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(05/03/2009 18:16:26)

Cebit 2009 : SAP maintient le cap sur Business ByDesign

SAP a annoncé plusieurs évolutions sur ses ERP (progiciels de gestion intégrés) pour PME, à l'occasion du Cebit (3-8 mars, Hanovre). Les PME représentent aujourd'hui 78% de l'ensemble des clients de SAP dans le monde, a souligné à l'occasion d'un entretien le président de l'activité PME de l'éditeur, Hans-Peter Klaey : « Nous avons une expérience étendue des besoins de ce marché », a-t-il réaffirmé en rappelant que l'offre se décline en trois ERP (Business One, Business All-in-One et Business ByDesign) pour apporter des réponses adaptées en fonction de la taille de l'entreprise, de son organisation et de la nature de son activité. De fait, sur le vaste stand SAP du salon allemand, le nom des trois produits se faisait discret, au profit des solutions élaborées par les partenaires sur ces logiciels, présentées par fonctions génériques (gestion des ressources humaines par exemple) ou par processus métiers. Une version 2.0 en préparation pour Business ByDesign Interrogé sur l'offre la plus récente, Business ByDesign, application de gestion complète hébergée sur le datacenter de SAP, Hans-Peter Klaey confirme que le déploiement de la solution est pour l'instant toujours limité à six pays : l'Allemagne, la France, le Royaume-Uni, les Etats-Unis, la Chine et, désormais, l'Inde. Mais il insiste aussi sur l'importance de cette offre pour SAP. L'an dernier, l'éditeur allemand en avait repoussé la disponibilité générale de dix-huit mois. Il maintient son cap, tout en continuant à faire évoluer l'application, en étroite interaction avec les clients qui l'utilisent déjà. A l'automne dernier, une version 1.2 a amélioré les échanges avec MS Excel et ajouté des flux RSS internes. La version 2.0 est en préparation. C'est un souci de perfection qui guide SAP dans sa volonté de ne pas aller trop vite dans la livraison globale de Business ByDesign, affirme Hans-Peter Klaey. Il admet aussi la détermination de l'éditeur à trouver un modèle opérationnel véritablement profitable pour cette application fournie en mode SaaS (software as a service). Critère primordial s'il en est. Des fonctions décisionnelles préconfigurées pour All-in-One Sur le Cebit, SAP a par ailleurs annoncé qu'il allait intégrer dans Business All-in-One des fonctions décisionnelles préconfigurées issues de l'offre Business Objects. Elles permettront d'effectuer des requêtes ad hoc et s'accompagneront de rapports préparamétrés et de tableaux de bord. Ces outils seront disponibles courant 2009, dans un premier temps en Allemagne, aux Etats-Unis et au Brésil. Les autres pays seront livrés plus tard. Des outils de migration des données et un ensemble de bonnes pratiques seront par ailleurs proposés aux partenaires pour accompagner les projets. Toujours sur All-in-One, SAP a perfectionné son configurateur de produit accessible sur le Web (programme Fast Start). Cet outil permet à une PME d'évaluer elle-même la solution correspondant à ses besoins, par processus fonctionnels, afin d'obtenir instantanément une estimation de coût par utilisateur et par mois, le configurateur tenant compte des possibilités de financement. Les fonctions de CRM (gestion de la relation client) sont maintenant prises en compte, ainsi que les offres partenaires. Enfin, concernant le produit Business One, SAP a annoncé une optimisation de la solution avec les serveurs basés sur le processeur Intel Xeon. L'éditeur va encourager ses partenaires OEM à constituer des packages sur cette base. Le premier d'entre eux sera destiné aux entreprises de services et livré par Wortmann et Maringo Computers sur le marché allemand. (...)

(05/03/2009 18:01:13)

Les ventes de serveurs en chute de 20,6% en Europe selon Gartner

Gartner Group publie à son tour ses estimations sur le marché des serveurs au dernier trimestre 2008. Comme chez IDC, les chiffres sont en berne, mais de façon plus marquée : chute de 15,1 % des ventes à 13,1 Md$ (-14% pour IDC) sur fond de baisse des volumes à 11,7% (IDC voyait une légère hausse de 2%). Et c'est la zone Europe qui marque le plus le pas avec un CA qui baisse de 20,6%, alors que les Etats-Unis n'enregistrent que -14,6%. Pour le Gartner, tous les segments de marché régressent à l'exception des modèles au format lame. C'est sur la perception du marché Unix que le Gartner diffère le plus d'IDC. Alors que ce dernier constatait une baisse de 6,2% à 4,9 Md$, le Gartner annonce une baisse deux fois plus importante à -13,7% (-10,5% en volume). 2009 devrait suivre la mauvaise pente de la fin 2008 Sur le marché des serveurs x64, le CA a baissé de 18,1% à 6,65 Md$ et les livraisons de 11,4% à 2,04 millions d'unités. Le retournement du marché a été encore plus brutal pour les fournisseurs qui ne figurent pas parmi les cinq premiers. Pour eux, la baisse du CA atteint 28,4% à 1,27 Md$ et celle des livraisons à -19,3% à 541 904 unités. Parmi les cinq premiers, IBM se fait remarquer avec une chute de plus de 30% de son CA à 1,05 Md$ et des livraisons en recul de 23,4% à 256 234 unités. A l'inverse, les ventes de serveurs x64 d'HP n'ont baissé que de 1,3% à 672 620 unités mais le CA marque une baisse plus nette : -10,1% à 2,49 Md$. Chez Dell, la baisse de 11,2% du CA à 1,4 Md$ accompagne celle de 7,1% des livraisons à 464 072 unités. Sur le marché pris dans son ensemble, IBM reste premier, mais son CA diminue de 17,4% à 4,38 Md$. Derrière lui, HP, dont les ventes se réduisent de 10% a généré un CA de 3,94 Md$. La différence de comportement des deux plus gros fournisseurs s'explique en grande partie par leurs performances sur le marché des serveurs x64. Plus préoccupant, Gartner voit 2009 dans la continuité de ce quatrième trimestre 2008. Du coup, il prédit une vague de concentration dans les rangs des fournisseurs. (...)

(05/03/2009 12:39:59)

Des voix dissonantes se font entendre à propos d'Hadopi sur les bancs de la majorité

L'adoption par l'Assemblée nationale du projet de loi favorisant la diffusion et la protection de la création sur Internet - dit Création et Internet, ou encore Hadopi - pourrait être plus compliquée que ne l'envisageait jusqu'alors le gouvernement. Le texte, qui prévoit de mette en place une haute autorité - l'Hadopi - chargée de réprimer le téléchargement illégal en suspendant l'accès à Internet des récalcitrants après les avoir avertis deux fois, semble faire grincer des dents au-delà des bancs de l'opposition. Plusieurs députés de la majorité font ainsi entendre leur voix, qui dissone avec la ligne officielle de l'UMP. Trois parlementaires issus du parti présidentiel - Lionel Tardy, Alain Suguenot et Marc Le Fur - ont ainsi déposé une batterie d'amendements que ne goûtera certainement guère Christine Albanel, la ministre de la Culture. Trois frondeurs à l'UMP Le plus gros pavé dans la mare est sans nul doute constitué par les amendements 121 et 122. Le premier tente d'amoindrir les pouvoirs de l'Hadopi en lui retirant la possibilité de prononcer des suspensions d'abonnement. Comme les parlementaires européens l'avaient fait l'an passé en adoptant le désormais célèbre amendement 138, les trois députés UMP estiment que la suspension de l'abonnement, en tant que sanction, ne saurait être décidée que par l'autorité judiciaire. L'amendement 122 suggère, quant à lui, de ne pas condamner les internautes à une suspension d'abonnement mais à une simple amende. Les élus considèrent que l'accès à Internet « doit être un service public universel » et qu'en priver les citoyens serait une hérésie au regard, par exemple, du nombre croissant de services public dématérialisés. En outre, les députés rappellent que « la coupure de l'accès Internet pose des difficultés techniques insurmontables ». Un dernier argument qui séduira les fournisseurs d'accès, qui ont souvent souligné les problèmes que leur poserait l'application de la loi telle que l'imagine le gouvernement. Mobilisation générale à droite [[page]]Pour ne pas rassurer les FAI, nos confrères des Echos révèlent que, selon un rapport du CGTI (Conseil général des technologies de l'information, dépendant du ministère de l'Economie), la mise en place des instruments permettant la riposte graduée coûterait quelque 70 M$ sur trois ans aux fournisseurs d'accès. Afin que les éléments soulevés contre le projet de loi ne sèment pas de doutes dans ses rangs, le groupe majoritaire à l'Assemblée mobilise ses troupes. Hier, Jean-François Copé réunissait ainsi autour de ses collègues parlementaires un aréopage d'artistes et d'industriels de la culture venus promouvoir la nécessité de sanctionner les fraudeurs. La veille, Christine Albanel faisait acte de prosélytisme auprès des élus du Nouveau Centre. Si les Sénateurs ont voté le projet de loi comme un seul homme, son adoption à l'Assemblée devrait donc être plus délicate. Gageons néanmoins qu'en dépit de débats qui s'avèreront certainement agités, d'amendements-surprises et de discours passionnés, les députés finiront par voter un texte proche de celui rédigé par le gouvernement. On se souvient que l'audace du Palais Bourbon lors des travaux sur la Dadvsi - les députés avaient adopté le principe d'une licence globale à la faveur d'un débat nocturne - avait fait long feu. La discussion sur le projet de loi favorisant la diffusion et la protection de la création sur Internet débutera le 10 mars. (...)

