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(05/03/2010 16:58:00)
Plates-formes de téléchargement logiciels : les opérateurs au pied du mur
(Source EuroTMT ) Plus personne n'en doute, vingt ans après la création des premiers réseaux cellulaires, la téléphonie mobile est à un nouveau tournant de son histoire. Jusqu'à présent, l'enjeu des opérateurs mobiles était assez simple : proposer de meilleures offres commerciales que leurs concurrents opérateurs pour capter le plus grand nombre d'abonnés qui souhaitaient, avant tout, pouvoir téléphoner à n'importe quel moment. L'explosion du marché des smartphones, réservés jusqu'à l'arrivée de l'iPhone d'Apple au monde professionnel, bouleverse la donne car il transforme le mobile en terminal internet, la fonction téléphone devenant, presque, accessoire. Pour les opérateurs mobiles, comme pour les FAI dans le haut débit fixe, la concurrence est maintenant multiforme : les autres opérateurs, mais aussi les fabricants de terminaux ou les acteurs de l'internet. Et comme dans le fixe, la création de valeur ne réside plus dans l'abonnement, mais dans la capacité d'offrir les services et contenus recherchés par l'abonné. Un marché défriché par l'iPhone C'est le véritable enjeu de la bataille déclenchée par l'iPhone. Car si de nombreux acteurs peuvent se partager les revenus de ces nouveaux services et contenus, seuls les opérateurs mobiles en supportent les coûts : par les investissements qu'ils sont obligés de réaliser pour permettre aux réseaux de supporter la croissance exponentielle du trafic. Selon la GSM Association, le lobby des opérateurs, les investissements dans le haut débit mobile vont ainsi s'accroître de 15 % en 2010 à 72 milliards de dollars. Mais les revenus des opérateurs mobiles, notamment en Europe, sont en berne, en raison de la baisse des revenus voix, la croissance des revenus « données » ne compensant que très partiellement cette baisse de la voix. [[page]] Même au niveau mondial, la croissance du secteur s'explique uniquement par la croissance du nombre d'abonnés. Selon Ovum, le nombre d'abonnés devrait ainsi augmenter de 42 % d'ici à 2014 pour atteindre alors 6,5 milliards de clients. Dans le même temps, les revenus de la téléphonie mobile ne progresseront que de 19 % à 1040 milliards de dollars. Sur ce montant, la part des revenus « données » devraient représenter un petit tiers : 340,3 milliards. Soit une augmentation de 67 % par rapport à 2009. Mais les revenus tirés des SMS constitueront encore l'essentiel des revenus données (45 %). Pour les opérateurs mobiles, l'enjeu est donc clair. Il leur faut entrer sur le marché des contenus payants, pour diversifier les sources de revenus et profiter de l'explosion du marché des smartphones. Il leur faudra développer des écosystèmes similaires à celui crée par le géant japonais DoCoMo avec son imode. Un modèle déjà adopté au Japon D'ailleurs si pour la plupart des grands opérateurs occidentaux, les revenus donnée ne devraient représenter que 33 % de l'ensemble de leurs revenus à moyen terme, ce n'est pas le cas pour l'opérateur japonais. Selon Informa Telecoms & Media, les revenus de données représenteraient l'essentiel des revenus des opérateurs mobiles en 2014 ! Un modèle à suivre donc et c'est à cette aune qu'il faut juger les annonces faites notamment à Barcelone. Ce fut la grande surprise (et peut-être la seule) du congrès mondial du mobile réuni mi-février à Barcelone : 24 opérateur mobiles se sont