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(22/04/2010 15:56:39)

Red Hat écarte Xen de RHEL 6 version beta

« Red Hat a choisi de concentrer ses efforts de virtualisation autour de la machine virtuelle sur Kernel KVM, » a déclaré Tim Burke, vice président de l'ingénierie pour la plate-forme Red Hat.Dans cette version, «la virtualisation a été l'objectif essentiel et nous avons considéré l'infrastructure qui pouvait être intégrée à nos services cloud» souligne Tim Burke. Pour être efficient dans les environnements cloud, l'OS RHEL 6 alloue dynamiquement les données au sein du noyau. Une fois les machines virtuelles chargées dans le système d'exploitation, l'administrateur peut spécifier la quantité de mémoire, le nombre de cycles de traitement et la quantité de bande passante qu'il souhaite attribuer à chaque machine.

L'autre fonctionnalité s'appelle le Completely Fair Scheduler (SCF), auquel revient la responsabilité de « répartir de manière plus dynamique les charges de travail entre les tâches » en redistribuant plus uniformément les ressources processeurs entre toutes les applications. Le système emprunte les techniques logiciels de Red Hat pour exploiter les services sans tolérance de latence, comme il accomplit aussi un travail plus sophistiqué de planification des priorités, en hiérarchisant les tâches, de la plus haute à la plus faible priorité » affirme Tim Burke. Des fonctions d'économies d'énergie ont également été ajoutées. Ainsi, l'infrastructure d'horloge a été réorganisée et force l'activité « ticketless » du noyau. Auparavant, ce dernier devait dialoguer avec le processeur 1 000 fois par seconde pour l'empêcher de passer en mode veille et ainsi économiser l'énergie. La fonctionnalité « tickless » repose un système de minuteries accordées au hardware, autorisant le processeur à se mettre en veille pendant des périodes où il n'y a pas d'autres tâches à effectuer.

L'espace occupé par les fichiers système a été amélioré pour être plus adapté aux ensembles de données importants. C'est notamment la première version de RHEL à utiliser ext4 comme fichier système par défaut, en place du ext3 auparavant. Le système d'exploitation peut maintenant exécuter des fichiers système d'une taille allant jusqu'à 16 téraoctets.

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Il sait également effectuer une vérification système plus rapidement, impliquant une amélioration des temps de récupération lors d'arrêts inopinés. Pour les données de très grande taille, la solution de Red Hat propose une option pour mettre à niveau le fichier système du format XFS au format SGI qui peut prendre en charge des capacités allant jusqu' à 128 To.

Une décision cohérente

Au regard de l'implication de Red Hat dans le cloud computing, sa décision de laisser de côté Xen peut paraître surprenant. Mais ces dernières années, l'entreprise a apporté de plus en plus de soutien à KVM. Pour rappel, en 2008, Red Hat avait acquis l'éditeur de logiciel de virtualisation Qumranet, dont les développeurs sont en grande partie à l'origine de KVM. « L'une des raisons pour lesquelles Xen a été abandonné » expose  le responsable, « est que la société ne peut dédoubler tous ses efforts pour maintenir deux hyperviseurs, une tâche exigeante qui réclame beaucoup d'implications. C'est le cas par exemple avec les serveurs équipés du processeur Nehalem d'Intel livré récemment qui apporte certaines fonctionnalités de virtualisation et implique la modification des deux logiciels. »

Simon Crosby, co-fondateur de XenSource et actuellement directeur de la technologie de la plateforme logicielle chez Citrix, a déclaré qu'il n'était pas surpris par la décision de Red Hat d'abandonner Xen. « Il est logique de ne soutenir qu'un seul code source, et Red Hat n'a pas contribué à enrichir le code Xen depuis plusieurs années ». Il fait remarquer que « avec Xen, Red Hat n'a pas eu beaucoup de chance sur le marché de la virtualisation. Ils ont même été vraiment mauvais sur le marché entreprise. Maintenant, ils ont cinq ans de retard par rapport au reste de la communauté ». Ce dernier a également noté que l'adoption de KVM par Red Hat va dans le sens opposé des autres acteurs du marché de la virtualisation serveur, et notamment Citrix et VMware. Ces derniers se tournent aujourd'hui vers des solutions d'infrastructure virtuelle allégées, pour lesquelles toutes les fonctions serveurs sont virtualisées. En revanche, KVM s'appuie sur le noyau de l'OS, et fonctionne uniquement sous machines virtuelles tournant sous Linux. «C'est une option Linux-first » souligne Simon Crosby.

Dans tous les cas, le passage à KVM nécessitera un certain travail de la part des utilisateurs actuels de Red Hat Entreprise Linus qui devront faire migrer leurs machines virtuelles Xen vers KVM (ou les obliger à installer Xen séparément). « Pour donner accès à des invités Xen RHEL 5 sur RHEL 6, il faut lancer un outil de conversion et de migration» a précisé Tim Burke.

