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(19/11/2008 11:39:33)

Adobe Max : AIR 1.5 s'adapte aux capacités de Flash 10

Adobe a présenté aux développeurs la première mise à jour de son client AIR depuis son lancement en février dernier : AIR 1.5, le moteur d'exécution pour applications riches déconnectées, se met au niveau des nouvelles capacités de la technologie Flash, dont la version 10 vient de sortir. AIR 1.5 bénéficie ainsi de technologies de filtres vidéo (Pixel Bender), d'effets 3D, ou d'amélioration de la qualité de la diffusion de flux vidéo. Au menu aussi, de nouvelles capacités d'affichage des polices ; présent lors de la conférence développeurs Adobe Max qui se déroule en ce moment aux Etats-Unis, le vice-président R&D du groupe New York Times a présenté une application de ces capacités dans un client de lecture électronique développé pour l'International Herald Tribune. Ce client basé sur AIR 1.5 permet de se déplacer dans les pages à l'aide des flèches du clavier, et il est capable de reformater les pages automatiquement en fonction de la taille de l'écran. Salesforce.com réclame des interfaces AIR pour ses applications Selon Adobe, la place de marché AIR compte plus de 260 applications, et le nombre d'installations du client dépasse les 25 millions. Parmi les plus populaires, Adobe cite Twhirl, un client pour le service Twitter, qui aurait été téléchargé plus de 600 000 fois. Mais comme pour FedEx (FedEx Desktop), eBay (projet San Dimas) ou SAP (projet Muse), Adobe vise en priorité des utilisations professionnelles. Steve Fisher, vice-président exécutif de Salesforce.com, était ainsi invité sur scène pour encourager les développeurs à recourir à AIR et à Flex pour concevoir de meilleures interfaces pour les applications Salesforce.com. Parmi les autres nouvelles fonctions d'Adobe Integrated Runtime, il faut aussi noter une méthode de chiffrement plus simple et plus performante pour crypter les données stockées en local, et un interpréteur de code également mis à jour, qui accélérerait l'exécution du Javascript jusqu'à 35%, indique Adobe. (...)

(19/11/2008 09:54:02)

CA World 2008 : le Saas pour y voir plus clair dans l'offre

Des logiciels payables sous forme de souscription et accessibles en ligne, des fonctions packagées pour constituer des solutions globales : CA fait de gros efforts pour offrir à ses clients plus de simplicité. L'ex-Computer Associates est en effet connu pour l'extrême complexité de son offre, lui qui n'a cessé d'effectuer des rachats. A l'occasion de sa conférence utilisateurs 2008 CA World, qui accueille quelque 5 000 personnes à Las Vegas jusqu'à demain, CA s'efforce donc de montrer un visage plus simple à appréhender, afin d'aider les directeurs informatiques à mieux gérer la complexité de leurs systèmes. Ainsi, l'offre de gestion du support utilisateur Service Desk Manager 12 intègre désormais 7 produits en 1, « que d'autres fournisseurs vendent séparément », dit CA : gestion des changements, gestion des appels entrants, base de gestion des configurations (CMDB), cartographie des interdépendances entre applications, gestion des connaissances, automatisation du support et reporting. Pour l'analyste Jasmine Noel, de Ptak, Noel and Associates, cela va dans le bon sens. « CA simplifie la façon dont les entreprises peuvent acheter des capacités intégrées. Au lieu d'acheter plusieurs produits CA, vous avez un seul package, avec un ticket d'entrée moins élevé et que vous pouvez implémenter de façon standardisée. » Autre avantage, souligne l'analyste, cela correspond à la nouvelle philosophie de l'administration de systèmes, soutenue par les bonnes pratiques Itil, qui veut qu'on se préoccupe non de produits mais de processus. « Les clients passent d'une approche focalisée sur les tâches à une approche processus. Et ils ne veulent pas avoir à intégrer eux-mêmes tout un tas d'outils orientés tâches afin de constituer une solution capable de supporter un processus particulier. » Un troisième produit On Demand au catalogue de CA CA a également pris en compte un autre impératif d'Itil, la gestion par rôles, dans son produit. Un calendrier des changements est aussi désormais inclus dans la suite, afin de prévoir au mieux l'impact de chaque demande. CA a aussi annoncé qu'il élargissait son offre de Saas (Software as a service, services applicatifs en ligne), avec la sortie de Clarity PPM (Project & Portfolio Manager) On Demand, une version hébergée de son logiciel de gestion de portefeuilles projets. L'offre On Demand de CA, qui comporte déjà GRC Manager et Instant Recovery, aurait séduit plus d'un millier de clients dans le monde. Comme HP, IBM ou BMC avant lui, CA dit avoir saisi que ses clients n'ont pas forcément les ressources pour installer et maintenir des applications qui doivent justement les aider dans leur travail d'administration de l'informatique. D'après Forrester, sur un marché des logiciels d'administration représentant 18 Md$ en 2008, les offres Saas représentent moins de 1%. Mais le cabinet d'analystes estime qu'en 2013, ce pourcentage devrait grimper à 10%. Il faudra du temps, toutefois, indique encore Forrester, pour que les éditeurs transforment leurs offres afin de répondre aux canons du Saas (paiement à l'usage, partage des instances entre les clients, interfaces de type Web 2.0, etc.). (...)

(19/11/2008 08:20:22)

PTC affiche de bons résultats et s'ouvre les portes d'EADS

Le numéro 3 du PLM (Product Lifecycle Management), PTC se porte bien malgré la crise. Il vient de clôturer son année fiscale avec un chiffre d'affaires de 1,075 Md$ en augmentation de 14% et un bénéfice de 160 M$. Il affiche par ailleurs le meilleur trimestre de toute son histoire avec un CA de 299,5 M$ (+12%). En ces temps difficiles, on comprend que l'éditeur se soit réjoui à l'occasion de son PTC World 2008 au Stade de France le 13 novembre dernier. A l'heure où l'industrie automobile, cliente traditionnelle des logiciels de gestion du cycle de vie des produits, bat sérieusement de l'aile, l'Américain rappelle ainsi qu'il a, lui, pris la précaution de ne pas placer tous ses oeufs dans le même panier. Son CA se répartit entre les secteurs aéronautique (20%), high-tech (25%), automobile (15%), équipement industriel (20%), produits de grande consommation (10%) et sciences de la vie (10%). Pour tenir face à la crise, PTC compte aussi sur ses revenus récurrents (la maintenance représente 47% de ses revenus et les services 25%). En revanche, 42% de son CA est européen. La baisse de l'euro par rapport au dollar devient donc un handicap pour l'éditeur, qui lui imposera de revoir quelque peu ses prévisions à la baisse. « Nous espérons un premier trimestre situé entre 250 et 260 M$ avec une croissance de seulement 3 à 4% », estime Richard Harrison, président et CEO de PTC. Ce qui n'empêche pas cet adepte de la croissance externe d'envisager de nouvelles acquisitions avant la fin de l'année. PTC équipera EADS et la plupart de ses filiales Mais ses revenus ne sont pas le seul motif de satisfaction de l'entreprise. Cet été, l'éditeur a en effet raflé un imposant contrat chez EADS au nez et à la barbe de SAP, Siemens PLM (ex-UGS) et surtout Dassault Systèmes, le rival de toujours. Après les déboires de l'Airbus A380, le géant industriel a décidé d'harmoniser l'ensemble de ses environnements de PLM. Le prestigieux avion avait en effet accusé de lourds retards et pertes financières à la suite d'erreurs de conception des circuits électriques. En cause, entre autres, des systèmes de gestion des données techniques disparates et pas forcément compatibles. Aujourd'hui, pour son projet d'harmonisation Phenix, EADS a donc choisi PTC. Un coup historique à plusieurs titres [[page]]Il s'agit d'un coup historique à plusieurs titres. Pour commencer, quand on est américain comme PTC, pas facile de déloger Dassault Systèmes d'un grand compte européen. EADS reste néanmoins équipé de la CAO Catia du Français. Mais, PTC va bel et bien équiper le géant de l'aéronautique et la plupart de ses filiales, en particulier Airbus, Eurocopter et Astrium, de son SGDT (système de gestion de données techniques) collaboratif Windchill. « Nous parlons de 65 000 utilisateurs, s'enthousiasme Marc Diouane, vice-président Europe de l'Ouest pour PTC, sans oublier toute la chaîne de sous-traitance. » Dans son projet d'harmonisation, Airbus devrait en effet, au minimum, inciter ses prestataires à travailler dans les mêmes environnements que lui. « Pour chaque utilisateur Airbus, on peut en compter trois ou quatre chez les sous-traitants. » Une version de Windchill native pour Sharepoint Côté produits, PTC a rappelé la sortie de son offre de PLM en mode natif au dessus de l'environnement collaboratif Sharepoint de Microsoft, Windchill ProductPoint. Il a également présenté sa modélisation humaine numérique en 3D Pro/Engineer Manikin et ses extensions. Cet outil permet de concevoir des mannequins 3D virtuels réalistes pour effectuer, par exemple, des tests ergonomiques de produits encore à l'état de prototype numérique. Enfin, interrogé sur la nouvelle rumeur de vente de son entreprise cet été, Richard Harrison a fait une réponse aussi cinglante que surprenante : « Demandez à Bernard Charlès (NDLR : patron de Dassault Systèmes), a-t-il asséné. A ce moment-là, nous avions passé avec succès plusieurs phases de tests de l'appel d'offre EADS, alors que Dassault Systèmes, lui, n'y arrivait pas. Voyant qu'il allait perdre le marché, Bernard Charlès a glissé à des journalistes à Londres que nous étions à vendre, alors que ce n'était pas du tout fondé. » Dassault Systèmes ne souhaite pas commenter pour l'instant. Gageons qu'il n'en sera pas longtemps ainsi. C'est au tour du Français d'organiser sa grand messe annuelle, l'ECF, les 26 et 27 novembre prochains à Disneyland Paris. (...)

