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(23/11/2011 21:32:05)
Un analyste prévoit l'acquisition du réseau social d'entreprise Jive par SAP
« Il y a 5 ans, la mode était au SOA (Architecture Orientée Service), puis il y a 3 ans le cloud a pris le pas. Aujourd'hui , l'heure est aux médias sociaux et au mobile. SAP devait réaliser une acquisition pour faire du travail collaboratif. Nous pensons que quelque chose pourrait se passer dans les prochaines semaines, mais nous verrons bien » ajoute Ray Wang.
Si le nom du réseau social en question n'a pas été dévoilé, les regards se tournent vers Jive, une plateforme collaborative et réseau social d'entreprise qui a déjà travaillé avec l'éditeur allemand par le passé. Ray Wang a confirmé à nos confrères de Techworld UK que le PDG de Jive Tony Zingale a annulé tous ses rendez-vous et réunions ces 3 dernières semaines alors qu'il travaillait sur une introduction en bourse.
Remplir un manque en vue de la consumérisation de l'IT
L'analyste constate que 5 piliers participent à la consumérisation de l'IT sont le mobile, les médias sociaux, le cloud, l'analytique et les communications unifiées. SAP a déjà une part dans la mobilité à travers l'acquisition de Sybase, et dans l'analytique, avec la récente annonce de sa base de données in memory HANA. En matière de cloud, l'évènement Sapphire à Madrid a montré que SAP peut aider les entreprises à migrer vers le cloud. Sur l'aspect communications unifiées, SAP travaille avec Microsoft sur Lync. Néanmoins, il lui manque la partie réseaux sociaux.
La consumérisation de l'IT a été le sujet phare de la conférence des groupes d'utilisateurs SAP, où le co-DSI de l'éditeur allemand, Oliver Bussman, a expliqué « la clé pour apprendre quelque chose est de regarder les différentes tendances des consommateurs ». Il déclare qu'un jour, cela deviendra naturel pour un DSI d'avoir ses outils décisionnels sur son terminal mobile et en même temps de recevoir ses mails.
HP prépare des serveurs Integrity combinant puces Itanium et Xeon d'Intel
Dans un agenda de ses serveurs haut de gamme, HP a indiqué que ses systèmes pourraient accueillir des serveurs lames équipés de puces Xeon et Itanium d'Intel. Dans le cas d'HP, cette évolution est significative, et pourrait aider le constructeur à contrer les critiques formulées par son concurrent Oracle, qui ne cesse de répéter que les systèmes Itanium n'ont aucun avenir. « L'annonce d'HP n'étend pas la feuille de route d'Itanium, mais elle pourrait donner davantage confiance aux clients d'HP de s'engager sur des serveurs Integrity, car ils auront bientôt le choix entre les processeurs et donc le sentiment que leur investissement est moins risqué, » a déclaré George Weiss, analyste chez Gartner.
Parmi les systèmes Integrity développés par HP, on trouve le serveur Superdome en version 32 sockets, nom de code Dragon Hawk, lequel intègrera ensemble des serveurs lames à base d'Itanium et de Xeon. HP proposera également un système lame Integrity à base de Xeon, nom de code HydraLynx. Celui-ci sera proposé en version deux, quatre et huit sockets, et offrira certaines des fonctionnalités empruntées à la ligne de serveurs lames Itanium haut de gamme d'HP. Le constructeur affirme qu'il continuera à développer ses plates-formes HP-UX, OpenVMS et Nonstop pour les systèmes Itanium, mais indique qu'il travaillera aussi sur des versions plus résilientes et renforcées de Windows et de Linux pour ses serveurs équipés de puces Xeon. « L'objectif est de mettre les systèmes sous Xeon au même niveau de disponibilité et de temps de fonctionnement que les serveurs Integrity actuels sous Itanium » a déclaré Lorraine Bartlett, vice-présidente, marketing et stratégie, Business Critical Systems chez HP. Pour y parvenir, le constructeur va introduire d'autres fonctionnalités matérielles et logicielles de ses systèmes Itanium sur ses serveurs à base de Xeon, notamment les technologies de commutation Crossbar Fabric, qui gère la tolérance de pannne et nPars qui partitionne les ressources pour traiter plus d'I/O. « Les systèmes Dragon Hawk et HydraLynx devraient être prêts dans environ deux ans, » a précisé Lorraine Bartlett.
Laisser le choix aux utilisateurs
Oracle va sans doute profiter de l'occasion pour dire que cette annonce est la preuve qu'HP envisage de faire migrer ses clients des systèmes Itanium vers des serveurs Xeon. HP affirme le contraire, et fait valoir qu'elle s'adapte simplement à la demande de ses clients qui réclament plus de choix. « HP développe ces systèmes, pour permettre aux clients qui le souhaitent, d'utiliser, à moindre frais, leur matériel x86 en même temps que leurs serveurs Itanium, pour faire fonctionner des applications critiques, » a déclaré la vice-présidente Marketing et Stratégie d'HP. « Les clients ont adopté notre infrastructure critique avec des systèmes comme Superdome 2, et nos serveurs lames Itanium évolutifs tournant sous HP-UX. Nous allons continuer à développer ces plates-formes, ainsi que des technologies comme Nonstop et OpenVMS, » a t-elle ajouté. « Mais, malgré la demande incessante de capacités pour réaliser des tâches critiques sur plates-formes Unix, l'autre message des clients est de pouvoir disposer d'outils plus efficaces sans affecter leurs budgets informatiques, d'où une pression continue de faire plus avec moins, » a t-elle expliqué.
HP avait ouvert la voie à cette évolution, lorsque, l'année dernière, le constructeur a présenté son premier système Superdome basé sur une architecture lame. « Nous avions cette idée depuis un certain temps, » a déclaré Lorraine Bartlett. Celle-ci a tenu à souligner que cette solution offrirait continuité et protection de l'investissement pour les clients. Par exemple, ceux-ci pourront mettre les lames sous Xeon dans les Superdome 2 qu'HP a commercialisé l'an dernier. Les systèmes Integrity sont utilisés dans des secteurs comme les services financiers, les télécommunications et les soins médicaux. Ceux-ci sont prêts à payer un prix élevé pour disposer de systèmes garantissant que leurs applications ne s'arrêteront pratiquement jamais de tourner.
Les solutions d'HP sont en concurrence avec les mainframes et les serveurs Unix basé sur Power d'IBM, mais aussi les serveurs Sparc Solaris, acquis par Oracle avec le rachat de Sun Microsystem.
(...)(23/11/2011 11:35:17)Colt choisit Magirus pour distribuer ses services clouds
La décision de s'allier avec Magirus constitue une ouverture dans la stratégie de distribution de Colt, qui introduit pour la première fois un distributeur IT parmi sa communauté de partenaires existants. Magirus, dont l'activité est principalement axée sur les solutions d'infrastructure (datacenter, virtualisation, stockage et sécurité notamment), entretient d'ores et déjà des relations étroites avec VMware et EMC, qui sont également les partenaires technologiques de Colt. « Tout comme nous, Colt a une présence paneuropéenne et dispose de centres de données cloud s'appuyant sur la plateforme Virtual Computing Environment (VCE), fruit de l'alliance entre VMware, Cisco et EMC, technologies que nous proposons déjà dans la zone EMEA. Ce partenariat s'est donc imposé naturellement », a relevé Christian Magirus, vice-président exécutif et directeur des opérations de Magirus. Cette annonce a par ailleurs été faite en France par la voix de Michel Calmejane lors de l'évènement Partner VIP.
Un accès facilité aux revendeurs
En comptant dorénavant des distributeurs parmi ses partenaires, Colt tire également parti de l'expertise d'un réseau spécialisé de revendeurs et étend ainsi la portée de son offre VMware vCloud Datacenter Services à d'autres marchés européens. « Cet accord constitue une nouvelle étape de notre programme partenaires européen déjà couronné de succès», s'est félicité François Eloy, vice-président exécutif de Colt Communication Services. « Le cloud a évolué de manière significative, et nous observons déjà une demande croissante en services IaaS (Infrastructure as a Service) de la part de nos clients. Ce partenariat avec Magirus va nous permettre d'accéder à une plus vaste communauté de revendeurs, qui possèdent l'expérience IT requise pour vendre ces services ».
Pour le groupe Magirus, le fait de pouvoir proposer à ses partenaires revendeurs un accès à une plateforme d'échanges d'informations combinant à la fois infrastructure IT et réseau, solutions voix et services IT managés constitue une opportunité intéressante. « L'offre de services vCloud de Colt constitue une pierre angulaire de notre stratégie de services clouds en termes de distribution. Nos partenaires revendeurs peuvent commencer immédiatement à concevoir leurs propres offres de services cloud autour du service d'infrastructure de Colt », a souligné Christian Magirus.
