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(22/11/2011 14:37:38)

Apple pourrait devenir leader sur le marché du PC en 2012 aidée par les tablettes

D'ici la fin de l'année 2012, Apple pourrait devenir leader du marché des PC (ensemble regroupant aussi bien les ordinateurs que les tablettes), selon une étude du cabinet Canalys. La part de marché d'Apple dans ce secteur est passée en un an de 9% à 15%.

Avec la dynamique de vente de l'iPad, Apple se situe d'ores et déjà au second rang des plus grands vendeurs de PC au monde au 3e trimestre de cette année. Toutefois, sa mainmise sur le marché des tablettes, aux Etats-Unis du moins, pourrait être mise à mal par l'arrivée de la Kindle Fire d'Amazon.

Les analystes de Canalys s'attendent également à ce que les ultrabooks (ces PC portables fins, légers et très performants) dopent les ventes d'ordinateurs portables ces cinq prochaines années. Toutefois, la première moitié de 2012 pourrait être plutôt critique avec une pénurie annoncée de disques durs, due aux inondations en Thaïlande.

Canalys estime qu'il va se vendre en 2011 quelques 415 millions d'ordinateurs et de tablettes dans le monde, soit 15% de plus qu'en 2010, avec une forte proportion pour les tablettes.

(...)

(22/11/2011 14:38:37)

Annuels HP : forte chute du bénéfice net sur le 4e trimestre

Empêtré dans ses problèmes de leadership et d'organisation, l'Américain Hewlett-Packard a subi une baisse de plus de 90% de son bénéfice net par rapport à l'an dernier, sur son quatrième fiscal clos fin octobre. Celui-ci s'établit à 200 millions de dollars contre 2,5 milliards de dollars sur le quatrième trimestre 2010, avec un bénéfice par action de 0,12 dollar (-89%).

Le chiffre d'affaires du trimestre a reculé de 3% à 32,1 milliards par rapport à 2010.
Il y a trois semaines, le PDG du groupe, Meg Whitman, qui a repris la tête de la société à la suite du départ de Léo Apotheker, avait annoncé que HP garderait son activité PC (moins rentable que d'autres domaines), après avoir étudié l'éventualité d'une scission de cette division.

Sur l'ensemble de son exercice fiscal, HP annonce un chiffre d'affaires GAAP de 127,2 milliards de dollars, en hausse de 1% par rapport à l'année 2010 (126 Md$). Sa marge opérationnelle a baissé de 1,5 point sur un an, à 7,6%. Quant à son bénéfice net annuel, il a reculé de 19% à 7,1 Md$ (contre 8,8 Md$ l'an dernier).

Une activité Services en légère hausse à 9,3 Md$

Sur le quatrième trimestre fiscal de HP, c'est l'activité Logiciels qui enregistre les meilleurs résultats, avec une progression de 28% sur les ventes de licences et de services associés, entre début août et fin octobre 2011. Mais cette division ne pèse que 976 millions de dollars de chiffre d'affaires, soit moins de 3% des 32,1 Md$ engrangés au total par le groupe sur le trimestre. Les revenus de la division Services financiers affichent également une progression à deux chiffres (+18%), mais là aussi sur un chiffre d'affaires inférieur à 1 Md$ (952 M$).

En revanche, la division Services n'a augmenté que de 2%, à 9,3 milliards de dollars sur le trimestre. Les ventes de l'activité Serveurs d'entreprise/Stockage/Réseau ont baissé de 4% par rapport à l'an dernier, à 5,6 Md$, tandis que celles de la division Imagerie et impression ont subi un recul de 10% sur un an, à 6,3 Md$ (avec une marge opérationnelle de 12,8%). Enfin, la division PSG (Personal Systems Group), qui a fait couler tant d'encre depuis cet été, n'a finalement reculé que de 2%, à 10,1 milliards de dollars.

Les investisseurs semblent enclins à envisager un peu de stabilité chez HP après la valse des dirigeants à la tête du groupe. Meg Whitman, sans doute mieux connue pour avoir été PDG du site d'enchères en ligne eBay, a remplacé Léo Apotheker qui était à ce poste depuis moins d'un an après avoir pris la suite de Mark Hurd, remercié en août 2010

Pendant la direction de Léo Apotheker, HP avait décidé d'arrêter de produire des smartphones et des tablettes numériques basées sur le système d'exploitation WebOS, acquis avec le rachat de Palm. Dans la foulée, le groupe avait suscité une ruée sur sa tablette TouchPad lorsqu'elle fut bradée pour écouler les stocks. On attend maintenant de savoir ce qu'HP a décidé de faire de WebOS. Le groupe a entre temps expliqué qu'il miserait sur Windows 8 pour ses prochaines tablettes et PC.

