Flux RSS
Business
9034 documents trouvés, affichage des résultats 461 à 470.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(02/12/2011 10:15:19)
Semestriels Overlap : Des résultats stables
L'intégrateur français n'a pas fait montre d'un grand dynamisme pour le compte du premier semestre de son exercice 2010/2011 (clos au 30 septembre). Son chiffre d'affaires est resté quasiment stable à 78,06 M€, n'enregistrant ainsi qu'une très légère baisse de 0,12% à périmètre comparable par rapport à la même période de l'exercice précédent. Ces revenus pro forma intègrent les comptes de la filiale MIBS Suisse, dont le projet de cession a finalement été abandonné, et exclus ceux de la filiale de financement Digilease dont la vente a été annoncée en juillet dernier. Détaillé par activité, le compte de résultat laisse apparaître un recul de 5,8 % des ventes d'infrastructure ainsi qu'une hausse de 14,1% des activités de services principalement liée à la forte progression des prestations de maintenance.
Dans ce contexte, la marge brute d'Overlap Groupe n'a progressé que de 12 K€ à 18,9 M€ durant le semestre. Elle représente de fait 24% des revenus de l'entreprise comme lors du premier semestre fiscal 2009-2010. En revanche, le résultat opérationnel s'est apprécié de 3,77 M€ par rapport à l'an dernier et repasse ainsi dans le vert à 1,06 M€. Au final, le bénéfice net s'affiche en retrait de 40% à 300 K€. Pour rappel, le résultat net du premier semestre 2010-2011 incluait la plus-value de cession d'Ovelia.
Revevol, spécialiste des Google Apps, étoffe son réseau de partenaires et de compétences
Revevol poursuit son développement, toujours autour des deux axes initiaux de développement : consolider la couverture géographique et augmenter le nombre de produits distribués. « Le développement international est au centre de notre développement, nous voulons couvrir tous les pays du G20 » souligne Laurent Gasser, son CEO.
Certains partenaires deviennent des pôles de compétences transnationaux, celui de Milan devenant le spécialiste BPM, en France une compétence CRM se développe à Strasbourg. Chaque entité du groupe dans le monde pourra s'appuyer sur leurs développements. Revevol se veut le 1er network et plus seulement le 1er intégrateur Google Apps au monde. Le groupe travaille également sur des développements verticaux, par métiers.
En région, où Revevol cherche également à s'implanter avec des partenaires intégrateurs, il a 7 partenaires sur Lyon, Marseille, Lille, Nantes, Strasbourg.
Thibaut Ceyrolle prend la direction de BMC Software France
Promotion chez BMC Software. La filiale française de l'éditeur de logiciels de gestion d'infrastructure se dote d'un nouveau dirigeant avec la nomination de Thibaut Ceyrolle au poste d'Area Director France. Depuis juin 2010, ces fonctions étaient assurées par l'américain Brian Marvin qui reste dans les rangs de l'entreprise mais aux Etats-Unis désormais. Agé de 35 ans seulement, son successeur, devrait pouvoir compter d'ici quelques temps sur une équipe commerciale renforcée dans l'Hexagone.
Déjà collaborateur de BMC Software France depuis 2006, Thibaut Ceyrolle en était jusqu'ici le responsable des secteurs opérateurs télécoms et bancaires. Présent sur le marché de l'IT dans des fonctions liées à la vente depuis douze ans, il a notamment occupé des postes de management et de responsable commercial dans la SSII Devoteam.
Lenovo pourrait rattraper HP sur le marché des PC
Avec la montée de Lenovo sur le marché des PC, HP est confronté à un sérieux défi pour conserver la place de numéro un qu'il occupe sur ce segment depuis un certain temps. Poussé par la forte augmentation de ses livraisons de PC, Lenovo s'est classé devant Dell au cours du troisième trimestre et a commencé à monter en force pour ravir la première place à HP, selon une étude publiée par le cabinet iSuppli. C'est une avancée impressionnante pour ce groupe qui était placé au quatrième rang au cours du premier trimestre 2011.
