (...)
(26/04/2010 12:01:15)L'e-commerce ne progressera que de 9% en 2010
Depuis 2006, la progression du chiffres d'affaires des sites de e-commerce est de moins en moins dynamique, année après année, passant de +33% à +11% en 2009. La croissance du e-commerce sera en perte de vitesse cette année et devrait enregistrer +9%. Néanmoins, si le bilan ne ressemblera aucunemement aux années phares du secteur que sont 2003 (+53%) et 2004 (+44%), les sites Internet concernés réussiront à recruter davantage d'acheteurs. Finalement, leur chiffre d'affaires devrait s'établir à 16,9 milliards d'euros en 2010. "L'e-commerce profitera en revanche d'un meilleur contexte global sur ses deux marchés phares : le tourisme et la high-tech", analyse l'étude. Le secteur du tourisme pèse à lui seul 45,1% dans l'e-commerce, devant les rayons virtuels high-tech et électroménager (20,8%).
Le développement de l'accès à Internet sur les téléphones portables et la mise en place d'applications sur les smartphones ont ouvert la voie à une nouvelle façon de profiter du e-commerce. 12% des sites interrogés par cette enquête se sont ainsi mis à ce que l'on appelle le "m-commerce". 18% d'autres plateformes sondés comptent s'y mettre en 2010. Ce marché émergent ne représente pour le moment "qu'une part infime du total des ventes : moins de 1% du chiffre d'affaires Internet", précise l'étude.
Cette enquête a été réalisée auprès d'un panel de 51 sites de commerce électronique, dont Fnac.com, Dell, Pixmania, Air France, Accorhotels.com, ebookers, Voyages-sncf.com, vente-privee.com, Brandalley... (...)
PowerPivot hisse le décisionnel dans Excel avec SQL Server 2008 R2
La R2 de SQL Server 2008 a été mise en production cette semaine par Microsoft. Elle sera disponible en mai pour les clients auprès des distributeurs du produit. Cette mise à jour de la base de données relationnelle a muri pendant deux ans et, lors de ses premières présentations, sa version CTP (Community Technology Preview) a été téléchargée plus de 300 000 fois, a indiqué l'éditeur.
Parmi les évolutions importantes figurent l'enrichissement des fonctions décisionnelles avec la technologie PowerPivot (illustration ci-dessus). Cet add-on à Excel permettra aux familiers (voire inconditionnels) du tableur d'effectuer des analyses avancées à partir de leur logiciel de bureautique habituel. Ils l'utiliseront pour charger d'importants volumes de données, potentiellement depuis n'importe quelle source, et les manipuler ensuite très rapidement à l'écran grâce au moteur d'analyse in-memory. A cela s'ajoute l'apport du langage de formules DAX (Data analysis expressions), dont la syntaxe est, assure Microsoft, très proche de celle utilisée pour les formules d'Excel. Celui-ci va servir à effectuer des calculs au sein des tableaux réalisés avec PowerPivot. Il utilise certaines des formules déjà présentes dans le tableur, mais aussi d'autres fonctions conçues pour prendre en compte des données relationnelles et réaliser des agrégats dynamiques sans être un spécialiste des SGBDR ou des concepts OLAP. Ces fonctions (de filtrage, logiques, statistiques...) s'appuient sur les tables et les colonnes et permettent de tirer parti des technologies in-memory pour accélérer les calculs et la présentation des résultats.
Gestion des données de référence et CEP
SQL Server 2008 R2 a par ailleurs amélioré ses capacités de montée en charge en environnement datacenter. En le combinant avec Datacenter Edition, une instance de la base peut tourner sur des systèmes exploitant jusqu'à 256 processeurs logiques (contre 64 précédemment). Le fonctionnement du logiciel dans les environnements virtualisés avec Hyper-V a également été optimisé.
A noter qu'une nouvelle fonctionnalité de l'outil d'administration, Utility Control Point, permet de gérer les règles de fonctionnement sur plusieurs fermes de serveurs SQL à partir d'une seule console.
Deux nouveaux composants apportent aux départements informatiques, d'une part, des outils de gestion des données de références (Master Data Services) et, d'autre part, des fonctions de CEP (complex event processing) pour traiter les flux d'événements complexes (composant StreamInsight).
