Flux RSS

Business

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

9034 documents trouvés, affichage des résultats 501 à 510.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(24/11/2011 17:22:17)

Les gammes Sage 30 et 100 s'affichent sous iOS et Android

Sage veut gagner des utilisateurs au-delà de sa sphère habituelle. Dans les PME de 5 à 200 salariés, où ses gammes Sage 100 et Sage 30 ont pris leurs aises au fil des ans, l'éditeur compte en moyenne 12% d'utilisateurs, ratio classique pour une solution de gestion qui cible les fonctions comptables, commerciales et logistiques et les ressources humaines.

Avec la Génération i7 qu'il lance cette semaine, Sage vise plus large. Il propose de paramétrer des interfaces simplifiées pour des utilisateurs plus occasionnels qui accéderont uniquement aux outils et données qui leur sont utiles. Ce peut être l'annuaire des clients ou des fournisseurs, par exemple, pour retrouver une adresse, ou encore une interface de saisie de commande.

L'objectif est de rendre l'usage du logiciel aussi simple que celui d'un site de e-commerce. Cette amélioration, apportée par l'arrivée de la technologie SET sur Sage 30 et 100, permet à l'ensemble des utilisateurs d'accéder aux logiciels à partir d'une connexion web. Et de travailler ainsi à distance si nécessaire.
Sage Generation i7 sur iPhonecliquer pour agrandir l'image

L'accès aux données (catalogue produits, commandes passées, etc.) peut aussi se faire depuis un terminal mobile fonctionnant sous iOS (iPhone, iPad) ou sous Android.

Objectif : 400 000 utilisateurs d'ici 12 à 18 mois


Actuellement, Sage dénombre environ 210 000 utilisateurs de ses gammes 30 et 100 (une même base de produit déclinée suivant la profondeur fonctionnelle requise par les clients et la taille de l'entreprise). En simplifiant l'accès à cette offre, il espère passer à 400 000 utilisateurs d'ici 12 à 18 mois. A terme, il a l'ambition d'en atteindre 600 000, « compte tenu des observations faites sur d'autres marchés », souligne Hémeric de Saint-Chamas, directeur général de la division PME de Sage.

Ces deux gammes fonctionnent sur base de données propriétaire Sage, sur SQL Server ou sur SQL Express. L'utilisation d'une base Microsoft permet de disposer des « états pilotés » qui fournissent à l'entreprise les indicateurs clés de son activité, à des fins décisionnelles. Avec la Génération i7, ces états peuvent être récupérés à partir du tableur Excel, ce qui autorise les utilisateurs à les modifier (cf écran ci-dessous).
Sage Generation i7 - Etats pilotés sous Excel

Production et Gestion des affaires


Pour les utilisateurs métiers, les versions i7 s'enrichissent de deux offres complètes. D'une part, la gestion de production acquise par Sage avec le rachat d'Alcior, désormais intégrée à la gamme avec les technologies .Net. D'autre part, un module de gestion des affaires adapté aux besoins des sociétés de services. L'éditeur propose par ailleurs en standard quatre profils métiers présentant des interfaces utilisateurs type pour les fonctions de la vente, des achats, de la logistique et de la comptabilité.

Les clients existants pourront accéder aux versions i7 à partir de 500 euros HT. En complément, il existe un service de migration effectué à distance par Sage ou l'un de ses partenaires, pour environ 800 euros HT. Pour les nouveaux clients, le prix d'une licence Sage 100 Comptabilité est fixé à 1 400 euros HT et celui de la licence Sage 100 Gestion Commerciale à 2 400 euros HT.

(...)

(24/11/2011 15:55:50)

Microsoft scrute Yahoo en vue d'une possible prise de participation

Des fonds d'investissements en collaboration avec Google jusqu'au Chinois Alibaba, le sort de Yahoo intéresse beaucoup de monde. Mais pour avoir accès au dossier et aux informations financières, le portail Internet demande la signature d'un accord de confidentialité, NDA (Non Disclosure Agreement). Or on apprend par le New York Times que Microsoft a signé cet accord pour avoir accès aux documents financiers et à l'état des lieux des différentes activités de Yahoo. Cependant, selon le journal économique, pas question pour la firme de Redmond de racheter la totalité du portail, mais plutôt de passer par un consortium (avec des fonds d'investissements) pour prendre des participations dans Yahoo. Microsoft se rappelle de l'échec de la précédente OPA sur Yahoo en 2008, mais surtout la société doit protéger son partenariat sur la partie publicité et l'intégration du moteur de recherche Bing sur le portail web.

Un intérêt croissant

Le regain d'intérêt pour Yahoo s'explique aussi par le récent licenciement de son PDG Carole Bartz. Certains lui reprochait notamment les faibles résultats du partenariat noué avec Microsoft et de bloquer les éventuelles propositions de rachat ou d'alliance. Le président du conseil d'administration du portail, Tim Morse, avait alors créé un comité exécutif pour travailler sur un « examen stratégique global » visant à obtenir le retour de la firme vers une piste de croissance. Cette analyse arrive peut-être à son terme et chacun fournit ses armes pour séduire et conquérir Yahoo.