alliés avec l'objectif de développer une plateforme ouverte permettant aux créateurs d'applications de pouvoir proposer leur création à quelque 3 milliards d'abonnés, quel que soit (ou presque) leur terminal. [[page]] Seul problème : les 4 plus gros acteurs du marché des smartphones (Nokia, RIM, Apple et Google) ne se sont pas ralliés à cette initiative. Seuls Samsung, LG et Sony Ericsson y participent. La raison est simple. Les quatre principaux acteurs ont déjà développés leur propre « application store » et n'ont aucun intérêt à faciliter la tâche des opérateurs, malgré des résultats très mitigés pour trois d'entre eux, en comparaison du triomphe d'Apple. Si la très grande majorité des applications est gratuite, ce marché pèse déjà plus de 4 milliards de dollars, selon l'institut Gartner, qui l'évalue à plus de 20 milliards en 2013. Un autre cabinet d'études, Juniper Research est encore plus optimiste en l'estimant à 25 milliards de dollars en 2014. Un marché dont les opérateurs sont aujourd'hui exclus. Apple accapare l'essentiel des téléchargements. Un leader encore inaccessible Et aujourd'hui, le modèle mis en place par la société de Steve Jobs semble inattaquable, d'autant que le succès de quelques applications payantes fait rêver les développeurs propulsés dans le grand bain en cas de succès. L'alliance des opérateurs peut-elle changer la donne ? Elle répond en tout cas à une critique des développeurs qui refusaient de multiplier le développement de leurs applications pour l'adapter aux très nombreux systèmes d'exploitation mobile, compte tenu des coûts générés, alors que ce sont souvent des petites start-up peu financées. Reste à savoir comment réagira l'abonné. Pour le moment, Apple a gagné la première manche avec son système propriétaire. Surtout, l'abonné semble aujourd'hui faire plus confiance à Apple qu'à son opérateur pour obtenir les contenus qu'ils recherchent. Avec leur grille tarifaire illisible et leur formule d'abonnement « tout compris », qui ne couvre en fait qu'une partie de la consommation réelle des abonnés (d'où l'explosion des factures), les opérateurs vont d'abord devoir réaliser de gros efforts de transparence pour renouer des liens de confiance avec leurs abonnés. Sous peine sinon de ne rester que de simples réseaux de transport. (...)
(05/03/2010 12:10:01)Ventes de PC en 2010 : Gartner prévoit une remontée de 20% en volume
Au mois de décembre dernier, le cabinet Gartner prévoyait 13,3% de croissance pour le marché mondial des PC en 2010 en volume, et 1,9% de croissance en valeur. Ce début mars, il reprend sa prévision et annonce 19,7% de croissance en volume (avec 366,1 millions d'unités vendues) et surtout 12,2% de croissance en valeur. Ce dernier chiffre redonnera du baume au coeur aux constructeurs laminés par la guerre des prix et le raz de marée des netbooks, qui dopent les ventes en unités, mais réduisent les chiffre d'affaires et les marges. L'industrie du PC est tirée par les livraisons de PC mobiles. Elles représentaient 55% des ventes (en volume) en 2009 et passeront à 70% d'ici 2012, annonce le Gartner. Les netbooks contribueront fortement à cette croissance globale des terminaux mobiles en 2010, mais cette croissance, ensuite, sera moins forte. Le cabinet d'études annonce la percée des ultraportables ULV (ultra-low-voltage) et celle d'une nouvelle génération de PC tablettes. Pour 2009, le Gartner avait conclu sur 5,2% de hausse avec 305,9 millions de PC vendus dans le monde. (...)