Trimestriels Microsoft : Portés par la vague Windows 7
Au 31 mars, Microsoft a affiché un résultat net de 4,01 milliards de dollars en croissance de 35%. Le chiffre d'affaires progresse de 6% pour atteindre 14,5 milliards de dollars. Pour expliquer ces résultats, Peter Klein, directeur financier de l'éditeur met en avant les ventes de Windows 7 qui ont augmenté de 28% sur le troisième trimestre 2010. A noter, que ce système d'exploitation est installé sur 10% du parc de PC dans le monde. Il ajoute aussi que le moteur de recherche Bing, les consoles Xbox Live et le développement des offres cloud ont contribué aussi à la croissance du groupe.
Dans le détail, la division Windows et Live fait état d'un revenu de 4,41 milliards de dollars contre 3,45 milliards de dollars l'année précédente. Les autres activités participent plus modestement à l'embellie financière. Les versions serveurs et outils affichent 3,57 milliards d'euros (contre 3,49 milliards au 3ème trimestre 2009), l'unité divertissements et terminaux participe à hauteur de 1,66 milliards de dollars (contre 1,63 milliards de dollars, un an avant) et enfin le service Online a récolté 566 millions de dollars (507 millions de dollars en 2009). Seule la division Business recule avec un chiffre d'affaires de 4,24 milliards de dollars contre 4,5 milliards au 3ème trimestre 2009. Cette baisse provient à hauteur de 305 millions d'euros du programme Technology Guarantee de la suite Office 2010, qui prévoit une mise à jour gratuite des utilisateurs d'Office 2007.
Un retour aux investissements
Dans une conférence, Bill Koeffed, en charge des relations avec les investisseurs chez Microsoft a souligné que la croissance a été portée par une forte demande de la part du grand public sur Windows 7. Il s'est déclaré confiant dans l'adoption et la migration des entreprises vers le dernier OS, en mentionnant une augmentation de 14% de ventes sur ce marché lors de ce trimestre. Les revenus issus des offres pour les petites et moyennes entreprises ont progressé de 15%, démontrant un retour aux investissements dans l'informatique professionnelle.
La firme de Redmond constate également un regain dans certaines activités, comme la virtualisation à travers System Center Server, dont le chiffre d'affaires a augmenté de 20%. Les recettes provenant de la publicité en ligne sont loin d'être négligeable avec une croissance de 19%, portées par l'activité moteur de recherche. Enfin Microsoft constate l'ampleur du phénomène cloud via son service Azure. « Nous avons eu plus de 40 millions d'utilisateurs sur nos services en ligne » explique Bill Koefeld et de donner quelques noms de clients tel que Starbucks et McDonalds.
Illustration - Crédit photo : DR
Annuels Wipro : les services offshore reprennent
Après Infosys et Tata Consultancy Services, c'est au tour de Wipro, la troisième SSII indienne, de communiquer des résultats financiers en nette hausse sur le premier trimestre de l'année 2010 qui constitue aussi pour ces trois sociétés le quatrième de leur exercice fiscal.
L'activité reprend un cours normal, selon Wipro. Le groupe de Bangalore a bénéficié d'un redémarrage sur les services IT en offshore. Sur le trimestre écoulé, il a réalisé un chiffre d'affaires total de 1,55 Md$ dont 1,17 Md$ ont été générés avec les services IT. A l'instar de ses deux concurrents, Wipro a relancé les embauches en prévision d'un accroissement de cette demande, recrutant 5 325 salariés entre janvier et mars 2010, ce qui porte à 108 071 personnes son effectif à la fin du mois dernier. La SSII dit avoir gagné 27 nouveaux clients sur la période.
Sur les douze mois de l'exercice fiscal, les services IT ont pesé près de 75% des revenus de Wipro, soit 4,5 Md$ (en hausse de 1,6% par rapport à l'an dernier) sur un chiffre d'affaires total qui s'élève à 6 Md$. La SSII propose aussi des solutions d'ingénierie, des services d'infrastructure, des offres de BPO (business process outsourcing) et de matériel. Elle intervient également dans le service client. Globalement, la société ne fournit pas le détail de ses profits par segment d'activité.
Illustration : Azim Premji, Président de Wipro (Crédit photo : DR)
Fibre : un cadre tarifaire qui inquiète les collectivités locales
L'association craint que le très haut débit ne soit deux fois plus cher en campagne, ou dans les zones moins denses, que dans les villes. En cause ? Les principes et les règles de tarification de l'Arcep pour la tarification du très haut débit sur fibre optique. L'Autorité vient en effet, de publier son projet, soumis à consultation, de tarification pour l'usage des infrastructures de génie civil de France Télécom, qui seront utilisées pour déployer les nouveaux réseaux de fibre optique. « Le régulateur propose que le coût soit proportionnel au volume, donc à la longueur occupée » estime l'Avicca. « or il faut évidemment d'autant plus de longueur que l'habitat est moins dense » critique l'association.
Les règles qui avaient été retenues pour l'ADSL n'ont pas été reprises. « Un opérateur public national [NDLR : France Télécom] a construit les dizaines de millions de lignes téléphoniques que nous utilisons aujourd'hui pour l'ADSL. L'ensemble du coût est réparti, quelle que soit la longueur » reprend l'organisation de collectivités locales.
Un projet discriminant pour les campagnes
Or, pour l'association, demain, c'est le principe de concurrence par les infrastructures qui va être poussé au bout. « Les opérateurs privés vont couvrir la partie la plus rentable, et faire payer de faibles longueurs de déploiement de fibre optique, et de faibles loyers de fourreaux à leurs abonnés. Et pour le reste ? » questionne l'Avicca, soucieuse du sort des citoyens situés en zone faiblement urbanisée.
Yves Rome, président d'AVICCA et du Conseil Général de l'Oise rappelle qu'aujourd'hui, on ne paye pas une ligne de 10 kms au fond de la Corrèze dix fois plus cher qu'une ligne de 1 km à Neuilly. « Quel que soit l'opérateur qui utilise cette ligne, il verse le même prix à France Télécom, que ce soit pour l'abonnement téléphonique, ou pour fournir l'accès à internet, soit environ 9 € par mois et par ligne. » D'où l'interrogation : veut-on une France à plusieurs vitesses ? En conclusion, l'association demande à l'ARCEP d'adopter pour commencer une tarification du génie civil à la ligne, indépendante de la longueur afin de couvrir les zones non denses, et plus généralement de tenir compte des objectifs d'aménagement du territoire dans la fixation du cadre de déploiement de la fibre optique. Le message sera-t-il reçu ? (...)
Nerim, un opérateur résolument optimiste pour 2010
Dans l'après crise, il y a les optimistes, les modérément optimistes et, catégorie peu fournie, les très optimistes. Dans cette dernière se retrouve Nerim qui a réalisé 10,5 millions d'euros (M€) de chiffre d'affaires en 2007, 12,5 en 2008, 15 en 2009 et ambitionne de bondir à 20 M€ cette année 2010. « Le résultat d'exploitation est lui-même toujours en progression » nous explique Xavier Grossetête, directeur commercial des ventes indirectes.
Au départ, la société s'est appuyée sur deux points : son propre coeur de réseau et la qualité de service. L'opérateur a également intégré de nouvelles activités : le xDSL et la fibre optique, l'hébergement (avec le rachat l'an passé de Sivit), la téléphonie, les architectures privées (pour concurrencer les offres MPLS des grands opérateurs), le centrex, la collecte de trafic. Il est probable que de nouveaux développements vont intervenir, comme la téléphonie mobile.
Dans cette montée en puissance, les ventes en indirect jouent un rôle privilégié. Il y a dix huit mois, à l'arrivée de Xavier Grossetête, elles représentaient 25% des ventes et ne concernaient que les ventes d'accès internet. Aujourd'hui, elles sont devenues majoritaires, avec deux changements de fonds : la totalité du catalogue est passé en indirect et les partenaires sont dotés d'un programme.
Nerim passe par deux types de partenaires : les courtiers et les intégrateurs en marque blanche. Parmi ces derniers, Nerim fait appel à plusieurs types de partenaires possibles : VARs, intégrateurs, SSII, revendeurs informatiques. La société a également mis au point un programme partenaires, nommé : Avantage. Il repose sur la notion de guichet unique (chaque partenaire est affecté à un ingénieur commercial Nerim) et comprend un arsenal de services d'accompagnement : le catalogue produit, les formations, le support technique, un guichet commercial dédié partenaires, une assistance back-up.
Nerim s'est également structuré en région avec un responsable partenaires Rhône-Alpes et Ile-de-France, un pour la Bretagne, le Nord et l'Est, Xavier Grossetête supervisant lui-même le grand Sud Ouest. La direction des ventes indirectes comprend également un formateur à plein temps et une responsable avant-vente. Nerim compte actuellement 350 partenaires actifs et veut passer à 400. Le Tour de France qui aura lieu en mai juin et à l'automne doit permettre de les rencontrer tous et de recruter. (...)
