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(26/11/2008 11:20:10)
Peu d'acteurs TIC au salon des maires
On a connu des années plus fastes pour les TIC au Salon des Maires et des Collectivités Locales (SMCL) ! L'édition 2008 se déroule à Paris Expo, Porte de Versailles à Paris, du 25 au 27 novembre mais l'e-administration était faiblement représentée cette année en proportion des autres secteurs (des fournitures scolaires à la voirie). Et les visiteurs se pressaient moins dans les allées de cette partie du salon qu'ailleurs. Bien entendu, les acteurs traditionnels du secteur étaient présents, comme les éditeurs Berger-Levrault, Ciril et Cerig. Mais des créneaux vedettes des années antérieures sont devenus bien maigrichons, comme la dématérialisation des marchés publics (Achatpublic.com et Marches Online restant les seuls survivants). A l'inverse, les offres destinées aux communes moyennes ou petites en mode SaaS prennent désormais un certain volume sur le SMCL. Le stand de HorizOn-Line, par exemple, est comparable à ceux d'acteurs plus classiques et mieux implantés. En ces temps difficiles, les solutions de gestion et d'optimisation des achats et du patrimoine semblaient également attirer les visiteurs, comme par exemple celle de B.A.Logiciels. (...)
(25/11/2008 17:30:18)Annuels HP : un 4e trimestre tiré par les portables et les services
C'est un Mark Hurd plutôt optimiste qui a confirmé les résultats trimestriels préliminaires livrés par HP la semaine dernière ; des résultats qui, entre temps, ont fait grimper de 22% l'action du numéro un mondial de l'IT. Conforté par des ventes en hausse sur les portables (+21%) et les serveurs lames (+43%), ainsi que sur les services, dopés par le rachat d'EDS et presque doublés par rapport à son 4e trimestre fiscal 2007, le PDG du groupe américain se garde toutefois de fanfaronner. Le contexte économique donne du fil à retordre à tous les acteurs et HP se met en ordre de marche pour y faire face, a modulé le patron californien. Il s'affirme néanmoins confiant sur la capacité de sa société à gagner des parts de marché, augmenter ses profits et sortir renforcée de la crise. +10% sur la division Systèmes personnels, mais -1% sur l'impression Dans le détail, la division Systèmes personnels de HP a progressé de 10%, affichant un chiffre d'affaires de 11,2 Md$ (33,3% du CA total sur le trimestre), avec des livraisons en hausse de 19%. Les belles ventes de portables contrebalancent celles des PC de bureau, en recul de 2% (à comparer tout de même aux -14% de Dell sur les PC de bureau, sur le trimestre écoulé). La division Imaging et Impression baisse de 1%, à 7,5 Md$ (22,3% du CA total), malgré des ventes de périphériques à jet d'encre en hausse de 9%. Ce sont les autres technologies d'impression qui dégringolent : -21% sur les gammes grand public, -10% sur les gammes professionnelles. Un déclin qui ne contrarie pas plus que cela Mark Hurd. « Ce n'est pas nécessairement mauvais pour HP si nous ne perdons pas de parts de marché », commente le PDG en expliquant que le fournisseur engrange davantage de revenus sur les consommables que sur les périphériques. « Le plus important, c'est que les utilisateurs continuent à imprimer sur du matériel HP, même s'ils diffèrent pendant un temps leurs achats d'imprimantes », souligne la directrice financière de HP, Cathie Lesjak. -1% sur les serveurs et le stockage [[page]] La division Serveurs et solutions de stockage pour les entreprises (15% du CA total) enregistre un léger recul (-1%), avec un chiffre d'affaires de 5,1 Md$ sur le trimestre. Si les serveurs lames se sont bien vendus, de même que les produits de stockage (+13%, tirés par un CA en hausse de 16% sur le milieu de gamme EVA et +9% sur le haut de gamme de la ligne XP), les ventes ont en revanche baissé sur les serveurs 'standards' (-3%) et sur les serveurs haut de gamme (-10%). Le chiffre d'affaires de la division Services, pratiquement multiplié par deux sur le trimestre grâce au rachat de la SSII américaine EDS, atteint 8,6 Md$ (25,7% du CA total). Sur l'exercice fiscal dans son ensemble, en revanche, le chiffre d'affaires services a progressé de 35%, à 22,30 Md$ (contre 16,57 Md$ sur l'exercice 2007). Quant au chiffre d'affaires issu de l'activité logiciels, il a progressé de 13% à 885 M$ (2,54% seulement du CA total). +23% sur les BRIC, +22% en Europe Pour Mark Hurd, HP a gagné ou maintenu ses parts sur chaque segment de marché au cours de ce quatrième trimestre fiscal. En revanche, au chapitre des réductions de coûts, HP a revu à la baisse ses efforts de R&D ces derniers mois, les ramenant à 842 M$ sur ce trimestre, contre 914 M$ au 4e trimestre 2007. Des coupes effectuées surtout sur l'activité Impression, selon Cathie Lesjak. Enfin, comme tous les grands acteurs de l'IT, HP réalise une progression remarquable dans les pays émergents, en particulier ceux que désigne l'acronyme Bric (Brésil, Russie, Inde et Chine). Sur ces pays, son chiffre d'affaires a grimpé de 23% par rapport à l'an dernier, pour atteindre 9% du chiffre d'affaires total sur le trimestre écoulé, soit 3 Md$. Derrière, c'est l'Europe qui montre la meilleure progression : +22%, avec un chiffre d'affaires de 14,1 Md$ qui fait jeu égal avec celui du continent américain, 14 Md$ (+17%). Enfin, sur la zone Asie-Pacifique, HP a progressé de 14% à 5,5 Md$. (...)
(25/11/2008 16:45:51)SAP va unifier ses interfaces utilisateurs
D'ici "quelques trimestres" SAP aura uniformisé l'interface de toutes ses applications. Cette interface sera une déclinaison de celle déjà présente sur la suite de gestion de la relation clients (GRC/CRM). Elle apparaîtra au fil des mises à jour -désormais régulières - des différents modules qui composent sa Business Suite (CRM, ERP, Supply Chain...). Le dernier "enhancement package" a été annoncé à la mi-novembre. Si cette standardisation de l'interface des utilisateurs aura une influence visible sur leur quotidien, l'éditeur ne cantonne pas ses efforts à l'amélioration de l'apparence de ses produits. Il est aussi aux petits soins pour ses développeurs. Le prix de NetWeaver, l'environnement middleware de prédilection pour la version 6 de son ERP vient d'être divisé par deux. Les licences passent de 2300-2100$ à 1200-1100 $. Un SGBD en préparation SAP peaufine aussi un SGBD capable de travailler en mémoire afin d'optimiser les temps de réponse. On sait encore peu de choses de ce SGBD si ce n'est qu'il est développé en coordination avec la division Business Object et qu'il devrait donc répondre en priorité aux besoins décisionnels. En revanche, on connaît les rapports tendus entre SAP et Oracle. Il n'y a donc rien d'étonnant à ce que MaxDB recommence à faire parler de lui. Le développement de ce SGBD, issu de l'univers Adabas, a été confié vers 2002 à MySQL sous licence libre. SAP en a repris le contrôle il y a un an et en a fait une brique essentielle de BusinessByDesign, son offre de progiciel en ligne pour les PME. Pour Leo Apotheker, qui sera nommé officiellement CEO en janvier prochain, c'est sur le terrain des logiciels en ligne (SaaS) que les enjeux sont les plus cruciaux. Son groupe est dans une posture similaire à celle de Microsoft. Les deux groupes doivent trouver un "business model" online aussi profitable que l'actuel. Faute d'avoir trouvé une formule adaptée pour Business ByDesign, SAP ne se décide toujours pas à véritablement promouvoir une solution qui a pourtant déjà un an d'existence. (...)
(25/11/2008 15:45:24)Capgemini développe sa R&D dans l'Ouest
La filiale rennaise de Capgemini a lancé un « pôle d'Innovations technologiques grand Ouest » à l'occasion des 30 ans de l'implantation de la SSII dans la région. Ce pôle R&D réunit une soixantaine d'experts spécialisés dans les outils d'aide à la décision et dans les nouvelles technologies, comme la mobilité ou Internet. « Nous effectuons un véritable travail de veille technologique pour nos clients qui souhaitent apporter à leurs propres clients des services de qualité », explique Patrick Bemmert, directeur exécutif de Capgemini Ouest. Les effectifs du pôle R&D de Rennes (60 personnes à ce jour) devraient doubler d'ici trois ans. Des équipes réparties entre Rennes, l'Inde, la Grande-Bretagne ou encore les Etats-Unis travaillent ensemble sur des plateformes virtuelles. Toutes appartiennent à la SSII française. Elles travaillent de concert avec des grands éditeurs comme Microsoft ou Google, mais également avec une poignée de startup situées dans la Silicon Valley. « Si une compétence n'est pas directement représentée à Rennes, nous sommes certains de pouvoir l'offrir tout de même à nos clients, grâce à notre maillage international », se félicite Patrick Bemmert. Se préparer à l'arrivée des digital natives Les secteurs clients concernés sont très variés (de la banque à l'industrie, en passant par l'administration) et ont deux points communs : ne pas vouloir rater « la » technologie du futur et trouver des moyens de séduire un nouveau type de clientèle, les 'Digital natives'. « Ils sont beaucoup plus exigeants que leurs aînés. Pour eux, il est impensable de ne pas avoir immédiatement accès à l'information qu'ils demandent, que ce soit un prix, un horaire de train ou la disponibilité d'un produit », relève Patrick Bemmert. (...)
