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(16/02/2010 11:50:01)
Axialog passe dans le giron d'ITS Group
L'intégrateur ITS Group a finalisé jeudi 11 février le rachat de la SSII Axialog. Cette acquisition permet à l'intégrateur de passer à un chiffre d'affaires d'environ 85 millions d'euros pour un effectif désormais supérieur à 1 000 personnes. « Cette opération n'est pas une diversification mais nous permet de nous renforcer sur notre coeur de métier, à savoir le développement et la gestion des infrastructures informatiques, nous explique Jean-Michel Bénard, PDG d'ITS Group. Il fallait pour cela que nous renforcions notre présence en province et Axialog nous apporte un réseau de cinq agences, à Bordeaux, Lille, Lyon, Nantes et Toulouse, sans oublier la filiale créée en Belgique. » La première motivation d'ITS Group était donc d'atteindre une nouvelle taille critique, après avoir racheté Hemisphere à Lyon en 2007 et Prisme à Montpellier en septembre dernier. De fait, ITS Group estime qu'il atteindra un chiffre d'affaires de plus de 100 millions d'euros en 2011. (...)
(16/02/2010 11:33:44)Annuels Acer : résultat et chiffre d'affaires en hausse
Le constructeur taïwanais Acer publie ses résultats préliminaires 2009. Le chiffre d'affaires consolidé se monte à 17,9 milliards de dollars US, en croissance de 5%. Le résultat d'exploitation progresse de 9% à 478 millions de dollars US. Le résultat net s'élève à 354 millions de dollars US. Pour le seul 4ème trimestre, le CA d'Acer progresse de 25% à 5,2 milliards de dollars US, le résultat d'exploitation se monte à 155 millions de dollars US en hausse également de 25%. (...)
(15/02/2010 11:54:26)Après des semestriels catastrophiques, Risc Group annonce une restructuration musclée
Le 9 février dernier, se tenait un Comité d'entreprise de Risc Group avec l'annonce de 146 licenciements. L'effectif total du groupe passera de 653 collaborateurs au 30 juin 2009 (date de clôture de l'exercice annuel) à 320 annonçait parallèlement la direction dans un communiqué financier. Ces mesures montrent l'ampleur des décisions prises par le nouvel actionnaire de référence, l'éditeur STS entré au capital fin octobre, pour redresser une entreprise en grande difficulté. Les résultats du 1er semestre 2009-2010 (clos au 31 décembre dernier) parlent d'eux-mêmes. Risc Group affiche un chiffre d'affaires (CA) de 33,6 millions d'euros (ME) en baisse de 16,6% par rapport à la même période de l'exercice précédent (et à périmètre constant). Les deux activités du groupe ne sont pas logées à la même enseigne, tandis que la division inbox (TPE de 5 à 100 postes) chute lourdement de 32%, l'activité IT Solutions (PME de plus de 100 postes) progresse de 8%. L'activité TPE est tellement affectée que les filiales allemande et italienne qui s'en occupent sont mises en sommeil et vont simplement s'occuper des parcs installés, pour la France la société parle de « productivité commerciale insuffisante ». Pour les PME, Risc Group parle également d'améliorer la productivité commerciale, l'activité tenant la route grâce à la récurrence de ses contrats. D'une manière plus globale, la société va mettre en place un département qualité. Le nouvel actionnaire trace clairement la route : « tendre vers plus de qualité et moins de quantité » ; « exigence de rentabilité plutôt que de croissance trop rapide ». STS compte également jouer sur les synergies entre les deux sociétés. (Sollicitée à plusieurs reprises, la direction n'a pas souhaité nous commenter ces informations du fait de la présence en bourse des deux sociétés.) (...)
(15/02/2010 12:03:00)Mobile World Congress 2010 : cap sur la 4G
Plus grand événement au monde consacré à la téléphonie mobile, le Mobile World Congress accueille cette année plus de 1.300 exposants. 47.000 visiteurs professionnels sont attendus par les organisateurs, et quelque 2.400 journalistes de 76 pays. Ce rendez-vous intervient alors que l'industrie des télécommunications semble avoir tourné la page de la crise. Même si en 2009, il s'est vendu un peu moins de téléphones portables qu'en 2008 (environ 1,1 milliard d'unités en recul de 4%), les trois derniers mois de l'année ont été bons en termes de ventes, surtout sur le segment des smartphones. Des Applications mobiles à foison Ces appareils multifonctions (Internet, mails, musique, photo/vidéo, etc.), conçus à l'origine pour un usage professionnel, sont aujourd'hui les produits phares de la sphère grand public. Leur croissance (+16,2% selon Canalys) est portée par le succès de l'iPhone et des modèles concurrents exploitant Windows Mobile ou Google Android. Les applications mobiles, véritable moteur de l'iPhone, constituent d'ailleurs l'une des grandes tendances de ce Mobile World Congress. Un espace dédié aux applications (App Planet) sera ouvert dans le hall 7 du salon. La plateforme Android de Google, de plus en plus plébiscitée par les fabricants, sera l'une des grandes attractions de cette édition 2010 avec la venue d'Eric Schmidt, patron du géant du Web. Microsoft est également très attendu. Steve Ballmer, PDG du groupe, devrait dévoiler au cours d'une conférence de presse la dernière version de Windows Mobile. [[page]] Tous les ténors mais pas Apple ni LG L'offre produit ne sera pas pour autant mise de côté. Les ténors du marché (Samsung, HTC, LG, Sony Ericsson, RIM, etc.), à l'exception d'Apple, qui préfère se concentrer sur ses propres événements, présenteront leurs nouvelles gammes de smartphones à écran tactile. Leader mobdial du marché, Nokia sera cette année très discret avec un petit espace sur le stand de sa branche infrastructures, Nokia Siemens. Samsung prévoit notamment de dévoiler pour la première fois ses appareils doté de Bada, son propre système d'exploitation ouverte. Aux traditionnels acteurs de la téléphonie mobile devraient une nouvelle fois se joindre les fabricants de PC. Attirés par ce marché, Dell, Acer, ou encore Asus (avec le fabricant de GPS Garmin), présenteront leurs terminaux grand public. Enfin, côté réseaux, il sera question de norme 4G/LTE (Long Term Evolution). Cette technologie, appelée à remplacer la 3G dans les prochaines années, promet des transferts très haut débit encore plus importants (jusqu'à 100 Mbits/s). Des offres commerciales ont déjà été lancées il y a quelques mois en Scandinavie et des tests menés en France par Alcatel-Lucent. (...)
(12/02/2010 17:54:17)SAP confirme la démission de John Schwarz et remplace Erwin Gunst
Après la réorganisation au sommet effectuée par SAP en début de semaine, avec le départ du PDG Léo Apotheker, remplacé par deux co-PDG, l'éditeur allemand de solutions de gestion poursuit, comme prévu, le remaniement de ses équipes de direction. Lundi dernier, Hasso Plattner, co-fondateur de SAP et président du conseil de surveillance de la société, avait effectivement indiqué que d'autres changements allaient être opérés.
Malgré son retrait officiel des activités opérationnelles en 2003, Hasso Plattner n'a jamais pu se résigner à s'en détacher réellement. Pour preuve, c'est lui qui a suggéré au conseil de surveillance de ne pas renouveler le mandat de Léo Apotheker et c'est également lui qui a tenu la conférence de presse pour l'annoncer, le 8 février. Parmi les départs notables, on apprend ainsi la démission de John Schwarz, président de l'activité SAP Business Objects, responsable de l'écosystème et du développement, et membre du comité exécutif de l'éditeur allemand (ci-dessus, à gauche).
Directeur général de Business Objects lors de son acquisition par SAP en 2007, il était entré en 2008 au comité exécutif de l'éditeur allemand. Dans un communiqué, il a déclaré que cette décision était personnelle et qu'elle lui permettrait de prendre du recul pour envisager de quelle façon il pourrait poursuivre sa contribution à une industrie dont il a fait partie pendant 38 ans. Hasso Plattner a déclaré regretter la démission de John Schwarz, acteur clé de l'intégration réussie de Business Objects « en un temps record ».
SAP entérine par ailleurs le remplacement de son directeur général (COO, chief operating officer), Erwin Gunst, qui avait, de fait, déjà quitté la société pour raisons de santé (ci-dessus, à droite). Il est remplacé par Gerhard Oswald (ci-dessous), membre du comité exécutif de l'éditeur, responsable à l'échelle mondiale, du service et du support (collaborateur de SAP depuis presque trente ans, précise le communiqué officiel).
Enfin, Peter Lorenz, vice-président exécutif, responsable des PME, se voit hissé au rang de 'corporate officer'. (...)
Motorola se scinde en deux entités : mobiles/décodeurs et équipements pro
Après un première tentative Motorola saute finalement le pas de la scission. Un temps amorcé puis abandonnée pour restructurer l'activité téléphone mobile déficitaire, la création de deux entités indépendantes a été annoncée hier par la codirection de Motorola. La première, appelée « Motorola's Mobile Devices and Home businesses » comprendra l'activité terminaux mobiles, ainsi que les décodeurs. La deuxième entité, nommée « Enterprise Mobility Solutions and Networks businesses », intègre la branche professionnelle (talkie-walkie, lecteur de code-barres, etc...) ainsi que les équipements pour les réseaux mobiles, y compris l'activité réseau sans fil. Pour cette dernière, l'utilisation du nom Motorola devrait être accordée sans frais. La scission annoncée sera effective à partir du 1er trimestre 2011. Chaque société sera indépendante et cotée en Bourse. « Nous pensons que cette structure fournit une grande flexibilité opérationnelle et stratégique aux deux sociétés, les positionne pour le succès et renforce la valeur à long terme pour les actionnaires », a expliqué Greg Brown, qui prendra la présidence de l'entité professionnelle. Une stratégie ambitieuse et risquée De son côté Sanjay Jha, qui dirigera l'entité grand public, a justifié l'association téléphones mobiles et décodeurs, par le souhait du « consommateur de bénéficier d'une expérience uniforme pour consommer, créer, partager du contenu, dans un environnement collaboratif à l'aide d'une connectivité n'importe où, n'importe quand ». En combinant ses activités mobiles et décodeurs, Motorola espère fournir une expérience « multi-écrans » via son service Motoblur (réseau social sur mobile). Ce dernier permettra de partager du contenu entre les plateformes mobile et domestique. Au dernier CES de Las Vegas, Motorola avait d'ailleurs présenté un équipement baptisé « The Mover» permettant de basculer du contenu du mobile au décodeur et inversement. A noter que l'activité terminale mobile a enregistré une perte opérationnelle de 132 millions de dollars au quatrième trimestre 2009 contre 595 millions de dollars, un an plus tôt. Depuis, Motorola a adopté une nouvelle stratégie en misant sur la plateforme smartphone Google Android. Une vingtaine de terminaux Android doivent être lancés en 2010. Enfin, si les dirigeants se déclarent confiants dans la réalisation de cette scission, elle est néanmoins soumise à quelques contraintes, dont l'exemption d'impôt. (...)
(12/02/2010 14:38:50)Annuels Bull : les ventes de matériel et l'infogérance ont tiré le chiffre d'affaires
Le groupe français Bull a achevé son année sur un chiffre d'affaires consolidé en retrait de -2% par rapport à l'an dernier mais en légère progression (+0,3%) sur ses activités principales, souligne Didier Lamouche, son PDG. Le dirigeant insiste aussi sur la rentabilité opérationnelle qui dépasse les attentes, avec un bénéfice d'exploitation atteignant 27,6 M€, alors que l'objectif annuel était fixé à 25 M€. « Notre activité est stable, notamment par comparaison avec certains de nos concurrents ». Le PDG confirme comme prévu la remontée des commandes sur la fin de l'année, après le « trou d'air » subi au troisième trimestre. « Nous attendions +13%, nous avons eu +19% sur les prises de commandes ». En 2009 et sur le quatrième trimestre, ce sont les ventes portant sur l'offre de matériel et sur l'offre Extreme Computing (supercalculateurs) qui ont tiré le chiffre d'affaires. Ces activités ont progressé de 5,8% à 357,7 M€ sur l'année (32,2% du chiffre d'affaires global). Les activités Services et solutions (43,5% du CA) et Maintenance (17,3% du CA) ont de leur côté respectivement baissé de 2,23% et 2,88% sur l'année. Pour 2010, malgré la remontée des commandes, le groupe n'attend « pas de reprise de la conjoncture économique avant le second semestre ». Les premières offres communes avec Amesys, spécialiste des systèmes critiques, rachetées en novembre dernier, seront disponibles à partir du milieu de l'année. Amesys a développé une expertise combinée de l'électronique et de l'informatique, principalement sur les secteurs de la Défense et de l'aéronautique, des télécoms, des transports et de l'énergie.
50% de croissance sur l'offre d'Extreme Computing
Sur les ventes de matériel, le PDG de Bull avance deux motifs de satisfaction sur l'exercice écoulé. « D'une part, nos offres de serveurs 'legacy' GCOS et Unix ont été très stables, d'autre part, notre offre Extreme Computing a crû d'environ 50% et nous espérons une croissance équivalente en 2010. Nous comptons atteindre 15% de ce marché en Europe en 2010. » Didier Lamouche ajoute que l'activité de stockage sécurisé deBull a également progressé, sur un marché en décroissance. Sur le terrain des supercalculateurs, au quatrième trimestre, Bull a été retenu par le pétrolien brésilien Petrobras : « Nous leur avons vendu en décembre le plus gros système d'Amérique du Sud, d'une puissance de 250 Teraflops ».
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Sur le trimestre, des contrats ont également été signés avec le secteur de la Défense, en France et au Royaume-Uni. Didier Lamouche indique que la nouvelle de famille de supercalculateurs éco-efficace, Bullx, lancée en juin, a été remarquée par le magazine américain HPCWire parmi les cinq technologies à suivre en 2010. « Nous sommes redevenus un acteur européen majeur de l'économie numérique. Ce n'était pas le cas il y a cinq ans », rappelle le PDG. Il cite aussi en exemple le récent film d'animation, Planète 51, produit par Ilion Animation Studios, dont le rendu graphique a été optimisé sur une ferme de serveurs mise à niveau avec l'offre Extreme Computing de Bull.
En 2010, une offre de calcul à la demande autour du HPC
Sur la partie services, au quatrième trimestre, l'activité d'infogérance de Bull a remporté un contrat important avec un producteur de papier australien. « Nous avons signé le 24 décembre avec PaperlinX qui a 'outsourcé' auprès de Bull l'informatique de ses seize filiales européennes, explique Didier Lamouche. Il s'agit d'un contrat de cinq ans qui va nous conduire à rationaliser leur informatique sur deux datacenters au lieu de seize ». Le PDG rappelle aussi que Bull est l'hébergeur du portail de l'administration française Mon.service-public.fr. En 2010, parmi les vecteurs principaux de progression figurent l'Extreme Computing et l'infogérance. Le groupe va mettre en production un datacenter dans l'Ouest parisien, qui va héberger toutes ses nouvelles technologies de HPC. « Nous voulons fournir une offre de cloud computing dédiée au HPC, explique Didier Lamouche. Il s'agira d'une solution de puissance de calcul à la demande ». Des services de cette nature existent déjà, mais réservées à certains clients (Renault, par exemple). La nouvelle offre pourra s'ouvrir aux PME. Le groupe va par ailleurs embaucher 600 personnes, dont 250 en France, sur le développement de logiciels, l'intégration de systèmes et sur les offres communes prévues avec Amesys. Le fournisseur continuera à faire croître ses efforts de R&D. Il prévoit notamment de livrer deux nouvelles offres sur l'Extreme Computing. (...)
Annuels Iliad : bonnes performances en 2009
Une crise, quelle crise ? Iliad se soucie peu de perturbations économiques au regard des résultats du quatrième trimestre 2009. Ainsi, le chiffre d'affaires du dernier trimestre 2009 était en augmentation de 5,2% à 498 millions d'euros. Sur l'ensemble de l'année 2009, le chiffre d'affaires bondit de 24,9% à 1,954 milliards d'euros. On notera que la consolidation de l'intégration d'Alice a produit ces effets, notamment par la migration des abonnés Alice sur le réseau Free. Le FAI revendique néanmoins une érosion de 53.000 abonnés de l'ancienne filiale Française de Telecom Italia. Pour Free, le nombre d'abonnés est de 3,778 millions à la fin 2009, soit un recrutement net de 389.000 abonnés. Cela représente un quart des nouveaux abonnements à Internet. La part des abonnés dégroupés progressent également pour atteindre 85,4% contre 78,7% un an auparavant. Autre bonne performance, Iliad confirme la stabilisation de l'ARPU (revenu moyen mensuel par abonné) de 36,5 euros. Les services à valeur ajoutée (télévision, jeux, téléphonie, etc...) s'élèvent 474,7 millions d'euros en progression de 26% sur un an. Avec de tels chiffres, Iliad peut envisager sereinement les futures ambitions du groupe dans la téléphonie mobile, et dans la fibre optique, gourmandes en termes d'investissements. Ces chiffres sont préliminaires, le groupe publiera ses résultats complets le 23 mars prochain. (...)
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