ICTjournal.ch
IBM cerne les préoccupations des directeurs marketing
Dans les entreprises de 100 à 1000 salariés, la préoccupation majeure des directeurs marketing demeure la fidélisation des clients à la marque. C'est le premier enseignement d'une étude menée par IBM auprès des directeurs marketing de ces entreprises. Mais malgré le fait que le maintien ou la conquête de cette fidélisation soit la priorité, 72% des responsables interrogés ignorent comment réellement procéder.
Vers une meilleure appréhension des médias sociaux
La deuxième préoccupation exprimée est l'augmentation des volumes de données à traiter pour comprendre les clients. 70% des sondés l'évoquent. Parmi les données en cause, il faut bien sûr mentionner celles issues des médias sociaux. Ceux-ci constituent la marque d'un investissement croissant des consommateurs dans la relation entre les entreprises et leurs clientèles. Cette relation n'est plus monodirectionnelle. Mais seulement 61% des directeurs marketing interrogés travaillent sur la manière de transformer cette implication en démarche commerciale. Et pas plus de 40% consultent les avis de consommateurs qui sont exprimés sur les médias sociaux.
Un autre sujet émergent, le commerce mobile, n'est guère mieux loti. 62% des directeurs marketing interrogés ne s'estiment pas prêts à en saisir les opportunités.
TF1 rend plus économe en énergie son parc informatique
Le groupe TF1 réalise un chiffre d'affaires de 2,6 milliards d'euros par an grâce à ses 3 800 collaborateurs dans des activités bien plus larges que la seule première chaîne de télévision française. Il souhaitait réduire la consommation électrique de ses 4 000 postes de travail.
Après avoir lancé un appel d'offres, le groupe audiovisuel a retenu la solution Surveyor de Verdiem, intégrée et déployée par GreenVision. Elle a d'abord été testée dans l'environnement technique du groupe pour valider son absence d'impact sur le réseau et la sécurité. Cette phase a été réalisée sur un groupe de test représentant un échantillon représentatif du parc de postes de travail. L'installation a ensuite été effectuée en environnement de production en tenant compte des contraintes spécifiques d'accès aux bases de données et au serveur web destiné au reporting environnemental. Les cas spécifiques ont alors été traités. Enfin, un déploiement général a eu lieu.
La solution mise en oeuvre permet d'automatiser l'arrêt et le redémarrage des postes de travail afin de minimiser la consommation électrique tout en s'adaptant aux besoins réels de chaque utilisateur.
L'éditeur revendique un retour sur investissement en moins d'un an avec une optimisation pouvant aller jusqu'à 75% de l'énergie consommée. Chez TF1, l'optimisation serait de l'ordre de 60%.
Le salon Partner VIP veut accélérer l'adoption du SaaS
« La révolution induite par le SaaS et le cloud en général touche avant tout les fournisseurs et leurs partenaires plutôt que les clients eux-mêmes », expliquait Jack Mandard, le PDG de Compubase, la société organisatrice de Partner VIP. Mais que l'on se rassure, indique ce dernier, la révolution du cloud est un phénomène lent qui mettra du temps pour rivaliser avec l'informatique traditionnelle. Et c'est heureux, car les discours évangélisateurs des fournisseurs présents à Partner VIP montraient qu'il faut encore aider les revendeurs et les prestataires de services à se positionner. A la mi-journée, ils étaient 500 participants aux ateliers et autres conférences organisés lors de Partner VIP, l'organisateur tablant sur une population de 700 personnes pour la journée entière.
Les sessions plénières et les 44 ateliers proposé aux visiteurs étaient animés par quatre types d'intervenants : les VAD, les éditeurs, les opérateurs télécoms et les sociétés de financement. Certains avec des annonces à partager, la plupart étant engagés dans des partenariats. Petit tour d'horizon :
Parmi Les VAD, on comptait Tech Data Azlan, Arrow, et Magirus. Le premier a profité de Partner VIP pour officialiser le lancement de TDCloud, une offre de cloud privé et public. Son homologue Magirus a joué quant à lui sur le registre de l'annonce en avant-première en dévoilant un accord signé avec l'opérateur télécom Colt. De son côté Arrow a profité de son temps d'intervention pour faire une large présentation de son approche du cloud sans toutefois dévoiler les détails d'un chantier de grande ampleur dans lequel il s'est lancé. Pour préparer ses prochaines annonces, le VAD a mené une enquête auprès de 300 VARs, 35 éditeurs, 8 prestataires de services externalisés ainsi que 5 intégrateurs dans plusieurs pays d'Europe. Arrow se présente comme un fournisseur de solutions de cloud privé et référence désormais les offres de cinq fournisseurs : IBM, Trend Micro, McAfee, Mitel et Symantec. Dans l'assistance, ces grossistes étaient écoutés et même observés. On pouvait en effet croiser dans l'assistance des représentants de grossistes de taille plus modeste qui ne cachaient pas en aparté qu'ils étaient aux aussi sur le point de lancer leur propre offre de services cloud.
Du changement à prévoir dans la relation revendeur / client
IBM a bénéficié d'un large temps de parole. Il y a un an, celui-ci a défini sa stratégie cloud jusqu'en 2015 en misant sur le développement de ses ventes auprès des PME via ses partenaires. Le constructeur s'attache également à inciter les ISV à se lancer dans le cloud grâce à ses technologies. Outre des produits, il dispose du club des partenaires, une structure à travers laquelle IBM incite les éditeurs à proposer du SaaS en utilisant ses propres formules.
Sage était également de la partie. L'éditeur a notamment évoqué les changements induits par le SaaS dans la relation revendeurs / éditeurs. « Le client n'appartient à personne et donc pas plus à un éditeur qu'à son partenaire, expliquait Violaine Fontaine, la directrice marketing stratégie et communication de la division Sage MGE. La répartition des rôles de chacun sera fonction des compétences, des capacités et de la volonté des partenaires ». Attention cependant à ne pas non plus sous-estimer les changements dans la relation entre le revendeur et son client. Avantagé par des investissements initiaux relatifs à la mise en place d'une solution SaaS par rapport à une solution classique, ces derniers pourraient se montrer plus volatiles. Avec le SaaS, l'ère du client captif pourrait donc être révolue. D'où l'importance du fait que les revendeurs devront étoffer leur capacité à offrir des services d'accompagnement au-delà de la prestation de mise en oeuvre initiale d'une solution.
Du côté des opérateurs télécoms, Colt a annoncé en avant-première européenne un accord avec Magirus pour que ce dernier commercialise vCloud, l'offre de l'opérateur. « Magirus dispose non seulement d'un réseau de revendeurs bien maillé mais aussi d'un centre de formation, le Magirus Academy situé à Strasbourg » expliquait Michel Calmejane, directeur général France de Colt. Quant à l'opérateur Mitel, il a utilisé la tribune que lui donnait Partner VIP pour mettre en avant son association avec Arrow. L'opérateur Acropolis, toujours pragmatique, disposait d'un stand commercial.
Seule société de financement présente en tant que telle, Leasecom lançait une formule de financement pour les éditeurs en SaaS. Ils sont invités à signer une convention avec Leasecom, moyennant quoi ce dernier règle immédiatement l'intégralité de la partie logicielle des redevances d'abonnement dues par le client (déduction faite des frais Leasecom). En cas de disparition de l'éditeur, cette formule assure également la continuité de service.
D'autres acteurs du financement, tels qu'IBM (avec IMB FS qui dispose d'un milliard de dollars pour financer des offres en cloud) ou Arrow (avec Arrow FCG) ont également mis en avant leurs filiales de financement lors de différentes interventions.
Les axes stratégiques de SFR Business Team : cloud, international et fibre
Récemment arrivé à la tête de l'activité entreprise de SFR, Pierre Barnabé, ancien responsable d'Alcatel-Lucent, a profité d'une rencontre avec les journalistes pour donner sa feuille de route stratégique. Concrètement, elle tourne autour de 3 axes, le premier est le cloud et les services « parmi les différents marchés que nous adressons, téléphonie fixe, mobile et hébergement, c'est vers ce troisième marché que nous souhaitons porter notre effort ». Il a rappelé que le marché du cloud est très compétitif avec beaucoup d'acteurs, mais il pense que « les opérateurs télécoms sont les mieux à même de proposer des offres cloud, stables, disponibles et sécurisées ». Comment vont se traduire les efforts dans ce domaine ? « Nous allons renforcer notre partenariat avec HP » explique Pierre Barnabé sans toutefois préciser les modalités de cette montée en puissance comme par exemple l'utilisation du cloud public du constructeur. Il évoque seulement des actions communes au niveau de la distribution entre les VARs informatiques et les revendeurs télécoms. Sur la distinction des offres, l'opérateur va proposer du cloud privatif, plus sécurisé, géolocalisé en France, redondant et un cloud privé, hautement sécurisé et disponible.
Est-ce que des recrutements et d'autres partenariats sont prévus dans cette orientation ? « Tout est ouvert concernant les associations, les partenariats ou les acquisitions, mais dans un premier temps, j'ai demandé à mes équipes de monter en compétence dans l'intégration et dans la sécurité pour répondre à cette montée en charge ». Le dirigeant réfléchit aussi à des offres verticalisées sur le cloud « vers certains secteurs, cela peut avoir du sens. Après il faut regarder les avantages et les inconvénients. A court terme, la verticalisation est une bonne chose, mais sur le long terme, il peut y avoir un phénomène de silos et d'éloignement des standards technologiques qui évoluent ». Autre surprise pour Pierre Barnabé, l'appétence des PME pour le cloud, « le changement a eu lieu en cours d'année, elles veulent en savoir plus sur le cloud qui devient un mot qui les rassure ».
International et Fibre
Parmi les autres axes de travaux de Pierre Barnabé, l'internationalisation de SFR Business Team vise à démontrer que le groupe est « multinational » et non plus un acteur perçu souvent comme trop hexagonal. Pour développer cette stratégie, l'activité entreprise de l'opérateur va s'appuyer sur son partenariat historique avec Vodafone ou via ses participations au sein de Maroc Telecom, mais aussi sur des partenariats avec des acteurs dans des régions comme l'Amérique du Sud, l'Asie, etc. Ces différents accords seront formalisés au sein d'une alliance (dont le nom reste encore à définir) pour respecter des niveaux de qualité de service, de certification, de couverture et répondre plus facilement à des appels d'offres internationaux.
Enfin, le dernier axe est la fibre optique avec notamment l'accord entre Orange et SFR sur le déploiement du très haut débit dans les zones peu denses. L'objectif de Pierre Barnabé est de « fibrer » une grande partie des zones d'activités. « La fibre est essentielle pour apporter de meilleurs débits pour nos clients, mais elle est bénéfique aussi pour notre gestion du réseau », précise le dirigeant en pensant notamment à la collecte du trafic data mobile qui explose d'année en année.
Au final, ce plan de bataille de SFR Business Team doit avoir pour but de faire fructifier les 2 milliards d'euros de revenus annuels et améliorer sa part de marché notamment sur les services et l'hébergement. « Nous avons été discrets ces quelques mois, nous repartons à l'offensive », conclut Pierre Barnabé.
Ebay s'offre Hunch, un site de recommandations d'achats
Ebay vient d'acquérir Hunch, un site spécialisé dans la recommandation de produits, pour un montant non divulgué. Les acheteurs sur eBay devraient bénéficier des capacités prédictives de Hunch à générer des suggestions basées sur les goûts des internautes. Ce rachat permettra de leur proposer une sélection de recommandations en fonction de leurs préférences. Hunch examine les données des sites de vente, des réseaux sociaux et d'autres sources (comme les réponses aux questions qu'il pose lui-même) pour bâtir des « Taste Graph », des cartes qui relient les acheteurs du web en fonction de leurs affinités pour les produits.
L'API Hunch permet à des applications et des sites tiers d'accéder à ces informations au travers de recommandations et de données prédictives sur les utilisateurs. Ce rachat donnera donc à eBay la possibilité d'aller au delà des simples suggestions par article. Le groupe s'appuiera sur un éventail plus large de goûts et d'intérêts formulés par ses membres pour les inciter à consulter d'autres articles qu'ils pourraient acheter sur son site.
La capacité de Hunch à adapter les données répondant aux besoins de ses clients pourra également être utilisée dans d'autres domaines sur eBay, comme la recherche et la publicité.
Hunch a démarré ses activités en juin 2009. La société, fondée par Chris Dixon, restera basée à New York et opérera comme un site séparé.
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