(25/11/2008 13:02:30)Twitter refuse de tomber dans le giron de Facebook
L'incontournable site de réseau social Facebook aurait vainement tenté de mettre la main sur Twitter, le service de micro-blogging créé en 2006. L'information, révélée par le blog AllThings D, spécialisé dans l'analyse d'informations liées à l'IT, a par la suite été confirmée par le Financial Times. Selon ces sources, Facebook aurait proposé 500 M$ aux dirigeants de Twitter. Une somme astronomique pour un service qui a deux ans d'existence, une audience restreinte et dont le modèle économique est « en phase de recherche », mais qui est composée intégralement d'actions Facebook. Or, le réseau social n'est pas coté ; par conséquent, la valeur de ses titres ne repose que sur une estimation. C'est ce point qui aurait conduit les dirigeants de Twitter à rejeter l'offre d'achat. Facebook surévalué, Twitter peu tenté Les 500 M$ mis sur la table par Facebook ne sont en effet qu'une extrapolation réalisée à partir de la valeur estimée de la société lorsque Microsoft est entré dans son capital. En 2007, le géant de Redmond avait investi 240 M$ pour s'offrir 1,6% des parts de Facebook, contribuant ainsi à valoriser le site de réseau social à 15 Md$. Selon Twitter, la valeur réelle de Facebook serait en réalité trois fois moindre. Par conséquent, si Facebook ne vaut « que » 5 Md$, l'offre avancée par Facebook ne saurait atteindre 500 M$, mais s'élèverait en fait à 150 M$. Voire moins, ou plus... étant donné qu'il est parfaitement impossible d'évaluer ce que vaut Facebook. Néanmoins, quelle que soit la valeur des titres proposés à Twitter, ce dernier pourrait être poussé par ses investisseurs à accepter l'offre de Facebook. Le site de micro-blogging, s'il enregistre une forte croissance du nombre de ses utilisateurs (6 millions), ne vit, depuis sa création, en 2006, que sur une levée de fonds de 20 M$. Si Facebook convertissait une partie de son offre en numéraire, Twitter pourrait être tenté de revoir sa position. A moins qu'un Google ou un Yahoo n'entre à son tour dans la danse, avec des arguments pécuniaires plus tangibles. Car maintenant qu'un acheteur potentiel s'est dévoilé, il paraît peu probable que Twitter reste longtemps indépendant. (...)
(25/11/2008 11:04:27)Greenpeace : Les industries IT pas assez concernées par le réchauffement climatique
Les géants de l'électronique grand public Apple, Dell, Motorola, Microsoft, Nintendo et Samsung tardent à adapter leurs procédés de production pour répondre aux grands enjeux environnementaux. Ils pointent ainsi en queue de peloton du 10e Guide to Greener Electronics, élaboré par Greenpeace. La question du réchauffement climatique mobilise peu d'entreprises passées au crible par l'association, regrette cette dernière. « Elles ne démontrent aucun engagement conséquent pour réduire leurs émissions de CO2 ou pour mobiliser la classe politique afin d'aboutir sur un accord post-Kyoto », commente Mel Francis, responsable de la campagne International Climate & Energy chez Greenpeace. Selon l'association écologiste, les entreprises continuent de considérer que la croissance de leur activité implique nécessairement une augmentation de leurs émissions de CO2. « Chez Greenpeace, nous pensons que cela n'est pas nécessairement vrai », poursuit Mel Francis. Nintendo abonné à la dernière place Tout n'est pas noir cependant et certains acteurs récoltent les félicitations du mouvement vert. C'est le cas de Fujitsu Siemens, Philips et Sharp, qui parviennent à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre. Greenpeace décerne un satisfecit particulier à Philips pour son engagement à réduire ses rejets de CO2 de 25% d'ici à 2012. Au classement général - qui prend en considération différents critères comme la non utilisation de produits chimiques polluants, l'existence de programmes de recyclage, etc. - Nokia s'arroge la première place, devant Sony Ericsson et Toshiba. Dans la deuxième partie de la liste pointent Philips et HP, qui pâtissent du traitement qu'ils réservent aux déchets électroniques. Ce dernier, avec Acer, Dell et Apple, forme un quatuor de constructeurs de PC perdant tous quelques places, là encore en raison d'un traitement perfectible des déchets électroniques. Dell et Acer doivent en outre réduire leur recours aux produits chimiques toxiques. Le géant texan perd également des points pour être revenu sur son engagement d'éliminer toute trace de PVC et de retardateurs de flamme bromés d'ici à la fin de l'année. Enfin, Nintendo reste campé en dernière position bien que quelques progrès aient été constatés par Greenpeace dans l'utilisation d'additifs toxiques dans les plastiques utilisés dans le processus de production. (...)