Même si le marché mondial des PC n'a progressé que de 5,5% au 3ème trimestre, le constructeur chinois a réalisé de bonnes performances, avec une croissance de 14,5% et 12,5 millions d'unités livrées sur cette période, contre 10,9 millions de machines vendues au cours du trimestre précédent. La firme, qui représente à elle seule 13,9% des ventes mondiales de PC, ne possède plus que 4,2 points d'écarts avec le numéro un HP. Selon iSuppli, Lenovo est le concurrent qui s'est le plus rapproché de HP depuis le 2ème trimestre 2008, lorsque Dell était à 2,7 points du numéro un.
Les ventes progressent sur le marché chinois
« Lenovo continue de capitaliser sur la forte demande pour les PC sur son marché local, en Chine », relève Matthew Wilkins, analyste chez iSuppli. Alors que les ventes de PC aux Etats-Unis, en Europe et dans beaucoup d'autres régions souffrent à cause de mauvaises conditions économiques et de la concurrence croissante des tablettes, les ventes de PC de bureau et de portables demeurent au contraire très fortes en Chine. Cela a permis à Lenovo de dépasser ses concurrents américains, et d'être en mesure de disputer la première place du marché à HP. »
Le rapport publié par iSuppli fait écho aux analyses du cabinet Gartner réalisées en octobre dernier. Ce dernier avait noté que Lenovo avait bondi en cours du troisième trimestre pour reprendre la deuxième place à Dell, créditant la firme de faire du "marketing agressif" à la fois sur les marchés professionnels et grand public.
HP a l'air prêt à relever le défi après les turbulences rencontrées cet automne. En août, le Californien avait annoncé qu'il envisageait de céder son activité PC. Tandis que la firme reconsidérait la question et décidait finalement de maintenir sa division PC, cette possibilité avait créé un certain émoi dans l'industrie IT. Michael Dell, patron de Dell avait déclaré plus tard que cette confusion avait créé des opportunités chez les autres fabricants de PC. «Toute incertitude ou toute confusion qui existe génère des opportunités » avait-il déclaré, en octobre dernier lors du Web 2.0 Summit de San Francisco. « Les clients pensent à ce qui se passera dans un an ou deux et cela érode leur confiance. »
(...)
Oracle fait coexister Fusion Applications avec l'existant
Quelques semaines après l'ouverture de son cloud public annoncé sur OpenWorld 2011, Oracle a dépêché à Paris son vice-président Chris Leone, responsable de la stratégie sur les applications pour le groupe. Sa mission : présenter l'offre Fusion Applications aux clients français. Annoncée en disponibilité générale sur OpenWorld 2011, cette offre modulaire résulte de six années de réécriture et rassemble une centaine de modules qui peuvent être installés sur site, en cloud privé ou s'utiliser dans un cloud public. Les modules de gestion de la relation client (Fusion CRM) et de gestion des ressources humaines (Fusion HCM) sont disponibles sur le cloud public d'Oracle.
Ce matin, Chris Leone a rappelé la complémentarité de Fusion Applications avec les solutions d'Oracle que les entreprises ont déjà installées, notamment ses ERP (E-Business Suite, JD Edwards et PeopleSoft), mais aussi le CRM Siebel. Sur ce point, Chris Leone a été très clair. Fusion Applications ne vient pas déloger l'existant. « Nous continuons à investir dans toutes nos suites applicatives et à les faire évoluer. Continuez à les mettre à jour. Regardez ensuite dans notre offre middleware s'il n'y aurait pas une ou plusieurs briques qui pourraient vous intéresser et envisagez des opportunités de coexistence avec Fusion Applications. »
Lui-même a présenté plusieurs scénarios de coexistence, en insistant sur Fusion CRM et sur les modules de gestion des talents utilisés en mode SaaS (software as a service). Il a également évoqué l'intégration de Fusion Applications avec les solutions de gestion non Oracle, notamment via un module intermédiaire (Accounting hub). Sans oublier la dimension mobile et l'utilisation des logiciels sur tablettes.
Chris Leone a rappelé que les outils entourant Fusion Applications permettaient de configurer différents rôles d'utilisateurs dans l'entreprise. Il a également souligné la mise à disposition de modèles de processus métiers et d'une série d'outils pour personnaliser les applications à différents niveaux (données, processus, reporting, pages).