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(22/04/2010 15:19:11)

Trimestriels Citrix : Des résultats conformes et en hausse

Le fournisseur de solutions de virtualisation met en avant un chiffre d'affaires en hausse de 12% au premier trimestre 2010 pour atteindre 414 millions de dollars contre 369 millions de dollars l'année précédente. Le bénéfice net non ajusté s'élève quant à lui à 47 millions de dollars contre 7 millions de dollars au premier trimestre 2009.

Mark Templeton, PDG de Citrix, s'est déclaré satisfait de ces résultats et constate « une forte demande sur les marchés stratégiques : la virtualisation, l'infrastructure réseau et la collaboration ». Le premier trimestre 2010 a été l'occasion pour Citrix de lancer la version Pack 1 de XenDekstop 4, pour la virtualisation du poste de travail. Sur ce sujet, l'éditeur s'est associé à Microsoft  pour accélérer l'adoption et le déploiement de telles solutions.

Fort de ces bons résultats, Citrix prévoit un chiffre d'affaires pour 2010 compris entre 1,765 et 1,78 milliard de dollars.

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(22/04/2010 15:31:41)

Steria ouvre une plateforme d'infrastructure informatique en ligne

François Enaud, PDG de la SSII française Steria, a présenté ce matin avec Cisco une offre de plateforme informatique à la demande (« as a service »), assortie d'un paiement à l'usage. Celle-ci repose sur l'infrastructure de serveurs pour datacenter Unified Computing System (UCS), mise au point par le constructeur américain. L'annonce réalisée par webconférence s'est donc faite conjointement avec Laurent Blanchard, vice-président Europe de Cisco.

A partir de juin prochain, les entreprises pourront, en passant par un portail Internet sécurisé, accéder à cette plateforme baptisée par Steria "Infrastructure On Command" pour en exploiter les ressources informatiques (puissance de calcul, capacité de stockage...), en fonction de leurs besoins, en ne payant que pour les services consommés.

Un processus entièrement automatisé

Karine Brunet, directrice des services industriels de Steria, a expliqué la mise en oeuvre de la plateforme de cloud computing. Le client se connecte au catalogue de services et formule sa demande de ressources à partir de laquelle va s'enclencher, par le biais d'un processus automatisé, le provisionning des ressources auxquelles l'utilisateur aura accès trente minutes plus tard.

Offre Infrastructure On Command de Steria
Cliquer sur l'image pour l'ouvrir

« Aucune intervention humaine n'est requise, souligne-t-on chez Steria. On peut ainsi augmenter sa puissance informatique en fonction de besoins qui peuvent être ponctuels, par exemple, pour disposer d'un environnement de test ou d'un environnement de production plus puissant pour une période donnée ». Ainsi, François Enaud pressent que le secteur de la distribution, avec ses contraintes de saisonnalités, ou encore les opérateurs télécoms, qui ont besoin d'augmenter rapidement leurs capacités de réponse, figureront parmi les premiers clients de l'offre. Au-delà de ces cas précis, ce service concerne potentiellement tous les secteurs d'activité.

Steria accompagnera cette mise à disposition d'une offre de services associés. Les niveaux de contrats de services dépendront de l'usage.

Plusieurs acteurs proposent déjà des offres de PaaS, Amazon faisant figure de pionnier dans ce domaine avec EC2 (Elastic Compute Cloud). Parmi les annonces des derniers mois, en France, figurent notamment celles d'Orange, de Microsoft et d'Atos Origin. De son côté, SGI propose d'accéder en ligne à un environnement HPC pour le calcul scientifique et Bull prévoit de le faire sous peu.

Illustration : François Enaud, PDG de Steria

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(22/04/2010 14:26:56)

IBM dévoile ses dernières solutions de stockage

Du fait de l'essor considérable des capteurs et des appareils en tout genre pour transmettre de l'information numérique, la quantité de données au niveau mondial dépasse déjà largement l'espace de stockage disponible. A tel point que la demande des entreprises en capacité de stockage devrait augmenter de plus de 43% par an entre 2008 et 2013.

Le système de stockage sur disque IBM DS8700 inclut désormais la fonctionnalité System Storage Easy Tier, s'appuiyant sur un logiciel de contrôle du rendement ou sur la technologie de hiérarchisation des données, laquelle permet de déplacer uniquement les data les plus actifs vers les disques SSD plus rapides. Cette solution écarte l'intervention manuelle pour gérer les règles en matière de stockage, comme la diminution du nombre de disques Fiber Channel ou SAS haut de gamme, pour réduire les coûts et dont on limite souvent la charge en vue d'accroître la performance. Cette méthode appelée « short stroking » met en oeuvre de multiples disques durs en confinant l'accès de la tête de lecture / écriture aux seuls secteurs extérieurs des plateaux de manière à accélérer le débit des données. Mais elle laisse une grande partie de la capacité du disque inutilisée. Comparativement, un seul SSD peut produire jusqu'à 16 000 opérations d'entrées/sorties par seconde (I/OPS) contre 200 I/OPS au maximum pour un disque Fiber Channel haut de gamme tournant à 15 000 tours/min.

