Flux RSS
Business
9034 documents trouvés, affichage des résultats 3341 à 3350.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(16/03/2010 15:41:56)
Annuels Steria : La société réussit à contenir la baisse de son chiffre d'affaires
Dans un contexte économique difficile, la SSII Steria est parvenue à maintenir un niveau d'activité et de marge convenable en 2009. Sur 12 mois, son chiffre d'affaires s'est établit à 1,6 Md€, soit une baisse de 3,1% sur un an à périmètre et taux de change constants. A 118 M€, la marge opérationnelle représente 7,3% du chiffre d'affaires du groupe, un niveau à peu près comparable à celui de l'exercice 2008. Toutefois, filiale par filiale, les résultats opérationnels montre parfois des disparités importantes. Ainsi, le Royaume-Uni, l'Allemagne et la France enregistrent respectivement des marges opérationnelles de 11,3% (-0.1% comparé à 2008), 7,1% (-2.2%) et 6,4% (stable). (...)
(16/03/2010 10:09:42)Gestion des achats : BravoSolution étend sa couverture territoriale
Spécialisé dans les services de gestion des achats (Supply Management), l'éditeur BravoSolution a vu son chiffre d'affaires progresser de 9% en 2009, à 50,7 millions d'euros. A rebours des réductions de postes opérées par d'autres, la société a augmenté ses effectifs de 10% l'an dernier. Elle compte désormais 450 collaborateurs sur huit pays (en Europe, aux Etats-Unis et en Chine). « Cela a été, sur différents plans, notre meilleure année depuis la création de la société en 2000, estime Bruno Pillon, président de la filiale française. Nous avons continué à recruter, ouvert un bureau au Mexique et gagné des clients dans des pays où nous ne sommes pas présents mais porteurs d'offres avec des partenaires, au Brésil, au Canada, à Hong-Kong, en Nouvelle-Zélande, au Qatar et en Thaïlande. »
Adossé au cimentier italien Italcementi, BravoSolution divise son activité à parts égales entre la vente de progiciels (licences et mode SaaS) et une activité de conseil stratégique et opérationnel auprès des directions des achats. Les relations que la société a établies avec des milliers de fournisseurs sur les différents continents lui a permis de constituer une base de données pour aider ses clients à identifier et sélectionner de nouveaux contacts. Son offre de logiciels couvre la chaîne de processus qui débute par la définition collaborative des besoins, se poursuit par la recherche et la mise en concurrence des fournisseurs et inclut les enchères inversées.
Elle comprend également des solutions de consolidation et d'analyse des dépenses, de suivi des contrats et d'évaluation de la performance des fournisseurs. Cette deuxième catégorie d'outils, que BravoSolution a acquis en 2007 avec le rachat de Mobile Workers, permet aux entreprises qui ont rationalisé leur base de données fournisseurs de passer à la maîtrise des risques liés aux achats. La diversification des sources d'approvisionnement, notamment en Asie, apporte son lot de défis, en termes de suivi de fabrication, de qualité, de risques financiers ou de non respect des consignes de sécurité. Des points que les entreprises veulent pouvoir contrôler, particulièrement lorsqu'elles s'inscrivent dans une démarche de développement durable. Dans ce domaine, BravoSolution fournit des outils qui permettent de cartographier les risques que les fournisseurs font prendre à l'entreprise.
Un CA en hausse de 18% pour la filiale française
En France, BravoSolution a enregistré une croissance de 18% sur son chiffre d'affaires qui s'établit à 8,2 millions d'euros, avec 44 personnes. Pour Bruno Pillon, président de la filiale, ces bons résultats sont une combinaison de plusieurs facteurs : « Nous avons d'abord renouvelé à 100% nos contrats et certains clients ont étendu leurs applications vers d'autres modules. » Sur l'Hexagone, la base installée de BravoSolution compte une quinzaine de grands groupes, parmi lesquels Cegelec, RTE (filiale d'EDF) ou L'Oréal.
Depuis le début de la crise économique, « nous avons tenu à nos clients un discours un peu dédramatisé en recommandant de ne pas mettre la pression sur les fournisseurs, notamment sur la partie Supply Chain et en particulier le transport qui ont souffert », explique par ailleurs Bruno Pillon. Une offre telle que BravoSolution Collaborative Sourcing, par exemple, laisse le fournisseur faire son allotissement [regroupement des colis en fonction de leur destination] en tenant compte des contraintes du client. « Nous jouons davantage sur des notions de remplissage que de marges, nous optimisons en utilisant l'intelligence des transporteurs ».