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(22/11/2011 15:54:27)

WebLogic 12c, le serveur d'application d'Oracle en mode cloud en approche

Selon un communiqué publié sur son site Internet, Oracle prévoit d'annoncer la prochaine version de son serveur d'applications phare WebLogic à l'occasion d'un événement en ligne programmé pour le 1er décembre. WebLogic Server 12c, où le « c » est probablement un raccourci pour « Cloud », va succéder à la version 11g, dont la première mouture était sortie en juillet 2009. « Aujourd'hui, la plupart des entreprises souhaitent passer à une infrastructure cloud, » peut-on lire dans le communiqué. « Cependant, les départements informatiques doivent continuer à investir et à maintenir leurs infrastructures actuelles, indispensables pour faire tourner leur activité. Avec Oracle WebLogic, nous offrons le meilleur des deux mondes. »

WebLogic 12c va aussi devenir un élément de première importance pour le serveur d'applications Exalogic d'Oracle, un peu éclipsé jusque-là par l'Exadata Database Machine, et par le service cloud public annoncé récemment par l'éditeur. Les clients seront en mesure de construire des clouds privés avec Exalogic, mais aussi d'utiliser le service cloud public d'Oracle basé sur WebLogic. Selon Oracle, il sera facile de déplacer les applications de l'un vers l'autre. WebLogic 12c offre, parmi ses caractéristiques, Java EE 6, Active GridLink pour RAC (Real Application Clusters), Trafic Director et Virtual Assembly Builde. Hasan Rizvi, vice-président senior, Oracle Fusion Middleware and Java, ainsi que d'autres responsables d'Oracle, prendront la parole le 1er décembre. Le même jour, Oracle devrait aussi lancer une série de webinars « Developper Deep Dive ».

Actuellement, aux Etats-Unis, la suite haut de gamme WebLogic coûte 45 000 dollars par processeur, plus 9 900 dollars pour le support annuel. On ne sait pas très bien pour l'instant si Oracle va augmenter ou non son tarif avec la livraison de la version 12c. WebLogic 12c sera en concurrence avec une série d'autres serveurs d'applications Java, notamment JBoss de Red Hat et WebSphere d'IBM, et même le serveur GlassFish d'Oracle acquis avec Sun Microsystems. GlassFish coûte 5 000 dollars par processeur, plus 1 100 dollars pour la maintenance annuelle, soit environ deux fois moins que WebLogic Server Standard Edition. Il existe aussi une version supportée par la communauté GlassFish, disponible sans frais.

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(21/11/2011 17:26:02)

Prêt pour l'entreprise, Hadoop stimule la demande de compétences

Sur la conférence Hadoop World, qui s'est tenue à New York au début de ce mois, les analystes et responsables IT présents ont à plusieurs reprises souligné que l'accès à des compétences spécialisées constituerait l'une des principales difficultés des entreprises souhaitant opter pour Hadoop. Et celles qui disposeront des bonnes compétences bénéficieront d'un sérieux avantage sur les autres.

Parmi les conférenciers présents à New York, les responsables IT de la banque JP Morgan Chase et du groupe d'enchères en ligne eBay, ont profité de l'occasion pour indiquer à leur auditoire qu'ils recrutaient dans ce domaine, ont rapporté nos confrères de Computerworld. Hugh Williams, vice-président, responsable des plateformes chez eBay, a précisé que sa société recherchait des professionnels d'Hadoop et invité ceux qui étaient intéressés à s'adresser à lui. Un peu plus tard, c'est Larry Feinsmith, directeur général pour les opérations IT chez JP Morgan Chase, qui a surenchéri et proposé, en semblant ne plaisanter qu'à moitié, de payer 10% de plus qu'eBay.

« Hadoop, c'est le nouveau datawarehouse, la nouvelle source de données » au sein de l'entreprise, décrit James Kobielus, analyste de Forrester Research. On s'intéresse beaucoup aux personnes qui en savent suffisamment sur les rouages d'Hadoop pour aider les entreprises à en tirer avantage », explique-t-il.

Des compétences en datamining et en modélisation prédictive

Le framework Open Source Hadoop aide à collecter et stocker d'importants volumes de données structurées et non structurées. Les entreprises ont commencé à s'en servir de façon croissante pour analyser les petaoctets de données telles que les connexions web, clics et contenus multimédias, afin d'obtenir davantage d'informations sur leurs activités et leurs clients. Cette adoption entraîne la demande de compétences nécessaires aux analyses avancées, ajoute James Kobielus. Cela inclut les personnes ayant des connaissances en matière d'analyse statistique, de datamining, de modélisation prédictive, de traitement en langage naturel, d'analyse de contenus, de textes et de réseaux sociaux, explique-t-il.

« Les Big Data, dans leur sens large, et Hadoop en particulier, génèrent de la demande pour des gens expérimentés utilisant de nouvelles approches telles que MapReduce et le langage R, pour la modélisation statistique et prédictive », poursuit-il. « Il s'agit de personnes spécialisées dans l'analyse de données ou de scientifiques qui travailleront dans les environnements Hadoop pour pénétrer plus avant dans les données et leur donner un nouveau sens ».

Des administrateurs de clusters Hadoop

L'intérêt suscité par Hadoop est aussi en train de créer une demande pour des professionnels de cette plateforme, ajoute James Kobielus. Leur rôle consistera à mettre en oeuvre des clusters Hadoop, à les sécuriser, les gérer, les optimiser et faire en sorte que le cluster reste disponible pour l'entreprise. Selon l'analyste de Forrester Research, les administrateurs de base de données qui interviennent sur Teradata ou sur l'appliance Exadata d'Oracle sont les mêmes profils qui commencent maintenant à redéfinir leurs rôles comme administrateurs de clusters Hadoop. C'est un nouveau monde qui s'ouvre, estime-t-il en ajoutant qu'on s'attend aussi à voir une demande pour les professions de la gestion de stockage et pour celles permettant d'intégrer les environnements Hadoop avec les technologies existantes de bases de données relationnelles. 

(Crédit illustration : D.R.)
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Martin Hall, PDG de Karmasphere, fournisseur de logiciels pour les environnements Hadoop, confirme que trois catégories de professionnels sont concernées. Les professionnels de la gestion de données seront ceux qui choisiront, installeront, géreront et feront évoluer et monter en puissance les clusters Hadoop. Ce sont eux qui décideront si l'infrastructure Hadoop doit se situer dans le cloud ou sur site, quels fournisseurs il convient de choisir, quelle distribution d'Hadoop retenir. Ils définiront la taille du cluster et s'il doit être utilisé pour exploiter des applications de production ou à des fins de test qualité. Les compétences requises pour ces fonctions sont similaires à celles que l'on demande pour effectuer les mêmes tâches dans des environnements de SGBDR traditionnels ou de datawarehouses, précise Martin Hall.

Des professionnels pour construire des algorithmes MapReduce

La deuxième catégorie de professionnels sera chargée de créer les processus de traitement des données. Ils construiront les algorithmes MapReduce distribués qui seront utilisés par les personnes qui analyseront ensuite les données. Les ingénieurs possédant des compétences en Java et en C++ auront davantage d'opportunités à mesure que les entreprises commenceront à déployer Hadoop, prévoit le PDG de Karmasphere. 

La troisième catégorie de professionnels recherchés seront ceux qui disposent d'expérience sur les logiciels d'analyse statistique (SAS, SPSS), ainsi que dans les langages de programmation comme R. Ce sont eux qui généreront, analyseront, partageront et intégreront les informations rassemblées et stockées dans les environnements Hadoop.

Pour l'instant, le manque de compétences autour d'Hadoop signifie que les entreprises ont besoin d'être aidées par les fournisseurs de services pour déployer cette technologie. L'un des indicateurs de cette situation, pointe l'analyste James Kobielus, de Forrester, c'est que les revenus générés autour d'Hadoop par les professionnels du conseil et de l'intégration de systèmes sont bien plus importants que les revenus provenant des ventes des produits Hadoop. Des sociétés telles que Cloudera, MapR, Hortonworks et IBM proposent aux entreprises des formations pour qu'elles puissent elles-mêmes construire leur propre centre d'excellence Hadoop, indique-t-il.

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En effet, même s'il subsiste des inquiétudes sur la sécurité et sur d'autres points, Hadoop est prêt à être utilisé en entreprise si l'on se réfère à l'avis de responsables IT qui sont intervenus sur la conférence Hadoop World, à New-York. Ainsi, depuis trois ans, la banque JPMorgan Chase utilise de façon croissante le framework Open Source de stockage et d'analyse de données, a expliqué Larry Feinsmith, le directeur général des opérations IT pour le groupe. La banque continue à s'appuyer fortement sur les systèmes de bases de données relationnelles pour les traitements transactionnels, mais elle utilise la technologie Hadoop pour un nombre croissant d'applications, parmi lesquelles la détection de fraude et la gestion des risques informatiques. Elle gère près de 150 petaoctets de données stockées en ligne, 30 000 bases de données et 3,5 milliards de connexions à des comptes utilisateurs. La capacité d'Hadoop à stocker d'énormes quantités de données non structurées lui permet de collecter les connexions web, les transactions et les informations recueillies sur les médias sociaux. « Nous conservons des données que nous stockions pas auparavant », a pointé Larry Feinsmith. Celles-ci sont agrégées sur une plateforme commune afin d'être explorées, pour mieux comprendre les clients, avec un ensemble d'outils de datamining et d'analyse.

eBay stocke 9 Po de données sur des clusters Hadoop et Teradata

De son côté, le groupe eBay utilise la technologie Hadoop et Hbase, qui supporte l'analyse en temps réel des données, afin de constituer un moteur de recherche pour son site d'enchères en ligne. Hugh Williams, vice-président, responsable plateformes et recherche chez eBay, a expliqué que ce projet de moteur (nom de code Cassini) va remplacer la technologie dont la société s'est servie depuis le début des années 2000. La mise à jour est notamment nécessaire pour prendre en charge les volumes croissants de données. eBay rassemble plus de 97 millions d'acheteurs et de vendeurs actifs et plus de 200 millions d'articles en vente dans 50 000 catégories. Il gère 2 milliards de pages vues, 250 millions de requêtes et 10 millions d'appels à des bases de données chaque jour, a indiqué Hugh Williams. Le groupe stocke 9 petaoctets de données sur des clusters Hadoop et Teradata, un volume qui grossit vite, a ajouté le responsable plateforme et recherche. Il précise que 100 ingénieurs d'eBay travaillent sur le projet Cassini, ce qui en fait l'un des plus gros efforts de développement de la société.

Le moteur, prévu pour entrer en fonction l'an prochain, devra répondre aux requêtes des utilisateurs en fournissant des résultats contextuels et plus affinés que ceux que propose l'actuel système, promet Hugh Williams. 

Larry Feinsmith, de JP Morgan Chase, met en garde les départements informatiques qui seraient intéressés par Hadoop. Ils doivent être vigilants sur les questions de sécurité. Il explique que l'agrégation et le stockage des données provenant de sources multiples peut créer de nombreux problèmes liés au contrôle d'accès et à la gestion des données, tout en faisant remonter des questions liées à la possession des données.

(...)

(21/11/2011 12:58:21)

Affaire Itanium : Selon Oracle, HP a payé Intel pour maintenir le processeur

Oracle pense que Hewlett-Packard a conclu secrètement un accord avec Intel pour que ce dernier continue à fabriquer des processeurs Itanium. Ceci afin qu'HP puisse maintenir l'apparence « qu'un microprocesseur mort est toujours vivant » et continue à engranger des revenus sur « sa base de clients Itanium verrouillée », tout en empêchant Oracle de réaliser des ventes sur ses serveurs Sun. C'est ce que l'éditeur de Redwood a exprimé dans un document adressé au tribunal vendredi dernier, dans le cadre de la bataille juridique qui l'oppose à HP. Ce dernier reproche en effet au groupe de Larry Ellison d'avoir abandonné ses développements de logiciels pour les systèmes à base d'Itanium.

Selon Oracle, le marché n'a jamais été informé que le processeur Itanium perdurait parce que HP payait Intel pour le maintenir. Dans le document qu'il a transmis vendredi dernier, l'éditeur estime qu'Intel aurait sinon arrêté de lui-même le processeur Itanium il y a des années. 

HP considère qu'il s'agit là, de la part d'Oracle, « d'une tactique dilatoire désespérée visant à étendre l'incertitude paralysante sur le marché » qui, selon lui, a été générée lorsque l'éditeur a annoncé en mars 2011, par rupture de contrat, « qu'il ne supporterait plus la plateforme Itanium d'HP ».

Intel ne fait aucun commentaire

Une version du document adressé par Oracle à la cour est accessible sur un blog d'AllThingsD (du Wall Street Journal). On peut encore y lire que les déclarations faites au marché par HP avaient pour effet de laisser penser que l'engagement d'Intel envers l'Itanium était de son propre fait, et qu'il reposait sur les estimations normales d'investissement dans les processeurs ayant de l'avenir. Il ajoute que bien que tout en gardant l'accord secret, HP a révélé dans un document qu'il avait avec Intel un engagement contractuel par lequel l'Itanium serait poursuivi sur les deux prochaines générations de processeurs.

Intel a indiqué par mail (à nos confrères d'IDG News Service) qu'il n'était pas partie prenante de ce procès et qu'il n'avait pas conséquent aucun commentaire à faire à son sujet. En ajoutant qu'il ne faisait pas non plus de remarques sur les accords commerciaux qu'il pourrait avoir ou ne pas avoir avec ses clients.

En résumé, Oracle pense que la stratégie d'HP était de l'empêcher des vendre des serveurs issus de l'offre Sun, société qu'il a racheté en 2010. L'éditeur de Redwood considère que HP a voulu conserver des revenus lucratifs provenant de sa base de clients Itanium, dans la mesure où il récupère peu de contrats de service avec des OS comme Linux fonctionnant sur processeurs x86. 

En juin dernier, HP a intenté un procès à Oracle pour avoir décider d'arrêter de développer des logiciels pour l'Itanium, processeur qu'il utilise dans ses serveurs haut de gamme, estimant que cette décision entrait en violation des engagements faits envers HP et envers les 140 000 clients communs aux deux sociétés.

Illustration : Première page du document adressé par Oracle au tribunal (crédit : D.R. / Montage LMI) (...)

(18/11/2011 15:04:02)

SAP veut encore se diversifier et étendre son marché

SAP pourrait faire une entrée significative dans de nouveaux domaines fonctionnels, si l'on en croit certaines remarques formulées cette semaine par l'un de ses co-PDG, Jim Hagemann Snabe. « Pour alimenter la croissance, tous les dix-huit mois environ, nous devons ajouter une nouvelle catégorie de produits, a-t-il lâché lors d'une intervention sur la 11e conférence annuelle Technology, Media & Telecoms, organisée par la banque Morgan Stanley, accessible par webcast.

L'arrivée de SAP dans la mobilité a été particulièrement remarquée avec le rachat de Sybase en mai 2010 (qui lui a aussi apporté plusieurs bases de données). A ce moment-là, il accentuait ses efforts sur le terrain des traitements en mémoire avec la préparation de sa plateforme HANA qui est depuis au centre de sa stratégie. Si SAP procède à des acquisitions, ce sera soit pour accélérer son rythme de développement, soit s'ouvrir à d'autres types d'applications. Jim Hagemann Snabe a cité la collaboration comme l'un des domaines de croissance potentiels, mais n'a pas dit que cela se ferait à travers des rachats, ont rapporté nos confrères d'IDG News Service. Néanmoins, si l'éditeur allemand devait en faire sur ce marché, il pourrait naturellement choisir des partenaires proches, comme Jive Software et Open Text.

Mais au-delà, SAP est à la recherche de produits qui l'aideront à étendre son offre principale (c'est-à-dire sa suite de gestion bâtie autour de son ERP), plutôt que la supplanter.

« Nous voulons rebattre les cartes »

Si SAP est effectivement le plus important fournisseur d'ERP, il lui reste de nombreuses possibilités d'accroître sa présence dans les environnements de ses clients, a ajouté Jim Hagemann Snabe en citant un client qui à première vue semblait équipé par SAP du sol au plafond et exploitait en fait 400 applications non SAP. Selon le dirigeant, chez les clients considérés comme très engagés sur l'offre SAP, ce dernier ne totalise guère en moyenne que 5% des dépenses IT de l'entreprise. Les 95% restants sont consacrés à l'infrastructure, aux services et aux autres applications. « Nous ne cherchons pas à récupérer davantage de budget. Nous voulons simplement rebattre les cartes », a expliqué Jim Hagemann Snabe.

De fait, SAP entrevoit de nombreuses opportunités encore inexplorées pour vendre son ERP, a ajouté le dirigeant. « Nous estimons qu'il y a en Chine un million d'entreprises qui ont besoin d'un ERP (*) », a-t-il précisé. A titre de comparaison, SAP dénombre actuellement 170 000 clients.

Jim Snabe a également longuement parlé d'HANA, l'appliance d'analyse en mémoire qui s'installe sur les serveurs de différents fabricants de matériels, partenaires de SAP. HANA stocke les données qui seront traitées en mémoire vive, plutôt que lues à partir d'un système de stockage séparé, ce qui dope les performances et permet aux utilisateurs d'explorer les informations plus librement qu'ils n'auraient pu le faire avec des jeux de données pré-agrégés, a-t-il réexpliqué.

HANA associé à BW va permettre de gagner de l'argent

Il a relaté comment SAP s'était d'abord rapproché de cinquante clients « qui nous faisaient confiance et qui sont souvent parmi les premiers à tenter de nouvelles technologies ». L'éditeur a demandé à chacun d'eux des exemples de situations qui leur posaient problème et pourraient être résolues avec un traitement ultra-rapide de leurs données. « Cela nous a évidemment donné cinquante réponses différentes ».

(*) SAP a annoncé cette semaine vouloir investir plus de 2 milliards de dollars sur plusieurs années pour doper la croissance de son activité en Chine.
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Une compagnie pétrolière a par exemple expliqué qu'elle aurait aimé trouver de nouveaux puits plus rapidement, en analysant les données sismiques en quelques minutes plutôt qu'en lançant un traitement batch pendant la nuit. « C'est un problème intéressant à résoudre, mais qu'il n'est pas possible de l'étendre à d'autres situations », a commenté le dirigeant. « Vous ne pouvez pas le prépackager. Cette phase nous a pris un an, environ. »

Depuis, SAP a porté HANA vers sa plateforme de datawarehouse, BW, qui rassemble 16 000 mises en oeuvre dans le monde. Ses utilisateurs peuvent maintenant remplacer leur base de données sous-jacente par l'appliance et analyser sans pré-agrégat, en temps réel, des informations provenant de différentes sources. Même si SAP a l'intention de livrer une série d'applications spécialisées autour d'HANA, l'intégration avec BW va l'aider à gagner de l'argent avec cette appliance, a reconnu Jim Snabe.

Les économies sur l'infrastructure remboursent HANA

Pour les clients, la transition se fera sans douleur, a-t-il encore affirmé. « Le premier d'entre eux est entré en production et cela lui a pris deux semaines(**). Cela ne requiert pas d'intervention de conseil complexe. » En fait, le co-PDG a même avancé que, pour les utilisateurs de BW, les économies réalisées sur l'infrastructure remboursaient à eux seuls le passage à HANA.

Il a par ailleurs souligné que SAP n'avait aucun intérêt à entrer sur le marché du matériel, compte-tenu de la progression rapide de la puissance et de la baisse continue des prix. Au passage, il a décoché une flèche à son rival Oracle et sa famille d'appliances matérielles intégrées dont le nombre de produits s'agrandit régulièrement. « Nos concurrents ont raison de dire que vous ne pouvez pas optimiser un système sans avoir le contrôle sur le matériel, a pointé Jim Hagemann Snabe. « Nous ne le contredisons pas là-dessus. Nous disons juste que nous pensons que nous pouvons contrôler le matériel sans le posséder ». SAP fournit des spécifications à ses partenaires concernant le matériel nécessaire à l'exploitation d'HANA, a-t-il indiqué. De cette façon, SAP évite « d'aller sur un marché très compliqué où les marges sont faibles et qui subit des transformations ».

(**) Il s'agit sans doute du producteur de boissons énergisantes Red Bull, utilisateur de Business Warehouse (BW), qui est venu témoigner de sa migration sur HANA à l'occasion de Sapphire Madrid.

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(18/11/2011 11:19:41)

GRDF simplifie ses processus d'achat métier avec Ivalua

GRDF est le principal distributeur de gaz naturel en France. Il dispose de 650 fournisseurs de travaux (notamment de travaux publics), services et matériel. Pour simplifier et fluidifier l'ensemble des processus achat métier, l'énergéticien a décidé de refondre son système d'information achats. Après appel d'offres, GrDF a choisi l'offre i-Buy d'Ivalua. Désormais, l'ensemble des démarches d'achats métier passent par un portail web unique, tant du côté interne à GrDF que du côté des fournisseurs.

L'un des avantages particulièrement apprécié de la solution est son ergonomie intuitive facilitant la prise en main par les acheteurs, y compris sur terminaux mobiles.