IBM propose également un périphérique à bande pour stocker des données non structurées selon le processus Long Term File System (rétention à long-terme), lequel utilise le récent lecteur à bande LTO Ultrium Generation 5 offrant jusqu'à 1,5 To de capacité de stockage, ou 3 To avec compression, soit le double de la capacité des disques à bande LTO-4. Les lecteurs à bande LTO-5 permettent aussi le cryptage au niveau matériel et offrent une vitesse d'écriture de 280 Mbits/s, le double des lecteurs LTO-4.

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L'équipementier indique que le procédé, Long Term File System, est adapté au stockage des contenus générés par certaines entreprises, comme l'industrie du divertissement, de la surveillance médicale et numérique.

Des économies sur plusieurs angles

Thought Equity Motion, un producteur de contenu vidéo qui a servi de beta-testeur pour la solution proposée par Big Blue, a pu constater que cette technologie était moins coûteuse pour l'archivage de ses contenus. L'entreprise dit même avoir réalisé des économies à ses clients médias « en assurant la mise à disposition auprès des producteurs et des diffuseurs de leurs informations, des résultats sportifs, des divertissements ou toutes autres créations » déclare Mark Lemmons, CTO de Thought Equity Motion. « Ce type de médias nécessite un important besoin de stockage et nous sommes à la recherche de moyens de conservation des contenus de nos clients en toute sécurité et à un prix abordable. Le service Long Term File System d'BM s'est avéré plus simple et moins coûteux ».

Le géant de l'informatique a également fait savoir qu'elle allait également ajouter une fonction de réplication « many-to-one » à son équipement de déduplication ProtecTIER, qui donnera aux multiples centres de données ou aux bureaux distants, la possibilité de dupliquer les données à sauvegarder dans un espace physique unique. « Grâce à la déduplication des données, ProtecTIER optimise la réduction de la bande passante nécessaire pour transmettre les données d'au moins 95% » souligne IBM qui indique aussi que la dernière version de son logiciel Tivoli Storage Manager peut être utilisée pour collecter, gérer et récupérer les données stockées sur ProtecTIER.

En outre, le constructeur informatique a annoncé la dernière version de son système de stockage XIV, une baie basée sur une architecture de type grid. Enfin, il double la capacité de stockage du réseau physique en proposant des disques SATA 2 To équipés de processeurs de plus faible tension, une manière de réduire aussi, selon le constructeur, la consommation électrique en usage de pointe de près de 59%.

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(22/04/2010 12:33:53)

SAP rachète TechniData, spécialiste de la gestion des risques

Avec le rachat de TechniData, c'est un partenaire de quinze ans que SAP accueille au sein de son groupe. C'est en effet avec ce spécialiste des solutions de gestion des risques accidentels et sanitaires que SAP a développé son offre SAP EHS (Environment, Health and Safety) qui s'intègre de façon native avec sa suite de gestion, la Business Suite. Ces logiciels servent notamment à se mettre en conformité avec la réglementation Reach (registration, evaluation and autorisation of chemicals) qui s'applique à l'enregistrement des substances chimiques utilisées dans les processus de fabrication industrielle des produits.

Une démarche de développement durable

L'an dernier, SAP avait déjà manifesté sur plusieurs axes sa volonté de s'engager sur le terrain du développement durable, à la fois en complétant son offre de solutions spécifiques et en agissant lui-même en interne pour réduire son empreinte carbone. En quelques mois, le groupe avait notamment racheté Clear Standards (éditeur d'outils en ligne de calcul des émissions de gaz à effet de serre et de gestion de la consommation d'eau), renforcé son offre SAP EHS, publié ses propres données sociales et environnementales, et nommé Peter Graf au poste de vice-président exécutif responsable du développement durable. Léo Apotheker, alors PDG du groupe, avait été l'un des moteurs de cette démarche globale.

Crédit photo illustration : site de TechniData [[page]]Collecter les données sur l'air, l'eau et les déchets

Outre ses logiciels de gestion de la sécurité sanitaire (Health & Safety) et de la sécurité appliquée aux produits (Product Safety & Stewardship), TechniData a développé avec son offre Environmental Performance (EP) une solution de suivi des émissions polluantes et de collecte de données sur l'air, l'eau et les déchets.

Ses produits couvrent les exigences de nombreux secteurs industriels : l'aéronautique et la défense, l'automobile, la chimie/pharmacie, les biens de consommation, la high-tech, les industries minières, la pétrochimie et l'agro-alimentaire, mais également le secteur public, les transports, la fourniture d'énergie et la distribution.

Le montant déboursé par SAP pour l'acquisition de la société n'a pas été communiqué. Fondée en 1985 et située à Markdorf, près du lac de Constance, TechniData est dirigée par Juergen Schwab et compte environ 500 collaborateurs. Elle a constitué une base installée de plus de 1 600 clients qui rassemble quelque 6 000 utilisateurs de ses logiciels.

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(22/04/2010 11:10:27)

Trimestriels EMC : des résultats historiques

EMC suit la tendance de ses concurrents pour qui le marché du stockage a retrouvé des couleurs l'année dernière. IBM a par exemple annoncé que cette activité avait progressé de 11% avec des fortes commandes à venir.

Le groupe affiche des revenus en hausse de 23% pour atteindre 3,9 milliards de dollars au premier trimestre 2010. Les bénéfices ressortent à 373 millions de dollars soit une progression de 92% sur un an. La société dispose d'une trésorerie estimée à 1,3 milliards de dollars. Les résultats trimestriels ont été portés par ceux de la filiale VMware annoncés hier.

Joe Tucci, PDG d'EMC a indiqué « nous avons réalisé un très beau début d'année, qui devient le meilleur résultat du 1er trimestre dans l'histoire de la société » et d'ajouter « nous sommes confiants dans notre volonté de devenir leader de la prochaine vague de l'I, en maintenant sur le long terme une croissance de notre revenu à deux chiffres en continuant de prendre des parts de marché ».

Les perspectives semblent bonnes, car les dirigeants envisagent un chiffre d'affaires pour 2010 de 16,5 milliards de dollars.

Illustration : Joe Tucci, PDG d'EMC (Crédit photo : DR)

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(22/04/2010 09:42:02)

STS Group acquiert Deal IT, spécialiste de la location informatique

A peine a-t-il redressé Risc Group, que l'éditeur STS Group prend le contrôle d'un loueur informatique : Deal IT. La situation est aux antipodes, Deal It est une société saine qui a réalisé 12 millions d'euros de chiffre d'affaires lors de son dernier exercice clos  le 30 septembre dernier, avec 150 000 euros de bénéfice net. Deal IT devient une filiale de STS Group, ses offres de financement seront complémentaires des offres de Risc, c'est la raison du rachat.

Les dirigeants de STS ne débarquent pas en terre inconnue.  Le Pdg lui-même, Bertrand Calvignac,  est un ancien de ECS et d'Econocom . Le nouveau président de Deal It, Alain Blaise a évolué chez Arius (groupe BNP Paribas) et dirige les activités de STS au Bénélux ainsi que la partie Business partners de Risc Group, celle des ventes en indirect.Outre cette connaissance du métier de la location informatique, STS Group estime que le financement devient une partie essentielle de l'activité du logiciel. Financer permet d'étaler les paiements, c'est également un moyen de passer au Saas et de conforter la vente et le partenaire en indirect.  Intégrer cette activité évite également, tout simplement, de la confier à des tiers.

Ce rachat est donc complémentaire de celui de Risc Group et va prendre tout son sens avec la réorganisation de cette société opérée en quelques semaines par STS.  Risc est désormais déployé en trois activités qui pourront toutes faire appel à Deal IT : Inbox (la sauvegarde pour TPE-PME de moins de 100 postes) qui pourra en totalité recourir aux activités de financement, IT Solutions (dédiée aux moyens et grands comptes et introduite en bourse) dont les ventes pourront être re-finançables, business partners (ex MonDsi) qui fait appel à plus de 300 partenaires, potentiellement intéressés par le financement. (...)

(21/04/2010 16:16:56)

Le site d'emploi ITProfil.com change de main

ITProfil.com, portail de recrutement spécialisé dans les profils informatiques, annonce son changement de propriétaire. Auparavant dirigé par Damien Particelli, PDG de l'éditeur de logiciels de CRM en mode SaaS Ogmyos, le site devient à compter de ce jour une marque de la société de portage salarial Posicom, et sera désormais dirigé par Laurent Molinari.

Outre une offre de services orientés vers les candidats autour du portage salarial, de la formation professionnelle, et un espace dédié au recruteur pour effectuer ses commandes en ligne, ITProfil.com envisage de mettre à disposition de ses clients un système de dépôt d'annonces qui devrait permettre d'optimiser les coûts de recrutement et d'abonnement au service. Bientôt mis à disposition, ce service de facturation  est, pour l'heure, en phase de test auprès de quelques clients.

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