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(11/06/2009 17:02:42)
AMD a grappillé des parts de marché à Intel au premier trimestre
Au premier trimestre 2009, AMD a grappillé quelques pour cent de part de marché à Intel par rapport au dernier trimestre 2008. Selon iSuppli, le David des processeurs a vu sa part de marché augmenté de 2,3% à 12,8%, soit un CA de 883 M$. Dans le même temps, le Goliath Intel perdait 2,5% à 79,1% (5,5 Md$). Tous les autres fournisseurs de processeurs se partagent 8,1% du marché, soit un CA de 559 M$. Ce regain de forme d'AMD fait suite à trois trimestres au cours desquels il a cédé du terrain à Intel. Il doit son retour en grâce à ses processeurs pour ordinateurs portables. Si l'on compare les résultats d'iSuppli pour le premier trimestre 2009 à deux de la même période en 2008, tous les acteurs restent sur des positions quasi identiques. En revanche, le marché a connu sur un an une chute de 20,6% à 6,9 Md$. ISuppli anticipe un deuxième trimestre dans cette ligne avec une baisse de 16% à 28,6 Md$. En 2008, Intel (37,6 Md$ de CA en 2008) a fourni à lui seul plus de 80% des processeurs et AMD (5,8 Md$ de CA) 12%. (...)
(11/06/2009 15:04:04)Les salariés administratifs d'IBM France dénoncent l'absurdité de la délocalisation en Espagne
Les salariés du pôle administratif d'IBM situées à Noisy-le-Grand ont adressé hier une lettre de quatre pages au PDG, Sam Palmisano. Le courrier est intentionnellement rédigé en français, « notre langue maternelle, [...], celle de la clarté, celle que nous pratiquons au quotidien en permanence avec nos clients, nos collègues et nos familles. » Dans ce « testament pour dénoncer des patrons qui ne rechignent pas à détruire nos vies après les avoir exploitées en fonction de leurs besoins », les salariés d'IBM (essentiellement des femmes) condamnent l'annonce - faite en anglais par un représentant américain, le 11 mai dernier - de la fermeture de l'activité administrative France, sans toutefois préciser le nombre de personnes concernées. A partir du 30 juin, elle sera gérée à Madrid. « Nous souhaitons savoir pourquoi des collègues espagnols qui ne connaissent pas nos clients, qui ignorent nos us et coutumes, nos cultures, ces territoires particuliers que nous gérons depuis plusieurs générations, devraient prendre en charge des spécificités strictement françaises ». Le mécontentement des clients français grandit Et de citer une série d'exemples pour illustrer l'absurdité, selon eux, d'une telle décision, qui ne fait que créer des complications, des retards et du mécontentement du côté des clients dans l'Hexagone. Madrid enregistre des propositions non conformes aux termes juridiques et financiers des clients, l'historique des entreprises leur est totalement inconnu, les relances se succèdent et les lettres d'erreurs ou de mécontentement s'accumulent sur les bureaux des employés d'IBM, à Noisy-le-Grand. Certaines propositions qui, autrefois, se réglaient entre le bureau administratif et le client doivent désormais obtenir l'approbation de l'Autriche, sous peine de bloquer l'activité administrative de toute l'Europe. Les « ménagères en sursis », comme elles se nomment elles-mêmes, demandent des comptes à IBM. Elles veulent connaître le salaire de leurs collègues espagnoles, vérifier si le nombre d'emplois créés équivaudra au nombre de ceux qui sont supprimés, si l'inspection du travail a été prévenue de ces mesures subites ou encore si le groupe compte rembourser aux collectivités locales le manque-à-gagner entraîné par cette délocalisation. Les employées s'interrogent également sur les économies que réalisera IBM en supprimant cette activité en France. En avril dernier, il a annoncé que sa rentabilité augmenterait en 2009, et ce malgré un bénéfice net en légère baisse à 2,3 Md$ au premier trimestre. En dépit de cette bonne santé, Big Blue a annoncé qu'il pourrait supprimer jusqu'à 16 000 personnes dans le monde, soit 4% de ses effectifs, et a même légèrement augmenté la rémunération de son PDG (21 M$). (...)