(05/03/2009 12:02:26)

Open Source Think Tank 2009 : ne pas passer à l'Open Source en commençant par l'ERP

Toujours au coeur de l'Open source think tank qui se tient en Californie, le président du directoire de Nuxeo, Eric Barroca raconte cette fois une discussion animée autour de l'expérience concrète d'une entreprise fictive. Peut-on décider de passer du propriétaire à l'Open Source en commençant par migrer son ERP ? La réponse est clairement « non », même pour de fervents adeptes du libre... A lire sur notre blog Experts. (...)

(05/03/2009 11:05:31)

Antitrust : Bruxelles lève la surveillance permanente de Microsoft mise en place en 2004

Pour Microsoft, Bruxelles rime rarement avec bonne nouvelle. La décision publiée le 4 mars par la Commission européenne ne devrait en être que plus agréable pour le géant du logiciel. L'exécutif communautaire vient en effet d'estimer qu'il n'était désormais plus nécessaire qu'un mandataire observe en permanence les agissements de l'éditeur. La désignation de ce mandataire avait été décidée après que la Commission eut condamné Microsoft, en 2004, à une amende de 497 M€ pour abus de position dominante. Le géant de Redmond devait, en plus de cette sanction pécuniaire, communiquer certains protocoles de communication censés permettre à ses concurrents de concevoir des produits parfaitement interopérables avec les serveurs Windows. C'est précisément pour surveiller le respect de cette obligation que Bruxelles a entendu mettre en place un instrument de contrôle indépendant : le mandataire, en la personne de Neil Barrett. Le mandataire fort occupé jusqu'en 2008 Icelui a eu, on s'en souvient, bien des récriminations à formuler à l'endroit de Microsoft, qui s'est montré fort peu enclin à se plier aux exigences européennes. Dans un premier temps, il demandait ainsi, pour accepter de céder ses protocoles, 3,87% des revenus issus d'un produit conçu grâce à sa documentation. Trois ans plus tard, ce taux était ramené à 0,7% après que la Commission eut manifesté son mécontentement face à un tarif jugé « déraisonnable ». Dans un ultime effort, Microsoft proposa l'accès aux informations d'interopérabilité contre un paiement forfaitaire de 10 000 $, avec une option pour l'exploitation commerciale fixée à 0,4% des revenus afférents. Cette dernière initiative arrivait néanmoins trop tard pour empêcher Bruxelles de condamner à nouveau l'éditeur, jugé défaillant dans l'exécution des obligations qui pesaient sur lui depuis 2004. En février 2008, Microsoft écopait ainsi d'une nouvelle amende - de 899 M€ cette fois. Depuis, les membres de la Commission semblent s'être drapés d'une plus grande bienveillance à l'égard du comportement de l'éditeur dans ce dossier. La décision publiée le 4 mars souligne ainsi « le changement de comportement de Microsoft ». L'exécutif européen note entre autres qu'une « première série d'informations a déjà été fournie [...] et que les tiers sont davantage en mesure de faire valoir leurs droits auprès de juridictions nationales, ainsi que le prévoient les accords de licence qu'ils passent avec l'intéressé ». Par conséquent, la mission du mandataire peut prendre fin, la Commission estimant que « l'assistance technique dont elle a besoin revêt à présent un caractère plus ponctuel ». Les efforts de Microsoft finalement payants [[page]]Les démarches entreprises depuis plusieurs mois par Microsoft en faveur de l'interopérabilité auront sans doute joué un rôle dans l'inflexion communautaire. En février 2008, quelques jours avant sa seconde condamnation, le groupe de Redmond annonçait l'ouverture des API et des protocoles de communication de ses produits les plus diffusés, dont Vista, Office 2007, Windows Server 2008 et Sharepoint Server 2007. D'autres initiatives ont suivi : documentation d'ODF dans le SP2 d'Office, réutilisation des portlets SharePoint dans d'autres portails, création d'outils de conversion de documents Open XML, etc. Des décisions accompagnées d'un discours vantant sans cesse les mérites de l'interopérabilité, comme en témoignait le billet signé par Bernard Ourghalian, directeur technique et sécurité de Microsoft France, sur le blog Experts du MondeInformatique.fr en septembre 2008. Ou comme le rappelait encore l'éditeur, le mois dernier, à l'occasion des Techdays. Malgré ce changement d'attitude, la Commission européenne n'entend pas lever tout contrôle - il « demeure nécessaire ». Le mandataire sera ainsi remplacé par des consultants techniques qui interviendront sur demande, de façon ponctuelle. Par ailleurs, les ennuis de Microsoft sur un autre dossier ne font que commencer. Bruxelles enquête en effet sur un potentiel autre abus de position dominante, constitué par l'avantage anticoncurrentiel dont bénéficierait Internet Explorer en étant inclus dans Windows. Lancée suite à une plainte d'Opéra, cette action a incité d'autres éditeurs - Mozilla et Google - à se rallier aux arguments soulevés par le demandeur. (...)

