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(20/05/2009 17:29:30)
Microsoft et la Linux Foundation luttent côte à côte contre la garantie des logiciels
Le 19 mai, l'American Law Institute (ALI) a adopté une position de principe sur les garanties contractuelles des logiciels qui contrarie grandement Microsoft et la Linux Foundation. L'éditeur et l'organisme défenseur de l'Open Source avaient même pris soin, quelques jours avant le vote de l'ALI, de signer une lettre ouverte commune dénonçant les conséquences de cette position et invitant l'ALI à en discuter avec eux. Institution respectée, composée de juristes et d'universitaires américains, l'ALI travaille à la clarification de sujets juridiques, afin d'aider les juges à prendre leurs décisions. En l'espèce, l'American Law Institute se penche sur le sujet de la garantie des logiciels depuis 2004, et vient d'aboutir à un document qui, selon Microsoft et la Linux Foundation, crée plus d'incertitudes qu'il n'en résout. Le document stipule en effet que l'éditeur d'un logiciel ne peut s'exonérer de garantir le logiciel en cas de défaut, ce qui est actuellement la coutume : dans les fameux paragraphes « disclaimers » des licences, il est généralement dit que le logiciel est livré « as is », tel quel. Toujours selon les principes de l'ALI, les logiciels obtenus gratuitement seraient exclus de cette disposition, ce qui ne rassure guère les acteurs du logiciel libre. L'OSI (Open Source Initiative) et la Linux Foundation avaient déjà critiqué cette façon de voir les choses, car cela n'exclut pas totalement les logiciels Open Source : quid des logiciels libres livrés sur un support payant, arguent par exemple les signataires de la lettre ouverte. De la flexibilité pour ne pas entraver le marché Pour Microsoft et la Linux Foundation, le texte de l'ALI est dangereux car il pourrait « faire dérailler un marché qui fonctionne bien, accroître l'incertitude pour les développeurs de logiciels et augmenter les risques de contentieux ». Pour eux, il vaudrait mieux laisser au marché une certaine flexibilité. « Les licences logicielles et les modèles économiques évoluent constamment - certaines sociétés font payer leurs logiciels, d'autres facturent les services et le support, d'autres encore comptent sur les revenus de la publicité. Un cadre juridique statique - qui supposerait par exemple que tous les logiciels seront livrés en boîte plutôt que via Internet - deviendrait rapidement obsolète. [...] Les deux parties [client et fournisseur, NDLR] devraient pouvoir choisir ce qui leur convient le mieux, dans la mesure où ils connaissent le cadre de leur transaction. » En Europe, c'est actuellement la commissaire européenne chargée de la consommation qui réfléchit au fait de doter les logiciels d'une garantie de deux ans. (...)
(20/05/2009 17:11:07)Encore en baisse au T2, HP prévoit 6 400 suppressions de poste de plus
HP continue l'année 2009 à la baisse. Et sans la prise en compte d'EDS, racheté l'été dernier, HP aurait vécu un deuxième trimestre bien pire. En fait, le CA baisse de 3% et le résultat net de 17%. Dans la foulée de ces mauvais résultats, dont l'annonce a poussé l'action à la baisse, le groupe a annoncé la suppression de 6 400 emplois supplémentaires. Cette réduction s'ajoute aux 25 000 suppressions de postes dans le cadre de l'intégration d'EDS à HP. Sur le continent américain, HP a vu son CA augmenter de 9% (44% du CA). Mais l'activité en Europe (39% du CA total) a baissé de 11%. Mark Hurd, PDG du groupe, affirme ne pas voir d'embellie à l'horizon. D'où des prévisions très conservatrices pour le troisième trimestre. Il anticipe un CA stagnant, voire en baisse légère. Les perspectives de CA annuelles sont aussi en berne (- 4 à 5% de CA). Ce trimestre, ce sont encore les activités centrées autour du matériel qui affichent les plus mauvais résultats. Sur l'ensemble de ses divisions, HP constate une baisse du CA plus nette sur les produits professionnels que sur ceux destinés au grand public. Les services sauvent la mise Sous l'effet de l'intégration d'EDS, l'activité services d'HP voit son CA bondir de 99%. HP se garde bien de communiquer des chiffres à périmètre comparable. L'activité service représente désormais 31% du CA total d'HP et, grâce à une marge de 13,8%, génère plus de 38% de son résultat opérationnel. L'impression reste la vache à lait Même si la division impression affiche une très nette baisse d'activité (-22%), elle contribue à hauteur de 21% au CA total. 69% de son activité en provenance de la vente de consommable propriétaire lui permet d'afficher une marge record de 18% et de contribuer à hauteur de 35% au résultat opérationnel. La division entreprise sauvée par le stockage La division entreprise, qui regroupe tous les types de serveurs commercialisés par HP et ses systèmes de stockage, enregistre la plus forte baisse d'activité (-27%). Sur fond d'une marge en nette baisse à 7%, son résultat opérationnel s'effondre de plus de 61%. Si cette division contribue à hauteur de 12% au CA total, elle n'apporte que 8% au résultat opérationnel. L'activité centrée sur les serveurs X64, qui génère un quart du CA de cette division, a enregistré une baisse d'activité de 29%. A noter que les serveurs lames ne subissent qu'une baisse de 12% de leur CA. Le stockage, qui représente 57% du CA de cette division, enregistre la baisse de CA la moins importante (-22%). L'informatique personnelle sauvée par les portables La division systèmes personnels enregistre une baisse de près de 19% de son CA alors que le volume des livraisons reste étal. Les portables, qui pèsent 57% du CA de la division, enregistrent une baisse de CA de 13% malgré une hausse de 14% des livraisons. Côté PC de bureau, c'est la chute sur les deux tableaux : -24% du CA et -13% des livraisons. Cette division, qui représente 30% du CA total du groupe, ne contribue qu'à hauteur de 12% à son résultat opérationnel en raison d'une marge de moins de 5%. Le logiciel baisse mais pèse davantage dans le résultat opérationnel Quant à l'activité logiciel, si son CA en baisse de 15% pèse moins de 4% du CA total, elle voit, grâce à une marge de 17,8%, son résultat opérationnel progresser de 51%. Ce qui porte sa contribution au résultat opérationnel total à 5%. (...)
(20/05/2009 16:19:58)Sun veut son « App Store » pour applications Java
Si Apple a réussi à écouler plus d'un milliard d'applications pour iPhone et iPod alors qu'il n'existe que quelques dizaines de millions d'appareils, pourquoi Sun ne pourrait-il pas faire aussi bien sinon mieux en distribuant des applications Java, alors qu'il estime qu'il y a un milliard d'utilisateurs ? Dans son premier billet depuis l'annonce du rachat de Sun par Oracle, Jonathan Schwartz, le patron de Sun, explique ainsi sur son blog qu'il entend bien poursuivre cette « opportunité de revenus ». Sun a toujours eu du mal à monétiser Java. L'inventeur de la plateforme touche bien des royalties lorsque celle-ci est incluse dans des appareils, mais il a surtout pris conscience de la valeur de sa qualité d'intermédiaire grâce au partenariat avec Google. Ce dernier avait signé un accord afin que sa barre d'outils pour navigateurs soit distribuée en même temps que le JRE (Java runtime environment, l'environnement d'exécution Java). Comme l'explique Jonathan Schwartz, le montant versé par Google a été sensiblement revu à la hausse l'année suivante, et cela s'est avéré tellement profitable pour Google que Microsoft a cassé sa tirelire pour remplacer la Google Toolbar par la sienne. Sun validera la sécurité et le contenu des applications Java et percevra des droits pour leur distribution Sun a donc commencé à réfléchir au projet Vector : un catalogue d'applications en ligne, comme l'App Store d'Apple, qui mettra en relation les développeurs Java et les consommateurs. Vector, « qui sera probablement rebaptisé Java Store », précise Jonathan Schwartz, permettra de toucher « un milliard d'utilisateurs Java dans le monde ». Les entreprises ou développeurs intéressés devront soumettre leur application à Sun, qui validera sa sécurité et son contenu, et l'application sera proposée, gratuitement ou non, aux utilisateurs lors de la mise à jour du JRE. Malin, Sun, en plus d'un pourcentage ou d'un tarif fixe pour la distribution, envisage déjà la possibilité de mettre aux enchères la tête de gondole, autrement dit la possibilité de placer son application en tête de la liste. Le public des utilisateurs de smartphones Java devrait être un bon levier [[page]] Jonathan Schwartz a le bon sens de préciser que peu de gens considèrent Sun comme une entreprise B2C (touchant directement les consommateurs). Néanmoins, il estime que la taille du public visé compense plus ou moins ce handicap : des banques pourraient ainsi créer des applications qui toucheraient quasiment tous les utilisateurs de PC Windows. Cependant Sun est totalement inconnu du grand public, et Oracle ne l'est pas davantage, ce qui n'est pas très encourageant. Quant aux projections financières, elles sont très difficiles à définir. Selon les analystes, Apple aurait réalisé entre... 20 et 200 M$ de chiffre d'affaires grâce à l'App Store. Un chiffre qui devrait bientôt exploser, quand l'iPhone 3.0 autorisera les micro-paiements, sur lesquels la firme de Cupertino percevra aussi son pourcentage. Pour Sun, cela pourrait passer par les utilisateurs de téléphones mobiles : les LG, Samsung et autres fabricants intégrant Java dans leurs appareils n'ont pas encore lancé de véritable service de téléchargement. Les seuls gros concurrents seraient alors Google, qui a commencé à instituer une place de marché pour Android, et les opérateurs partenaires de ce dernier comme SFR. Les spécifications complètes du service devraient être annoncées lors de la conférence JavaOne, le 2 juin prochain. (...)
(19/05/2009 19:08:32)L'Afdel veut une voix commune des associations du logiciel face aux pouvoirs publics
Depuis le début de l'année, une vingtaine de nouveaux éditeurs ont rejoint l'Afdel qui compte désormais 188 membres. Pour renforcer encore la pertinence de son action, l'Association française des éditeurs de logiciels vient d'engager plusieurs partenariats avec d'autres associations professionnelles d'acteurs de l'IT, centrées sur des secteurs d'activités spécifiques. « Nous sommes en train d'essayer de créer un comité de liaison afin de porter une voix commune », explique son président, Patrick Bertrand. L'Afdel doit ainsi annoncer bientôt un partenariat avec l'Aproged qui regroupe les professionnels de la gestion de documents, ainsi qu'avec Lessis qui de son côté rassemble des éditeurs spécialisés dans le secteur de la santé. « Nous regardons aussi ce qui se passe dans le domaine du 'serious game' dont on parle beaucoup en ce moment ». L'idée, c'est de nouer des partenariats d'adhésion croisées, pour que les membres de l'Afdel puissent aller vers ces associations thématiques et vice-versa, chaque groupe ayant ses compétences propres. Le président de l'Afdel dit également travailler avec d'autres structures comme l'Aden [association pour le développement de l'économie numérique] présidée par Olivier Midière. « Notre objectif, c'est de fédérer les associations professionnelles indépendantes dans un dispositif plus global, qui pourrait s'apparenter à un 'skyteam' [NDLR : alliance de compagnies aériennes], ce qui permettrait de parler avec le gouvernement et les pouvoirs publics sur l'ensemble de ces métiers », explique Patrick Bertrand. Il regrette que Syntec Informatique, dans l'état actuel des choses, ne puisse pas jouer ce rôle pour cause de « mélange des genres ». « Tant que le Syntec n'aura pas dissocié son rôle de chambre professionnelle, porteuse d'une convention collective, et son rôle d'association professionnelle, nous aurons une difficulté institutionnelle dans ce domaine ». La logique de rapprochement que le président de l'Afdel veut engager avec les regroupements d'éditeurs, il entend aussi la mettre en oeuvre avec les associations régionales. « Pourquoi vouloir absolument centraliser et rendre les choses trop parisiennes ? Il y a en région des associations TIC remarquables, à Lyon, Toulouse, Mulhouse, en Méditerranée, en Bretagne ; des associations extrêmement actives, mais qui se rendent compte qu'il faut un chapeau régional et européen pour regrouper les idées et porter un certain nombre de dynamiques ou de propositions de mesures. » L'Afdel compte nommer parmi ses membres des ambassadeurs dans chacune des régions pour travailler avec les associations du crû et organiser conjointement des événements. Un index des fusions/acquisitions et l'extension à l'Est de l'EuroSoftware Parallèlement à cette volonté de renforcer la représentativité de l'industrie du logiciel, l'Afdel conduit plusieurs projets. L'association s'apprête à lancer en juillet prochain un index trimestriel sur les fusions/acquisitions d'éditeurs. Celui-ci sera réalisé avec Corum, société spécialisée dans les fusions/acquisitions des entreprises du logiciel. L'association a également décidé d'étendre aux pays d'Europe de l'Est le classement EuroSoftware des éditeurs de logiciels en Europe, réalisé avec l'ESA (European software association), la Basda (Business application software developers association), PwC et PAC. Le premier du genre a été livré en décembre dernier. Le palmarès 2010 sortira un peu plus tôt : « en septembre ou octobre prochain », promet Loïc Rivière, délégué général de l'Afdel. Il comprendra en outre des classements d'éditeurs engagés sur les modèles économiques particuliers que constituent le SaaS, l'Open Source et Internet. Une police d'assurance spécifique 'homme clé' [[page]]Du côté des services proposés à ses adhérents, l'Afdel va compléter le dispositif de polices d'assurance spécifiques existant. « Le métier du logiciel a des particularismes en termes de responsabilité, notamment de responsabilité contractuelle », rappelle Patrick Bertrand. Il y a deux ans, l'association avait donc mandaté un courtier d'assurance pour mettre au point des polices qui soient adaptées aux métiers du logiciel et pas seulement aux métiers de l'IT en général. Désormais, en plus des polices 'responsabilité civile professionnelle' et 'responsabilité des dirigeants' qui existaient déjà, le nouveau dispositif, qui va s'appeler 'Software business assurance', comportera une police d'assurance 'homme clé' et une police multirisques qui couvre les locaux, les équipements et le patrimoine. « Dans une équipe de développeurs, certaines personnes sont clés du fait de leurs compétences, notamment techniques, explicite Patrick Bertrand à propos de la police d'assurance 'homme clé'. C'est un domaine très spécifique à la R&D. Certains développeurs sont détenteurs d'un savoir difficilement transmissible ». La formation au coeur de tout Parallèlement à tous ces chantiers, le président de l'Afdel revient aussi sur le sujet qui lui tient le plus à coeur, celui de la formation. « Il faut vraiment lancer un investissement massif de formation aux usages », insiste-t-il sans oublier pour autant l'importance de développement des infrastructures qui a notamment conduit l'Afdel à s'associer au plan de relance présenté par la Fieec (Fédération des industries électriques, électroniques et de communication). « Il faut absolument que le monde de la formation éduque des jeunes aux métiers du logiciel. C'est notre projet d'université des logiciels. Le logiciel, ce n'est pas seulement les métiers de codeur. Il faut du marketing, des gens qui connaissent le métier du client auquel on s'adresse, des juristes spécialisés dans la propriété intellectuelle... Toutes ces particularités qui font que le logiciel est une industrie qui délocalise très peu. » Enfin, Patrick Bertrand estime qu'il faudrait aussi inscrire comme un socle de l'action des pouvoirs publics qu'à chaque fois qu'il y a un investissement public, il y ait l'obligation de prévoir un volet numérique, à l'instar de ce qui s'est mis en place pour le développement durable. (...)
(19/05/2009 17:40:16)Intel ouvre son service de téléchargement payant de logiciels en France
Un an après avoir lancé le site de téléchargement payant de logiciels Intel Business Exchange Software Download (Intel BX) aux Etats-Unis, la division Software and Services du fondeur s'attaque à l'Allemagne, le Royaume-Uni et la France. Dans l'hexagone, la boutique est en ligne depuis le 17 avril. Le fabricant de processeurs ne commencera à communiquer réellement autour de son nouveau service qu'à la fin du mois, lorsque son intégration avec le site d'information pour PME Zenentreprise d'Intel aura été réalisée. Les entreprises de 10 à 500 salariés représentent le coeur de cible d'Intel BX. "Contrairement à ce que l'on observe dans le grand public, les sites capables de proposer à ces sociétés des logiciels en téléchargement sont peu nombreux,», commente Marie Pinon, la responsable du marché PME-PMI chez Intel France. Face à une concurrence qu'il juge peu importante sur le segment professionnel, le fabricant pense donc avoir une carte à jouer. Encore faut-il qu'il se dote d'un catalogue plus étoffé. A l'heure actuelle, la version française d'Intel BX ne propose qu'un peu plus de 80 applications réparties en neuf catégories (utilitaires, bureautique, Antivirus et sécurisation, réseaux et administration...). Pour élargir cette offre, la division Software and services compte sur son Software Partner Program qui fédère des ISV certifiés autour des technologies Intel. En Europe, 4500 y adhèrent dont 300 sont en France. Pour autant, ce vivier n'est pas la seule base de prospection du fondeur. Actuellement, ce dernier discute aussi avec des acteurs du logiciel qui n'adhèrent pas à son programme tels les éditeurs de logiciels gestion Ciel et EBP. D'ici fin 2009, les trois sites européens visent environ 500 000 visiteurs «De par son image et sa place, Intel joue un rôle de fédérateur sur le marché de l'informatique, avec une vision globale sur le matériel et les logiciels, explique Marie Pinon. Une initiative comme Intel BX correspond à un besoin du marché et favorise l'usage des technologies de l'information ». Et donc l'achat de PC et de serveurs embarquant des processeurs Intel. Mais la vente de matériel n'est pas la seule motivation du fondeur qui prend sa commission sur chaque téléchargement de logiciels effectué depuis son site. Il est toutefois encore bien trop tôt pour savoir si ce commerce est susceptible de devenir une partie non négligeable des revenus du fondeur. Dans un premier temps, Intel France se fixe plutôt des objectifs de fréquentation. D'ici fin 2009, les trois sites européens visent environ 500 000 visiteurs. A titre de comparaison, les sites Intel BX américains, chinois et indiens ont cumulés 1 millions de visiteurs environ depuis le début du mois de mai. Autant de curieux dont une partie a été transformé en clients et qui, de ce fait, ne sont pas allés s'approvisionner chez leurs revendeurs. Concurrent des distributeurs de logiciels, Intel le devient en effet. Mais pas de tous. « L'achat d'une solution implique de faire appel à un prestataire de services pour réaliser son intégration dans l'entreprise. Ça n'est pas notre rôle. De fait, Intel BX se limite à la commercialisation d'applications qui ne nécessitent pas de phase d'intégration poussée », conclut Marie Pinon. (...)
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