Réseau social et BI au sein des processus métiers
A l'heure de Facebook et Chatter, Oracle n'a pas oublié d'insérer la dimension « réseau social » dans Fusion Applications. « Nous savions dès le début qu'il nous faudrait le faire », a affirmé ce matin Chris Leone. « Je peux créer des groupes et des équipes de personnes qui interagissent, avec des flux d'activité mis à jour en temps réel. Ce que nous avons voulu faire, c'est intégrer les fonctionnalités de réseau social dans les processus métiers ». De la même façon, Oracle a intégré la Business Intelligence au sein de Fusion Application, sous différentes formes : tableaux de bord, BI mobile, support à la décision, optimisation en temps réel. Dans ce domaine, Chris Leone a expliqué comment Oracle avait répliqué, dans l'offre gestion des talents, certaines fonctions BI qui avaient montré leur efficacité dans le CRM. En l'occurrence, afin de repérer les collaborateurs qui risquaient de quitter l'entreprise, l'éditeur applique aux données RH des modèles utilisés pour lutter contre l'attrition des clients.
Le vice-président d'Oracle explique que de nombreux entreprises s'intéressent à des déploiements hybrides combinant des applications existantes installées sur site et en cloud privé, tandis que d'autres seront exploitées en cloud public. Il cite plusieurs clients (Principal Financial Group, Green Mountain Coffee, Alcoa), déjà présentés sur OpenWorld 2011, représentatifs des multiples possibilités de déploiement. Au passage, Chris Leone souligne que l'outil de réseau social d'Oracle est proposé en mode SaaS, comme un produit indépendant, et qu'il peut aussi être installé par les entreprises à l'intérieur de leur pare-feu.
Illustration : Chris Leone, VP d'Oracle, responsable de la stratégie pour les applications, sur OpenWorld 2011 (Photo Courtesy of Hartmann Studios)
Iliad lance son offre Wimax pour les entreprises
A l'heure où l'ARCEP a encore tapé du poing sur la table concernant le déploiement du Wimax et a mis en demeure 7 opérateurs de respecter leurs obligations, Iliad a publié discrètement en fin de semaine dernière ses offres à destination des entreprises. Sa filiale IFW, issue de l'acquisition d'Altitude Telecom et détenant la seule licence Wimax nationale, propose ainsi deux offres pour les entreprises : un accès à Internet avec un débit crête 2 Mbt/s sans débit garanti à 220 euros HT par mois et une liaison louée 10 Mbt/s pour 2200 euros HT par mois (pour interconnecter deux sites sur la même zone de couverture).
Des études d'éligibilité salées
Les deux forfaits comprennent les équipements (antennes et modem). A cela, il faudra ajouter une double étude d'éligibilité, la première théorique coûte 100 euros et en cas de réponse positive une étude de qualification sur site sera réalisée pour 1000 euros HT. Pour savoir si les entreprises sont éligibles, IFW a publié une carte de la couverture des points hauts déployés. Les prix apparaissent très élevés pour des entreprises qui sont probablement éligibles au haut débit fixe. La pression du régulateur pour que les opérateurs détenteurs d'une licence Wimax publient des offres nationales explique peut-être le lancement de ces forfaits.
Annuels Sage : la croissance organique atteint 4%
Les résultats financiers de Sage sont confortables, pour un exercice achevé fin septembre, donc avant la période actuelle marquée par l'incertitude et l'appréhension d'une crise plus profonde. Sage affiche un chiffre d'affaires de 1,5 milliard d'euros en croissance organique de 4%, le chiffre d'affaires France progresse de 5%, toujours en organique. L'Ebita est de 420 millions d'euros en croissance de 8%. Dans les 4% de croissance globale, Sage souligne la progression des services, +3%, et celle des revenus d'abonnement : +5%.
Au cours de l'année écoulée, la société a pris plusieurs décisions : la cession de l'activité santé, la mise en place de nouvelles structures de gestion, mais le groupe veut aussi adopter des mesures de fond. Il veut élargir sa gamme de produits et de services, se concentrer sur celles offrant le meilleur potentiel de développement, accélérer le développement des offres en ligne, engager plus de travail en commun entre les différentes filiales.