(...)

(24/11/2011 15:43:48)

Google protège son trafic HTTPS des attaques à venir

Google prend les devants. Il a modifié la méthode de chiffrement utilisée par ses services https, parmi lesquels se trouvent la messagerie Gmail, le traitement de texte en ligne Docs et le réseau social Google+, lancé fin juin. Le but est d'empêcher que le trafic qui transite actuellement sur ces services puisse être déchiffrés ultérieurement lorsque des avancées technologiques rendront cette manipulation possible.

Aujourd'hui, la majorité des services mettant en oeuvre https se servent d'une clé privée, connue seulement du propriétaire du domaine, pour générer des clés de session qui sont ensuite utilisées pour chiffrer le trafic entre les serveurs et leurs clients. Cette approche expose potentiellement les connexions en cas d'attaques ultérieures. « Dans dix ans, quand les ordinateurs seront beaucoup plus rapides, un adversaire pourrait casser la clé privée du serveur et rétrospectivement déchiffrer le trafic e-mail envoyé aujourd'hui », explique Adam Langley, l'un des membres de l'équipe de sécurité de Google, sur un blog officiel.

forward secrecy à l'oeuvre


Pour prévenir ce risque, assez faible mais néanmoins réel, Google permet d'utiliser par défaut la propriété de codage forward secrecy (ou PFS, perfect forward secrecy), qui implique de recourir à différentes clés privés pour chiffrer des sessions et de les détruire après un certain temps. De cette façon, un attaquant qui a réussi à casser ou à voler une seule clé ne sera pas en mesure de récupérer suffisamment de trafic e-mail sur une période couvrant plusieurs mois d'activité, indique Adam Langley. Il fait remarquer que même l'administrateur serveur ne pourra pas déchiffrer le trafic HTTPS rétroactivement.

Puisque SSL n'était pas conçu pour supporter des mécanismes d'échange de clé capable de mettre en oeuvre par défaut la propriété forward secrecy, les ingénieurs de Google ont dû mettre au point une extension pour la boîte à outils OpenSSL. C'est intégré à la version 1.0.1 d'OpenSSL qui n'a pas encore été publiée dans une version stable.

Supporté seulement par Firefox et Chrome


La nouvelle mise en oeuvre de Google HTTPS utilise ECHDHE_RSA comme clé d'échange et l'algorithme RC4_128 pour le chiffrement. Malheureusement, cette combinaison n'est supportée que dans les navigateurs Firefox et Chrome pour le moment, ce qui signifie que les connexions HTTPS sur Internet Explorer ne profiteront pas de cette fonction complémentaire de sécurité.

Ce n'est pas nécessairement un problème avec IE qui supporte en revanche la combinaison clé d'échange EDH (Ephemeral Diffie--Hellman) et RC4. EDH apporte aussi la propriété forward secrecy, mais Google a préféré ECDHE (Elliptic curve Diffie-Hellman) pour des raisons de performances.

La société de Larry Page prévoit d'ajouter le support d'IE à l'avenir et espère que son exemple encouragera d'autres fournisseurs de services utilisant HTTPS à mettre en oeuvre forward secrecy afin que cette propriété puisse un jour devenir la norme pour le chiffrement du trafic en ligne. (...)

(24/11/2011 14:41:56)

Une base de données as a service pour Heroku de Salesforce.com

Heroku, filiale de Salesforce.com, vient de lancer sa base de données à la demande qui s'appuie sur le projet Open Source PostgreSQL. « Heroku Postgres a traité avec succès et en toute sécurité 19 milliards de transactions, et 400 millions de transactions supplémentaires sont traitées chaque jour, » a déclaré Heroku dans un blog. « Les clients qui utilisent le service peuvent se concentrer sur leurs tâches de développement d'applications, plutôt qu'à l'administration des bases de données, » a ajouté Heroku. L'option vient enrichir le service Database.com annoncé précédemment par Salesforce.com, qui ouvre l'accès de sa plateforme de développement Force.com à une infrastructure de bases de données.

Acquis par Salesforce.com l'an dernier
, Heroku a hérité d'une participation significative dans le web et le développement d'applications pour les consommateurs, avec des objectifs semblables à ceux visés par Force.com dans le domaine des logiciels d'entreprise. Ceux qui choisissent Heroku Postgres seront « protégés de façon permanente » d'une panne de leurs bases de données, précise le message du blog. Le système « crée plusieurs copies, distribuées géographiquement, et prend en compte tous les changements au fur et à mesure de l'écriture des données, » indique encore le blog. « Et si un météorite anéantissait la côte Est, vous ne perdriez pas vos données ! » Heroku Postgres utilise une version standard, non modifiée, de PostgreSQL. « Tout client libpq peut tourner sans problème sur notre service. Et si jamais vous décidiez de revenir à votre propre DBA, c'est possible. Aucun verrouillage ne vous l'empêchera. »

Renforcer l'intérêt et fédérer autour de PostgreSQL


L'annonce pourrait avoir des conséquences positives pour PostgreSQL en général, comme l'a fait remarquer un observateur. « PostgreSQL est une technologie honorable et populaire à juste titre, même si MySQL a réduit l'écart technique, » a déclaré l'analyste Curt Monash de Monash Research. « PostgreSQL a manqué du support d'une communauté, qui apporte cohésion et pragmatisme au projet, ou d'un coach corporate efficace. Peut-être que la mise en place d'un ou plusieurs services cloud pourront combler l'écart. » VMware a également lancé il y a peu de temps un forfait basé sur PostgreSQL pour les déploiements cloud. Et au mois d'août dernier EnterpriseDB avait annoncé une version cloud de sa base de données avec des couches de fonctionnalités supplémentaires écrites en code Open Source PostgreSQL.

La tarification de Heroku Postgres commence à 200 dollars par mois pour 1.7 Go de cache, pour atteindre 6 400 dollars par mois pour 68 Go de cache. Toutes les bases sont livrées avec une capacité de stockage de 2 To, un monitoring 24/24, des instantanés quotidiens et un accès depuis n'importe quel client PostgreSQL. Comparativement, Database.com est gratuit pour un petit nombre d'utilisateurs et de données. Une fois ces limites dépassées, le prix pour les utilisateurs, les données et le nombre de transactions sont établis sur une base évolutive. « Si vous voulez une base de données classique, l'offre de PostgreSQL est plus logique que Database.com, » a déclaré Curt Monash. «  Mais si vous êtes intéressé par toute la pile Force.com, alors Database.com s'avère être une bonne option. »

(...)

(24/11/2011 12:06:35)

D-Link mise sur le stockage et sur la surveillance IP

D-Link va profiter de la prochaine édition du salon IT-Partners (31 janvier et 1er février 2012) pour annoncer l'entrée en vigueur de nouvelles évolutions apportées à son programme partenaire. Aujourd'hui baptisé Partner +, ce dernier sera alors renommé VIP + (VIP pour Value In Partnership) et proposera aux revendeurs de pouvoir se certifier aussi sur les gammes de produits de stockage et de vidéosurveillance IP du fabricant. Jusqu'ici, les revendeurs labellisés de D-Link ne pouvaient prétendre qu'à une certification dans le domaine des réseaux et du Wi-fi, les marchés historiques du fabricant.

Si l'ajout de ces nouvelles spécialités au programme partenaire de D-Link s'explique par une extension de l'offre du fabricant au-delà son coeur de métier traditionnel, cette diversification n'en est pas pour autant très récente. L'entreprise commercialise en effet des caméras IP depuis près de 8 ans. En, outre, elle s'est lancé dans le stockage il y a quatre ans avec une offre de type NAS qui a été enrichie depuis par des NAS professionnelles et des SAN. « Nous nous sommes positionnés sur ces marché avec des gammes restreintes et les avons ensuite étoffées. L'an dernier, nous avons ainsi renouveler notre offre de caméras IP et intégrer la HD dans certains modèles en septembre 2011 », explique Marilyne Michel, la responsable de D-Link France. Résultat, le fabricant dispose aujourd'hui d'une trentaine de références de caméras IP et de dix références en matière de solutions de stockage. Plutôt qu'une diversification, c'est donc la volonté de D-Link de passer la vitesse supérieure sur ces deux familles de produits qui explique l'évolution de son programme partenaire.

80% de croissance attendus dans la vidéosurveillance IP en 2012

A l'heure actuelle, leurs ventes ne représentent que 30% du chiffre d'affaires de l'entreprise contre 70% pour les produits de commutation et les produits sans fil. Il pourrait en être rapidement autrement si D-Link parvient, comme il le prévoir, de faire progresser de 80% ses ventes de caméras IP et de 60% celles de ses produits de stockage. Ces chiffres peuvent paraître optimistes mais le fabricant dispose après tout d'une marche de croissance importante puisqu'il ne joue pas encore dans la cours des grands sur ces deux marchés.


(...)

(24/11/2011 10:55:10)

Nokia Siemens Networks supprime 17 000 emplois

Face à la concurrence intense du suédois Ericsson et du chinois Huawei et à une baisse des dépenses des opérateurs télécoms, le conglomérat formé entre Nokia et Siemens fait face à des problèmes de rentabilité, et ce, depuis sa création en 2007. Il a levé fin septembre un milliard d'euros auprès de ses fondateurs pour financer sa restructuration. 17 000 emplois seront donc supprimés, soit 23% des effectifs. Le conglomérat se concentrera désormais sur les matériels et services mobiles à haut débit. Pour mémoire, au troisième trimestre, le bénéfice d'exploitation s'élève à six millions d'euros pour 3,41 milliards d'euros de chiffre d'affaires.

ICTjournal.ch

(...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >