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(30/11/2011 10:25:37)

Akamai sur le point de racheter Cotendo

Selon une information publiée par le quotidien israélien The Calcalist, l'entreprise américaine Akamai, spécialisée dans les technologies d'accélération du web (CDN), serait en train de négocier le rachat de Cotendo, sa rivale israélienne.

Fondée en 2008, Cotendo propose également des services permettant d'accélérer l'affichage d'applications web. En trois ans tout juste, elle est parvenue à lever près de 40 millions de dollars, et son chiffre d'affaires actuel se situerait entre 20 et 30 millions de dollars pour 2011. Elle compte aujourd'hui parmi ses clients des géants comme Facebook, Microsoft ou encore Google.  Après s'être concentrée avant tout sur les réseaux fixes, au cours des douze derniers mois Cotendo s'est penchée sur de nouveaux développements permettant de fluidifier la diffusion de contenus à travers les réseaux mobiles.

L'an dernier, elle avait été poursuivie en justice par Akamai pour violation de brevet. Pour rappel, Akamai avait déjà acheté Digital Island et Speedera après les avoir poursuivis en justice pour des raisons similaires. Pour racheter son concurrent, la firme américaine serait prête à débourser 300 millions de dollars. Les deux sociétés concernées n'ont pas souhaité commenter la rumeur.

ICTJournal.ch (...)

(30/11/2011 10:25:12)

HP/Cisco : Une bataille plus stratégique que technique

Désormais ouvertement adversaires sur le marché des infrastructures des centres de données, l'équipementier de réseau Cisco et le géant des serveurs et du stockage HP sont au moins d'accord sur une chose : tout a commencé avec le lent décollage de la virtualisation. « A l'enthousiasme des premières années succède aujourd'hui la volonté d'industrialiser la virtualisation », commente Bruno Dutriaux, chargé du développement partenaires pour la division Datacenter et virtualisation chez Cisco. C'est aussi au nom de l'industrialisation de la virtualisation qu'HP a déterré la hache de guerre : « la crise de 2008 a poussé le marché vers le cloud et donc vers l'industrialisation de l'infrastructure, commente Philippe Rullaud, directeur de la division serveurs x86 pour la France chez HP. Un même constat, mais dont les deux constructeurs tirent des leçons bien différentes.

Les briques pour simplifier l'infrastructure

« C'est une affaire de point d'observation », risque Guy Lefebvre, directeur de la division Stockage chez Adstore, avant de remarquer qu'HP dispose dans son portefeuille des trois grandes briques technologiques de la future informatique en nuage, le réseau, le stockage et les serveurs, alors que Cisco, lui, doit compter sur des partenaires. Chez HP, l'argumentation développée pourrait se résumer à un seul mot, la convergence. Les infrastructures informatiques seraient appelées à devenir des boîtes noires, des briques préconfigurées au fonctionnement le plus standard possible, la complexité étant gérée au plus près des applications, dans les couches logicielles virtualisées. « Pour réaliser cela, il faut simplifier, il faut pouvoir faire évoluer à la même vitesse les composantes serveur, stockage et réseau de l'infrastructure », explique Olivier Petit, chef de produits Blade chez HP. La marque dresse volontiers une vision d'ensemble de l'évolution de l'informatique, et se voit bien jouer le rôle du chef de file. Pour l'équipementier de réseau, la vision de l'avenir s'inspire des problèmes rencontrés par les entreprises au présent. « Plus vous ajoutez de serveurs en lame, plus votre réseau se complexifie. Si l'on veut réussir le cloud, il faut simplifier », explique Bruno Dutriaux.

Des approches techniques difficiles à différencier

Là encore, les deux frères ennemis sont à l'unisson. Et d'un point de vue purement technique, il reste difficile pour un non spécialiste de différencier clairement les deux offres. Virtual Connect de HP et Unified Computing System de Cisco ont en effet de nombreux points communs. Toutes deux utilisent un couple de commutateurs de coeur de réseau qui embarque toute l'intelligence de configuration des connexions LAN et SAN. Toutes deux proposent de concentrer les serveurs lames dans des châssis qui seront connectés aux commutateurs de coeur de réseau. Toutes deux poursuivent le même objectif, éliminer les câbles et apporter plus de flexibilité. Avec son offre Virtual Connect, HP revendique jusqu'à 95% de câbles et d'équipements de réseau en moins dans le data center. De son côté, Cisco explique que son offre Unified Computing System permet de réduire à une petite demi-heure le délai de mise en production d'un nouveau serveur lame, là où la concurrence mettrait plusieurs jours ou semaines.

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D'accords sur l'analyse du besoin, d'accords sur les solutions techniques, les frères ennemis du datacenter ne s'affrontent en réalité que sur un seul terrain, leur propre survie dans ce grand chambardement du marché. «  Derrière ces grandes manoeuvres, nous assistons à un mouvement de fond visant la simplification des offres, décrypte Yann Plétan d'Altimate. Stockage, réseau ou puissance de calcul, chaque brique des futurs clouds ne représentera plus à terme qu'une seule référence incluant le matériel et le logiciel. L'ère des bundles composés à la main par les revendeurs est en train de s'achever ». Même son de cloche chez les constructeurs qui, là encore, utilisent la même référence à l'industrie automobile pour insister sur ce qui les différentient : « Hier, un constructeur assemblait dans son atelier toutes les pièces de chaque véhicule, rappelle Bruno Dutriaux. Aujourd'hui, il fait appel à des ensembliers. Il est en train de se passer la même chose dans l'industrie informatique ».

Le réveil d'un vieux démon

A ceci près que dans ce match de titans, la plupart des coups risquent de s'échanger en dessous de la ceinture. « HP couvre déjà la totalité de l'offre alors que Cisco doit encore convaincre sur ce point », remarque Guy Lefebvre. Conscient des enjeux, HP pousse son avantage. Dans l'argumentation commerciale qu'il destine à ses partenaires, il n'hésite pas à enfoncer le clou et à insister sur le caractère disparate, lourd, peu intégré, de l'offre concurrente. La convergence, chez HP, se raconte en quelques chiffres : 2 composants au coeur de l'architecture cloud d'HP contre une trentaine requis par l'offre concurrente, et 95% de câbles en moins. Mais par rapport à quoi exactement ? A force de vouloir convaincre, le géant risque de finir par réveiller une inquiétude aussi vieille que l'informatique, celle du monopole absolu. Pour aussi séduisant et pratique qu'il soit, le « one stop shopping » ou interlocuteur unique proposé par HP laisse toujours le sentiment d'avoir perdu une certaine liberté de choix. Et cela d'autant plus que, d'annonce en annonce, le géant de Palo Alto confirme son intention de capter un à un tous les marchés de ses concurrents. Dernier en date, le 23 novembre, le marché de la consolidation des applications Unix sur des infrastructures blades x86. En face, chaque mouvement du géant rapproche des ténors de l'informatique qui n'auraient pas imaginé s'allier auparavant. « Il faut regarder au-delà de cette bataille d'acteurs pour voir où se dirige vraiment le marché, tempère Yann Plétan d'Altimate. Si on fait cela, on se rend compte que ce n'est pas seulement l'offre des constructeurs qui évolue, mais que nos métiers sont aussi en train de changer en conséquence ».

(...)

(30/11/2011 10:09:22)

Services à la personne : un amendement inquiète les professionnels de l'assistance informatique

Quand  l'Etat cherche à réaliser des économies, il passe tous les systèmes d'aides à la moulinette. C'est ainsi, qu'au détour d'un amendement (à la Loi de Finances rectificative), une série d'avantages fiscaux liés aux services à domicile sont menacés. Des avantages nés de la loi Borloo du 26 juillet  2005 (qui accorde 50% de réduction d'impôt sur les sommes engagées). Parmi eux, l'assistance informatique à domicile.

Le Syntec Numérique s'est étranglé à la lecture de l'amendement. Le sujet lui est d'autant plus sensible qu'il accueille désormais les professionnels de ce secteur. Gianbeppi Fortis, Président du directoire de Solutions 30, est devenu président de la  récente commission : « services à la personne ».  Elle estime représenter près de 20 000 emplois, « au mois de février dernier, nous avons recensé 6 346 organismes agréés Loi Borloo en services informatiques, ce qui représente 15 à 20 000 emplois » note  Gianbeppi Fortis.