(24/11/2008 17:58:13)En 2007, Mozilla n'a que dépensé 33 M$ sur les 75 M$ engrangés
C'est un écureuil, et non un renard, qui pourrait être l'emblème de Firefox. Mozilla, qui édite le célèbre navigateur Web Open Source, a publié ses comptes, où il ressort que l'entreprise Mozilla est plutôt du genre économe. En 2007, l'éditeur a réalisé un chiffre d'affaires de 75,1 M$, en hausse de 12,4% par rapport aux 66,8 M$ de 2006. L'ensemble des dépenses s'est élevé de son côté à 33,3 M$. Déduction faite des provisions pour taxes, cela a permis à Mozilla d'engranger quelque 24,5 M$ supplémentaires, portant son trésor de guerre à 82,3 M$. L'essentiel des revenus (68,2 M$) vient des accords passés avec les moteurs de recherche présents dans le navigateur, « et la majorité provient de Google », précise sur son blog Mitchell Baker, la CEO de Mozilla. Dans le document présentant ses résultats, Mozilla indique que Google compte pour 88% de son chiffre d'affaires (contre 85% en 2006). Néanmoins, l'éditeur se dit confiant pour l'avenir, d'autant que l'accord avec Google a récemment été prorogé jusqu'en novembre 2011. Dans le discours officiel, le fait que Google ait lancé son propre navigateur Chrome est une bonne chose, Mozilla disant aimer la diversité. Les intérêts financiers, deuxième source de revenus A noter que les revenus provenant des moteurs de recherche, comptés comme royalties, sont justement à l'origine de cette volonté de mettre de l'argent de côté : le Trésor américain n'a toujours pas déterminé si ces revenus devaient être taxés comme des revenus commerciaux normaux, auquel cas l'imposition de Mozilla serait plus élevée. Les intérêts financiers constituent la deuxième source de revenus, loin devant les ventes de produits ou l'accord passé avec Amazon. Côté dépenses (en hausse de 68,5%), Mitchell Baker indique que le paiement des salariés et des contributeurs (150 personnes à temps plein ou temps partiel) et de leur encadrement a constitué environ 80% du total. Mozilla a par ailleurs contribué à plusieurs projets Open Source, écrit Mitchell Baker, pour un montant total d'environ 1 M$. Pour l'anecdote, Mozilla a lui aussi des dépenses à faire dans le logiciel : l'éditeur y a consacré 347 007 dollars. (...)
(24/11/2008 15:37:23)IBM et EDF partenaires dans la recherche sur l'optimisation de la production d'énergie
IBM et EDF ont annoncé qu'ils allaient travailler de concert dans la recherche sur les énergies renouvelables. Les chercheurs d'EDF (en région parisienne) et ceux d'IBM (à New York) plancheront à distance sur des projets communs, au sein d'un laboratoire virtuel. Le but : trouver des solutions informatiques pour améliorer la production et la gestion de l'électricité dans le nucléaire et l'hydraulique, en produisant moins de CO2. Le projet comporte une série de simulations numériques qui seront assurées par un supercalculateur d'IBM à base d'architecture Blue Gene, situé à Montpellier. Celui-ci atteint des performances de l'ordre du Tflops (100 000 milliards d'opération à la seconde) et servira à modéliser des processus complexes de production d'électricité. IBM met également à la disposition d'EDF ses compétences en matière de calcul, de gestion et de développement d'algorithmes. « Il est indispensable de bénéficier d'un niveau d'excellence en matière de recherche pour aborder les grands défis énergétiques d'aujourd'hui, a déclaré Yves Bamberger, vice-président du département recherche d'EDF. Ce projet vise à combiner les meilleures compétences en recherche dans les domaines de l'énergie et de l'informatique. » Les modalités financières de l'accord n'ont pas été communiquées. (...)
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