(05/03/2010 11:51:40)Le marché de l'impression a reculé de 17,8% en zone EMEA l'an dernier
Le marché de l'impression est mal en point. D'après Gartner, les ventes cumulées d'imprimantes, de copieurs et de multifonctions (MFP) se sont élevées à 39,6 millions d'unité l'an dernier en zone EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique), soit une baisse de 17,8% comparé à 2008. Les ventes en valeur ne sont pas non plus de nature à remonter le moral des industriels puisqu'elles ont subi une décroissance de 21% à 11,3 Md$. Selon le cabinet d'études, ces chiffres sont la conséquence directe du resserrement des conditions de crédit associé aux coupes des budgets IT des entreprises comme des particuliers. En dépit des difficultés globales du marché de l'impression en EMEA, certains segments ont tout de même tiré leur épingle du jeu en 2009. Les ventes des systèmes d'impression couleur ont augmenté de 5%, notamment grâce aux bonnes performances des modèles multifonctions A4 couleur. Pour Gartner, les MFP A4 devraient continuer à être préférées par les entreprises pour répondre à leur besoin d'impression partagée, au détriment des modèles A3. HP n°1 du marché et... du recul de ventes Pris un par un, l'évolution des résultats des fabricants montrent que les cinq principaux constructeurs de systèmes d'impression en EMEA ont tous vu leur ventes décliner en 2009. En revanche, tous n'ont pas souffert dans les mêmes proportions. HP a ainsi enregistré le plus gros déclin avec des livraisons en baisse de 21%. Le fabricant conserve néanmoins, et de loin, la première place du classement des constructeurs avec 41,3% de parts de marché en EMEA. La moins mauvaise contre-performance est à attribuer à Samsung dont les ventes n'ont reculé que de 2%. Une bonne affaire pour le fabricant coréen qui prend ainsi à Brother, d'une très courte tête, la quatrième position du classement des fabricants en EMEA avec 7% de parts de marché. Canon reste quant à lui en deuxième position avec une part de marché stable de 17% tandis que celle d'Epson progresse d'un point à 14,5%. A priori, les difficultés qu'ont connues ces constructeurs en 2009 ne devraient pas cesser puisque Gartner n'anticipe pas de retour de la croissance sur le marché de l'impression en EMEA cette année. Ses prévisions sont d'ailleurs corroborées par les premiers chiffres livrés par Context sur le marché de l'impression en Europe où les ventes des grossistes ont baissé de 6% en volume et de 8% en valeur au mois de janvier dernier. (...)
(05/03/2010 11:56:49)Colt s'affranchit des distances pour facturer l'Ethernet en Europe
Colt a mis en place un tarif unique pour les services Ethernet dans 13 pays d'Europe. Selon l'opérateur, cette nouvelle tarification apporterait jusqu'à 50% de réduction sur certains tarifs. Pour accompagner cette offre, Colt a investi l'année dernière dans son infrastructure Ethernet en déployant la technologie Infinera, sur la base d'une puce photonique permettant notamment de supporter des débits de 1,6 Tbit/s. La gestion des services est assurée par une plate-forme d'origine Nokia Siemens Network, sur la base d'un boîtier unique capable notamment de supporter 16 services en simultané à des débits allant jusqu'à 1Gbit/s. L'opérateur travaille sur des projets destinés à introduire de nouvelles fonctionnalités Ethernet à valeur ajoutée, à étendre ses prestations vers l'Europe de l'Est et à réduire les temps de latence de ses services Ethernet. (...)
(04/03/2010 13:21:14)Bluestar Silicones industrialise et externalise la gestion de son SI
Le fabricant de silicones (anti-adhérants, élastomères de spécialité, produits médicaux, résines...) Bluestar Silicones possède une douzaine d'implantations dans sept pays (France, Allemagne, Angleterre, Espagne, Italie, Norvège, Finlande). Il souhaitait industrialiser ses infrastructures informatiques pour réduire le coût total de possession tout en améliorant la qualité de service et en respectant les contraintes propres à chaque pays. L'industriel a choisi d'externaliser la gestion des infrastructures informatiques (systèmes et réseaux) chez Sogeti. Ce dernier a mis en place un plan d'industrialisation et d'amélioration continue. L'industriel a effectué ce choix d'abord en raison de la démarche de proximité de Sogeti et en second lieu de la compétence propre de la société sur ce type de projets. Le transfert s'est effectué en deux mois et a d'ores et déjà abouti à une baisse du coût total de possession ramené au poste de travail de l'ordre de 20%. L'objectif à terme est une baisse de 40%. Sogeti a effectué une standardisation de l'architecture réseau, la mise en place d'une supervision sur l'ensemble des infrastructures, la télédiffusion des patches applicatifs, la standardisation des systèmes d'exploitation avec automatisation des installations sur les postes de travail en cinq langues. A terme, le projet devrait aboutir à une virtualisation des postes de travail. Le coût du projet n'a pas été précisé. (...)