Un impact sur l'emploi dans un secteur composé de TPE

Si l'amendement est  adopté, le risque est clair. D'un côté, l'Etat économise, peut-être 100 millions d'euros, mais en face, le secteur, composé de TPE risque de débaucher. Les particuliers, sans possibilité de déduction, mais toujours avec leurs problèmes de dépannage, d'assistance et de formation, se tourneraient alors vers les amis ou le travail au noir. L'Etat perdrait d'un côté (pas de TVA ou de charges sociales réglées par les TPE du secteur) ce qu'il penserait gagner de l'autre. « Ce serait casser un secteur, même si nous savons les efforts financiers que doit faire le pays » analyse Gianbeppi Fortis. « Il y a un besoin d'assistance à domicile. On ne le supprimera pas ».

La commission services à la personne de Syntec Numérique travaille d'ailleurs sur deux sujets, le maintien de la loi Borloo et son élargissement à d'autres sujets que l'informatique. Les particuliers ont, ou auront, d'autres problèmes d'assistance à domicile liés aux technologies.

L'amendement passera en séance publique ce mercredi (si le calendrier parlementaire est respecté). Après, la navette parlementaire fera son office, si l'adoption est effective, l'amendement entrerait en vigueur au 1er janvier prochain.

(...)

(29/11/2011 16:17:07)

Pour rafraîchir ses résultats, Google a revu son algorithme avec Caffeine

« Les résultats de recherche sont meilleurs quand ils sont frais », admettait Google au début du mois sur l'un de ses blogs officiels, insidesearch.blogspot.com, avant d'expliquer qu'il avait modifié l'algorithme de classement des résultats de son moteur de recherche s'appuyant sur Caffeine, son système d'indexation du web.

Même si ce n'est pas spécifié dans leur requête, les internautes s'attendent à obtenir des résultats pertinents se rapportant à des informations récentes. Une recherche sur le mot-clé « Olympics » porte plus probablement sur les prochains JO d'été de Londres plutôt que sur ceux de l'année 1900, indiquait sur le blog Amit Singhal, collaborateur de Google, avant d'expliquer que l'algorithme désormais à l'oeuvre dans Google Search avait été conçu pour donner les résultats les plus à jour. « Ainsi, si je tape simplement 'Olympics', sans spécifier 2012, je trouverai néanmoins ce que je cherche ».

Au rythme auquel les données s'échangent actuellement entre les internautes, l'information la plus récemment publiée, sur un sujet donné, peut dater de la semaine précédente, de la veille ou de la minute écoulée. Sur ce terrain, Google se mesure à des concurrents comme Facebook ou Twitter, en perpétuel mouvement. Suivant les termes de la requête faite sur Google Search, l'algorithme doit donc pouvoir déterminer la fraîcheur d'un résultat, selon la nature du sujet recherché.

Un peu plus d'un tiers des recherches impactées

A l'été 2010, Google avait annoncé la mise en service de Caffeine, un système d'indexation qui permet de parcourir et d'indexer le web pour récupérer du contenu rapidement à très grande échelle. C'est donc l'algorithme de classement des résultats s'appuyant sur Caffeine qui vient de bénéficier d'une amélioration significative. Cette dernière impacte plus d'un tiers des recherches, selon Google, et l'aide à déterminer les situations dans lesquelles les résultats les plus récents sont les plus pertinents.

Pour les sujets les plus discutés du moment sur la toile ou les événements les plus récemment mis à jour, les internautes veulent la toute dernière information et le moteur de Google leur propose davantage de résultats récents. Pour les événements récurrents, comme les conférences annuelles, le moteur retourne les renseignements sur la date la plus proche, sans qu'il soit nécessaire de la mentionner. Ces améliorations concernent aussi les domaines susceptibles d'être fréquemment mis à jour : une recherche sur des produits, par exemple, retournera les données les plus fraîches.

En revanche, certaines données plus anciennes peuvent avoir davantage d'intérêt. Une vieille recette de cuisine, par exemple. En améliorant son algorithme, Google a cherché à mieux comprendre comment faire la distinction entre les différentes catégories de recherche et le niveau de fraîcheur qu'elles impliquaient.

Les professionnels du web s'adaptent

Les acteurs du web et du e-commerce ont commencé à prendre en compte ces modifications. En France, l'agence de marketing web Awe, par exemple, met en avant plusieurs axes à exploiter pour les sites de e-commerce. Selon Alexandre Garnier, fondateur de la société, il faut notamment « créer des contenus 'chauds' actualisés, inédits et optimisés sur les mots-clés stratégiques », « proposer des fiches produit uniques avec des descriptifs spécifiques », « socialiser son site avec le bouton +1 de Google et le Like de Facebook » ou, encore, « obtenir le plus grand nombre de liens vers son site ».

(...)

(29/11/2011 14:34:08)

Facebook introduit en bourse au printemps 2012 ?

Difficile en temps de crise de savoir quand s'introduire en bourse. Facebook a semble-t-il toujours des velléités de vouloir aller dans cette voie-là. Selon le Wall Street Journal, le site de réseau social a sollicité plusieurs avis concernant une possible IPO. La réponse des experts serait entre le mois d'avril et juin 2012. La société de Mark Zuckerberg pourrait lever près de 10 milliards de dollars et ainsi être valorisée à hauteur de 100 milliards de dollars. Facebook et ses 800 millions d'abonnés pourraient alors rejoindre des sites comme Linkedin ou Groupon  qui ont été introduits cette année. Ces derniers ont vu leur cours de bourse baisser avec la crise et les inquiétudes des investisseurs.

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(29/11/2011 12:09:12)

Twitter rachète Whisper Systems, pour sécuriser les smartphones Android

En mettant la main sur Whisper Systems, un spécialiste des solutions de sécurité pour les smartphones sous Android, le site de micro-blogging Twitter renforcera ses options de sécurité mobile. L'offre de  l'éditeur se compose de  WhisperCore, un logiciel qui procède au chiffrement complet de la mémoire du disque ainsi que d'outils de gestion pour les téléphones Android. Gratuites pour les particuliers, ces applications sont payantes pour les clients professionnels  

Les autres solutions développées par Whisper Systems incluent  le cryptage de texte et de la voix, des logiciels pare-feu et de la sauvegarde chiffrée.

Dans un billet de blog consacré à cette acquisition, l'éditeur  n'expose pas ce que Twitter fera de sa technologie. Il y indique simplement que ses logiciels continueront à être disponibles, mais que ses produits et services seront hors ligne au cours de la période de transition. Sur un forum du site de Whisper Systems, les utilisateurs n'étant apparemment pas au courant de l'acquisition se sont déjà demandés pourquoi ils ne pouvaient pas télécharger ces produits.

Déverrouillage via les empreintes de doigts

De son côté, Twitter n'a pas fait de commentaires sur les projets qui découleront de cette acquisition. Whisper Systems  possède un certain nombre de caractéristiques conçues pour compenser les faiblesses de sécurité d' Android. Ses utilisateurs peuvent par exemple révoquer de manière sélective les autorisations que demandent une application, en continuant à utiliser l'app.

Le logiciel inclut également une fonctionnalité visant à contrecarrer une personne qui a volé un téléphone en déterminant un code de déverrouillage du téléphone basé sur des traces de doigts sur l'écran. Certains téléphones Android affichent des lignes de points et ils peuvent être déverrouillés lorsque l'utilisateur glisse un doigt sur certains points. Or, un attaquant pourrait être en mesure de recréer le modèle en examinant les traces de doigts sur l'écran. Parce que   WhisperCore affiche un code dans une colonne, le voleur ignore dans quel ordre sont placés les chiffres pour pouvoir déverrouiller le téléphone.

Il y a quelques mois, Whisper Systems avait publié un kit de développement logiciel afin que les développeurs puissent commencer à bâtir quelques fonctionnalités de WhisperCore dans leurs applications.

Peu d'entreprises procèdent à du chiffrement complet du disque pour Android, et il existe de nombreuses autres  approches relatives à la sécurisation des téléphones sous cet OS. Des groupes comme 3LM  et Good Technology proposent des services de sécurité mobile pour les entreprises. En outre, les produits de gestion de terminaux mobiles  développés par des firmes comme Sybase, BoxTone, Zenprise, MobileIron ou Fiberlink laissent les responsables sécurité définir les politiques de base comme l'obligation du  mot de passe et l'effacement à distance, et offrent également d'autres fonctionnalités liées à la  sécurité.

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(29/11/2011 09:14:19)

Awensys acquiert Agilium, spécialiste du BPM

Basé près d'Annecy, l'éditeur Awensys est un spécialiste du BPM (Business process management ou  gestion des process métiers). Il vient de racheter Agilium basé également près d'Annecy. Agilium est un autre spécialiste du BPM qui édite une suite logicielle issue des travaux du CERN. Dans le même secteur donc, mais avec une couverture plus étendue à l'international, et une distribution en indirect ce que vise également Awensys.

La société n'en est pas à son coup d'essai,  Awensys a déjà racheté Quasar, spécialiste de la qualité de services pour les ateliers industriels et Obilog focalisé sur la gestion de production, toujours en environnement industriel. Awensys souhaite sortir de ce seul secteur. « De nouvelles références sont d'ailleurs venues étayer cette stratégie, explique Henry Romagny, le PDG d'Awensys, avec Casino et Auchan dans la distribution ».

Une autre acquisition devait voir le jour

Awensys souhaite se développer sur deux axes, le technique et le commercial. La société veut compléter ses offres actuelles de BPM, une autre acquisition devait voir le jour fin 2012, début 2013. Par ailleurs, l'éditeur compte trois agences, Besançon, Paris, Toulouse, et souhaite maintenant passer à l'indirect. Agilium l'est déjà avec une couverture en Allemagne et en Grande-Bretagne. Awensys devrait s'en inspirer pour toutes ses filiales. Un commercial sera implanté, avec le concours d'Oséo en Allemagne.

La société se fixe pour objectif d'atteindre les  5 ME de chiffre d'affaires d'ici 2013, elle a réalisé, sur 2010, 3 ME et Agilium 600 000. (...)

(28/11/2011 16:39:21)

La France se dote d'un observatoire du numérique

Le ministre en charge de l'Industrie et de l'économie numérique a lancé officiellement l'observatoire du numérique. Sur le site internet de l'organisme, on peut lire les missions qui lui sont affectées : fournir aux pouvoirs publics, aux décideurs économiques et, plus généralement, au public une information régulière sur l'état et l'évolution des secteurs du numérique et sur la diffusion des technologies numériques dans l'économie et la société. Pour ce faire, l'observatoire va recueillir, organiser et diffuser l'information statistique existante relative aux secteurs du numérique et compléter si besoin ces données grâce à des études.

En ce qui concerne l'organisation et les membres de l'observatoire. Gilles Babinet, président du CNN (Conseil National du Numérique) et Guy Roussel, vice-président du comité stratégique de filière compétent pour les services et technologies de l'information et de la communication, sont nommés à la tête du comité d'orientation stratégique. A noter que Jean Mounet, ancien dirigeant du Syntec Numérique et vice-président de Sopra Group, devient président du comité exécutif.

(...)

(28/11/2011 14:43:12)

Bull annonce 500 recrutements en France en 2012

Après un plan de recrutement en 2011 de 1000 personnes, Bull récidive avec le même chiffre pour l'année 2012. Sur les 1000 collaborateurs potentiels, 500 seront employés en France. La répartition géographique des emplois sera de 250 en Ile de France et 250 en province, principalement le Sud-Est  (PACA + Rhône Alpes). Bull précise qu'il a ouvert deux centres de services de Business Intelligence dans ces régions-là. Enfin, sur la partie internationale, 150 postes seront ouverts en Pologne et 100 autres au Brésil. Le reste des autres recrutements se feront sur d'autres pays, Espagne, Benelux, Maroc et Allemagne).

Sur les profils recherchés, le groupe informatique précise que 25% (125 personnes) des embauches seront ouvertes à des  jeunes diplômés issus d'école d'ingénieurs ou de cursus universitaire.

Des compétences diverses

Ces recrutements concernent des experts dans le développement logiciel (Java J2EE, décisionnel, ERP/SAP, ...), des experts dans les technologies Bull (HPC, Cloud, stockage/archivage ...)  ainsi que des architectes SI,  des chefs de projet ou des experts sécurité. Bull indique en complément que la maîtrise d'un secteur d'activité (secteur public, défense, télécoms,  énergie, ...) est un atout supplémentaire.

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