4 priorités pour Sage
Nommé il y a dix huit mois CEO monde, Guy Berruyer a dégagé quatre priorités : l'amélioration de la croissance organique, la conduite des marges à moyen terme, le web, la reprise des acquisitions.
Pour la croissance organique, il se montre concentré sur le marché des PME, et avance un fort taux de renouvellement de contrat de 81%. L'objectif de marge est atteint avec l'abandon des activités santé. L'entreprise est désormais organisée en trois régions: Europe, Amérique du Nord et AAMEA (Afrique, Australie, Moyen-Orient et en Asie). Cette nouvelle structure est conçue pour conduire une plus grande synergie, comme ce fut le cas avec l'adoption d'une plateforme technologique commune au sein du Groupe pour les solutions destinées aux petites entreprises.
Lancement de Sage One
Sage veut également innover, l'éditeur mise par exemple sur une nouvelle solution combinant cartes de crédit et comptabilité, les clients peuvent ainsi payer et éviter la ressaisie des données, le contrôle de leurs paiements est plus efficace et ils accélèrent leurs rentrées. L'éditeur a aussi développé de nouvelles solutions en SaaS, en particulier avec le lancement au Royaume-Uni, en janvier 2011, de Sage One qui a plus de 1 000 clients payants. Un groupe de travail basé sur Sage One élabore une plate-forme technologique, pour d'autres petites solutions en ligne. L'objectif est de lancer un produit complet de comptabilité pour de petites entreprises en ligne en Amérique du Nord, le marché le plus important.
Dans le mid-market, le développement des versions cloud se poursuit, avec plusieurs lancements dans les 12 prochains mois. Plus de 20 services connectés ont été lancés cette année.
En matière de croissance externe, Sage n'a pas fait de grandes acquisitions depuis 2006, cette stratégie est remise sur la table, avec beaucoup de dossiers examinés, une réalisation : Alchemex, en Afrique du Sud spécialiste de la BI pour les PME.
« Lorsque je suis intervenu en tant que CEO de Sage en Octobre 2010, analyse Guy Berruyer, j'ai hérité d'une entreprise avec des fondations extrêmement solides : des positions de leader du marché, des salariés engagés, une culture d'innovation, et une forte génération de trésorerie. Cependant, nous avions aussi atteint un point dans notre évolution où nous avions besoin de repositionner l'entreprise pour engager une croissance plus élevée en concentrant nos ressources sur des domaines présentants le meilleur potentiel, en augmentant encore notre base de clientèle, en accélérant le développement de notre offre en ligne et en collaborant plus au sein de Sage pour relever les défis communs de nos entreprises. Atteindre tous ces objectifs prendra plus d'un an, mais je suis très heureux avec les mesures concrètes que nous avons déjà prises.
Il y a clairement des préoccupations macro-économiques qui peuvent influer sur les PME, en particulier dans la zone euro, et nos clients nous disent à travers notre Sage Business Index qu'ils voient que les perspectives restent incertaines. Cependant, avec notre position nous sommes à même d'absorber les hauts et les bas du cycle économique. Nous allons continuer à gérer l'entreprise avec prudence, tout en poursuivant les opportunités significatives à long terme que nous avons dans nos marchés. »
(...)
La suite Office 365 de Microsoft étoffe ses fonctionnalités et sa présence
Microsoft se frotte les mains. Selon lui, sa suite bureautique et de travail collaboratif en ligne Office 365 se vend huit fois plus vite que son prédécesseur BPOS (Business Productivity Online). Au rythme actuel de ses ventes, le service hébergé est en passe de battre tous les records de rapidité d'adoption d'un logiciel Microsoft, selon ce dernier. En faisant cette annonce, l'éditeur a en outre précisé que le succès d'Office 365 était particulièrement important dans les petites entreprises qui représentent 90% de ses utilisateurs.
Lancée en juin, Office 365 inclut des versions d'Exchange, de SharePoint, d'Office et de Lync hébergées dans les datacenters de Microsoft. Sa tarification est basée sur une facturation par mois et par utilisateur. Le service est décliné sous 3 packages aux clients : la messagerie électronique seule (4 dollars par mois et par utilisateur) ; la version complète avec le serveur Lync et Office 2010 professionnel Plus (27 dollars par mois) et enfin la version petite entreprise jusqu'à 25 utilisateurs (6 dollars par mois).