(04/03/2010 09:37:55)Cebit 2010 : SAP place l'innovation et la confiance en tête de ses priorités
Pour leur première conférence de presse en tant que co-PDG de SAP, hier mardi 2 mars, au Cebit, Jim Hagemann Snabe et Bill Mc Dermott ont voulu montrer que leur tandem à la tête de la société allemande tenait la route. L'un présidant au développement des produits (solutions de gestion et d'infrastructure), et l'autre, responsable des ventes mondiales. Voilà moins d'un mois qu'ils ont succédé à Léo Apotheker. Ce dernier était alors seul aux commandes de l'éditeur depuis le 1er juin 2009, après un an de co-direction avec Henning Kagermann. Sous les flashes des photographes, pendant plusieurs minutes avant de prendre la parole, les nouveaux dirigeants n'ont pas été avares de sourires et d'accolades pour attester de leur complicité, gage, parmi d'autres critères plus concrets, de leur capacité à reprendre les rênes de l'entreprise. C'était l'un des buts de cette apparition publique, puisque que les deux hommes n'avaient pas d'annonces à faire, hormis réaffirmer leurs objectifs de croissance et leur volonté de restaurer la confiance, en interne et vis-à-vis des clients. SAP organise par ailleurs sur le Cebit l'étape nationale de son World Tour, à l'occasion duquel il présente les dernières évolutions sur ses logiciels, notamment sur ses trois lignes d'ERP pour PME.
Développements itératifs au sein d'équipes restreintes
A Hanovre, hier, Jim Hagemann Snabe a rappelé brièvement la feuille de route sur les produits, en indiquant que SAP innovait autant sur la technologie que sur les fonctions applicatives. Et d'énumérer, outre la Busines Suite 7, les fonctions d'analyse décisionnelle reliées aux processus, les outils fournis OnDemand, l'ERP hébergé Business By Design [NDLR : qui passe du megatenancy au multitenancy], les applications mobiles et les technologies de traitement en mémoire [in memory], chères au co-fondateur de SAP, Hasso Plattner, et qui permettront d'opérer « à une vitesse jamais vue encore », a insisté hier le co-PDG responsable de la conception des produits.
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L'un des points intéressants de la conférence a porté sur les nouveaux modes de développement que SAP cherche à étendre au sein de ses équipes. Depuis plusieurs mois déjà, certains développeurs travaillent en petits groupes de dix personnes sur certaines portions d'applications et présentent leurs avancées aux clients toutes les quatre semaines pour recueillir leurs impressions. « Cette méthodologie n'est pas nouvelle, mais elle était principalement utilisée par de petites sociétés. Là, nous cherchons à la mettre en place à l'échelle de 12 000 développeurs ». Avec des réactions étonnantes, constate Jim Hagemann Snabe. « Les gens se sentent plus impliqués et sont fiers de présenter ce qu'ils ont fait aux clients ». Pour l'instant, il estime que 20% des équipes concernées travaillent déjà ainsi et compte étendre la démarche à l'ensemble de la société.
Une entreprise heureuse et des clients confiants
Bill Mc Dermott a renchéri sur le sujet, estimant qu'il fallait motiver les collaborateurs dans leur ensemble, et laisser les développeurs mener leur barque afin qu'ils soient heureux. Ce faisant, il reprenait un voeu plusieurs fois formulé par Hasso Plattner lors de sa conférence du 8 février dernier. Le co-fondateur avait alors annoncé le changement de direction et confessé qu'il voulait faire de nouveau de SAP une société heureuse [des questionnaires de satisfaction internes avaient révélé un taux élevé de mécontentement]. A sa suite, les co-PDG parlent d'établir ambiance et confiance dans l'entreprise. Jim Hagemann Snabe a tenu aussi à réaffirmer qu'en dépit du caractère très global de l'entreprise, présente dans toutes les régions du globe, « nous n'avons jamais oublié que nous avions été créé en Allemagne ». Alors que les deux co-PDG sont respectivement Danois et Américain (les premiers, donc, à n'être pas allemands), ils ont tout deux assuré qu'ils passaient beaucoup de temps dans le pays d'origine de la société. « Nous voulons mettre nos clients au premier plan », ont-ils réitéré. « Si les clients ont de nouveau confiance dans SAP, alors nous retrouverons la croissance », a ajouté de son côté Michael Kleinemeier, patron de la filiale allemande. Emporté par l'enthousiasme du moment, Bill Mc Dermott a quelque peu cédé au lyrisme : « Si vous faites confiance à vos équipes, que vous aimez vos clients et qu'ils vous aiment, le reste suit ».
Des objectifs modérés pour 2010
Entre temps, les dirigeants avaient rappelé leurs objectifs financiers pour 2010 : +35% de marge opérationnelle à mi-parcours, 30 à 31% de marge sur l'exercice à taux de change constant et de 4 à 8% d'augmentation sur le chiffre d'affaires licences et maintenance par rapport aux 8,2 milliards d'euros de 2009. Ils espèrent retrouver une croissance à deux chiffres sur ces ventes dès que le marché repartira, sans savoir si cela interviendra en 2011 ou 2012. Et, s'ils ne s'interdisent pas de faire une acquisition importante si une opportunité pertinente se présente, ils entendent privilégier la croissance interne : « Le sang qui coule dans les veines d'un éditeur, c'est l'innovation ! ». Au passage, répondant aux rumeurs faisant de SAP lui-même une cible de rachat, Bill Mc Dermott rappelle que l'éditeur entend rester une société indépendante.
Un fonds d'investissement lance une offre d'achat sur Novell
Le fonds d'investissement Elliot Associates LP a déposé une offre publique d'achat de la société Novell. Il propose 5,75 dollars par action soit 21% de prime sur le cours arrêté mardi soir. Cela valorise l'éditeur de logiciel à 2 milliards de dollars. Le fonds n'est pas un inconnu, car il est déjà actionnaire à hauteur de 8,5 % de Novell. Ce dernier a confirmé cette offre et a indiqué que le comité exécutif allait analyser cette proposition avec l'aide de la banque d'affaires JP Morgan et des conseils juridiques de Skadden, Arps, Slate, Meagher & Flom LLP. Avec cette annonce, le cours de l'action Novell a bondi de 28% pour atteindre 5,86 dollars. Si les résultats ont montré des revenus nets en baisse de 6% par rapport à l'année précédente, l'entreprise dispose d'un cash de 991 millions de dollars. Une motivation stratégique Dans une lettre adressée au comité de direction de Novell, le fonds explique sa démarche par « le caractère infructueux des différentes acquisitions, ainsi que de la stratégie qui n'a donné aucune valeur pour les actionnaires » et de revendiquer « 33 ans d'expérience dans la gestion d'investissements dans les sociétés publiques ou privées issues du domaine technologique pour apporter une meilleure valorisation ». Selon des analystes, cités dans la presse américaine, l'offre devrait être certainement réévaluée et il est probable que d'autres potentiels acquéreurs se dévoilent. Cette opération intervient quelques jours avant la décision d'un tribunal sur l'affaire opposant SCO et Novell sur les droits de propriétés relatifs à Unix. (...)
(04/03/2010 09:22:15)HTC est attaquée par Apple pour contrefaçon de brevets
La guerre des brevets fait toujours rage dans le monde des smartphones. Apple porte plainte contre HTC pour contrefaçon de brevets. Le litige porte sur une vingtaine de brevets dédiés à l'iPhone, concernant notamment son interface, son architecture et le matériel. rappelons que la firme à la pomme a fait l'objet d'une annonce en janvier dernier de poursuites judiciaires par Kodak, pour avoir contrefait des brevets sur la technique de visualisation des photos. (...)
(04/03/2010 09:22:05)Axis rebondit grâce au déclin de la vidéo analogique
Comme en 2008, Axis affiche pour 2009 une croissance quasi insolente de son chiffre d'affaires : + 15% au niveau mondial, contra + 23% l'année précédente. Cette nouvelle progression a encore permis au groupe de renforcer ses effectifs de 10% (ils passent de 700 à 770 personnes). Leader mondial incontesté de la vidéo sur IP, avec une part de marché d'environ 35%, Axis continue en fait de profiter du déclin de la vidéo analogique, notamment pour les applications très consommatrices et incontournables de la sécurité physique (armée, sites industriels sensibles, vidéosurveillance des endroits publics, des frontières, etc.). Pour anticiper cette fin annoncée de la vidéo analogique, Axis a d'ailleurs récemment lancé ses premiers systèmes thermiques sur IP. De fait, le constructeur travaille avec un nombre croissant de revendeurs jusqu'à présent peu impliqués dans les secteurs IT. La France en pointe Si la filiale française fait mieux que la moyenne mondiale, elle conservera cette année un effectif de 15 personnes. Installé dans des locaux deux fois plus vastes que les précédents depuis le printemps dernier, Axis France prend par ailleurs la responsabilité de la zone Maghreb (Maroc, Algérie et Tunisie). « Nous avons géré le lancement de 25 nouveaux produits en 2009 et nous en aurons lancé 20 autres pour le seul premier semestre 2010, affirme Edwige Maury, Directrice Générale d'Axis Europe du Sud. Il est donc très probable que nous enregistrerons une nouvelle croissance. L'évolution la plus marquante n'est pas que nous détenions un tiers de la vidéo sur IP, mais que nous soyons devenu le n° 3 mondial toutes technologies confondues, c'est-à-dire y compris les solutions analogiques. » (...)
(02/03/2010 17:39:13)Bewan tombe dans l'escarcelle de Pace
Pace Micro Technology est cotée à la bourse de Londres, c'est le numéro 2 mondial des set top box (décodeurs numériques) derrière Motorola. Au mois d'avril 2008, Pace rachetait la division Philips Electronics, basée en France, mais qui est active aux Etats-Unis et en Amérique latine. Une opération réalisée essentiellement par échange d'actions, Philips obtenant 21,6% du capital de Pace. Bewan sera rattachée à cette filiale française de Pace tout en ayant son propre développement à l'international. « Nos deux sociétés sont très complémentaires » nous explique Mathias Hautefort, Président de Pace France, « c'est évident en terme de produits, Pace est dans les set top box, Bewan dans les gateway, nous sommes grand public, Bewan est plutôt entreprises. Nous sommes également deux sociétés créées par des ingénieurs, nous n'avons pas de grosses structures, le rapprochement est donc facilité ». « Nous avions la technologie, mais pas la taille suffisante pour les marchés extérieurs, souligne pour sa part Eric Teissandier, Pdg de Bewan. En 2004, nous avons fait venir de nouveaux investisseurs au capital, il s'agit aujourd'hui de la suite, une nouvelle étape cinq ans après la première, en intégrant Pace nous trouvons les moyens de notre développement ». En terme de distribution, les deux sociétés sont différentes. Pace traite directement les grandes surfaces et passe par des antennistes. Bewan compte sur un réseau classique en two tiers avec des grossistes et des revendeurs. Les deux directions vont faire le tour des grands clients dans les semaines qui viennent pour expliquer leur rapprochement. (...)
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