Le marché de la Business Intelligence a crû de 4,2% en 2009
Selon le cabinet Gartner, le marché mondial de la BI (Business Intelligence) s'est élevé à 9,3 milliards de dollars dans le monde en 2009, en progression de 4,2% par rapport à 2008, où il se montait à 8,9 milliards de dollars. Des chiffres relativement réconfortants. « La croissance a été loin des niveaux de 2008 et n'a pas échappé à la récession, mais la BI a aussi démontré qu'elle n'est pas aussi cyclique que de nombreux autres marchés, enregistrant une croissance saine dans l'une des années les plus difficiles de l'industrie du logiciel », indique Dan Sommer, analyste de recherche principal chez Gartner.
Le cabinet livre également deux analyses complémentaires, l'une par segment à l'intérieur de la BI, l'autre par acteurs de ce marché. Sur le premier point, le Gartner divise les solutions décisionnelles en trois parties : le marché des plateformes, celui des suites de CPM (Corporate performance management, avec notamment les solutions d'élaboration budgétaire, de planification et de consolidation financière) et celui des applications analytiques et de gestion de la performance. Les premières pèsent 64,2% du marché total en 2009, en progression de 4,8%. Les suites de CPM représentent 20,8%, en hausse de 3,6%. La troisième catégorie (15% du total) enregistre une progression plus faible : 2,3%.
IBM réalise la plus forte avancée du classement
Concernant les acteurs, le Gartner constate une forte concentration en tête de classement. Les six premiers s'octroient 75% du marché. SAP/Business Objects est toujours n°1, avec 22,4% des parts en 2009, mais c'est le seul des grands acteurs à enregistrer un recul (-0,6%). Oracle détient 14,5% des parts, en hausse de 5,2%, suivi de très près par SAS Institute, 14,2% des parts et 3% de progression. On trouve ensuite IBM, avec 12,2% des parts et 14% de progression, la plus forte du classement. Microsoft est situé un peu plus loin avec 7,9% des parts et 8,5% de hausse. Microstrategy ferme la marche avec 3,2% des parts et 5,4% de progression.
Cliquer sur le graphique pour l'agrandir
Dans les plates-formes de BI, SAP a maintenu son avance. Dans le domaine de la gestion de la performance d'entreprise (CPM), Oracle a conservé son leadership avec le portefeuille acquis d'Hyperion en 2007, alors que SAS est resté le leader des applications analytiques et de PM.
Apple s'offrirait ARM ? (MAJ)
Dans les milieux financiers anglais, on prête à la firme de Cupertino de vouloir lancer une offre d'achat d'ARM. L'opération pour acquérir le fondeur est estimée entre 7 et 8 milliards de dollars. Quel est l'intérêt d'un tel projet ? Il est double. En premier lieu, Apple a pris le pari d'équiper les iPad de processeurs fabriqués en interne, le A4, que certains soupçonnent d'être une déclinaison d'une puce ARM. En s'offrant le fabricant de puces, la société dirigée par Steve Jobs acquiert une expertise et une compétence dans des composants clés pour l'avenir des futurs terminaux. Traitement graphique, puissance de calcul, les prochaines évolutions des tablettes par exemple, vont nécessiter des puces plus élaborées.
Dans un deuxième temps, ce rachat serait une réponse à la récente acquisition par Google de Agnilux, spécialiste dans les processeurs à basse consommation. Pour l'anecdote, cette société a été créée par des anciens de PA Semi, racheté par Apple et qui ont développé le processeur A4. En sachant, qu'ARM équipe une grande partie des téléphones mobiles concurrents de l'iPhone, comme ceux fonctionnant sous Android l'OS de Google. Cela ne sera pas sans poser quelques problèmes de concurrence soumis à la sagacité des autorités de régulation.
Richard Holway, analyste de Techmarketview, ne se prononce pas sur la validité d'une telle rumeur, mais il estime que "cette opération aurait du sens, car Apple qui a élaboré sa propre puce, n'a pas envie de voir sa technologie utilisée par des concurrents"
Rappelons néanmoins qu'il s'agit pour l'instant d'une rumeur, mais avec l'épisode de l'iPhone V4 en début de semaine, il arrive parfois que le virtuel rencontre la réalité. A suivre...
(MAJ)
La rumeur aura eu une faible durée de vie, hier la City, bruissait d'une potentielle OPA d'Apple sur le fabricant de processeurs ARM. Et bien, Warren East, dirigeant du fondeur a été catégorique dans un entretien accordé au Guardian « personne n'achètera la société » et d'ajouter « même si cela est flatteur de voir le cours de bourse grimper sur des rumeurs, l'objectif de notre entreprise est de travailler sur des produits standards pour tous les acteurs ».
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