[[page]] Interrogé sur les perspectives de BravoSolution en 2010, Bruno Pillon entrevoit entre 10 et 15% de croissance. L'éditeur compte décliner ses approches opérationnelles. « A chaque fois que nous mettons en place des actions d'amélioration chez nos clients, il faut les outiller ». A l'inverse, les clients qui s'équipent d'outils de supply management doivent être formés et accompagnés dans leur démarche. Par ailleurs, si certains d'entre eux ont acquis une maturité sur les plateformes de sourcing, en utilisant de 50 à 60% des fonctions, la marge de progression reste importante car certains grands groupes ne passent par la plateforme que pour 10 à 15% de leurs achats. « Sur notre secteur, le marché est très loin d'être saturé », affirme Bruno Pillon. Il reconnaît toutefois subir, comme beaucoup d'éditeurs, une pression sur les prix du logiciel. Ce qui, estime le dirigeant, rend d'autant plus notable la croissance réalisée en 2009 par la filiale française.
Parmi les concurrents de BravoSolution figurent des sociétés comme Ariba ou Emptoris, notamment aux Etats-Unis où l'éditeur européen a renforcé sa présence depuis 2008 et son acquisition de Verticalnet. Signalons par ailleurs qu'en février dernier, Capgemini a racheté le fournisseur de solutions d'achats en ligne IBX avec lequel il travaillait depuis l'été 2009. Ensemble, ils comptent mettre en place une offre mondiale de services de recherche de fournisseurs (sourcing) et d'approvisionnement. (...)
Filiales de Bouygues, Axione fusionne avec Exprimm
Dans la galaxie Bouygues, on connaît Bouygues Télécom, l'opérateur mobiles et maintenant fixe. Une autre filiale du groupe, plus précisément de Bouygues Construction, agit également dans les télécoms. Mais cette fois sur les réseaux et au plan local : ETDE. Cette dernière vient de fusionner deux de ses filiales : Axione et Exprimm Télécoms. Axione est un opérateur de réseaux publics, tourné vers les collectivités locales. Il a dernièrement remporté les réseaux du Finistère et des Hautes Pyrénées et opère celui de Drôme-Ardèche. Exprimm agit dans la construction des réseaux : travaux, mise en service, maintenance, toujours au plan local. Les deux sociétés fusionnent sous le nom d'Axione. ETDE et Axione ont créé il ya un an une autre société complémentaire : Axione Infrastructures qui s'occupe de financements des PPP (partenariats publics privés), toujours dans le domaine des réseaux d'initiative publique. (...)
(15/03/2010 14:40:28)Embellie boursière en 2009 pour les valeurs technologiques
(Source EuroTMT)Selon l'étude annuelle de la société de conseil en stratégie, Oliver Wyman, basée à New York, la valorisation boursière des 450 principales sociétés du secteur des TMT est ressortie à 5 600 milliards de dollars à fin 2009. C'est donc nettement mieux que les 4 000 milliards en 2008 mais encore très en dessous des 7 100 milliards en 2007. Cette croissance est supérieure à la plupart des indices boursiers, à l'exception du Nasdaq (sociétés de technologies). Dans le classement plus particulier concernant l'indice de création de valeur pour l'actionnaire, le top 20 a été bouleversé. Tencent (site communautaire chinois) demeure le leader, mais 14 sociétés font leur apparition, comme Automony (leader mondial du logiciel d'infrastructure d'entreprise) classé numéro 2, ou Bezeq, l'opérateur télécoms israélien, devenu numéro trois. (...)
(15/03/2010 10:34:46)Infotel marque le pas en 2009
Spécialiste de la gestion de bases de données, Infotel a publié, fin janvier, un chiffre d'affaires (CA) à peine positif, en croissance de 0,8% à 89,2 millions d'euros en 2009. Il publie maintenant d'autres chiffres concernant sa rentabilité. Le résultat opérationnel baisse de 22,5% avec 7 millions d'euros, représentant 7,8% du CA 2009. Le résultat net se monte à 5,2% en baisse de 22,9%. La société souligne que ses marges se sont redressées au second semestre, la marge opérationnelle passant de 4,4% du CA à 10,9% entre le 1er et le second semestre. Le taux de marge nette est passé, lui, de 3,4% à 8,2%. La société a maintenu en 2009 son plan d'investissement : nouveaux centres de services, nouvelles qualifications, recrutements (l'effectif est passé de 677 à 727 collaborateurs). (...)
(12/03/2010 15:58:27)Simon Phipps, patron de l'Open Source de Sun, s'en va lui aussi
Après Jonathan Schwartz, ex-PDG de Sun, qui a annoncé début février son départ par voie de tweet, c'est au tour du patron de l'Open Source de Sun de quitter son poste, à la suite de l'absorption de sa société par celle de Larry Ellison. Alors que cette acquisition devrait faire d'Oracle le vendeur le plus puissant de la sphère Open Source, la société de Redwood Shores devra donc se passer de Simon Phipps. Ce dernier part à quelques jours de son dixième anniversaire au sein des équipes de Sun : « je suis arrivé au moment de JavaOne, en 2000 », écrit-il sur son blog. Dans son billet, il ne résiste pas à l'envie d'égrener quelques faits saillants de la conversion Open Source de Sun : le passage vers l'Open Source du système d'exploitation OpenSolaris ou encore des outils de développement Java OpenJDK, la promotion de l'Open Document Format, le soutien à la mise en place de la licence GPL v3, ou encore l'importante contribution des équipes de Sun aux blogs. Mais il se dit aussi déçu que le succès de l'Open Source n'ait pas suffi à sauver Sun. Simon Phipps ne détaille pas les raisons de son départ et ne précise pas si on l'y a contraint. Il ignore encore ce qu'il va faire maintenant. Avant de rejoindre Sun, il était responsable du centre des technologies Java chez IBM. (...)
(11/03/2010 17:31:35)Cloud computing : CA acquiert Nimsoft et ses outils de suivi des performances IT
Sans surprise, CA poursuit sa montée en puissance vers le cloud computing avec un nouveau rachat. Après Cassatt, Oblicore puis 3Tera le mois dernier, le fournisseur américain met la main sur Nimsoft pour 350 millions de dollars. Cet éditeur californien, dirigé par Gary Read (photo ci-dessus), apporte à CA des outils de suivi des performances IT pour les infrastructures internes et externes (applications en mode SaaS, services hébergés, environnements cloud). Nimsoft a notamment développé des offres pour Rackspace et pour le cloud d'Amazon, EC2. Son acquisition devrait être effective à la fin de ce mois. En ajoutant ces solutions à son catalogue, CA compte attaquer de nouveaux segments de marchés : les entreprises en croissance (réalisant entre 300 M€ et 2 Md€ de chiffre d'affaires), les économies émergentes, ainsi que les fournisseurs de services hébergés qui leur proposent des services d'administration IT via le cloud, explique Chris O'Malley, vice président exécutif de CA. Dans un billet de blog, Gary Read, le PDG de Nimsoft, considère que cette absorption va permettre à sa société de poursuivre sa course. « Le marché évolue et se modifie si rapidement que je craignais que Nimsoft ne puisse pas, seul, tenir la cadence. Nous recrutons aussi vite que nous le pouvons, mais il y a des limites naturelles aux capacités de croissance d'une société... ». Sur son segment, Nimsoft concurrençait les quatre grands acteurs de l'administration de systèmes que sont BMC, HP, IBM et CA lui-même. (...)
(11/03/2010 16:48:21)Selon Forbes, Bill Gates n'est plus l'homme le plus riche du monde
De nouveau, les évolutions boursières bouleversent la donne en tête du classement Forbes des hommes les plus riches du monde. Bill Gates perd pour la deuxième fois la première place au profit de Carlos Slim Helu. Les TIC continuent par contre de truster de bonnes places dans ce classement : si Bill Gates vient du monde du logiciel avec Microsoft, Carlos Slim Helu est le principal actionnaire d'opérateurs dans le secteur des télécommunications en Amérique Latine (TelMex, TelNor, etc.). La fortune de chacun des deux premiers milliardaires (53,5 et 53 milliards de dollars) représente environ deux millions et demi d'années de SMIC et l'équivalent du PIB d'un pays situé entre Oman et la Slovénie.
A l'inverse, la première fortune française avec 27,5 milliards de dollars, Bernard Arnault, n'a guère été heureux avec les TIC, comme le rappelle le blog Newsfinance. L'informatique et les Français, ça fait décidément deux.
Au sixième rang du classement Forbes, on trouve...
[[page]]
Au sixième rang du classement Forbes, on trouve Larry Ellison, patron d'Oracle, avec 28 milliards de dollars, soit entre les PIB de l'Ouzbékistan et du Liban.
Serguei Brin et Larry Page, les fondateurs de Google, occupent ex-aequo la 24ème place, avec 17,5 milliards de dollars, soit au niveau du PIB de la Bolivie ou de l'Islande. Eric Schmidt, actuel PDG de Google, est lui 117ème avec 6,3 milliards de dollars.
Microsoft revient dans le classement à plusieurs reprises. Son patron actuel Steve Ballmer, par exemple, est 33ème (14,5 milliards de dollars, à peu près le PIB du Gabon) et Paul Allen, co-fondateur de l'entreprise et 37ème avec 13,5 milliards de dollars.
Au même niveau, on retrouve Michael Dell et, peu après, Jeffrey Bezos, fondateur d'Amazon, au 43ème rang avec 12,3 milliards.
Hasso Plattner, fondateur de SAP et premier entrepreneur dans le domaine des TIC européen, est loin derrière ses homologues américains : 154ème avec 5 milliards de dollars.
Le fondateur de Facebook, Mark Zuckerberg, est 212ème avec 4 milliards de dollars. A 25 ans, il a encore le temps de progresser. Précisons qu'il est toujours célibataire et le plus jeune du classement.
Gordon Moore, d'Intel, n'est lui que 237ème avec 3,8 milliards de dollars. Dure loi que celle de la richesse qui ne double pas tous les dix-huit mois. (...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |