Flux RSS
Business

9034 documents trouvés, affichage des résultats 3361 à 3370.
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(09/03/2010 09:52:58)
Cisco réduit ses activités dans le Wimax
Après l'acquisition de Navini Networks en 2007 pour 330 millions de dollars, Cisco avait fait sa véritable entrée sur le marché du WiMax. A l'époque, il y voyait une excellente opportunité de développer l'Internet haut débit dans les pays émergents. Depuis, le WiMax a été progressivement relégué au second plan par la technologie LTE (Long-Tarm Evolution) en tant que socle des futurs réseaux de communication mobile 4G. Le LTE bénéficie du soutient des acteurs de l'industrie du GSM. En outre, il figure sur la feuille de route des principaux opérateurs ayant déjà fait les choix technologiques pour leur futurs réseaux mobiles 4G. Verizon Wireless prévoit, par exemple, de lancer une offre commerciale bâtie sur LTE cette année, tandis qu'AT&T devrait suivre l'an prochain. Heureusement pour lui, Cisco peut à la fois couvrir les marchés du WiMax et du LTE depuis l'acquisition de Starent Networks l'an dernier. Cette entreprise conçoit des produits qui gèrent des accès aux réseaux sans fil 2,5 G, 3G et 4G pour des coeurs de réseaux d'opérateurs mobiles. Ses matériels sont déployés dans des réseaux CDMA2000 (1X, EV-DO), UMTS/HSPA, LTE, WiFi, et WiMAX. « Pour que notre décision de cesser de fabriquer des stations de bases WiMax ne lèse pas nos clients, nous avons prévu un plan de support qui va les aider à migrer vers le LTE », précise Jim Brady, le porte-parole de Cisco. "Cisco a pris la bonne décision au bon moment", juge Laurence Swasey, analyste chez Visant Strategies. "Cisco pense que le LTE va dominer le monde de la 4G et que cette technologie pourrait même être adoptée par les opérateurs WiMax". Pour ce spécialiste, le récent choix de Cisco de sortir du marché du WiMax aura beaucoup moins d'impact sur l'industrie que celui qu'il avait fait en décidant d'y entrer. Photo : installation d'un réseau Wimax à Karaganda (centre du Kazakhstan) par l'opérateur AsiaBell en février 2009 avec des équipements fournis par Cisco (D.R.) (...)
(08/03/2010 16:55:23)Google rachète DocVerse pour créer un pont vers MS Office
Avec l'acquisition de DocVerse, une entreprise fondée par deux anciens employés de Microsoft, Google peut offrir à Word une composante en ligne avant l'éditeur lui-même. Ce plug-in pour Office permet de suivre et de synchronise les changements apportés par différents utilisateurs à un document Office de sorte que plusieurs personnes peuvent travailler sur un fichier sans avoir à faire des va-et-vient ni à garder la trace des modifications effectuées. Cette fonctionnalité de stockage de partage et d'édition de documents en ligne ressemble à celle qui apparaîtra dans Office 2010, la nouvelle version de la suite bureautique, dont la sortie est prévue en juin prochain. Dans un article publié sur un blog, Google a déclaré croire encore que le web était le meilleur endroit pour créer et partager des informations, notamment par l'intermédiaire de son offre Google Docs. « Nous voyons bien que la plupart des gens restent habitués aux logiciels de bureau. C'est pourquoi nous facilitons la transition vers un système cloud, et nous créons de l'interopérabilité avec les applications bureautiques comme Microsoft Office, » a déclaré Jonathan Rochelle, directeur produits chez Google. « Avec DocVerse, les gens peuvent déjà expérimenter les avantages de certains outils collaboratifs sur le Web tout en utilisant les applications de bureau traditionnelles comme Microsoft Word, Excel et PowerPoint. » [[page]] Selon les fondateurs de DocVerse, Google prévoirait de lier son offre Google Docs avec DocVerse. « Notre première étape sera de combiner DocVerse avec Google Apps pour créer un pont entre Microsoft Office et Google Apps, » ont écrit Shan Sinha, fondateur et PDG de DocVerse, et Alex DeNeui, fondateur et CTO de l'entreprise, dans un blog. Cette initiative pourrait renforcer la concurrence entre Google et Microsoft auprès des utilisateurs. Par exemple, les personnes disposant des versions actuelles d'Office pourraient décider d'utiliser DocVerse plutôt que de passer à Office 2010 pour profiter des capacités de partage en ligne. A l'heure actuelle, la date de disponibilité d'un produit DocVerse intégrant Google Apps n'a pas été spécifiée. (...)
(08/03/2010 16:38:15)IBM condamné à payer plus de 11 millions d'euros à la MAIF
Le tribunal de grande instance de Niort a donné raison à la MAIF dans son contentieux l'opposant à IBM, selon une information de notre confrère Sébastien Kerouanton de la Nouvelle République. Les faits reprochés portent sur la livraison tardive d'un projet baptisé « GRS » (gestion de la relation sociétaire) en en avril 2006 pour un prix de 7.302.822 euros. Après plusieurs retards et réévaluation du projet (jusqu'à 18 millions d'euros pour la partie financière), la société d'assurance met fin à la collaboration et la partie judiciaire débute. IBM et sa banque BNP Paribas Factor ont demandé 13 millions d'euros à la MAIF, au titre de factures impayées et des dommages et intérêts pour rupture abusive et unilatérale de leur contrat. De son côté, la MAIF qui demandait 19 millions d'euros de réparation, a démontré, par un rapport d'expert indépendant qu'IBM « a obtenu le contrat aux termes de manoeuvres consistant à faire croire qu'elle maîtriserait l'ensemble des paramètres du projet ». Les juges de Niort ont souligné « les lacunes majeures » du projet d'IBM, conduisant à « une adhésion viciée et une réticence dolosive ayant affectée la validité du contrat ».En conséquence, la juridiction condamne la société informatique à verser « 1,6 millions d'euros à la MAIF et à lui verser 9,5 millions d'euros au titre de dommages et intérêts ». IBM devra verser les sommes indiquées même en cas d'appel, car soumises à exécution provisoire. Cette affaire n'est pas sans rappeler le cas Optimia d'EDF-GDF, au début des années 90. Le groupe énergétique avait souhaité mettre en place une gestion spécifique de sa clientèle. Après plusieurs intervenants et autant de péripéties, IBM devient maître d'oeuvre en 1998, mais demande un délai et un financement supplémentaires en 2000. Conditions refusées, par le comité de direction qui prend, également acte de l'arrêt de l'épisode Optimia Cible. L'aventure s'est soldée par 8 années d'efforts et près de 2 milliards de francs (soit 300 millions d'euros) d'investissements. (...)
(08/03/2010 10:37:13)Télécom Italia au coeur d'un scandale financier
(Source EuroTMT ) C'es la tempête sur Télécom Italia. Stefano Mazzitelli, l'ancien administrateur délégué de Sparkle, la filiale de Telecom Italia, a été arrêté pour son implication dans un scandale de fausses facturations et de fraude fiscale. Selon le parquet de Rome, Sparkle et l'opérateur de fibre optique Fastweb auraient mis au point un système de fausses facturations de services téléphoniques et télématiques inexistants pour un montant global de 2 milliards d'euros. L'Etat italien aurait ainsi perdu quelques 365 millions d'euros, soit la somme qui n'aurait pas été payée au fisc par les dirigeants des deux sociétés impliquées dans ce scandale. La TVA aurait été versée sur des comptes situés à l'étranger et réinvesti dans l'immobilier et l'achat de bijoux et de voitures. Selon les enquêteurs, les dirigeants, incarcérés de Sparkle et Fastweb, auraient utilisé des sociétés écrans relevant du droit italien, anglais, finlandais et luxembourgeois. 1,2 milliard d'euros envolés à la Bourse Dans ce contexte, l'opérateur Télécom Italia a repoussé l'approbation de son bilan 2009 au 25 mars prochain. Quant à la présentation du nouveau plan industriel qui devait avoir lieu vendredi dernier, elle a été fixée au 29 avril. A l'origine de ces deux décisions importantes, la chute du titre Telecom Italia qui a perdu 5,3 % à la bourse de Milan jeudi 25 février. Aux dernières nouvelles, la valorisation de l'opérateur a perdu l'équivalent de 1,2 milliard d'euros la semaine dernière. Les investisseurs ont été refroidis par la saisie de 300 millions de Sparkle à titre préventif et par la position du tribunal qui réclame la mise sous tutelle de la filiale de Telecom Italia. La décision des magistrats devrait tomber dans les jours qui viennent. En attendant, la direction de Telecom Italia essaye de requinquer le moral de ses troupes et des investisseurs. C'est d'ailleurs dans cet état d'esprit que l'administrateur délégué du groupe Franco Bernabe vient d'annoncer que l'opérateur se portera partie civile contre les anciens dirigeants de Sparkle. [[page]] Au-delà de l'aspect judiciaire, cette affaire pourrait avoir d'autres retombées importantes pour Telecom Italia. A commencer par la fusion avec Telefonica qui ressemblait, il y a quelques jours encore, à un mariage forcé en raison de la situation financière difficile de l'opérateur italien. En effet, selon les données préliminaires, les comptes ne se portent pas très bien. Le groupe affiche quelques 34 milliards de dette, l'Ebitda est en chute libre (11,3 milliards soit 4,4 milliards de moins par rapport à l'an dernier), tout comme les revenus dans la téléphonie fixe et mobile (- 5,6 % par rapport à 2008) sans parler de la détérioration constante de la marge d'expansion du groupe sur les marchés étrangers. Selon les analystes, les bénéfices nets devraient tourner autour de 1,5 milliards d'euros, mais il ne s'agit que d'estimations approximatives. En revanche, les coûts ont été globalement réduits de 900 millions d'euros grâce avant tout, à une réduction des effectifs (- 5 700 salariés). Dans ce contexte, Telecom Italia ne semblait pas avoir trop le choix. Mais après le scandale Sparkle, les fiançailles pourraient être rompues. Selon le quotidien « La Repubblica », un représentant de l'establishment industriel aurait déclaré sous couvert d'anonymat : « Telefonica ne se lancera jamais dans une opération risquée avec un groupe tellement compromis sur le plan judiciaire que la direction a du repousser la date de présentation de l'exercice 2009 ». Une fusion en sursis Pour l'heure, les Espagnols ne bougent pas. Tout comme la direction de Telecom Italia, Cesare Alierta, le PDG de Telefonica, veut probablement attendre le déroulement de l'enquête et surtout, la décision du tribunal sur l'éventuelle mise sous tutelle de Sparkle. Que va-t-il donc se passer ? « Wait and see » confient en coulisse quelques dirigeants. Certes, l'annulation de la fusion avec Telefonica, qui n'est pas encore bouclée, posera de sérieux problèmes à l'opérateur qui devra revenir à la case départ et trouver de nouveaux interlocuteurs, peut-être en Italie. C'était d'ailleurs la solution proposée au départ par le gouvernement Berlusconi qui parlait de défendre l'italianité de l'opérateur en évitant la solution espagnole. Toutefois, le scandale Sparkle pourrait avoir raison des éventuels prétendants qui traînent déjà les pieds quant on leur demande d'investir en raison du contexte économique transalpin plutôt morose. (...)
(08/03/2010 10:14:35)Cebit 2010 : Microsoft va dépenser 9,5 milliards de dollars en R&D en 2010
Microsoft a prévu de dépenser 9,5 milliards de dollars en recherche et développement cette année, a indiqué Kevin Turner, le directeur général (COO) de la société, au cours d'une intervention au Cebit de Hanovre la semaine dernière. C'est, a-t-il assuré, bien au-delà de ce que consent n'importe quel concurrent dans ce domaine. Il chiffre la différence à 3 milliards de dollars de plus par rapport à l'acteur IT le plus proche de Microsoft. La plupart de ces investissements seront centrés sur les services de cloud, ou sur des outils informatiques hébergés proposés en ligne aux utilisateurs. « A la lumière des difficultés macro-économiques dont nous sortons, nous avons vraiment décidé de redoubler nos efforts d'innovation. Nous allons réinventer notre société en mettant le cloud au premier plan », a déclaré le directeur général, tandis que sur la côté Ouest des Etats-Unis, à peu près au même moment, son PDG Steve Ballmer tenait un discours semblable à l'Université de l'Etat du Washington. Kevin Turner affirme que Microsoft dispose déjà de plus de services de cloud que tout autre, en commençant par ses messageries grand public, jusqu'à ses logiciels hébergés pour les entreprises (tels que Dynamics CRM, l'offre de gestion de la relation client), en passant par sa plateforme de cloud, Azure. Il y aura toujours besoin de logiciels clients classiques Microsoft conservera malgré tout une activité logicielle traditionnelle significative, a poursuivi Kevin Turner. L'éditeur de Redmond a subi ces dernières années une pression de plus en plus forte de la part de sociétés telles que Google, qui vend des suites de productivité entièrement accessibles en ligne. Mais son directeur général considère qu'il y aura toujours besoin de logiciels clients classiques, capables de fournir des fonctionnalités plus étendues. Le dirigeant a également profité de l'occasion pour défendre le système d'exploitation Windows Mobile 7, présenté au WMC de Barcelone et qui sera livré cette année. Sur ce terrain aussi, la concurrence est rude, de la part d'Apple, de Nokia et des fabricants s'appuyant sur l'OS Android de Google. Windows Mobile 7 est une complète refonte des précédents OS mobiles de Microsoft, a indiqué Kevin Turner, et il est étroitement intégré avec la console Xbox et les baladeurs Zune. « Ce n'est pas un produit de suiveur », a-t-il insisté. (...)
(08/03/2010 10:05:15)La SSII GFI Informatique mesure son empreinte carbone
La SSII française GFI Informatique rassemble 10 000 collaborateurs dans le monde, dont un grand nombre en clientèle. Sensibilisée aux problématiques environnementales, elle a entrepris de maîtriser son empreinte carbone. Il s'agissait, d'une part, d'anticiper une future réglementation contraignante voire coûteuse, d'autre part d'expérimenter sur elle-même des méthodes qui pourraient ensuite entrer dans des offres commercialisées de Green-IT/IT-for-Green. En 2008, GFI Informatique France a eu une empreinte représentant 10 700 tonnes de CO2, sur lesquels 7 500 ont concerné les déplacements professionnels et 1 300 les consommations directes d'énergie. La moyenne par collaborateur était donc de 1,8 T CO2/an. Commencer par connaître la situation Le groupe de services informatiques a eu recours au cabinet Zen'To, certifié par l'ADEME (Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie) pour utiliser sa méthodologie Bilan CarboneTM. Quantifier les émissions de CO2 a nécessité la collecte de données relatives à l'activité de GFI sur un an afin d'obtenir une bonne représentativité. Outre la consommation des bâtiments par type d'énergie, l'électricité utilisée par les datacenters et l'amortissement carbone des actifs (notamment les datacenters), la SSII a calculé le kilométrage parcouru par type de transports en distinguant déplacements professionnels et les trajets domicile/bureau, la facture de carburants, les billets d'avion en avions ou trains et, enfin, la quantité de déchets produits... Le traitement des données collectées a été réalisé dans le logiciel dédié Acco2untenterprise de GreenStone Carbon Management. «GFI se positionne dans la bonne moyenne des sociétés de services en matière d'empreinte carbone mais la mesure n'a qu'une indication toute relative et n'est que le point de départ d'une démarche d'amélioration continue », a déclaré Thierry Rudowski, président de Zen'to. Dans le cas de GFI, « la société a pris le sens de cette démarche » a-t-il ajouté. Des mesures concrètes à effet rapide Plusieurs mesures avaient déjà été prises pour diminuer l'impact carbone sans atteindre les résultats de l'audit de Zen'To. Ainsi, GFI avait rationalisé son parc d'imprimantes et allongé la durée de vie de ses matériels informatique à 5 ans. En 2009, la SSII a installé un système de vidéo-conférence entre chacun de ses 17 sites afin de limiter les déplacements entre eux. Une optimisation de la flotte de véhicules professionnels a également contribué à baisser l'impact des déplacements. Après les résultats de l'audit de Zen'To, l'entreprise a décidé de mieux maîtriser encore le contrôle de la dépense énergétique de son informatique interne, les déplacements professionnels de ses salariés (notamment en favorisant les solutions alternatives telles que les vidéoconférences), etc. Par ailleurs, la SSII a profité des leçons tirées de sa propre expérience pour définir une offre de « SI éco-responsable ». (...)
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |