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(20/11/2008 16:25:08)

IBM veut acquérir Transitive pour consolider les applications hétérogènes

IBM s'est porté acquéreur de la société anglo-américaine Transitive. Forte de 48 brevets, sa technologie Quick Transit permet de transcrire dynamiquement le code d'une application sur un autre processeur que celui d'origine. Autrement dit, le savoir-faire de Transitive permet, par le biais de l'émulation, de consolider des applications hétérogènes sur des plateformes hôtes. IBM se dote donc d'un outil d'hébergement d'applications tierces sur ses plateformes. Quick Transit permet de transcrire du code dynamiquement à partir des architectures processeurs suivantes : X86, PowerPC, Mips, Itanium, Sparc et processeurs mainframe. La présence de cette couche réduit les performances de 10 à 50% selon l'importance des appels processeur. La technologie QuickTransit de Transitive est éprouvée. C'est elle, sous le nom de Rosetta, qui a permis à Apple de quitter les processeurs PowerPC pour ceux d'Intel. IBM est également client de Transitive. Sa technologie est au coeur du produit PowerVM Lx86 (ex-PAVE, System P Application Virtual Environment) qui permet de faire tourner du Linux X86 sur plateforme Power. Outre Apple et IBM, Fujitsu Siemens, Red Hat, HP et Sun sont clients de Transitive. Désormais, il y a fort à parier qu'IBM va garder l'exclusivité du savoir faire de sa nouvelle acquisition. Les plateformes Sparc/Solaris pourraient être une cible de choix pour IBM. (...)

(20/11/2008 15:56:23)

IBM travaille à un ordinateur synaptique sous l'égide de la Darpa

Quelle est l'unité de calcul la plus performante, la moins encombrante et la moins consommatrice en énergie ? Le cerveau, répond l'agence de recherche militaire américaine Darpa (Defense advanced research projects agency, à l'origine d'Internet), qui vient d'allouer un budget de 4,9 M$ à IBM pour conduire une première phase d'études visant à élaborer l'ordinateur du futur, une machine intelligente. Le projet Synapse de la Darpa (pour Systems of neuromorphic adaptive plastic scalable electronics) ambitionne d'aller au-delà des capacités informatiques actuelles en s'inspirant de la biologie. Dharmendra S. Modha, responsable de l'informatique cognitive au centre de recherches d'IBM à Almaden, explique que l'architecture technique actuelle des ordinateurs est dépassée par l'augmentation exponentielle du nombre d'informations à traiter, alors qu'au contraire, les systèmes biologiques sont capables de s'adapter à des environnements complexes, et ce de façon autonome. Pour Dharmendra Modha, les systèmes actuels sont limités à la fois par le matériel, les algorithmes conçus par les programmeurs, et par l'architecture technique actuelle (décrite par John Von Neumann) qui sépare l'unité de stockage des données de l'unité de traitement, créant un goulet d'étranglement. Citant un ancien employé d'IBM, Dharmendra Modha estime qu'il s'agit d'un goulet réduisant non seulement la bande passante, mais aussi le champ de la pensée ; il s'agit aujourd'hui, dit-il, de trouver un autre paradigme, en se basant sur le système de connexions synaptiques du cerveau. Un ordinateur synaptique plutôt qu'une intelligence artificielle [[page]] Cette technologie inspirée du cerveau, dite « neuromorphique », devrait être capable d'absorber tous les éléments entrants en temps réel, d'apprendre seul et d'arriver à des résultats logiques en fonction de calculs probabilistes. Sélectionné par la Darpa, le projet d'IBM, C2S2 (Cognitive computing via synaptronics and supercomputing), dirigé par Dharmendra Modha, verra la collaboration de deux centres R&D d'IBM (Almaden et T.J. Watson) ainsi que des spécialistes des universités de Stanford, Wisconsin-Madison, Columbia et California-Merced. Même si le but est de produire des systèmes plus intelligents, Dharmendra Modha se garde bien de parler d'intelligence artificielle.Il préfère, dit-il, explorer d'abord la façon dont on pourrait adapter l'architecture du cerveau pour l'informatique. D'ici 9 mois, le chercheur pense pouvoir concevoir des liaisons synaptiques à une échelle nanométrique. Dharmendra Modha estime en effet que c'est sur les connexions entre neurones qu'il faut se concentrer. Elles sont, indique-t-il, 10 000 fois plus nombreuses dans les cerveaux de rats et de souris que les neurones eux-mêmes, et elles changent en fonction du vécu du sujet, de son apprentissage et de son environnement. « Le cerveau est donc moins un réseau neural qu'un réseau synaptique. » (...)

(20/11/2008 15:53:42)

Google débranche Lively, son univers virtuel

Six petits mois et puis s'en va. Lively, l'univers virtuel lancé en juillet par Google, cessera définitivement d'exister en décembre. Alternative à Second Life, Lively était accessible directement à partir d'un navigateur. Le projet, issu des Google Labs, avait pour objectif, selon le géant du Web, d'offrir aux internautes un nouveau mode d'interactions et d'expression. Un peu comme le proposent tous les outils du Web 2.0. Abondance de bien ne nuit - théoriquement - pas sauf quand on s'aventure sur un terrain comme celui des univers virtuels, où le principal représentant - Second Life - ne suscite plus le centième du buzz dont il était l'objet il y a encore un an. De fait, seuls 10 000 internautes se connectent au moins une fois par semaine sur Lively. Bien trop peu pour justifier la survie de cet univers virtuel. Le tentaculaire éditeur se veut beau perdant. Sur le blog officiel de Google, on apprend ainsi que les dollars de Moutain View seront plus utiles en étant dépensés pour les activités plus traditionnelles du groupe : recherche, publicité, applications. « Nous avons toujours admis, qu'en prenant ce type de risques, on ne peut pas gagner à tous les coups. » Mieux, Google se fait adepte de la méthode Coué en affirmant tirer parti de cet échec : « Lively nous a appris ce que les utilisateurs aiment et ce qu'ils n'aiment pas. » Google recommande aux utilisateurs de Lively de se presser de réaliser des captures d'écran mettant en scène leurs avatars. Le 1er janvier 2009, ils auront trépassé. (...)

(20/11/2008 12:14:26)

La taxe sur les FAI et les opérateurs pourrait maigrir pour les petits acteurs

La taxe sur les FAI maigrit mais tous n'en profiteront pas, loin s'en faut. Le prélèvement que le gouvernement prévoit de mettre en place sur le chiffre d'affaires des FAI et opérateurs télécoms pour compenser la suppression de la publicité sur les chaînes de télévision publique pourrait en effet être revu à la baisse. La commission spéciale consacrée à ce dossier (présidée par Jean-François Copé) vient ainsi d'adopter un amendement prévoyant d'indexer la hauteur de cette taxe sur les revenus des entreprises éligibles. Alors que le président de la République avait fixé la taxe à 0,9% du CA, l'amendement présenté par Jean Dionis du Séjour suggère que seuls les FAI et opérateurs réalisant plus de 30 M€ de CA soient ainsi prélevés. La taxe serait ensuite dégressive, avec un plancher de 0,5% pour les entreprises dont les revenus sont compris entre 5 et 10 M€. En deçà, les entreprises ne seraient pas soumises à la taxe. Les MVNO, premiers bénéficiaires Si cela ne changera rien pour les fournisseurs d'accès à Internet ou les trois opérateurs mobiles, dont les CA dépassent tous allègrement la barre du milliard d'euros, les acteurs de moindre importance pourraient en tirer parti. Ce sont essentiellement les opérateurs mobiles virtuels (MVNO) qui devraient profiter de cette mesure. Elle contribuerait ainsi également, du moins selon Jean Dionis du Séjour, à « permettre l'émergence et la montée en puissance des petits acteurs ». Par ailleurs, la commission Copé a également fait un geste en faveur des chaînes de télévision privées. Un amendement adopté par la commission prévoit de fixer à 1,5% de leur CA publicitaire la taxe dont elles devront s'acquitter jusqu'en 2012. Le projet de loi tablait sur une imposition deux fois supérieure. (...)

(20/11/2008 11:59:26)

Microsoft dote son PGI Dynamics NAV 2009 d'une interface à rôles

Comme attendu, le progiciel de gestion intégré pour PME Microsoft Dynamics NAV (1 800 clients en France) arrive dans sa version 2009 pourvue d'une interface adaptée aux rôles des différents utilisateurs d'une entreprise. C'est à l'occasion de sa conférence européenne Convergence (19-20/11, Copenhague) que Microsoft a annoncé sa disponibilité immédiate en France. Le PGI bénéficie de l'offre de financement à 0% annoncée la semaine dernière par l'éditeur dans le cadre d'achats allant de 15 500 euros à 775 000 euros.

Vingt-et-un rôles prédéfinis

L'interface par rôle a déjà été mise en oeuvre cette année dans Dynamics AX 2009, autre PGI de Microsoft, davantage tourné que NAV vers l'industrie et les grandes PME. C'est l'aboutissement d'une démarche menée depuis plusieurs années par les équipes de développement de l'éditeur (réparties entre les Etats-Unis et Copenhague). Des centaines d'utilisateurs ont été sollicités pour exposer la façon dont ils travaillaient afin que l'usage individuel de l'interface soit, au cas par cas, optimisé au plus près du poste occupé par la personne (commercial, comptable, préparateur de commande, employé à l'administration des ventes...). 

Vingt-et-un rôles ont été prédéfinis dans Dynamics NAV 2009. Chaque profil d'utilisateur bénéficie sur son interface (qu'il peut encore personnaliser) d'une présentation synthétique de ses tâches et d'un accès rapide aux données qui lui sont utiles, avec des indicateurs pertinents pour son métier, des fonctions contextuelles et la possibilité de communiquer avec les autres utilisateurs.
Les partenaires distributeurs de Dynamics NAV disposent de leur côté d'outils de modélisation pour formaliser les rôles.

Office, SharePoint, décisionnel et mobilité

Dans sa version 2009, le PGI a renforcé ses liens avec les autres produits de Microsoft, en particulier la bureautique Office et le portail SharePoint Server (servant à la collaboration, au stockage et à la gestion de documents, notamment), mais aussi MapPoint pour la cartographie et le middleware Biztalk Server pour l'intégration avec d'autres applications. L'accès aux outils de reporting de SQL Server Reporting Services a été généralisé et s'enrichit des fonctions décisionnelles de SQL Server Analysis Services. Enfin, comme prévu, le PGI repose sur une architecture orientée services qui s'appuie sur les technologies .Net pour s'ouvrir aux applications externes, exposer et consommer des services Web.

Quant à l'accès destiné aux utilisateurs itinérants, Dynamics Mobile, livré un peu plus tôt cette année, il fonctionne maintenant sous Windows Mobile 6.1.

A l'occasion de sa conférence européenne Convergence, Microsoft a également présenté une nouvelle version de son site communautaire (16 000 utilisateurs) destiné aux clients et partenaires des solutions Dynamics. (...)

(20/11/2008 09:55:42)

Ballmer : « Un rachat de Yahoo c'est non, un partenariat c'est possible »

« Les discussions autour d'une acquisition [de Yahoo] sont terminées », a déclaré Steve Ballmer lors de l'assemblée annuelle des actionnaires de Microsoft qui se déroulait hier, 19 novembre. Le PDG du géant de Redmond a ainsi mis fin aux espoirs des actionnaires de la société après le départ de Jerry Yang. Pour autant, le PDG de Microsoft ne ferme pas tout à fait la porte à Yahoo. Steve Ballmer pense qu'un partenariat dans la recherche en ligne est encore possible, comme c'était déjà le cas en mai dernier. Il faut dire que Microsoft n'a pas trop le choix s'il souhaite contrer Google sur le secteur de la recherche en ligne. Le mastodonte de Mountain View détient en effet 60% de ce marché, contre à peine 3% pour Microsoft. Seul, le géant de Redmond est donc bien désarmé, il lui faut un allié auquel il pourrait s'adosser. Microsoft pourrait proposer à Yahoo un accord de coopération visant à la mise en ligne de publicités dans ses pages de recherche, un peu comme le contrat qui liait le pionnier de la recherche en ligne à Google avant de capoter lamentablement. Microsoft serre la vis pour affronter la crise [[page]] L'assemblée générale des actionnaires de Microsoft - à laquelle participait Bill Gates, retraité de la société depuis juin dernier - a également été l'occasion d'évoquer d'autres sujets, comme la sortie de Windows 7. Elle devrait avoir lieu en 2009, sans plus de précision. La crise financière était évidemment au coeur des discussions. « Notre société n'est pas à l'abri et nous examinons tous les moyens possibles pour réaliser des économies », a déclaré Steve Ballmer. Microsoft a annoncé un plan de réduction des coûts au mois d'octobre dernier. L'éditeur espère alléger ses dépenses de 500 M$ pour le reste de l'exercice en cours, qui se termine le 30 juin 2009. Il s'agit notamment de mettre un frein sur les recrutements. Microsoft ne veut pas entendre parler de « gel des embauches », les recrutements seront sous les 15% atteints l'an dernier par l'éditeur. Enfin, Microsoft a encouragé ses actionnaires à voter en faveur du Global network initiative, un code éthique signé entre l'éditeur, Google et Yahoo pour lutter contre la répression de la liberté d'expression, notamment en Chine. Cette bonne résolution est certes louable, mais au-delà de son aspect philanthropique, la démarche de Microsoft ne semble pas tout à fait désintéressée. La Chine, qui représente un formidable potentiel de marché, est aussi un pays qui enregistre l'un des plus importants taux de piraterie informatique - Windows en tête. (...)

(19/11/2008 17:04:16)

Capgemini utilise le 'cloud' d'Amazon pour développer des applications

Capgemini et Amazon Web Services ont noué hier un partenariat autour du 'cloud computing'. La SSII française se servira du nuage d'Amazon pour développer des applications autour de trois axes : les solutions SaaS Microsoft SharePoint, Fusion (le module ERP, progiciel de gestion intégrée, d'Oracle), ainsi que des services de test et de développement d'applications industrielles via Internet. Cette offre, expérimentée aux Etats-Unis depuis le début de l'année auprès de trois grandes sociétés, est destinée à évoluer vers d'autres secteurs, comme l'univers SAP ou l'Open Source. Capgemini se charge de développer des applications qui sont ensuite hébergées par la plateforme EC2 (Elastic Computer Cloud) d'Amazon. Ce service - fraîchement sorti de sa version bêta - permet de créer un nouveau serveur en quelques minutes, en s'affranchissant de l'achat de nouveau matériel. Capgemini et Amazon garantissent une disponibilité de 99,95%, ce qui correspond à un temps d'arrêt n'excédant pas 4 h 30 par an. La facturation se fait au cas par cas. Capgemini fournit également des services de conseil, de migration et de sauvegarde. Un pôle de compétences a même été créé à cet effet. Il est composé d'une équipe d'une cinquantaine de personnes (architectes infrastructure et consultants) situées aux Etats-Unis, en Europe (notamment en France) et en Inde. Capgemini prône la souplesse et la visibilité budgétaire Avec ce pôle de compétences, Capgemini met le pied dans le 'cloud computing' pour la première fois et compte s'y faire une place. « Je ne crois pas qu'il s'agisse d'un simple phénomène de mode organisé autour d'un buzz médiatique, explique Pascal Exertier, directeur de l'activité infogérance et président de l'activité outsourcing de Capgemini France. Nos clients éprouvent de vraies difficultés à prévoir leurs investissements et la conjoncture économique actuelle ne va pas faciliter les choses. Notre offre de 'cloud computing' leur permet d'avoir une certaine souplesse ainsi qu'une meilleure visibilité budgétaire. » (...)

