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(03/03/2009 16:12:43)

Cebit 2009 : Microsoft lance ses services en ligne pour les entreprises françaises

L'offre de services en ligne de Microsoft à destination des entreprises est désormais disponible dans une quinzaine de pays, dont la France, après avoir été lancée aux Etats-Unis en novembre 2008. L'éditeur illustre, avec cette initiative, l'importance qu'il accorde au modèle S+S (software + services), combinant les applications installées et soumises au paiement d'une licence ainsi que les outils accessibles en ligne sur abonnement. Le groupe de Redmond propose ainsi quatre applications dans le cadre de son offre Onlines Services : Exchange (messagerie), Sharepoint (portail collaboratif), Office Communications (communications unifiées) et Office Live Meeting (visio-conférence). Chacune de ces briques peut donc désormais être utilisée en mode Saas (software as a service, service applicatif en ligne) ou installée sur le serveur de l'entreprise, moyennant le paiement d'une licence. Les entreprises optant pour le modèle en ligne devront s'acquitter d'un abonnement mensuel compris entre 2,13 € par utilisateur (pour Office Communications) et 8,52 € (pour Exchange). Celles qui choisiront de s'abonner à l'ensemble des services bénéficieront d'une réduction de 38%, portant la facture totale à 12,78 € par mois et par utilisateur. Parallèlement aux services précités, les utilisateurs bénéficieront de 5 Go de stockage pour Exchange et 250 Mo pour Sharepoint. 18% de marge pour les revendeurs la première année [[page]] Microsoft s'adresse également aux utilisateurs occasionnels, qui ne disposent pas d'un PC en permanence mais souhaitent malgré tout accéder de temps en temps aux services en ligne. C'est par exemple le cas des employés municipaux d'une mairie ou des agents hospitaliers, explique l'éditeur. Pour ce public, Microsoft propose une version allégée de sa suite de services - rebaptisée pour l'occasion Deskless Worker - incluant les outils de messagerie et de collaboration. Le tout pour 2,56 € par mois et par utilisateur. Pour que ces deux offres soient adoptées par les entreprises, Microsoft compte sur la force de persuasion de son réseau de partenaires. Et entend motiver ces derniers en les intéressant aux abonnements qu'ils auront vendus. Ainsi, l'éditeur garanti aux revendeurs une marge de 18% la première année, qui sera suivie par le versement de 6% du montant des abonnements mensuels les années suivantes. Trois grands partenaires sont d'ores et déjà sur les rangs pour commercialiser les offres de services en ligne : Orange Business Sercices, Avanade (co-entreprise entre Microsoft et Accenture) et YouSaas. Microsoft indique que plus de 30 000 entreprises testent actuellement les services en ligne sur le site d'évaluation ouvert depuis la fin 2008 aux Etats-Unis. L'éditeur compte quelque 700 clients, dont une cinquantaine de grands comptes. Parmi eux, le laboratoire pharmaceutique GlaxoSmithKline s'apprête à déployer la solution Online Services pour ses 100 000 salariés et table sur une réduction des coûts opérationnels de 30%. (...)

(03/03/2009 15:58:18)

Cebit 2009 : Arnold Schwarzenegger compte sur les technologies vertes pour sortir de la crise

A ceux qui se morfondent au vu de la situation économique, Arnold Schwarzenegger, gouverneur de l'Etat de Californie, invité d'honneur de l'édition 2009 du Cebit, adresse un message: « Cela n'a pas de sens de pleurnicher, de se plaindre du ralentissement économique, nous devons regarder devant nous plutôt que derrière. » S'exprimant en ouverture du plus grand salon européen des nouvelles technologies, l'ancien interprète de Terminator a ainsi expliqué : « Nous devons faire partie de la solution, pas du problème. Et la seule façon de faire est de se montrer optimiste et de trouver de nouveaux moyens de stimuler l'économie. » Parmi ces nouveaux moyens, Arnold Schwarzenegger vise les technologies vertes, qui ont le vent en poupe en ce moment dans la Silicon Valley : le secteur du Green IT aurait récolté en 2008 quelque 3,3 Md$. Désignant les 51 entreprises californiennes avec lesquelles il a fait le voyage, le gouverneur a vanté leur potentiel : « Il y a plein de bonnes choses. La technologie nous aidera. » Terminator contre le protectionnisme Arnold Schwarzenegger en a profité pour critiquer les volontés de protectionnisme de certains Etats, une erreur en temps de récession, a-t-il dit. « C'est quelque chose que nous avons fait en Amérique dans les années 30, et nous l'avons payé très cher. Nous ne devrions pas aller dans cette direction, nous devrions apprendre de nos erreurs. Nous vivons désormais dans un marché mondialisé. » Et l'ancien M. Univers n'a pas manqué de rappeler que la Californie est la 8e puissance économique mondiale et « la capitale mondiale de l'innovation ». Apparemment heureux d'être de retour en Allemagne, où il a séjourné après avoir émigré d'Autriche, il a indiqué que ce voyage dans ce pays ne serait pas le dernier. En recourant bien sûr à la réplique culte de Terminator : « I'll be back. » (...)

