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(04/03/2009 13:07:02)
Cebit 2009 : SAP se rallie au développement durable
SAP est monté au créneau sur le thème du développement durable à l'occasion du Cebit 2009, justement placé sous le signe du Green IT. La veille, Arnold Schwarzenegger, gouverneur de la Californie, était invité d'honneur du salon (la France l'était l'an dernier), avait évoqué les technologies vertes pour aider à sortir de la crise. Mardi matin, c'était au tour de Léo Apotheker (photo, crédit IDGNS), co-PDG de SAP, d'invoquer les technologies de l'information et de la communication pour faire face aux grands défis économiques, sociaux, sanitaires et environnementaux. Il a mentionné au passage les millions d'emplois créés dans le monde en lien avec les TIC.
Si elles sont consommatrices d'énergie, les TIC servent aussi à contrôler les processus de fabrication et d'exécution, à produire au plus juste, et contribuent à réduire les dépenses énergétiques et la production de CO2, par exemple en optimisant l'entreposage et le transport des marchandises.
Réduire l'empreinte carbone par employé de 60%
Fournisseur de tels outils d'optimisation, SAP veut aussi être crédible sur le terrain du développement durable en montrant l'exemple. Il vient de s'engager à réduire son empreinte carbone d'ici 2020 : à cette date, il prévoit d'avoir ramené ses émissions de gaz à effet de serre au niveau de ce qu'il produisait en 2000. Un objectif qui revient à réduire de 60% l'empreinte carbone des collaborateurs de SAP, comme l'a détaillé Léo Apotheker.
Depuis quelques mois, l'éditeur allemand s'est donc attelé à mesurer son empreinte carbone. En novembre dernier, il a publié son premier rapport sur le sujet, un document synthétisant des données relatives à la gestion de ses bâtiments, aux déplacements de ses salariés, à ses dépenses en eau et à la gestion de ses déchets. Intention louable, ce rapport étant le premier du genre pour SAP (le prochain sortira en mai), il n'offre pas pour l'instant de possibilité de comparaison avec des informations antérieures. Pour coordonner ses efforts dans ce domaine, l'éditeur a mis sur pied une organisation transversale, à la tête de laquelle il a placé Peter Graf, à la fois responsable des actions de développement durable menées en interne et des solutions du même nom destinées aux clients.
Moins de voyages, plus de téléprésence
" En interne, SAP va agir principalement dans trois directions, » explique Daniel Schmid, responsable des opérations de développement durable. Pour commencer, l'éditeur réduira le nombre des déplacements professionnels qui ont représenté à eux seuls 42% de l'empreinte carbone en 2007 et privilégiera les outils de téléprésence. Ensuite, elle interviendra sur son parc automobile (choix de modèles moins gourmands et moins polluants, actions de sensibilisation des conducteurs...). Enfin, elle taillera dans sa facture d'électricité, tant liée à l'éclairage des bureaux qu'à l'alimentation des datacenters. Pour ces derniers, comme nombre d'autres entreprises, elle aura recours aux technologies de virtualisation. Reprenant un argumentaire déjà rodé chez les analystes et les autres acteurs du marché, SAP rappelle que ce type de démarche n'agit que sur les 2% de CO2 émis par l'industrie informatique (Gartner). A l'instar des autres fournisseurs encore une fois, le numéro un de l'ERP explique qu'il faut aussi agir sur les 98% restants, c'est à dire sur les émissions de CO2 des autres secteurs de l'industrie.
Et bien entendu, pour ce faire, SAP évoque les solutions informatiques à mettre en place pour qu'une entreprise puisse elle-même calculer son empreinte, se mettre en conformité avec la législation, contrôler sa chaîne logistique et déployer des processus de traçabilité. « Sous peu, les entreprises de l'agro-alimentaire par exemple devront indiquer sur leurs étiquettes l'empreinte carbone de chaque produit et le consommateur pourra en tenir compte lors de son choix », souligne Sven Denecken, vice président stratégie pour l'offre ERP. Pour les fournisseurs, le respect de l'environnement ne sera pas seulement vertueux : il se transformera à l'occasion en avantage concurrentiel.
Une solution appliquée à l'environnement, à la santé et aux risques sanitaires
L'éditeur propose déjà des solutions de gestion des risques, permettant aux entreprises de se conformer aux dispositions réglementaires, dans les domaines financiers, de l'environnement ou de la chaîne logistique ; en particulier l'offre BusinessObjects GRC (governance, risk and compliance), mais également au travers de l'offre de gestion SAP Business Suite. « Près de 1 600 clients utilisent à ce jour des fonctions de développement durable intégrées à nos applications », évalue Sven Denecken. SAP a décidé de mettre ces fonctions en avant et de compléter sa démarche par des produits spécifiques. Sur ce terrain, il a annoncé sur le Cebit SAP EHS (Environment, Health, and Safety) Management, une solution développée avec TechniData pour contrôler la mise en place d'une la politique de développement durable. Partenaires depuis 1995, SAP et TechniData ont notamment mis au point une solution pour se conformer au règlement européen Reach (registration, evaluation and autorisation of chemicals) qui s'applique à l'enregistrement des substances chimiques. (...)
Cebit 2009 : Dell lance des racks plus économes en énergie
A l'occasion du Cebit, Dell a lancé deux nouveaux racks de serveurs. Ceux-ci, le PowerEdge 4220 (au format 42U) et le PowerEdge 2420 (au format 24U), se veulent plus économes en énergie grâce à leur conception autorisant une meilleure circulation de l'air dans le rack. Cela passe notamment par la présence de plus nombreuses perforations nombreuses à l'avant et à l'arrière, et de 'barrières' évitant à l'air chaud de remonter en façade des serveurs. D'un point de vue pratique, ces racks disposent de prises de courant à l'arrière ou sur les côtés pour faciliter la maintenance. (...)
(04/03/2009 11:25:50)La publicité arrive sur Google News au grand dam des éditeurs de presse
Les éditeurs de presse le redoutaient, et apparemment à juste titre : Google vient de décider d'ouvrir son service Google News à la publicité. Jusqu'à présent, Google se défendait de vouloir manger la laine sur le dos des journaux en ligne et autres agences et blogs, et mettait plutôt en avant le fait qu'il rapportait à ces derniers des milliers et des milliers de visiteurs. C'est ainsi que le moteur avait convaincu les grandes agences de presse d'enterrer la hache de guerre, alors que les éditeurs belges avaient pour leur part refusé de figurer dans Google News. Le moteur de recherches avait annoncé en novembre dernier qu'il testerait aux Etats-Unis l'inclusion de publicités dans d'autres services que son index général : la recherche d'images, la recherche d'informations financières... C'est désormais au tour de Google News. Josh Cohen, chef produit, explique sur le blog officiel de l'entreprise que Google « a toujours dit que nous dévoilerions ces changements lorsque nous pourrions offrir une bonne expérience tant pour nos utilisateurs que pour les éditeurs et les annonceurs, et nous continuerons d'étudier les différents moyens de publier de la publicité pertinente pour les utilisateurs, et bonne pour les éditeurs ». Dans le cadre de ce qui est testé actuellement aux Etats-Unis pour Google News, la publicité n'apparaît pas sur la page d'accueil, mais sur la page de présentation des résultats de la recherche. A priori, les éditeurs de presse ne sont pas contre la chose, dans la mesure où ils seraient associés au revenu produit, explique Philippe Jannet, le président du Geste (Groupement des éditeurs de sites en ligne), dans une interview qu'il nous a accordée. « Notre sentiment, indique aussi de son côté Gilles Lambert, chargé de la veille technologique de la FNPS (Fédération nationale de la presse spécialisée), est le même que celui de l'ensemble des éditeurs de presse : on serait toujours preneur d'un partage des revenus publicitaires. » Mais ce qui fait grincer les dents de ces éditeurs, c'est que Google n'a aucune intention de partager le chiffre d'affaires issu de Google News. Responsable communication de Google France, Anne-Gabrielle Dauba-Pantanacce, précise que telle a toujours été la politique du moteur de recherches : « Il s'agit d'AdWords, à droite des résultats de recherche - qui n'interfèrent donc pas avec le contenu et ne sont pas intrusifs pour l'internaute - comme pour l'index général. Et nous n'avons jamais partagé le revenu des AdWords avec tous les sites apparaissant dans les résultats de recherche... » La réponse de Google aux éditeurs de presse : profitez des services Google pour monétiser vos contenus Pour Anne-Gabrielle Dauba-Pantanacce, les sites d'actualité auraient plutôt intérêt à tirer profit des nouvelles formes de monétisation que le moteur offre. D'abord « en incluant Google News dans leur stratégie », comme LeMonde.fr, explique Anne-Gabrielle Dauba-Pantanacce, pour qui Google News représenterait environ 10% du trafic. Ensuite, Google propose de numériser gratuitement les archives des journaux, ce qui leur fournirait plus de contenu à monétiser, et à Google plus de contenu à indexer. Dans tous les cas, Anne-Gabrielle Dauba-Pantanacce se défend de vouloir concurrencer les médias. « Contrairement à ce qu'on peut entendre, nous n'avons aucun intérêt à ce que la presse disparaisse, ce n'est pas notre métier de faire du contenu. Notre service nécessite un partenariat... je dirais symbiotique, avec les éditeurs de presse. » (...)
(03/03/2009 17:59:07)La justice américaine porte plainte contre EMC
EMC vient de faire l'objet d'une plainte émanant du département de justice américain (DoJ). Selon un communiqué publié hier, lundi 2 mars, sur le site de ce dernier, le spécialiste du stockage est accusé d'avoir menti depuis la fin des années 90 sur ses pratiques commerciales afin d'obtenir des prix plus élevés lors de la négociation de contrats avec l'administration américaine. L'Etat américain lui reproche également d'avoir versé de l'argent et des objets de valeur aux intégrateurs de systèmes et aux partenaires des organismes gouvernementaux. Des poursuites ont donc été engagées, puis déposées aux Etats-Unis à Little Rock (Arkansas) par les plaignants Norman Rille et Neal Roberts. Dans le cadre de la « False Claims Act », le gouvernement américain espère récupérer trois fois le montant de ses pertes (non communiqué) en plus des sanctions civile. (...)
(03/03/2009 17:54:36)Le patron de Nuxeo en direct de l'Open Source Think Tank
Le vignoble californien accueille ces jours-ci l'Open Source Think Tank, club de réflexion des acteurs de l'Open Source commercial. Il accueille des chefs d'entreprise et des responsables techniques qui souhaitent échanger leurs idées sur le secteur. Parmi les sociétés présentes figure Nuxeo, éditeur français d'une offre Open Source de gestion de contenu, qui a ouvert il y a tout juste un mois son premier bureau aux Etats-Unis, à Boston. Eric Barroca, jeune dirigeant de Nuxeo, s'est rendu au Think Tank, et propose en exclusivité, sur le blog experts LeMondeInformatique.fr, une chronique de son séjour dans la Napa Valley. Première impression, rapporte-t-il : « Les participants sont expérimentés, brillants, disponibles et ouverts à la discussion. »
(...)(03/03/2009 17:08:59)Microsoft crée 3 000 emplois en R&D pour pallier ses suppressions de postes
Le géant des logiciels Microsoft a affirmé vouloir investir dans ses activités de recherche et développement pour compenser les quelque 5 000 suppressions de postes annoncées fin janvier. Dans un discours prononcé hier à l'occasion du Cebit de Hanovre , Kevin Turner, directeur des opérations (COO - Chief Operating Officer) de l'éditeur a déclaré qu'il faudrait jusqu'à 3 000 collaborateurs de plus à l'entreprise pour qu'elle puisse poursuivre ses efforts de recherche et de développement. Il a également ajouté que Microsoft comptait investir 9 Md$ dans sa R & D cette année, soit 1 Md$ de plus qu'en 2008, et que la création de nouveaux postes s'imposait dans des domaines porteurs tels le cloud computing ou encore le SaaS (Software as a service). En conséquence, l'éditeur entend réaligner ses équipes en fonction de ses nouvelles priorités. En tablant sur la création de 2 000 à 3 000 nouveaux postes dans des secteurs porteurs, Microsoft veut « profiter de nouvelles opportunités à forte croissance ». Sans détailler la nature de ces opportunités. (...)
(03/03/2009 16:20:53)Baisse record des ventes de micros en 2009, selon le Gartner
La crise des TIC prend chaque jour plus d'ampleur. Hier, le Gartner Group a estimé que les ventes de micro-ordinateurs baisseront de 11,9% en 2009, à 257 millions d'unités. Il s'agira de "la plus forte baisse enregistrée par ce marché" depuis sa naissance. Le précédent record remonte à 2001 et n'avait été que de - 3,2%. En 2009, le comportement du marché va nettement trancher avec celui qu'il a eu en 2008. Sur ces douze derniers mois, les ventes avaient augmenté de 10,9% à 302,2 millions d'unités. Vu en stagnation par le Gartner (+1,1% à 78,1 millions d'unités) et en récession par IDC (-0,4%), le quatrième trimestre n'était en fait que prémices de la crise qui va affecter toute l'année 2009. Heureusement, les netbooks devraient croître de 80%
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