(04/03/2009 17:00:12)

Cebit 2009 : SAP s'exerce au cloud avec IBM

SAP et IBM ont profité du Cebit 2009 pour montrer une technologie de répartition automatique de la charge applicative sur de multiples serveurs distants. Les deux géants se sont appuyés sur les premiers résultats du projet Reservoir (Resources and Services Virtualization without Barriers), lancé par IBM l'an dernier et financé par l'Union européenne à hauteur de 17 M€. Un consortium de 13 partenaires européens d'IBM, dont SAP, travaille sur ce projet avec plusieurs établissements d'enseignement européens. La technologie testée au Cebit provient du laboratoire d'IBM à Haifa en Israël. La démonstration a exploité des serveurs Power6 équipés de la fonction Live Partition Mobility qui déplace des partitions virtuelles contenant des applications d'une machine à l'autre sans affecter les performances. Une fonction tout à fait similaire au VMotion de VMware qui n'a rien d'original. Mais Big Blue a tenu à montrer le bon fonctionnement de cet environnement de répartition de charge avec une application aussi sophistiquée qu'un ERP. « Si on peut le faire avec SAP, alors on peut le faire avec n'importe quelle application, constate John Willis, analyste et blogueur, observateur du cloud computing. Et c'est ce qu'IBM a voulu démontrer. » (...)

(04/03/2009 14:42:42)

AMD n'est plus propriétaire de ses usines

C'est fait. AMD n'est plus propriétaire des usines fabriquant ses puces, cédées depuis lundi à des entreprises détenues par le gouvernement d'Abou Dabi. Comme les actionnaires du fondeur l'avaient approuvé le mois dernier, ce dernier vient ainsi de d'échanger ses activités de fabrication contre un chèque de 700 M$, signé par Atic (Advanced technology investment company), une société d'investissement détenue par l'émirat précité. AMD héritera de 34,2% des parts de la spin off ainsi créée, le reste étant détenu par Atic. En plus des 700 M$ versés à AMD, Atic investit 1,4 Md$ dans la nouvelle entreprise. Par ailleurs, un autre fonds émirati, Mubadala development company, porte à 19,9% sa participation au capital d'AMD, une transaction estimée à 125 M$.

Dans un premier temps nommée The Foundry Company, la société issue de la scission est finalement rebaptisée GlobalFoundries. Elle est dirigée par Doug Grose (CEO), jusqu'alors vice-président des activités de fabrication d'AMD, et par Hector Ruiz (président), qui présidait quant à lui AMD. La coentreprise liant AMD et l'émirat d'Abou Dabi est désormais propriétaire de l'usine située à Dresde, en Allemagne. Celle-ci, renommée Fab 1, devrait être complétée par un deuxième centre de fabrication (Fab 2), que GlobalFoundries prévoit de bâtir cette année aux Etats-Unis, dans l'Etat de New-York. La facture de cette construction devrait s'élever à 4,2 Md$ et permettre la création de 1400 emplois.

AMD, qui n'est désormais plus que le concepteur des processeurs qui porteront son nom, compte sur cette cession pour se refaire une santé financière. Après plusieurs trimestres consécutifs conclus sur des pertes - au T4 2008, les pertes opérationnelles étaient supérieures au chiffre d'affaires - le concurrent d'Intel a accumulé une montagne de dettes. Celles-ci - estimées à 1,1 Md$ - font partie de l'accord passé avec Atic, qui en héritera, en plus des usines. (...)

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