(11/06/2009 11:40:44)Octo Technology : les méthodes agiles doivent se compléter par un coaching orienté « styles sociaux »
Savoir constituer des équipes projet est évidemment un facteur clé de la réussite du projet. Les méthodes agiles sont de plus en plus considérées comme un atout pour le bon déroulement des développements. Néanmoins, ajoute Jean-François Helie, consultant chez Octo Technology et membre de l'association Agile France, dans un entretien avec LeMondeInformatique.fr, il ne faut pas négliger l'importance des styles sociaux dans le coaching d'équipe. « Il s'agit d'expliquer comment il est possible de parvenir à un objectif (conception d'un logiciel, migration d'un système informatique...) plus rapidement et plus efficacement en identifiant, dès le début, les talents et les lacunes de ses coéquipiers, afin de les exploiter ou d'y pallier au mieux », explique Jean-François Helie. Cela ne vient pas en opposition aux méthodes agiles, mais en complément. Pour lui, les principes de l'agilité « ne servent à rien s'ils ne sont pas introduits au bon moment. Les imposer peut créer une réticence au changement, une déstabilisation (voire une déresponsabilisation) de l'équipe par rapport au projet et finalement un échec sur toute la ligne ou un retard dans la livraison du projet ». LeMondeInformatique.fr est partenaire média de l'Université du SI 2009 (les 1er et 2 juillet prochains), où Jean-François Helie développera son point de vue. (...)
(10/06/2009 16:58:07)Google va synchroniser ses Apps avec Outlook
Google n'en finit plus de faire du charme aux entreprises pour qu'elles adoptent ses logiciels hébergés. Après avoir trouvé une première astuce pour synchroniser ses Google Apps avec Microsoft sur téléphone mobile, la société vient de lancer un plug-in dédié à Outlook : Google Apps Sync for Microsoft Outlook. Celui-ci permet aux utilisateurs payants de Google Apps, soit Google Apps Premier edition ou Google Apps Education edition, de synchroniser leurs courriers, calendriers et carnets d'adresses entre Gmail et Exchange/Outlook. L'idée étant de conserver l'interface classique d'Outlook pour les utilisateurs, tout en laissant les données sur les serveurs Google, à la manière de ce que propose déjà Gordano ou Postpath en alternative à Exchange. Avec ce plug-in, Google ne renonce pas à promouvoir Gmail en entreprise. La société préfère le voir comme une transition en douceur : « Beaucoup d'utilisateurs professionnels préfèrent l'interface et les fonctions de Gmail aux produits qu'ils utilisaient par le passé, assure Eric Orth, ingénieur logiciel membre de l'équipe Google Apps. Mais quelquefois, certains adorent Outlook. Cette nouvelle extension leur permet de se connecter aux Google Apps pour leur messagerie professionnelle, leur contact et leur calendrier. Et ils peuvent toujours utiliser l'interface Web de Gmail lorsqu'ils ne sont pas à leur poste de travail. » Le plug-in, disponible uniquement en anglais, est pour l'instant compatible avec Outlook 2007, Windows XP SP3 et Windows Vista, il pèse 5 Mo et peut se télécharger directement en ligne. (...)
(10/06/2009 16:47:54)EMC plaide sa cause auprès des salariés de Data Domain
La bataille se poursuit entre NetApp et EMC pour mettre la main sur les outils de déduplication de Data Domain, une technologie qui permet de diviser par 20 ou 30 les besoins en bande passante et en espace de stockage des entreprises. Joe Tucci, PDG d'EMC, a adressé hier une lettre ouverte aux salariés de Data Domain pour leur détailler les avantages d'une fusion entre les deux sociétés. Moins d'une semaine après l'approbation de l'offre de NetApp (pour 1,9 Md$) par le conseil d'administration de Data Domain, Joe Tucci réagit pour expliquer qu'un rachat par sa société est beaucoup plus intéressant que l'offre de son concurrent, sans pour autant surenchérir. Le PDG se contente de préciser que son offre est formulée entièrement en espèces, alors que celle de NetApp mixe une partie en titres et une autre en numéraire. Joe Tucci met également en avant la capacité d'EMC à « préserver les cultures d'entreprises », en précisant que le groupe a réalisé avec succès l'intégration de onze sociétés en l'espace de six ans (Iomega en avril 2008, Document Sciences en décembre 2007, Berkeley Data Systems en octobre 2007, Network Intelligence en septembre 2006, etc). « Après chaque opération, l'activité de ces sociétés a augmenté, les technologies se sont développées plus rapidement et des opportunités de carrière se sont ouvertes pour les salariés », énumère Joe Tucci dans sa lettre. Le PDG précise en outre que Data Domain serait exploité comme une division à part entière au sein d'EMC. Il se targue en outre de disposer « du plus grand centre de R&D dans le monde du stockage » ainsi que de capacités de trésorerie et d'investissement d'un montant de 9,8 Md$. (...)
(10/06/2009 16:34:26)Antitrust : Bruxelles soupçonne Microsoft de pressions sur les constructeurs de PC
Il ne fait plus guère de doute que la Commission européenne sanctionnera Microsoft à l'issue de son enquête sur l'abus de position dominante tirée de l'inclusion d'Internet Explorer dans Windows. Bruxelles, qui avait « apporté la preuve », en début d'année, que la vente liée des deux produits constituait un obstacle à la concurrence, vient de consulter plusieurs constructeurs de PC. A travers un document leur posant une dizaine de questions, l'exécutif européen interroge les fabricants sur deux points d'importance : comment imaginent-ils l'écran grâce auquel les utilisateurs de Windows pourront choisir leur navigateur ; ont-ils subi des pressions de la part de Microsoft ? Le premier thème ne surprend pas : il s'inscrit dans la lignée des sanctions évoquées pour insuffler davantage de concurrence sur le marché des navigateurs. Plutôt que de laisser IE profiter de l'hégémonie de Windows, l'UE envisage ainsi de laisser les consommateurs choisir leur 'browser' dès le premier lancement de Windows. Les constructeurs de PC sont donc invités à indiquer quels navigateurs devraient se trouver dans la liste proposée, quelle allure doit prendre cette liste, comment les utilisateurs feront-ils leur choix (pré-chargement des navigateurs ou simples liens vers les sites des éditeurs), etc. L'autre aspect du formulaire adressé par Bruxelles aux constructeurs est plus étonnant. A travers trois questions, la Commission européenne cherche à savoir si Microsoft a exercé des pressions sur les fabricants dans le cadre de ce dossier. Le simple fait de soulever ces interrogations illustre inévitablement les doutes, voire les soupçons de l'exécutif communautaire à l'encontre de l'éditeur. Celui-ci serait notamment suspecté d'avoir incité un ou plusieurs constructeurs à critiquer le projet de Bruxelles d'intégrer d'autres navigateurs qu'IE dans Windows. (...)
(10/06/2009 15:31:17)Index Freelance.com : les spécialistes de Cobol se hissent à la troisième position
L'indice du site Freelance.com, qui propose aux entreprises les services d'informaticiens indépendants, signale la montée en puissance de deux compétences dans le top 10 des profils les plus recherchés. Il s'agit du langage de programmation Cobol, qui monte en troisième position, devançant Java et SAP, et de Domino, qui prend la quatrième place. Pour le troisième mois consécutif, Oracle conserve la pole position, suivi par Unix. En fin de classement, J2EE perd 2,5 points, suivi par PHP. Les compétences en système d'exploitation AIX et en système de gestion de bases de données D2B clôturent ce top 10.
Le classement des spécialités les plus prisées reste relativement stable. Les langages de programmation dominent, notamment grâce à la forte progression de Cobol et de PHP. Les spécialistes de bases de données comme Oracle se placent en deuxième position, suivis de près par les logiciels de gestion. Freelance observe en outre une progression de 9% pour les spécialistes réseaux, qui passent ainsi de la huitième à la quatrième place.
Les pourcentages indiquent la proportion des offres nécessitant la spécialité ou la compétence donnée sur l'ensemble des postes à pourvoir, soit un panel représentatif de 258 offres de projets informatiques disponibles au 10 juin 2009.
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Quatre DSI sur dix ont élagué leur budget IT au premier trimestre
La crise économique a des effets drastiques sur les dépenses des DSI. Au premier trimestre de l'année, selon Gartner, 42% ont tranché dans leurs dépenses IT et seuls 4% d'entre eux les ont augmentées. Le pourcentage de DSI ayant réduit leurs dépenses a doublé en un an. En moyenne, les budgets IT ont été amputés de 4,7% alors qu'en janvier dernier, Gartner tablait sur une stagnation, voire une augmentation de 1,6 % des dépenses informatiques. Après plusieurs années de croissance continue, (3,3% en 2008, 3% en 2007, 2,7% en 2006, 2,5% en 2005 et 1,3% en 2004), les dépenses IT basculent dans le rouge. Mark McDonald, analyste chez Gartner, indique que la renégociation des tarifs avec les fournisseurs (24% des sondés) ainsi que la réduction des coûts (y compris en passant par celle des effectifs et par le gel des salaires) ont été les deux grands préoccupations des DSI au cours des derniers mois. Les réductions budgétaires n'épargnent quasiment aucune entreprise, quelle que soit sa taille, sa localisation géographique ou le secteur industriel sur lequel elle est positionnée. Seul le domaine de la santé échappe à la règle (croissance de 2% des dépenses IT). Tous les autres secteurs se serrent la ceinture : -10% dans les services professionnels ainsi que dans les télécoms et l'IT, -8% dans la fabrication, -4% dans le secteur public et la finance. Les DSI interrogés par Gartner ne prévoient pas de serrer davantage la vis d'ici à la fin de l'année, mais ils n'envisagent pas non plus une reprise des investissements IT avant le premier, voire le troisième trimestre 2010. Dans une autre étude, le cabinet encourage d'ailleurs DSI et acteurs IT à préparer l'après-crise s'ils ne veulent pas être dépassés par la concurrence. Pour réaliser cette enquête, Gartner a interrogé 900 DSI dans le monde entre les mois de mars et d'avril et a comparé les résultats à une étude similaire, effectuée auprès de 1 500 décideurs informatiques entre septembre et décembre 2008. (...)
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