(19/11/2008 15:14:19)

Avec Decho, EMC prépare un nuage de stockage pour particuliers et PME

Cisco crée la société Decho en regroupant deux filiales, Mozy (sauvegarde en ligne), et Pi Corp (gestion en ligne des données personnelles). Pour l'heure, Decho ne commercialise que l'offre de Mozy, mais la société a vocation à proposer, avec la technologie de Pi, un cloud de stockage à valeur ajoutée pour les particuliers et les petites entreprises. EMC, qui vient d'annoncer le nuage de stockage de données Atmos à l'attention des grands comptes, semble donc vouloir, avec Decho, commercialiser un service équivalent pour répondre aux besoins des individus et des PME. Le nom de Decho, pour Digital Echo, renvoie à la quantité croissante de données numériques associées à chaque individu. Des millions d'utilisateurs à 5 $ par mois Mozy (acheté en octobre 2007), revendique une clientèle de 900 000 individus et/ou 25 000 entreprises pour le compte desquelles elle stockerait 10 millions de Go (10 Petaoctets) de données. Quant à Pi Corporation, acheté à Paul Maritz juste avant qu'il ne soit nommé à la tête de VMware en juillet dernier, elle est encore en phase de conception de ses produits. Sa vocation est de proposer un repository de metadonnées pour stocker toutes les données et informations personnelles attachées à une personne. Outre tous les fichiers appartenant à cette personne (bureautique, photos, films, musique), cela englobe des données à la fois légales (identités), bureautiques (carnets d'adresses) et économiques (relevés bancaires et factures). Decho veut proposer au plus grand nombre un stockage intelligent et fiable à cette masse déjà énorme d'information. Des millions d'utilisateurs potentiels facturés chacun 5$ par mois et par ordinateur pour toute la durée de leur vie, c'est cela que l'on appelle une rente. (...)

(19/11/2008 15:09:36)

Exclusif : Laurent Baudart devient délégué général de Syntec Informatique

Francis Jubert a quitté ses fonctions de délégué général du Syntec Informatique la semaine dernière. Son remplaçant, Laurent Baudart, était jusqu'alors directeur des services clients internationaux chez ECS. Cette dernière fonction l'a conduit à être recruté par le Syntec Informatique qui vient de fédérer plusieurs de ses homologues européens pour mieux peser à Bruxelles. Entré chez ECS en décembre 2003, Laurent Baudart a d'abord dirigé les opérations en Europe pendant deux ans. Ensuite, il anima la « business unit » services aux infrastructures, de 2005 à 2007. Depuis, il était responsable des services au plan international. Membre du « board », il a également piloté plusieurs acquisitions en Italie et en Espagne et assuré la fusion avec Technoservice en Allemagne. Avant ECS, Laurent Baudart a été directeur des ventes en Europe du sud pour Corvis (de août 2000 à octobre 2003), responsable commercial puis directeur des ventes de MCI Worldcom (mai 1997 - juillet 2000), responsable commercial chez l'intégrateur Datastaff (avril 1996 - mai 1997), Cabletron (avril 1995 - avril 1996), France Télécom (janvier 1992 - avril 1995), TRT Philips (décembre 1988 - janvier 1992). Laurent Baudart est diplômé de l'ESCP-EAP et ingénieur diplômé de l'Eudil (Lille). (...)

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