Dans la foulée des annonces faires lundi dernier, Microsoft a également fait savoir que la suite en ligne est désormais disponible dans 22 pays supplémentaires, notamment en Argentine, à Taiwan et en Afrique du Sud. « Etant désormais proposé dans 63 pays au total, Office 365 peut potentiellement toucher 95% des entreprises dans le monde », se félicite Takeshi Numoto, le Vice-président monde de la division Office de Microsoft.
Interagir avec SharePoint online depuis un mobile sous Windows Phone
La firme de Redmond a également annoncé une trentaine d'améliorations. Parmi elles, on trouve le support de Windows Phone 7.5 par la version en ligne de SharePoint qui va permettre aux utilisateurs d'accéder à des documents et de les mettre jour depuis leurs smartphones, via un Windows LiveID. De plus, des connecteurs font également leur apparition pour établir un lien entre SharePoint online avec des applications métiers, comme du CRM ou des ERP de type SAP. Ces passerelles existaient déjà disponibles sur la version traditionnelle de la solution de collaborative de Microsoft. On note également la compatibilité de la suite avec Mac OS X Lion. D'autres évolutions annoncées concernent la simplification et l'automatisation de la gestion d'Office 365 par les administrateurs. Il s'agit, par exemple, de la possibilité de réinitialiser les mots de passe par SMS ou e-mail et de l'apparition d'un outil de synchronisation de l'annuaire d'entreprise (Active Directory) en version 64 bits. Une autre fonctionnalité est l'arrivée d'un assistant de résolution des problèmes conçu pour aider les utilisateurs à se dépanner eux-mêmes, via des tutoriels avant de devoir faire appel au help desk. Enfin, l'offre de stockage en ligne SkyDrive a été simplifiée.
Bien que cela ne fasse pas partie des annonces faites par Microsoft, l'éditeur a indiqué sa volonté de fournir un accès au serveur de communications unifiées Lync depuis des téléphones mobiles sous Windows Phone, Android et iOS avant la fin de cette année.
L'offre de Microsoft est considérée comme un concurrent de la suite Google Apps. Cette dernière comprend une messagerie électronique et instantanée, un agenda, des logiciels bureautiques et d'autres applications proposées par le moteur de recherche. (...)
Sogeti recrute son prochain directeur général au ministère de l'Economie
Selon Les Echos, Christophe Bonnard, directeur adjoint du cabinet du ministre de l'Economie, des Finances et de l'Industrie, va bientôt prendre les commandes de Sogeti France, Son arrivée à la direction générale de la filiale française de Capgemini est programmée pour le 1er janvier prochain, sous réserve de l'approbation de la Commission de déontologie de la fonction publique qui doit se réunir d'ici là.
Agé de 37 ans, cet énarque également diplômé de HEC a débuté sa carrière à la direction du Trésor puis est devenu chef du bureau A à la direction de la législation fiscale. Il a également été rapporteur de la commission Fouquet chargée de la réforme de la taxe professionnelle
il a quitté les services administratifs du ministère des Finances pour devenir directeur adjoint du cabinet de Christine Lagarde à Bercy en juillet 2009,
Christophe Bonnard rapportera à Philippe Tavernier, actuel président exécutif de Sogeti France. Il pourrait bientôt diriger la future entité du groupe Capgemini dédiée aux services d' infrastructures IT, indique également les Echos.
(...)
Un réseau de type Renater pour la santé en préparation
Renater est un réseau très haut débit, fonctionnant pour le monde universitaire et celui de la recherche, il leur permet de réaliser des connexions et liaisons entre adhérents et à l'international. Sur ce modèle, un « Renater de la santé » va voir le jour à l'initiative d'acteurs privés. Il devrait relier les centres hospitaliers et les professionnels de santé entre eux et leur permettre d'accéder à des ressources logicielles et applicatives. L'idée est de leur éviter d'investir.
L'initiative est due au comité cloud de Syntec Numérique et à Interop'Santé, l'un et l'autre présidés par Gérard Domas. L'annonce a été faite lors des 3èmes Assises de technologies numériques de santé.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |