Flux RSS

Business

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

9034 documents trouvés, affichage des résultats 4631 à 4640.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(17/02/2009 18:14:48)

Analyse textuelle : SPSS classifie les réponses libres des questionnaires

Dans la gamme de solutions d'analyse textuelle de l'éditeur SPSS, le logiciel Text Analysis for Surveys est destiné à accélérer le traitement des réponses libres des questionnaires, notamment dans le domaine de la gestion de la relation client (CRM). L'application vient de sortir dans une version 3.0, qui peut analyser les réponses dans six langues (anglais, français, allemand, espagnol, néerlandais et japonais). En recourant à la technologie de traduction linguistique Language Weaver, il est même possible de traiter jusqu'à trente langues. Text Analysis for Surveys permet d'automatiser la classification des remarques (sentiments positifs ou négatifs) exprimées dans les commentaires des enquêtes de satisfaction, recueillies par les centres de contacts lors d'échanges avec les clients, ou bien encore, pourquoi pas, récupérées sur les forums de sites Web consacrés à des produits. Généralement, l'analyse de ces commentaires doit être recodée pratiquement à la main et, de toutes façons, confiée à des professionnels. « C'est un processus coûteux et non réutilisable », souligne Eric Martin, responsable produit chez SPSS France. Le logiciel mis au point par SPSS permet d'identifier les grands thèmes abordés dans les réponses libres et de créer des catégories de façon automatisée, sans qu'il soit nécessaire de lire ces commentaires et de les ressaisir mot à mot. S'il s'agit d'un questionnaire soumis aux clients d'un hôtel, par exemple, les catégories créées pourront s'appliquer à la situation géographique, l'accueil, la chambre, la restauration, etc. Text Analysis for Surveys recourt à différentes techniques de traitement du langage naturel comme l'extraction multilingue de concepts, l'analyse sémantique, la classification basée sur les statistiques, ou encore l'analyse des liens utilisés dans les textes. Cette dernière permettra de faire la distinction entre « jolie chambre » (opinion positive) « mais accueil détestable » (opinion négative). La version 3.0 du logiciel est livrée avec quelques dizaines de catégories prédéfinies pour traiter des enquêtes de satisfaction destinées à des clients ou à des employés, ou s'appliquant à un produit. Un nouvel outil d'assistant guide l'utilisateur dans la création des nouveaux projets. Le prix de l'application démarre à 4 000 euros. (...)

(17/02/2009 17:24:29)

Toshiba s'offre les disques durs de Fujitsu

L'accord était pressenti depuis quelques mois, il est maintenant officiel : Toshiba va acquérir l'activité disques durs de Fujitsu. Le coût de l'opération, qui doit être achevée au deuxième trimestre, n'a pas été communiqué. Les observateurs estiment cependant que la facture pourrait s'élever entre 250 et 340 M€. La première étape de ce processus consistera en la création, par Fujitsu, d'une entreprise regroupant ses activités de conception, développement, fabrication et vente de disques durs. Toshiba acquerra alors 80% de cette entité puis, dans un second temps - le calendrier n'a pas été précisé -, achètera les 20% restant. Le Japonais Toshiba est déjà présent dans le secteur du stockage mais ne vise pas le même public que son compatriote. Les disques durs du premier sont conçus pour les PC portables, les périphériques mobiles, l'électronique grand public et l'automobile alors que ceux de Fujitsu s'adressent avant tout au marché professionnel. L'acquisition dont il est question devrait donc permettre à Toshiba, estime celui-ci, de diversifier ses activités et de développer son offre à destination des professionnels. Par ailleurs, en mettant la main sur les disques durs de Fujitsu, Toshiba pourrait s'imposer comme le premier acteur des unités de stockage de 2,5 pouces et moins, avec environ 30% de parts de marché. Il héritera également des SSD de son concitoyen. Fujitsu peut pousser un soupir de soulagement en cédant son activité stockage, de longue date déficitaire. Il avait, par le passé, déjà tenté de trouver un repreneur : en octobre 2008, Western Digital s'était montré intéressé mais les discussions avaient achoppé sur le vente et le volet social. (...)

(17/02/2009 17:19:12)

Annuels Steria : infogérance, BPO et secteur public en hausse

La SSII Steria a terminé son année fiscale sur un chiffre d'affaires de 1,765 Md€, en progression de 24,7% à périmètre courant. La croissance organique, en revanche, se limite à 0,9% en raison de l'impact négatif de la variation des taux de change sur l'année. Les résultats complets seront publiés le 16 mars prochain, mais le groupe indique que son taux de marge opérationnelle devrait dépasser l'indication de 7,5% précédemment communiquée (ce taux s'élevait à 7,3% en 2007). Sur le quatrième trimestre, la croissance organique de Steria s'élève à 1% avec un chiffre d'affaires de 459,3 M€. Le groupe communique un ratio de prise de commandes sur chiffre d'affaires de 1,31 sur la période, de bon augure pour l'avenir. Au 31 décembre, ce ratio s'élevait à 1,07 pour l'année, soit sensiblement au même niveau que fin 2007. Sur ce quatrième trimestre, la SSII souligne la progression (+5,1%) de ses activités d'infogérance et de BPO (business process outsourcing, externalisation de processus métiers). Il indique également la hausse de l'activité sur le secteur public (+7,8%) et, même, contre toute attente, sur le secteur financier (+1,8%). L'infogérance a notamment crû en France (+0,7%) sur ce dernier trimestre, l'Hexagone enregistrant sur le deuxième semestre une croissance organique de 2,7%, contre un recul de 2,2% au premier semestre. La France pèse 30% du CA total, le Royaume-Uni 42% Avec 535,8 M€ (+0,3%) en 2008, la France pèse 30% du chiffre d'affaires total de Steria, désormais moins que le Royaume-Uni. A la suite du rachat de Xansa en juillet 2007, ce dernier représente en effet désormais 42% du CA total de la SSII. L'activité outre-Manche a généré 740,5 M€ (-1,3%) en 2008. Le reste du CA se répartit entre l'Allemagne (un peu moins de 14% du total), qui a réalisé 241,7 M€ (+6,1%) et les autres implantations européennes (14%) qui ont progressé de 4,5% à 247,7 M€. Rappelons que Steria a ouvert l'an dernier un centre de services en Pologne, ainsi qu'une entité nearshore au Maroc. (...)

(17/02/2009 17:17:58)

IBM échange licenciements contre expatriations low cost

IBM n'a pas encore levé le voile sur son projet de restructuration. Pourtant, la direction de Big Blue aux Etats-Unis et au Canada réfléchit actuellement à une alternative aux suppressions de postes qui ont déjà eu lieu : ainsi, les salariés américains et canadiens dont le poste a été supprimé ont appris qu'il pourraient sauver leur emploi s'ils acceptent d'aller travailler dans les divisions d'IBM au Brésil, en Inde, en Chine ou dans une douzaine d'autres pays à bas coûts. Cette solution a été proposée aux salariés qui ont perdu leur emploi, dans le cadre d'un programme baptisé Project Match. Ce plan prévoit le versement d'une aide financière qui devrait compenser les frais liés au déménagement et à l'obtention de visas pour faciliter la transition de certains salariés vers l'international. Mais si ces derniers optent pour l'expatriation, ils abandonneront leur salaire actuel au profit de la rémunération locale en vigueur. « Les collaborateurs qui accepteront d'être transférés devront être prêts à travailler selon les termes et les conditions du marché local », a précisé la direction du constructeur. Doug Shelton, l'un des porte-parole d'IBM, a certes reconnu que ce programme ne pouvait pas convenir à tout le monde, mais qu'il pouvait s'agir d'une solution de rechange pour les collaborateurs dont les emplois ont été supprimés. En France, la publication, il y a quelques mois, d'une offre d'emploi ANPE pour un poste d'informaticien à pourvoir à Pondichery, en Inde, assortie d'un contrat de droit local, avait suscité la polémique. (...)

