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(12/06/2009 17:35:44)

Le Syntec ébauche un projet sur le chômage partiel

Les négociations sur le chômage partiel entre les fédérations patronales du Syntec Informatique et les organisations syndicales se poursuivent. Elles ont repris le 7 mai, après une séance houleuse et brutalement interrompue le 22 avril . Une première esquisse de projet, découpée en cinq articles, a été ébauchée par le Syntec, le CICF et cinq fédérations syndicales (CFE/CGC/FIECI, CFDT/F3C, CGT, CFTC/CSFV et FEC/FO) regroupés au sein de l'OPIIEC (Observatoire paritaire des métiers de l'informatique, de l'ingénierie, des études et du conseil). L'accord tel qu'il est actuellement rédigé stipule que le décret du 29 avril 2009 sur le chômage partiel s'applique « à toutes les entreprises de la branche affectées par la crise économique et qui se trouvent contraintes d'y recourir ». Une introduction prometteuse après les discussions avortées en avril dernier. Les deux camps - fédération Syntec et syndicats - s'étaient mutuellement accusés d'avoir fait capoter les négociations. Les premiers souhaitant étendre le champ d'application du chômage partiel à tous les métiers de la branche, qu'ils soient directement ou indirectement touchés par la crise (informatique, ingénierie, automobile, BTP, immobilier, industries manufacturières... soit 700 000 emplois de services qualifiés). Les syndicats, quant à eux craignaient que cette généralisation ne dévalorise les conditions d'indemnisation des salariés. Dans un souci d'éviter les recours excessifs au chômage partiel - autre source d'inquiétude des partenaires sociaux -, l'accord énumère une série de recommandations aux entreprises, en complément des dispositions légales encadrant déjà ces mesures. Le chômage partiel doit être limité dans le temps, car il répond à une situation conjoncturelle particulière, et il doit s'inscrire dans une logique de sauvegarde des emplois. Le décret adopté par le ministère de l'Economie, des Finances et de l'Industrie permet quant à lui aux entreprises qui adhérent à cette convention professionnelle de bénéficier d'allocations complémentaires venant de l'Etat et de l'Unedic afin de les aider à mieux indemniser leurs salariés. En contrepartie, les entreprises doivent s'engager sur plusieurs points comme le maintien de l'emploi, l'accès facilité à la formation ou la généralisation du bilan professionnel. L'application de cet accord doit être soumise à l'obtention d'une convention tripartite entre patronats, syndicats et pouvoirs publics. Il entrera en vigueur à compter du premier jour du mois suivant la publication de l'arrêté ministériel d'extension au journal officiel. Contacté par la rédaction, le Syntec Informatique n'a pas été en mesure d'avancer une date sur la présentation de ce projet, notamment en raison des changements engendrés par le renouvellement de son conseil d'administration. (...)

(12/06/2009 16:49:20)

AMD lève un peu le voile sur l'évolution de ses Opteron Istanbul

Si AMD a perdu un round face à Intel sur le ring des serveurs lorsque celui-ci a annoncé les Xeon 5500, il n'est pas pour autant K.O. La sortie en urgence des Istanbul, les premiers Opteron hexacoeurs, pour éviter que son concurrent ne pavane par trop, n'est qu'une partie de sa contre-attaque. D'ici à la rentrée, les Istanbul pourront s'enficher dans deux nouvelles cartes mères, dont une orientée vers la réduction de la consommation électrique. Cette génération de carte mère pour serveurs "Fiorano" sera la première qui utilisera un jeu de composants AMD. Jusque-là, le fondeur faisait appel au service de Broadcom et de nVidia. Sur le ton de la confidence (rien n'est encore là, mais il faut rassurer sur l'avenir), AMD promet des améliorations comme l'intégration d' IOMMU. Dans cet acronyme (I/O Memory Management Unit) réside une technologie gravée dans le silicium qui permettra d'abstraire les entrées/sorties en translatant les adresses mémoires entre le CPU et le périphérique d'entrées-sorties. IOMMU prend tout son intérêt lorsque plusieurs machines virtuelles ont besoin d'accéder aux ressources d'entrées-sorties sans perdre trop de temps. Baptisée "Kroner", la carte "économie d'énergie" serait composée de deux demi-cartes mères. Elle embarquera tout le savoir-faire d'AMD en matière de contrôle de la consommation. En particulier APML (Advanced platform management link) qui permet d'intervenir à distance sur le comportement des processeurs sans l'entremise du Bios. (...)

(12/06/2009 16:11:36)

Les patrons de l'IT française face à la crise #7 : Jean-Michel Planche, PDG de Witbe

PME du logiciel, Witbe édite un outil de supervision proposé en ligne, comme un service (en mode Saas, donc). Et ainsi que l'avoue sans ambages Jean-Michel Planche, PDG de Witbe, dans notre entretien vidéo, son entreprise subit la crise. « Nous sommes aujourd'hui dans le 'worst case' [pire scénario] : au lieu de faire 40% de croissance, nous ferons 10%. » Néanmoins, l'ancien fondateur et patron d'Oleane se souvient de la crise de 2003, et ne veut pas verser dans le pessimisme. Pour lui, la situation est dure, mais pas catastrophique. D'autant qu'au contraire d'Oleane, Witbe a pu se développer à l'international, et travailler avec les grands acteurs de chaque pays. Il y a encore de la place, estime Jean-Michel Planche, pour que des PME développent des logiciels en France « et pas seulement en Open Source ». Même l'environnement réglementaire trouve plutôt grâce aux yeux du patron de Witbe, qui espère juste que la France aura son « Small Business Act », une loi donnant une certaine préférence aux PME nationales lors des appels d'offre. Seule la multiplication de lois restreignant les usages d'Internet (Hadopi, Loppsi) lui fait se hérisser le poil. Jean-Michel Planche est le 7e patron de l'IT française que nous interrogeons sur ce thème. Voici la liste de nos 6 précédents entretiens : - Viviane Ribeiro, présidente de Lefebvre Software. - Rafi Haladjian, patron et cofondateur de Violet. - Bertrand Diard, CEO et cofondateur de Talend. - Jean-Louis Henriot, PDG et fondateur de Lascom. - Hervé Obed, PDG et fondateur de ProConsultant Informatique. - Jean Ferré, président de Sinequa. L'interview vidéo de Jean-Michel Planche est à voir ici. (...)

(12/06/2009 14:22:21)

Le marché du décisionnel nargue la crise et progresse de 22% en 2008

Si la crise économique a des effets dévastateurs sur certains secteurs informatiques, les DSI n'hésitant pas à réduire leurs dépenses informatiques, elle permet à d'autres de se développer. C'est le cas du marché du décisionnel et des outils de gestion de la performance, qui a enregistré un chiffre d'affaires de 8,8 Md$ en 2008, en croissance de 21,7% selon Gartner, contre 13% en 2007. Il y a un an, le cabinet d'études prévoyait un ralentissement du secteur, avec une croissance ne dépassant pas les 11,2%. Dans le détail, les plateformes de business intelligence (BI) génèrent 65,3% du chiffre d'affaires du secteur et les outils d'analyse et de gestion de la performance 34,7% (en hausse de 24,3%). « La demande reste relativement forte même dans un contexte de récession car ces outils contribuent à identifier les sources de coûts et à optimiser le pilotage de l'activité », souligne Dan Sommer, analyste senior chez Gartner. La consolidation du secteur joue en faveur du marché de la BI Au cours des derniers mois, le marché du décisionnel s'est concentré autour de grands acteurs. SAP se hisse à la première place grâce au rachat de Business Objects (et précédemment de Pilot et OutlookSoft) . Le groupe détient 23,8% des parts de marché, devant SAS et Oracle/Hyperion (14,6% chacun), IBM/Cognos (11,3%), Microsoft (7,7%) et MicroStrategy (3,2%). « La consolidation du secteur à conduit à une augmentation de la croissance en dépit de l'inévitable rationalisation des produits et des changements organisationnels qu'elle entraîne », note Dan Sommer chez Gartner. Le cabinet d'études a par ailleurs identifié le décisionnel comme étant l'une des dix technologies clés pour 2009. Il table néanmoins sur un tassement de la demande et un ralentissement du marché en 2009. (...)