Le coût du projet n'a pas été communiqué.

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(18/11/2011 11:00:18)

Kaspersky renforce ses liens avec ses partenaires

Kaspersky Lab a mis en place son nouveau programme de partenariat pour l'Europe et l'Amérique du Nord et offre tout un ensemble de ressources et de soutien. Cela permettra aux revendeurs de mieux appréhender les derniers développements dans un paysage de menaces informatiques toujours plus complexes.

Le programme contient une équipe dédiée au Channel, d'un support marketing et d'autres ressources qui ne servent pas uniquement à vendre des produits Kaspersky, mais aussi à aider le partenaire à tisser une relation à long terme avec le client.

Le nouveau portail des partenaires offre notamment du matériel pour les programmes de ventes incitatives, des brochures et des dépliants, un programme de calcul des prix, des promotions à la clientèle et des démonstrations de produits en ligne. En outre, les partenaires peuvent y trouver une série de tutoriels vidéo conçus exclusivement pour eux.

Un programme de certification multi-niveaux

Le nouveau programme de partenaire de Kaspersky Lab se compose de quatre niveaux de certification:

Le niveau Platinum est le niveau le plus haut. Il permet de bénéficier d'un Account Manager dédié, une évaluation trimestrielle des activités, un soutien technique personnel, un contact direct avec l'équipe de vente de Kaspersky ainsi que des programmes incitatifs et des systèmes de bonus exclusifs.

Les partenaires de niveau Or ont également Account Manager dédié et reçoivent une évaluation trimestrielle des activités ainsi que toute une série de services de formation, de ventes et de marketing.

La certification de niveau Argent offre également une variété de matériel et d'outils de marketing, alors que le premier niveau est le point de départ pour de nouveaux partenaires dans le programme de certification.

ICTJournal.ch (...)

(18/11/2011 10:45:36)

Temenos au coeur d'une rumeur de rachat par SAP

Aujourd'hui la rumeur est une nouvelle fois relancée par les propos de Jim Hagemann Snabe, co-CEO de SAP. Ce dernier a expliqué lors d'une conférence organisée par Morgan Stanley à Barcelone que la stratégie de son entreprise consistait à faire une acquisition tous les ans et demi afin d'ajouter une nouvelle catégorie de produits à son portefeuille. Depuis ces propos, les analystes n'ont pas manqué de spéculer sur les entreprises qui pourraient être dans le viseur de SAP. Ainsi Sebastien Thevoux-Chabuel, analyste pour la société parisienne Oddo Securities, estime que Parametric Technology, SAS Institute et Temenos Group pourraient être visées.

Toutefois, selon l'article de Bloomberg qui révèle l'information, les dirigeants de Temenos ont refusé de commenter cette information. A noter par ailleurs que l'éditeur suisse de logiciels bancaires a annoncé avoir récemment bouclé son programme de rachat d'actions dans lequel il était engagé depuis une année. Selon le communiqué de la société, plus de 3,1 millions de titres ont ainsi été rachetés.

ICTJournal.ch (...)

(18/11/2011 10:21:11)

La réduction des retards de paiement des entreprises se tasse au troisième trimestre 2011 (MAJ)

Depuis le raccourcissement des retards de paiement observé en 2010 en Europe, l'effort des entreprises semble se relâcher. Selon la dernière étude d'Altares portant sur le sujet, les sociétés européennes ont mis en moyenne 13,4 jours à régler leurs fournisseurs au troisième trimestre 2011. Sur un an, les reports de paiement évoluent donc peu, ne se dégradant donc plus mais peinant à se réduire. De fait, on est encore loin de la moyenne de 12,5 jours qui prévalait avant la crise de 2008 au plus fort de laquelle les retards étaient montés jusqu'à 15 jours.

En France, la moyenne des retards de paiement s'élève à 12,1 jours, soit moins que la moyenne européenne. En outre, 66,5% des entreprises continuent de ne pas respecter les délais de règlement contractuels avec leurs fournisseurs. Cela témoigne, néanmoins, d'une amélioration de la situation comparée à il y a un an où cette proportion atteignait 68,1%.

Plus vertueuses, les entreprises allemandes n'accusent qu'un retard moyen proche de 8 jours dans leurs délais de paiement, soit un jour de mieux qu'il y a un an. Au sud, les entreprises espagnoles et portugaises affichent respectivement des retards de paiement de 20,8 et 26,3 jours. Ils atteignent 16 jours en Italie.

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