(17/02/2009 16:23:26)

Red Hat et Microsoft passent un accord croisé autour de leurs OS et de leurs hyperviseurs

Red Hat et Microsoft ont signé un accord croisé afin que chacun accepte le le système d'exploitation de l'autre sur son hyperviseur. Ainsi, Red Hat va valider Windows Server 2000 SP4, 2003 SP2 et Windows Server 2008 sur la couche de virtualisation de Red Hat Enterprise Linux (RHEL). Microsoft agira de même avec RHEL 5.2 et 5.3 sur Windows Server 2008 Hyper-V et Hyper-V Server 2008. Les deux parties s'empressent de préciser que cet accord ne comporte aucun volet financier et qu'il n'a pas d'implication vis-à-vis de l'open source. Histoire de marquer sa différence avec celui qui lie étroitement Novell et Microsoft depuis novembre 2006. Un des volets du vaste partenariat annoncé à l'époque portait d'ailleurs sur le support des OS Microsoft sur Xen, l'hyperviseur de Novell Suse. En revanche, autant on sait chez Microsoft de quel hyperviseur il est question (Hyper-V), autant le doute demeure chez Red Hat. Le communiqué de l'éditeur ne parle que "des technologies de virtualisation de RHEL" sans préciser si l'accord porte uniquement sur Xen, actuellement l'hyperviseur inséré dans RHEL, ou s'il inclut aussi KVM, son successeur annoncé. (...)

(17/02/2009 15:19:25)

Flash 10 s'installera sur les téléphones mobiles en 2010

À l'occasion du Mobile World Congress de Barcelone, Adobe a annoncé que la dernière version complète de Flash - Flash 10 - sera compatible avec la majorité des smartphones d'ici à 2010. Les téléphones concernés seront ceux qui utilisent les systèmes d'exploitation Windows Mobile, Android, Symbian S60 et le futur WebOS de Palm. Seul grand absent de cette liste : l'iPhone d'Apple. Contacté par l'agence Reuters, David Wadhwani, responsable plateforme d'Adobe, précise que les deux sociétés travaillent toujours pour une installation complète de Flash sur le smartphone d'Apple, mais rien de concret n'a encore émergé. « Nous n'aurons rien à annoncer durant le congrès à ce sujet. » En 2008, 40% des téléphones portables vendus étaient équipés de la version light de Flash, développée spécialement pour ce type de supports. Adobe compte en distribuer encore 1,5 milliard dans les deux ans à venir, aux côtés de Flash 10. (...)

(17/02/2009 12:53:38)

Informatica acquiert des solutions de gestion du cycle de vie des données

Avec le rachat d'Applimation qu'il vient de finaliser, l'éditeur Informatica ajoute à sa plateforme d'intégration de données une suite de gestion du cycle de vie des informations applicatives (ILM, information lifecycle management). Cette suite se compose de quatre logiciels. Le premier, Applimation Informia Archive permet à la fois de réduire la taille des bases de production, en identifiant les données inactives, de se conformer aux règlementations légales (accès aux informations, confidentialité) et de gérer la conservation des données. La suite Applimation Informia Enterprise Data Management comprend aussi les solutions Informia Data Subset et Informia Data On Demand, qui permettent de créer des bases représentatives destinées aux tests applicatifs, ou de répliquer les bases de production à des fins de développement, de formation ou d'assurance qualité. Enfin Informia Secure est destinée à la protection des données sensibles dans de multiples contextes. Quoique très utilisée pour les projets décisionnels, la plateforme d'intégration de données d'Informatica répond aux besoins d'un éventail beaucoup plus large de projets : modernisation du système d'information, déploiement d'ERP, synchronisation de données avec des applications hébergées... L'offre Applimation qui vient d'être acquise inclut notamment un éventail de métadonnées destinées à une centaine de modules applicatifs de l'offre de progiciels d'Oracle et de SAP. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >