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(06/04/2010 11:02:58)

Annuels 2010 : RIM, de bons résultats sanctionnés

RIM (Research In Motion), le fabricant canadien de smartphones, éditeur et fournisseur de services a réalisé un chiffre d'affaires de 15 Milliards de dollars lors de son exercice 2010 clos fin février. Ce qui traduit une hausse de 35% de ses revenus comparé à l'exercice précédent. Sur la période, le nombre d'abonnés à son service de pushmail a progressé de 65%, atteignant 41 millions de personnes dans le monde. Quant à ses smartphones BlackBerry, le fabricant canadien en a livré 37 millions, soit 40% de plus qu'il y a un an. Forte de ces bons résultats, l'entreprise publie un bénéfice net annuel de 2,5 milliards de dollars, soit une hausse de 30% en comparaison de l'exercice précédent.

Et pourtant, RIM a été sanctionné en bourse suite à la publication de son bilan. Son action a chuté de 4,8% le 1er avril, notamment parce que les chiffres du quatrième trimestre ne sont pas en ligne avec ceux des mois précédent. Durant la fin de l'année, les revenus de RIM n'ont en effet progressé « que » de 18% contre 41% au troisième trimestre. En outre, sur une base annuelle, le nombre de ses clients progresse plus rapidement que son chiffre d'affaires et ses bénéfices.

(...)

(06/04/2010 10:01:12)

Le cloud computing, avenir des opérateurs télécoms

Le monde des télécoms, côté opérateurs, n'est pas loin de faire sa révolution en passant de mesures d'économie drastiques, c'était en 2009, à un redéploiement qui aboutira en 2011. Tous les opérateurs français ont baissé leurs investissements logiciels et services en 2009, sélectionné leurs fournisseurs, réduisant leur nombre, en déréférençant une partie. Bouygues Télécom est allé le plus loin en ré-internalisant une partie de ses projets IT.

Dans cette spirale, seuls la TMA (Tierce Maintenance Applicative) et maintenant l'outsourcing ont sorti la tête de l'eau en 2009. « Le recours à la TMA était déjà en place, l'offshore est plus inhabituel dans les télécoms », note Daniel Esteves, consultant chez PAC. Mais cette croissance est en trompe l'oeil. Ces deux secteurs ont progressé en volume, mais fortement baissé en prix, comme tous les investissements des opérateurs de télécoms. Les prestataires des opérateurs ont accusé le coup, laminés par les restrictions budgétaire et les baisses de prix. En 2010 toutefois, l'investissement en logiciels et services des opérateurs de télécoms devrait commencer à reprendre. En moyenne de 3% estime PAC. « C'est très lié aux métiers des opérateurs » relève Daniel Esteves. « Ils tentent de sortir de la voix et des réseaux pour  générer de nouveaux revenus ».

Les opérateurs font du cloud en interne et vont le vendre comme prestataire

Le cloud est un axe de développement très fort des opérateurs. A la fois comme clients et comme prestataires. Souvent, ils déploient en interne des solutions de cloud, les valident et les  revendent ensuite. C'est la démarche d'Orange.  Elle pourra englober d'autres prestataires dans un éco-systèmes cloud, dirigé par l'opérateur. Tous les aspects liés à la mobilité et aux smartphones sont également privilégiés au travers de nouvelles plate-formes de services. Certains projets restent plus complexes, comme le paiement par mobiles qui nécessite de faire travailler ensemble plusieurs partenaires. Mais la demande en services mobiles est telle, dans les entreprises, mais surtout chez les particuliers, qu'elle assurera les investissements logiciels et services des opérateurs télécoms dans les années à venir.

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(02/04/2010 17:18:09)

Microsoft-Ministère de la Défense : un contrat qui dérange

Dans une lettre adressée le 11 février dernier, à plusieurs parlementaires, l'AFUL attire l'attention sur la signature le 25 mai 2009, d'un accord-cadre entre la société Microsoft Irlande et la DIRISI, pour une durée de 4 ans, prévoyant la possibilité d'équiper tous les ordinateurs du ministère avec la quasi-totalité des logiciels de l'éditeur, pour une somme de 100 euros HT par poste. Selon cette lettre, « l'accord signé en 2009 portait sur un nombre de 188 500 postes (soit 18,85 millions d'euros HT), ajustable de 170 000 postes au minimum jusqu'à un maximum de 240 000 postes ». L'AFUL constate qu'il s'agit « d'une option d'achat pour une somme maximum de 5,15 millions d'euros HT sans appel d'offre, ni procédure de marché public ».

Un strict respect des procédures publiques ?

Interrogée sur ce dernier point, Nathalie Wright, directrice Secteur Public de Microsoft France explique que « l'accord cadre porte sur le maintien en condition opérationnelle des systèmes informatiques. Il s'inscrit dans les dispositions réglementaires de la modernisation des achats. Nous avons strictement respecté les procédures des marchés publics » et d'ajouter « les discussions sur ce sujet ont débuté en octobre 2007 et suivi scrupuleusement l'ensemble des procédures ». Par contre, aucun commentaire n'a été apporté sur le contenu du contrat (les logiciels fournis) et notamment sur le forfait proposé à un tarif très attractif. Et pourquoi ce forfait ne serait-il pas étendu à d'autres administrations ?

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Face à cet accord, l'association craint l'arrêt de toutes recherches ou expérimentations d'alternatives aux logiciels de Microsoft. Il marquerait ainsi un frein au développement de l'Open Source au sein des administrations de Défense au regard des récents contrats passés entre la DGA (Direction Générale de l'Armement) avec Linagora ou la solution Alfresco pour le système d'information documentaire de l'Armée de l'air.

L'AFUL insiste également sur la création d'un Centre de Compétence Microsoft (CCMS) situé dans les locaux de la DIRISI au Fort de Bicêtre, qui est composé d'ingénieurs de l'éditeur et de personnels du Ministère de la Défense. Cette forte intégration soulève des questionnements sur le fait qu'une société privée aura « une vision exhaustive de l'architecture et de la situation géographique des différents organismes de notre défense, un accès complet aux différents systèmes d'information et à l'administration des données y transitant ». La lettre se termine par des interrogations sur l'indépendance informatique de la France dans son système d'information de défense. A ce jour, l'AFUL a obtenu très peu de réponses de la part des parlementaires sollicités. A l'heure de la publication de cet article, le Ministère de  la Défense n'avait pas encore répondu à notre invitation à s'exprimer sur les différents sujets de cette lettre.

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(02/04/2010 12:22:01)

Annuels 2009 : Huawei solide malgré la crise

Dans un contexte où les opérateurs télécoms ont réduit leurs investissements, Huawei, spécialiste des réseaux de nouvelles générations, a présenté des résultats très solides pour l'année 2009. Auditées par le cabinet KPMG, les données comptables montrent un chiffre d'affaires en hausse de 19% à 16, 2 milliards d'euros. La marge brute est stable, en raison de la pression sur les prix, par contre le résultat net bondit de près de 133% en passant de 853 millions d'euros à 1,9 milliards d'euros. Face à la morosité, Huawei explique ses bonnes performances économiques, à la fois par une agressivité sur le plan tarifaire et par un fort intérêt des opérateurs pour des équipements spécifiques. Dans la mobilité, la solution « Single RAN » combine au sein d'une même station de base plusieurs technologies sans-fil. Cela permet des économies sensibles en matière de taille des équipements et de leur mutualisation sur les points hauts.

Le PDG de Huawei, Ren Zhengfei, affiche ses ambitions « nous prévoyons une hausse annuelle de 20% de nos revenus, portés par le déploiement des nouveaux réseaux mobiles et haut débit ou la forte demande des services managés ». Une note du Crédit Suisse publiée par le site TradingSat estime que le sentiment des analystes est plutôt négatif à l'égard de la concurrence car Huawei gagne du terrain sur tous les fronts. « Dans les équipements « wireless », le chinois devrait augmenter sa part de marché de 15% en 2009 à 17% en 2010, contre 35% pour Ericsson, 19% pour Nokia Siemens Networks et 11% chez Alcatel-Lucent » estime le Credit Suisse.

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(02/04/2010 11:54:31)

ZTE se dote d'une nouvelle tête

Changement de visage à la tête de ZTE, fournisseur d'équipements télécoms et de solutions réseaux, Shi Lirong succède à Yin Yimin. Agé de 46 ans, il a été entre 1993 et 1997, dirigeant de Zhongxingxin, principal actionnaire de ZTE. Directeur exécutif en 2001 de ZTE, il a pris la responsabilité de la direction des ventes et du développement. A son nouveau poste, Shi Lirong devra poursuivre la stratégie de croissance de la société, notamment en direction des réseaux 3G et 4G sur les marchés européen et américain. Le chairman de ZTE, Hou Weigui a salué « le parcours professionnel de Shi Lirong au cours des 20 dernières années dans le domaine des télécommunications, en totale synergie avec notre stratégie « technology driven by marketing ». Nous sommes sûrs que Mr Shi va poursuivre avec succès notre objectif de devenir un leader global dans le domaine des équipements télécoms. »

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(02/04/2010 11:32:48)

Les investissements télécoms en Europe en 2009 ont connu un recul de 8,9%

(Source EuroTMT ) Didier Pouillot, consultant à l'Idate, confirme cet ordre de grandeur avec une estimation de baisse des investissements dans les télécommunications qui atteint 10 %.  L'ampleur de la baisse prend toute sa signification quand on la compare avec l'évolution du chiffre d'affaires de ces mêmes opérateurs. En cumulé, le chiffre d'affaire ne recule en moyenne que de 1,6 %. Les prises de participations réalisées à l'étranger, dans les pays en développement (Afrique, Amérique du Sud ou Asie), ont freiné la baisse des revenus en Europe.

Mais, la forte contraction des investissements s'explique d'abord par la volonté des opérateurs européens de préserver leur marge de manoeuvre financière (baisse de l'endettement et free cash-flow) pour maintenir inchangée leur politique de rémunération des actionnaires. Mais ce n'est pas le seul élément. « Les opérateurs arrivaient aussi à la fin d'un cycle d'investissement massif pour déployer les réseaux 3G » rappelle Didier Pouillot.

De plus, dans la téléphonie fixe, les opérateurs n'ont pas concrétisé leurs promesses d'investissement dans le très haut débit, à l'exception de Portugal Telecom qui était contraint d'investir dans la fibre optique en raison de la concurrence du câblo-opérateur Zon. Pour 2010, Didier Pouillot estime que le niveau global des investissements devrait rester stable, mais les opérateurs devraient progressivement les augmenter en fin d'année ou début de 2011 pour faire face à la croissance de la demande en téléphonie mobile.

Illustration Sony Ericsson, D.R.

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(02/04/2010 10:31:50)

SAP lance son outil collaboratif StreamWork

Comme prévu, SAP vient d'annoncer la disponibilité générale de son outil de collaboration en ligne, désormais baptisé StreamWork. Le logiciel a été accessible pendant plusieurs mois en version bêta, d'abord privée, puis publique, début février. Il y a presque un an maintenant que SAP a mentionné pour la première fois, sous le nom de Constellation, cette application de prise de décision en groupe, alors en gestation. Livrée en bêta publique sous l'appellation « 12Sprints », faisant référence à la méthode de développement agile Scrum, le logiciel vient donc de se voir définitivement nommé. « StreamWork » veut évoquer la fluidité. Le nom souligne la vocation de l'outil à fournir à une équipe géographiquement dispersée un espace en ligne pour avancer sans à-coup et sans entrave sur des sujets de toute nature, exigeant une prise de décision documentée et argumentée. 

« Ce peut-être la sélection d'un packaging pour un produit, donne en exemple David Meyer (photo), vice-président senior, responsable des technologies émergentes pour SAP BusinessObjects, basé en Californie, dans la Silicon Valley. Ou encore, le choix d'une date et d'un lieu pour un événement. On travaille avec l'outil comme on le ferait autour d'un tableau blanc », nous a-t-il expliqué le mois dernier, à l'occasion d'un déplacement en Europe, au Cebit de Hanovre. Différentes méthodes et matrices (Swot*, notamment) sont proposées aux personnes participant à la réflexion, afin de peser le pour et le contre des solutions suggérées, en fonction de leurs inconvénients et avantages respectifs. Chacun donne son avis, en direct, et l'historique des conversations et des échanges est conservé.
« Ce logiciel n'est pas concurrent de Google Wave, mais complémentaire, considère David Meyer. Ce que nous voulons avant tout, c'est respecter la façon dont les gens travaillent. Nous ne voulons pas contrôler mais faciliter les choses, les rendre possible ».

StreamWork capture

La version payante offre plusieurs niveaux de sécurité

Librement utilisable dans sa version bêta, StreamWork va se maintenir dans une version gratuite, la Basic Edition. Celle-ci est limitée à cinq activités ouvertes (auxquelles on pourra inviter tout participant), à 250 Mo de données stockées par utilisateur et à un historique d'un an sur les dossiers fermés. Ce produit d'appel permet en revanche de collaborer sans limite aux activités ouvertes par d'autres groupes. Il autorise aussi l'ajout de méthodes supplémentaires, de commentaires et de fichiers.

Quant à l'édition dite professionnelle, on peut s'y abonner pour un an, en France, au prix de 96 euros (110,4 euros TTC) par utilisateur. Elle permet d'ouvrir jusqu'à cent activités personnelles, de disposer d'un espace de stockage de 5 Go et de conserver jusqu'à deux années d'activités déjà bouclées. Cette version dispose surtout de fonctions de sécurité à appliquer à différents niveaux (par utilisateurs et par groupes).

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David Meyer, qui a supervisé le projet 12Sprints, a rejoint SAP/BusinessObjects il y a un peu moins de deux ans, après être passé chez Plumtree, acquis par BEA Systems, qu'il a quitté après son rachat par Oracle. « Marge Breya [vice-présidente exécutive et directeur général de SAP/BO pour la plateforme décisionnelle] m'a convaincu que je pourrais diriger un projet à la manière d'une start-up en intégrant SAP », confie-t-il. 12Sprints a démarré en s'appuyant sur le code des applications BusinessObjects On Demand, outils décisionnels en ligne [récemment livrés dans une nouvelle version]. « J'ai demandé à pouvoir développer en utilisant les méthodes agiles, on ne pouvait pas faire autrement. Mais Business Objects travaillait de toutes façons sur ce mode depuis des années ».

La toute première version bêta de l'outil a été livrée en avril 2009. Les premières prises en main se sont faites par un groupe restreint d'entreprises, chaque utilisateur au sein de ce cercle étant en mesure d'inviter qui il souhaitait dans la boucle. « Nous avons eu un profil Facebook sur l'outil 12Sprints avant même que l'identité de ses développeurs soit connue et que l'on sache qu'il s'agissait de SAP », indique David Meyer. Entre mai et novembre 2009, une liste blanche précisait le nom des entreprises autorisées à participer au test. Il suffisait d'en faire partie pour y accéder.

L'utilisateur peut porter son contexte SharePoint dans StreamWork

La bêta privée arriva début décembre. On y accédait sur invitation. « Vous pouvez facilement créer une activité. Que vous utilisiez MS SharePoint ou un outil de wiki, vous pouvez en porter le contexte dans 12Sprints [désormais StreamWork], explique David Meyer. On peut aussi y présenter des PowerPoint et les accompagner immédiatement de commentaires. Il y a eu une adoption rapide du produit pendant sa phase bêta. Les meilleurs jours, nous avons pu avoir entre 500 et 1 000 inscriptions. Bien sûr, les niveaux d'activité sont différents, certains utilisateurs sont très actifs, d'autres se sont juste enregistrés. Fin février, il y avait plusieurs milliers de personnes qui utilisaient l'application. »

Certains éditeurs américains ont déjà développé des fonctionnalités complémentaires au logiciel. Evernote, par exemple, qui propose un outil de prise de notes, permet d'intégrer ces contenus à une activité StreamWork. Scribd, de son côté, utilise sa technologie d'affichage de documents pour offrir la lecture de fichiers Word et Excel directement dans l'environnement StreamWork.

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