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(11/03/2010 16:10:15)

Le Comdex reprend vie dans un Las Vegas virtuel

Le Comdex de Las Vegas va renaître de ses cendres sous la forme d'un salon virtuel. L'organisateur d'événements United Business Media (éditeur de BusinessWeek), qui a racheté la marque en 2006, a annoncé il y a quelques jours qu'il allait reconstituer l'événement en ligne en s'appuyant sur une plateforme technologique où l'on retrouverait un Las Vegas virtuel offrant «les lumières, sans la foule ni les embouteillages». Les dates du 16 et 17 novembre sont retenues. La dernière édition de ce salon informatique, qui fut en son temps l'un des grands rendez-vous professionnel de la IT, remonte à novembre 2003. Au meilleur de sa forme, il accueillait 200 000 visiteurs et 2 300 exposants. Victime d'une sérieuse baisse de fréquentation après 2001, il perdit rapidement de sa superbe au profit du CES (Consumer electronic show) programmé au même endroit quelques semaines plus tard. Créé à l'origine comme une manifestation visant les revendeurs de technologies, le Comdex reprend le même positionnement, expliquent ses organisateurs. L'environnement proposé devrait inclure une grande salle de conférences pour les 'keynotes', un espace pour les ateliers techniques et les sessions de formation (sous forme de contenus en ligne), un hall d'exposition avec des stands sur lesquels les fournisseurs pourront présenter leurs produits, des espaces pour les réunions privées avec clients et partenaires, un centre de test pour des démonstrations et une salle de presse. (...)

(11/03/2010 13:02:02)

Brevets abusifs : Jonathan Schwartz, ex-PDG de Sun, se lâche sur son blog

En 2003, après que Jonathan Schwartz eut dévoilé un prototype de Linux pour le poste de travail, Steve Jobs - PDG d'Apple - appela son bureau afin d'indiquer que les effets graphiques de ce bureau "piétinaient la propriété intellectuelle d'Apple" et il menaçait de poursuivre devant les tribunaux s'il envisageait de le commercialiser. La réponse de Jonathan Schwartz fut simple, indique-t-il "Steve, je regardais votre dernière présentation, et Keynote paraît identique à Concurrence, possédez-vous cette propriété intellectuelle ?" Concurrence était un outil de présentation créé par Lighthouse Design, une société à laquelle Jonathan Schwartz avait participé, et que Sun avait acquis en 1996. Steve Jobs, toujours selon Jonathan Schwartz, avait utilisé Concurrence durant des années et alors qu'Apple créait son propre outil de présentation, la source de leur inspiration était évidente. Beaucoup de technologies croisées "Et au final, j'ai vérifié, MacOS est maintenant bâti sur Unix. Je crois que Sun possède quelques brevets sur les systèmes d'exploitation, aussi." Steve n'a rien répondu, indique Jonathan Schwartz. Ce dernier finit par abandonner ce projet de nouveau bureau, mais la menace de procès de Steve Jobs n'y était pour rien. "Les rodomontades et les menaces sont monnaie courante dans les entreprises de technologie" relève Jonathan Schwartz. Il ajoute que l'expérience avec Steve Jobs fut un bon entraînement pour l'entretien qui suivit quelque temps plus tard, avec Bill Gates et Steve Ballmer de Microsoft. Bill Gates avait attaqué bille en tête en déclarant que les brevets des produits de bureautique de Microsoft se retrouvaient dans OpenOffice (le produit de bureautique de Sun, livré en Open Source). A la différence de Steve Jobs, Bill Gates proposa à Sun de payer les licences correspondantes. [[page]] "Mais nous avions prévu le coup. Microsoft n'est pas lui-même étranger à l'imitation de produits qui ont du succès, puis à s'appuyer sur la puissance de son réseau de distribution afin d'éliminer la concurrence. Leur inspiration est souvent évidente" ajoute Jonathan Schwartz. Et de citer Bing, ou la plateforme de développement .Net, à comparer à J2EE. L'argument porta, car Bill Gates n'était pas chaud pour payer des licences sur les brevets J2EE évoqués par Jonathan Schwartz. La réunion tourna court. Jonathan Schwartz reconnaît la valeur des brevets, mais pour lui, utiliser ses brevets dans le domaine du logiciel, est un acte de désespéré, qui mise sur les tribunaux plutôt que sur la loi du marché. SElon lui, poursuivre un concurrent devant la justice rend celui-ci plus pertinent, au lieu de l'inverse. Racheter une société pour en attaquer une autre Il se souvient de l'un des procès les plus graves faits à Sun. Cela venait de Kodak. "Kodak avait acheté un brevet d'un fabricant défunt de PC - Wang - dans le seul but de faire un procès à Sun à propos d'une technologie ésotérique, Java Remote Method Invocation" se souvient-il. Or, Kodak n'avait qu'une faible activité dans le numérique. Sun ne pouvait donc pas répliquer sur des brevets violés par Kodak. Sun aurait pu aussi procéder en achetant une société dont les brevets seraient violés par Kodak, mais cela aurait été prohibitifs. Au bout du compte, l'affaire fut jugée devant un jury de Rochester, New York, un endroit connu pour héberger le siège social de ... Eastman Kodak. Le jury local finalement condamna Sun à payer 100 millions de dollars à Kodak. Et Jonathan Scwartz de conclure "Voilà des choses que je ne pouvais pas dire en tant que PDG de Sun. " (...)

(11/03/2010 12:23:16)

Stéphane Richard s'entoure de femmes à la direction de France Télécom

Au premier rang, on remarque Delphine Ernotte, directrice exécutive, adjointe pour les opérations en France. Elle sera chargée de mettre en oeuvre le projet d'entreprise en France, et en particulier elle veillera à la poursuite effective des chantiers lancés par les directeurs d'unités et sera garante de la cohésion des équipes et de la mise en service du nouveau contrat social. Elle aura la responsabilité de mettre en oeuvre le renouveau opérationnel et managérial de France Télécom en France. Elle prendra appui sur le comité de direction ainsi que sur les Directeurs Territoriaux. [[page]] On a forcément remarqué l'arrivée de Christine Albanel, ancienne ministre de la Culture. Elle est directrice exécutive, en charge de la Communication, du Mécénat et de la Stratégie dans les Contenus. Christine Albanel se verra également confier à terme la Communication interne du Groupe. Agée de 54 ans, elle est agrégée de lettres modernes, Conseiller d'État. Elle a occupé les fonctions de Présidente de l'Établissement Public de Versailles. Christine Albanel a débuté sa carrière en tant que chargée de presse à la Présidence de la République de 1979 à 1981 puis comme chargé de mission auprès du Directeur de l'information et de la communication de la ville de Paris de 1982 à 1986. Après deux ans à Matignon (1986-1988), elle a poursuivi son parcours en étant Directeur adjoint du cabinet du Maire de Paris, puis, de 1995 à 2000, Conseiller pour l'éducation et la culture auprès du Président de la République. En 2000, elle a été nommée Conseiller d'État. [[page]] Parmi les autres promotions, Alice Holzman, 41 ans, Essec, est actuellement Directrice de la Communication France. Après un début de carrière chez Gemini Consulting comme consultante dans le domaine Marketing et Ventes, elle a rejoint le groupe France Télécom-Orange en 1995 où elle a lancé les premières offres mobiles Grand Public. En janvier 2006, elle a été nommée Directrice Marketing Mobiles puis Directrice Générale Déléguée d'Orange France SA . Odile Roujol est nommée Directrice de la Communication France et prend la responsabilité de la communication externe et interne. HEC 1989, elle a mené une grande partie de sa carrière dans le secteur de la Beauté et du Luxe, notamment aux États-Unis. Avant de rejoindre France Télécom-Orange en septembre 2009 en tant que Directeur Marketing Client pour les activités grand public d'Orange en France, elle était Directeur Général International de Lancôme au sein du groupe l'Oréal. (...)

(11/03/2010 12:03:37)

Annuels Devoteam : baisse de la rentabilité en 2009

Pour le compte de son exercice 2009, le groupe de services informatiques Devoteam a publié un résultat net de 10,9 M€ en baisse de 43% comparé à l'année précédente. La marge d'exploitation baisse elle aussi, de 29%, à 28,5 M€, du fait d'un taux d'occupation inférieur à celui des exercices précédents. En outre, l'activité du groupe en France (52% de ses revenus), a connu une baisse de sa marge brute tandis que l'activité à l'étranger a été pénalisée par les pertes de Danet. Cette société de conseil allemande de 320 collaborateurs a été intégrée dans Devoteam en mars 2009. Durant le dernier exercice, elle a contribué à hauteur de 30 M€ aux chiffre d'affaires total du groupe. Celui-ci ressort à 459,5 M€, soit le même niveau qu'en 2008. Les prévisions du groupe pour 2010 restent inchangées par rapport à celles faites en février dernier. De fait, Devoteam anticipe un chiffre d'affaires de l'ordre de 470 M€ et un taux de marge opérationnelle de 6% environ pour l'année en cours (...)

(09/03/2010 17:27:35)

La crise n'a guère affecté le salaire du PDG d'IBM

Si certains patrons du secteur IT ont vu leur rémunération globale révisée à la baisse en 2009, quelquefois dans des proportions significatives comme le PDG d'Adobe (-68%), tous n'ont pas eu les mêmes déconvenues. Si l'on se réfère aux chiffres communiqués hier par IBM à l'autorité de régulation de la bourse américaine, la SEC (Securities and exchange Commission), le président de Big Blue, Sam Palmisano, a perçu en 2009 une rémunération globale de 24,3 millions de dollars, inférieure de 200 000 dollars à celle de l'année précédente. De son côté, The Associated Press, qui établit régulièrement un classement des patrons les mieux payés à partir des documents transmis à la SEC, calcule au contraire une légère augmentation. Salaire étal, mais bonus en hausse Pour l'agence AP, Sam Palmisano aurait touché l'an dernier une rémunération globale de 21,1 millions de dollars, légèrement supérieure aux 21 M$ perçus en 2008. Sur ce montant, son salaire de base, inchangé depuis 2007, ne s'élève qu'à 1,8 M$. S'y est ajoutée une prime en cash de 4,75 M$, calculée sur les performances. Celle-ci a certes diminué de 14% par rapport aux 5,5 M$ qui lui ont été versés en 2008. Mais l'essentiel de son salaire global provient d'un bonus calculé sur la valeur d'actions, évalué à 13,5 M$ au moment où la bonification a été attribuée, soit une augmentation de 11% par rapport à l'an dernier. Le patron d'IBM a également reçu 1,1 M$ de plus sous forme d'indemnisations diverses. Ses déplacements personnels en avion ont par exemple été couverts par la flotte de l'entreprise à hauteur de 320 065 dollars. Sa protection personnelle et l'usage de véhicules figurent également parmi ces avantages en nature. Malgré le recul de 8% enregistré en 2009 par IBM sur son chiffre d'affaires de 95,8 milliards de dollars, la société a vu croître ses profits. Son bénéfice s'est établi à 13,4 Md$, soit une hausse de 9% par rapport à 2008. Crédits photo : Sam Palmisano, président de Big Blue (D.R.) (...)

(09/03/2010 14:42:05)

L'éditeur français Exo Platform lève quatre millions d'euros

Quelques mois après avoir posé ses valises à San Francisco, le Français eXo Platform lève 4 millions d'euros pour développer son bureau américain. « C'est notre premier tour de table après sept ans d'autofinancement », confie Benjamin Mestrallet, son président fondateur, qui a lui-même ouvert le bureau californien en octobre dernier [lire "eXo Platform prend pied aux Etats-Unis"]. La société a démarré son activité en 2003 avec le développement d'un container de portlet Java en Open Source. Par la suite, elle a développé l'interface WebOS, qui reproduit l'environnement de travail d'un utilisateur à partir d'un navigateur web, ainsi que des logiciels collaboratifs et de gestion de contenus. Il y a quelques mois, l'éditeur a fusionné son projet de portail avec celui de Red Hat (le plus important distributeur d'eXo aux Etats-Unis) pour créer une plateforme commune, GateIn. XAnge et Auriga, engagés à parts égales Les fonds que l'éditeur vient de recueillir proviennent de deux sociétés de capital risque françaises, XAnge, créée par La Poste, et Auriga Partners. Elles sont désormais engagées à parts égales dans eXo (en septembre dernier, Auriga avait déjà investi 2 M€ dans BonitaSoft, éditeur d'une solution de BPM en Open Source). Ces deux investisseurs permettent à l'éditeur français d'embaucher trois collaborateurs seniors : un vice-président des ventes et deux directeurs marketing. « C'est la première fois que nous faisons cela », explique le dirigeant français, en précisant que sa société est profitable et qu'elle réalise une très bonne croissance en Europe. [[page]] Pour déployer les activités d'eXo Platform aux Etats-Unis, Benjamin Mestrallet s'est entouré à l'automne dernier d'un bureau de trois conseillers, familiers de l'Open Source et dotés d'une forte expérience dans les métiers du logiciel. Parmi eux figure Bob Bickel, co-fondateur de Bluestone Software (racheté par HP en 2001). Cet ancien directeur de la stratégie chez JBoss préside désormais le conseil d'administration de la société française. « Il m'a mis en contact avec les plus gros venture capitalists [investisseurs en capital risque] américains de la Silicon Valley », apprécie Benjamin Mestrallet qui reconnaît avoir eu de ce côté de l'Atlantique des propositions intéressantes avant de finalement choisir des investisseurs français. « Je recherchais des fonds et la confiance de ces futurs partenaires ». Avec la présence de Bob Bickel au sein d'eXo Platform et sa connaissance du secteur, le recours à des investisseurs américains pour ouvrir les portes devenait moins impératif. D'ailleurs, le nouveau 'chairman of the board' engage lui-même ses propres deniers dans la société. « Tous les recrutements américains viennent de son réseau », précise encore le fondateur d'eXo Platform. Ainsi, le vice-président des ventes, Tom Leonard, est un ancien de BlueStone Software et de JBoss, passé par la suite chez OpenSpan, un éditeur spécialisé dans l'optimisation du poste de travail. La directrice chargée du marketing direct, Katie Poplin, a également travaillé chez JBoss puis Red Hat. Enfin, le directeur marketing chargé du réseau de distribution est un Français, Jérôme Agnola, qui habite dans la 'Valley' depuis dix ans. Il permettra de faire le lien entre les bureaux. Pour Benjamin Mestrallet, ces recrutements représentent une dépense contrôlée. « Nous ne réembaucherons pas avant plusieurs mois, pas avant que nous ne soyons revenus à l'équilibre », conclut-il. (...)

(09/03/2010 09:54:22)

La Poste bientôt opérateur mobile virtuel

Que faire quand l'activité du courrier est en baisse constante ? Se tourner vers les nouveaux médias, comme le téléphone mobile. C'est que ce La Poste aurait bien envie de faire en devenant opérateur mobile, selon notre confrère Les Echos. La décision devrait être entérinée Jeudi prochain lors du prochain conseil d'administration. L'offre concernerait aussi bien des forfaits que des cartes pré-payées. La Poste serait MVNO (Mobile Virtual Network Operator) au même titre que Virgin Mobile. Les services seraient commercialisés au premier semestre de 2011. Dans ce retour au source de l'ancien monopole des télécommunications, la Poste dispose d'un atout de première grandeur avec son réseau de distribution de proximité unique en France. Les ambitions de La Poste resteraient mesurées avec 1,5 à 2 millions de clients. Voilà qui ne va pas faire plaisir à Free mais devrait déclencher une vraie concurrence entre les opérateurs mobiles qui possèdent leur propre réseau (Orange, Bouygues Télécoms ou SFR) pour héberger La Poste sur leurs infrastructures. Et que penserait l'Autorité de la Concurrence d'un rapprochement entre La Poste et France Télécom sur ce sujet ? (...)

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