(12/06/2009 12:35:15)

Antitrust : Windows Seven sera commercialisé sans navigateur en Europe

Alors que la Commission européenne accentue la pression sur Microsoft dans son enquête sur l'inclusion d'Internet Explorer dans Windows, l'éditeur tente d'amoindrir le courroux de Bruxelles. Le groupe de Redmond, poursuivi pour l'abus de position dominante qu'il tirerait de la vente liée de son navigateur et de son OS, vient en effet d'annoncer que Seven serait commercialisé sans navigateur sur le marché européen. Après la plainte déposée en 2007 par Opera Software et le ralliement des principaux éditeurs de 'browsers' - Mozilla et Google - ainsi que d'autres grands acteurs IT, Bruxelles semblait s'orienter vers une condamnation de Microsoft obligeant le géant à fournir plusieurs navigateurs avec ses systèmes d'exploitation. Mais plutôt que d'offrir une place à ses concurrents, l'éditeur a préféré prendre les devants et supprimer toute trace de navigateur dans Windows, IE inclus. « Nous sommes décidés à lancer Windows Seven sans retard en Europe, nous devons donc composer avec les réalités légales, dont le risque d'une lourde amende », explique l'éditeur dans un billet de blog. Les utilisateurs devront donc, pour accéder à Internet, commencer par installer un navigateur à partir d'un CD, d'un FTP, ou compter sur les OEM pour effectuer cette action avant l'achat. Malgré cette initiative, Microsoft ne s'attend pas à ce que l'UE mette nécessairement un terme à son enquête. « Notre décision de proposer Windows Seven uniquement sans IE en Europe ne peut pas, bien sûr, empêcher l'existence d'approches alternatives qui émergeraient des travaux de la Commission », avance l'éditeur. En effet, Bruxelles a, sans tarder, réagi à la bonne résolution de Microsoft, dont elle « prend note avec intérêt » sans pour autant mettre un terme à sa recherche d'autres solutions. Moins de choix pour les acheteurs directs de Windows, accuse l'UE Si l'exécutif communautaire considère que l'exclusion d'IE de Windows est un élément « potentiellement positif » qui permettra aux constructeurs de PC d'installer le navigateur de leur choix dans leurs machines, il affiche toute sa circonspection lorsqu'il évoque les ventes directes de Windows. Les consommateurs qui choisiront d'acheter l'OS pour l'installer sur une machine qu'ils possèdent déjà se retrouveront en effet face à une offre restreinte. « Plutôt que d'offrir plus de choix, Microsoft semble avoir opté pour en proposer moins », résume Bruxelles. Opera, dont la plainte est à l'origine de ces poursuites, note pour sa part que cette initiative est intéressante mais constitue simplement un premier pas dans la bonne direction. Selon son avocat, qui représente aussi l'Ecis (un groupement rassemblant des géants comme Oracle, IBM, etc.) estime que la démarche de Microsoft « signe la reconnaissance de la validité de l'action entreprise par la Commission ». Mais elle n'est pas suffisante : « Microsoft doit maintenant offrir aux utilisateurs un vrai choix, et pas seulement aux acquéreurs de nouvelles machines ». Et le juriste de réclamer l'insertion dans Windows d'une liste de navigateurs dans laquelle les consommateurs pourront sélectionner le produit qu'ils souhaitent utiliser. (...)

(12/06/2009 12:32:31)

Google propose la fusion et la visualisation de tables de données en ligne

Google Fusion Tables est accessible à tous en bêta. Ce nouveau service du moteur de recherche donne la possibilité d'exporter dans le 'cloud' des tables de données, de les éditer de façon collaborative, éventuellement de les fusionner, pour enfin les publier en ligne - pour tous ou juste pour des personnes sélectionnées. Ce service de visualisation de données reprend donc les grands principes de Google Docs, avec quelques particularités toutefois. Il est ainsi possible de fusionner des tables, en réalisant des jointures entre colonnes identiques, et de choisir quelles colonnes seront affichées dans les vues qu'on crée. Les vues peuvent ensuite être affichées de façon graphique (sous forme de carte, d'histogrammes, d'échelle de temps...). Google fournit ainsi quelques tables de façon à tester les fonctions offertes. Nous avons de notre côté testé le service avec deux tables rapidement créées dans OpenOffice, contenant les noms des présidents de la Ve République, l'une comportant les lieux de naissance, l'autre les dates. L'import des fichiers XLS s'est fait sans anicroche, et la fusion également. Un clic a ensuite permis d'afficher les lieux de naissance sur une carte Google Maps, avec les noms et dates de naissance en infobulle. Un bug à signaler toutefois : bien que la colonne de dates de naissance ait bien été identifiée par Google comme un type de données 'date', nous n'avons pas pu utiliser la visualisation échelle de temps. (...)

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