(18/11/2008 17:54:11)

Les dessous de l'arrivée de Thierry Breton chez Atos

Un jour à peine après son annonce, la nomination de Thierry Breton à la tête d'Atos Origin ainsi que le brusque départ de Philippe Germond n'ont pas manqué de provoquer de nombreuses réactions. Alors que le nom de Thierry Breton avait été évoqué pour reprendre les commandes d'Air France-KLM, d'Alcatel-Lucent ou encore de Carrefour, c'est finalement Atos Origin qui permet à Thierry Breton de retraverser l'Atlantique (il enseigne actuellement à l'école de Management de Harvard, aux Etats-Unis). Au sein de la SSII, l'inquiétude est de mise : « ça sent le roussi, une fois de plus », confie une informaticienne. Elisabeth de Maulde, présidente de Pierre Audouin Consultants est plus optimiste : « Thierry Breton ne vient pas tout à fait les mains vides, il a un parcours varié et une bonne vision du monde informatique et des télécoms. » Et si France Télécom achetait Atos ? La nomination de Thierry Breton soulève toutefois plusieurs interrogations. Pour commencer, pourrait-elle marquer un premier pas vers une revente de la SSII à France Télécom ? Thierry Breton a été PDG de l'opérateur entre 2002 et 2005, poussé par Didier Lombard, qui avait déjà appuyé sa candidature pour reprendre les rênes de Bull puis de Thomson. Ce même Didier Lombard est actuellement PDG de France Télécom. Pour les syndicats de l'opérateur historique, il n'y a pas de hasard et l'hypothèse d'une future revente ne fait aucun doute. Le cabinet PAC est plus mesuré mais n'écarte pas l'idée : « Ce n'est pas impossible, observe Elisabeth de Maulde, et ce pour deux raisons : d'une part, Atos Origin a toujours fait l'objet de tentatives de rachat, et d'autre part, les marchés des télécoms et de l'informatique ont irrémédiablement tendance à converger. » BT a par exemple acquis plusieurs SSII, comme la Française Net2S en janvier dernier. Par ailleurs, France Télécom est à la fois l'un des plus gros clients d'Atos et un des principaux concurrents d'Orange Business Services. La SSII marche donc sur les plates-bandes de l'opérateur dans le secteur de l'intégration et de la VoIP en entreprise. Un rapprochement semble donc logique. Philippe Germond évincé bien soudainement... [[page]]Autre question : comment est-il possible que Philippe Germond ait été débarqué de manière aussi précipitée ? « D'après moi la soudaineté de ce départ est beaucoup plus surprenante que l'arrivée de Thierry Breton », souligne Elisabeth de Maulde. Après des mois de querelle avec les deux fonds d'investissement Pardus et Centaurus et même frôlé le démantèlement, Philippe Germond était parvenu à trouver un modus vivendi. Un plan de transformation avait même été voté en octobre dernier pour aider la SSII à se repositionner. C'est pourtant à l'unanimité que le conseil de surveillance d'Atos a désigné Thierry Breton pour remplacer Philippe Germond... donc avec l'aval de Pardus, Centaurus mais aussi de PAI Partners. Ce dernier, fonds d'investissement historique de la société, avait fait un retour surprise dans le capital d'Atos en juin puis en septembre 2008. Perçu comme un véritable chevalier blanc, PAI Partners déclarait pourtant en juin vouloir « s'engager sur le moyen terme aux côtés de la direction pour l'aider à réaliser son plan de transformation ». Le « moyen terme » n'aura finalement duré que cinq mois, et aura coûté à Philippe Germond sa place. « La hache de guerre semblait être enterrée, peut-être que d'autres haches dont on ignorait l'existence ont refait surface », conclut Elisabeth de Maulde. (...)

(18/11/2008 17:19:48)

Du mouvement à la tête de Symantec

Après 28 ans chez IBM, puis une décennie chez Symantec, John Thompson prend sa retraite. En tant que PDG de Symantec, il aura orchestré la transition de cette société spécialiste des logiciels de sécurité grand public en éditeur presque généraliste tournés vers les problématiques d'entreprise : sécurité, mais également administration de parc, stockage et gouvernance des systèmes d'information. Il a notamment supervisé l'achat de Veritas en 2004, puis l'acquisition d'Altiris, en janvier 2007. Cette transformation achevée, John Thompson s'apprête donc à passer la main. Le 4 avril 2009, il prendra officiellement sa retraite et laissera son poste de PDG à Enrique Salem, directeur opérationnel de Symantec depuis 2008. Celui-ci était notamment chargé de superviser le travail de R&D pour améliorer l'intégration entre tous les produits, en particulier ceux acquis via des sociétés absorbées. Quelle orientation choisira-il pour la société ? Comment lui fera-t-il traverser la crise économique actuelle ? Enrique Salem ne veut pas s'aventurer dans une direction particulière, même s'il pense qu'il y a encore de fortes marges de croissance dans le stockage et l'administration des systèmes. Il s'affirme plutôt confiant : « Je suis ravi d'avoir cette opportunité de diriger une grande compagnie à travers sa prochaine phase de croissance et de création de valeur pour nos actionnaires. » Et pour se préparer à son prochain poste, il se penche déjà sur les structures de coûts de l'entreprise. De toute façon, John Thompson gardera un pied dans la société, puisque même retraité, il restera président du conseil d'administration. (...)

(18/11/2008 17:12:34)

Citigroup supprime 52 000 emplois dont une forte proportion dans l'informatique

Les informaticiens du secteur bancaire sont à leur tour victimes de la crise financière. Ainsi, la banque américaine Citigroup, particulièrement touchée, a annoncé lundi qu'elle allait tailler massivement dans ses effectifs, y compris dans l'informatique : « la disparition de quelque 52 000 emplois est programmée dans les prochains mois et cela concernera une forte proportion d'informaticiens », a déclaré Vikram Pandit, PDG de Citigroup, à l'occasion d'une présentation destinée aux investisseurs de l'entreprise et publiée sur le site Internet de la banque. Il y a quelques temps déjà que l'établissement envisage de réduire les coûts de sa division informatique qui emploie actuellement 25 000 personnes. L'an dernier, le groupe avait annoncé une série de mesures destinée à la restructurer. Celles-ci portaient notamment sur la consolidation des datacenters, un meilleur usage des technologies existantes, une optimisation des réseaux voix et données, et une uniformisation des processus de développement d'applications. « La simplification et l'uniformisation de l'informatique sera essentielle pour accroître l'efficacité de l'entreprise tout en réduisant les coûts », avaient déclaré les dirigeants de la banque en avril 2007, date à laquelle 17 000 emplois avaient été supprimés. Cette idée semble avoir inspiré les nouveaux dirigeants de la banque qui comptent sur ce nouveau plan de transformation pour dégager 3 Md$ d'économies d'ici trois ans, dont près de 1 Md$ proviendra directement de l'informatique. (...)

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