(03/03/2009 12:29:50)

Microsoft teste Kumo, son futur outil de recherche

Live Search aura-t-il bientôt un remplaçant ? D'après un courriel interne cité par l'agence Reuters, Microsoft teste actuellement un nouvel outil de recherche, connu sous le nom de code Kumo. Celui-ci se présente comme une mouture de Live Search au look modernisé et intégrant des fonctionnalités supplémentaires : recherches localisées par pays, résultats accessibles par rubrique (image, musique, paroles, biographie pour une recherche sur une chanteuse par exemple), historique disponible en permanence, etc. Kumo est le deuxième outil de recherche en cours de test chez Microsoft. Lors du TechFest, l'éditeur avait déjà présenté Viveri, un outil beaucoup plus expérimental. Celui-ci devrait rester une boîte à idées, tandis que Kumo (sous ce nom, ou en conservant l'ancienne appellation Live Search) pourrait à terme être généralisé au grand public. Et relancer Microsoft à la conquête du marché de la recherche, face à Google et Yahoo. (...)

(02/03/2009 13:04:18)

Cebit 2009 : Le nombre d'exposants à son plus bas niveau depuis dix ans

L'édition 2009 du Cebit, le plus grand salon européen consacré à l'IT, ouvre ses portes demain, à Hanovre. Comme un symbole du marasme qui frappe l'économie mondiale, jamais l'événement n'aura accueilli aussi peu d'exposants au cours des dix dernières années. Aux effets de la crise s'ajoute une tendance à la désertion des exposants observée depuis quelques années. Alors que 8000 entreprises avaient réservé un stand en 2001, elles n'étaient plus que 6200 en 2006 et 2007, et 5845 en 2008. Et cette année, Deutsche Messe, l'organisateur du Cebit, compte quelque 4300 réservations, soit 26% de moins que l'an dernier. La surface dédiée à l'événement s'en trouve logiquement revue à la baisse : les immenses bâtiments du parc des expositions ne seront occupés que sur 200 000 m², contre 300 000 m² en 2006. La principale raison de cette baisse soudaine du nombre d'exposants prend son origine en Asie, avance Sven Prüser, vice-président de Deutsche Messe. Ce sont en particulier les petites entreprises chinoises, taïwanaises et sud-coréennes qui, affectées par la crise au point de fermer leurs portes, ont contribué à gonfler les chiffres des renoncements. Le salon bas-saxon pâtit également de la concurrence d'autres manifestations consacrées aux TIC, comme l'IFA de Berlin ou le Mobile World Congress de Barcelone. Des remèdes pour endiguer les désertions Pour endiguer cette désertification lancinante, les organisateurs ont tenté plusieurs parades. D'abord, comme ils l'avaient fait l'année dernière, ils axent leur communication vers les professionnels. Le but est de rompre avec l'image grand public qu'avait revêtue le Cebit au début des années 2000 et qui avait refroidi les ardeurs de certains exposants potentiels. Ils recherchent en effet une visibilité auprès d'un public de pros de l'IT et pas de geeks, voire du grand public venu chasser les 'goodies'. Deutsche Messe a également noué un accord avec Lufthansa pour offrir des billets à prix réduit sur les vols reliant le reste du monde à Hanovre. Le comité organisateur a, en outre, mis en place une formule de stands clé-en-main, permettant aux exposants de disposer d'un emplacement prêt à l'emploi et de voir ainsi leur facture finale largement allégée. Enfin, le salon pourra compter sur son invité d'honneur pour alimenter les commentaires. Après Nicolas Sarkozy en 2008, c'est en effet le gouverneur de Californie Arnold Schwarzenegger qui inaugurera le Cebit 2009 aux côtés de la chancelière allemande, Angela Merkel. (...)

(02/03/2009 12:43:26)

Netezza acquiert une solution d'audit de données

L'Américain Netezza, éditeur spécialisé dans les solutions décisionnelles, vient d'acquérir Tizor Systems, société du Massachussetts qui développe des logiciels d'audit et de protection des données. Netezza commercialise des solutions packagées de datawarehouse combinant matériel et logiciel (appliances), conçues pour l'analyse d'importants volumes de données -plusieurs teraoctets. L'offre principale de Tizor, Mantra, est également fournie sous forme d'appliance matérielle. La solution permet de surveiller les données sensibles, structurées et non structurées, de communiquer des alertes en temps réel et d'interrompre des activités non autorisées en temps réel. Mantra est notamment utilisé pour de se conformer aux réglementations et dispositions légales, telles que la loi Sarbanes-Oxley. Netezza a ouvert une filiale en France au printemps 2008. (...)

(27/02/2009 17:48:38)

Cisco supprime 2 000 postes et évoque une restructuration limitée

En annonçant un projet de restructuration qui se soldera par la suppression de 1 500 à 2 000 postes, Cisco Systems intègre la longue liste des contributeurs aux plans sociaux. Selon nos confrère du Wall Stret Journal, les premiers départs ont eu lieu cette semaine, l'équipementier ayant décidé d'engager le processus en supprimant 250 emplois à San Jose (Californie), son siège social, et également à l'international. L'entreprise a indiqué que ces coupes faisaient partie du cours normal de ses affaires et qu'elle souhaitait davantage se concentrer sur des domaines d'activité à forte croissance. Dans une déclaration, le PDG, John Chambers, a précisé que la société évaluait constamment ses priorités et qu'elle avait également pour habitude d'aligner ses ressources dans le cadre de son processus de gestion. Le patron de Cisco a rappelé que cette réorganisation faisait partie d'un projet de réalignement des équipes qui avait déjà été évoqué à l'occasion de la publication des résultats du deuxième trimestre. Selon lui, l'équipementier ne compte pas procéder à une large vague de suppressions de postes car si c'était le cas, les coupes se seraient montées à 10% des effectifs de l'entreprise, qui compte actuellement 67 000 salariés. 1 Md de dollars économisés d'ici fin 2009 Comme beaucoup d'acteurs du secteur des TIC, Cisco est durement touché par la récession mondiale. Au cours de son deuxième trimestre 2009, les revenus de l'équipementier ont reculé d'environ 7,5% par rapport à l'année précédente, à 9,1 Md$, en raison de la baisse de la demande de ses clients. Plutôt que d'engager de grosses réductions d'effectifs pour contrôler ses coûts, Cisco a préféré mettre l'accent sur la réduction de ses dépenses et entend économiser 1 milliard de dollars d'ici à la fin de l'exercice 2009. Pour atteindre cet objectif, Cisco a donc fait une pause sur ses recrutements, mais a également prévu de réduire le budget de ses voyages, de ses événements, de ses équipements et de son marketing, notamment. Reste à savoir quelles seront les conséquences de ce plan dans l'Hexagone, la direction de Cisco France n'ayant pas été en mesure de répondre à notre demande. (...)

(27/02/2009 17:21:39)

Microsoft attaque TomTom... mais se défend de vouloir attaquer Linux

La stratégie lentement mise en place par Microsoft pour apaiser ses relations avec les communautés Open Source vient de prendre un sérieux coup dans l'aile. En accusant mercredi TomTom de violer sa propriété intellectuelle sur huit brevets, dont trois sont liés au système d'exploitation des GPS du fabricant, basé sur Linux, Microsoft vient de réveiller des inquiétudes qu'il tentait d'endormir - notamment grâce aux efforts de l'équipe de Sam Ramji. Las, sitôt l'affaire TomTom connue, les commentaires enflammés ont resurgi, rappelant qui la menace proférée par Steve Ballmer à propos de 235 brevets, qui la campagne « Get the facts » de 2003 (et abandonnée en 2007) qui tâchait d'expliquer pourquoi Linux revenait finalement plus cher que Windows. « L'Open Source n'est pas le point focal de cette action », a donc pris soin de préciser Horacio Gutierrez, tout nouveau vice-président responsable des questions de propriété intellectuelle. Pour le service de communication de l'éditeur, l'affaire TomTom est avant tout une affaire commerciale. « Nous avons intenté cette action après avoir, de bonne foi, essayé de régler cette affaire avec TomTom pendant une année », nous a précisé Microsoft. Ajoutant que d'autres fabricants, tels Alpine, Pioneer et Kenwood, avaient acquis des licences pour utiliser ces brevets. Pour se dédouaner davantage de toute intention agressive à l'égard de Linux, Microsoft rappelle que cinq des brevets incriminés concernent le système de navigation, et que seulement trois des brevets impliquent Linux. En outre, « ce cas concerne une implémentation spécifique par TomTom du noyau Linux ». Jim Zemlin lui-même, directeur exécutif de la fondation Linux, reconnaît qu'il s'agit, « pour le moment », d'une dispute privée. Néanmoins, il écrit sur son blog rester prudent, et appelle les gens à « rester calmes, espérer le meilleur, et se préparer pour le pire ». Le meilleur serait que Microsoft se rende compte qu'il y a plus à gagner à proposer des produits innovants qu'à attaquer l'industrie, le pire serait que le système légal actuel fournisse une ouverture au géant de Redmond pour attaquer Linux, malgré les efforts de la Fondation Linux et de l'Open Invention Network pour protéger sa propriété intellectuelle. (...)

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