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(04/11/2008 10:37:31)

Fujitsu bientôt propriétaire à 100% de Fujitsu-Siemens

Le divorce entre Fujitsu et Siemens est prononcé. Pas loin de 10 ans après s'être associés dans Fujitsu-Siemens, les deux industriels ont convenu de se séparer, le Japonais acceptant de payer environ 450 M€ à l'Allemand pour racheter sa part de 50% dans la co-entreprise. La décision sera effective au 1er avril prochain, date à laquelle le constructeur européen deviendra une filiale à 100% de Fujitsu. Cette décision intervient avec quelques mois d'avance sur le calendrier : scellé en 1999, le partenariat entre Fujitsu et Siemens devait arriver à son terme en octobre 2009. Le patron de la co-entreprise, Bernd Bischoff, a toutefois d'ores et déjà « démissionné pour des raisons personnelles ». Il sera remplacé dans l'immédiat par le directeur financier. Il semble que Bernd Bischoff se soit opposé aux plans de restructuration avancés par Fujitsu. Si ce dernier gagne ainsi une base solide pour opérer sur le marché européens des serveurs au moment où les ventes de ces matériels reculent au Japon, il est possible que la division PC soit revendue après la transaction. Une occasion que pourrait saisir Lenovo qui s'était fait souffler le fabricant européen de PC Packard Bell par Acer. Fujitsu-Siemens a clos sa dernière année fiscale sur un chiffre d'affaires de 6,6 Md€, en baisse de 4,9%, « qui reflète des changements de la stratégie de l'entreprise et d'un contexte commercial difficile ». (...)

(03/11/2008 13:11:44)

Après le rejet de l'offre de Gemalto, Wavecom étudie des pistes alternatives

Le conseil d'administration de Wavecom a rejeté l'offre publique d'achat hostile faite par Gemalto début octobre après l'avoir « attentivement étudiée ». Le fournisseur français de technologies sans fil embarquées pour les communications machine-to-machine (M2M) a estimé que l'offre était « inadéquate et contraire aux intérêts des actionnaires », à l'unanimité de son conseil d'administration. Ce dernier recommande donc à ses actionnaires de n'apporter aucun de leurs titres à Gemalto (né de la fusion de Gemplus et d'Axalto). Le conseil d'administration a par ailleurs demandé à la commission Fusion et Acquisition de Wavecom d'étudier des pistes alternatives qui lui permettraient d'offrir à l'entreprise une logique industrielle et financière plus forte. Des enjeux de politique industrielle peu détaillés En effet, outre le calendrier, jugé « hautement opportuniste » pour Gemalto, et très défavorable pour Wavecom (les petites entreprises étant plus affectées que les grandes dans le contexte boursier actuel très secoué), le conseil d'administration estime également que les enjeux de stratégie, de politique industrielle et d'intégration ont été très peu détaillés dans la note d'offre de Gemalto, alors qu'il s'agit de points déterminants pour apprécier l'intérêt de la proposition pour l'ensemble des parties prenantes, notamment pour les employés de l'entreprise. Quant au montant de l'offre faite par Gemalto (7 euros par action), revalorisée courant octobre, le conseil d'administration estime qu'elle représente une décote significative par rapport à la valeur de Wavecom. Il a calculé, après prise en comptes des disponibilités, des créances fiscales et des déficits fiscaux reportables de Wavecom, que le prix de revient net de Gemalto « ressort à un prix qui pourrait être de 1,9 euros par action ». (...)

(03/11/2008 13:05:47)

Atos Origin prévoit des cessions d'activités pour générer de la croissance

Atos Origin a publié un chiffre d'affaires de 1,33 Md€, en hausse de 5,3%, au cours de son troisième trimestre, sur un périmètre excluant l'Italie, vendue le 31 janvier 2008, et AEMS Bourse, cédée le 5 août 2008. Sur les neuf premiers mois de son exercice, la SSII rapporte un CA de 4,07 Md€ (+6,3%). Au cours du troisième trimestre, le CA de l'activité infogérance a progressé de 4,7% à 725 M€, représentant 55% du total. Les revenus de la division intégration de systèmes s'établissent de leur côté à 521 M€ (soit 39% du total ),et ceux de l'activité conseil s'élèvent à 84 M€ (soit 6% du total). Le groupe confirme par ailleurs une croissance organique de plus de 5% en 2008, après avoir réalisé +6,3% sur les neuf premiers mois de l'année. Une série d'actions complémentaires autour de la réduction des coûts [[page]] Atos Origin a également annoncé son intention de céder dans les prochains mois des activités représentant entre 250 et 500 millions d'euros de chiffre d'affaires dans le cadre d'un plan de recentrage stratégique. Outre ce plan de recentrage, une série d'actions a été lancée début septembre par Atos dans un objectif de réduction des coûts : génération de trésorerie par l'optimisation des investissements, accélération du recours à l'offshore, réduction des sous-traitants, adaptation de la structure des rémunérations variables au nouvel environnement, gel de tous les recrutements indirects et attention particulière sur le recrutement des effectifs directs, réduction des dépenses (sur les voyages ou les formations), optimisation des ressources de management avec un impact supplémentaire de 30 millions d'euros sur la trésorerie en 2008. Enfin, et compte tenu de la structure de ses activités et du niveau des commandes déjà enregistrées Atos se dit confiant pour générer une croissance organique positive l'an prochain. (...)

(03/11/2008 12:25:16)

Google et Yahoo pourraient renoncer à leur accord

La semaine qui débute pourrait sonner le glas des désirs d'association qu'ont manifesté Yahoo et Google depuis le printemps dernier. Les deux géants du Web pourraient en effet renoncer à leur accord. La faute, selon le Wall Street Journal, au DoJ (Departement of Justice) : l'équivalent américain de la Chancellerie, qui se penche depuis plusieurs mois sur les modalités de ce partenariat au travers duquel Google insèrerait des liens sponsorisés dans les pages de résultats de Yahoo, imposerait des conditions décourageantes aux deux acteurs. Dans un souci d'empêcher une association qui se traduirait par une mainmise sur la publicité en ligne contraire aux principes de la concurrence, le DoJ obligerait les deux protagonistes à dévoiler et faire valider par la justice américaine les moindres détails de leur contrat. Des conditions inacceptables, notamment pour Google, qui pourraient conduire les deux entreprises à tirer un trait sur leur projet. En abandonnant ce partenariat, Yahoo tirerait un trait sur une source de revenus estimée à quelque 800 M$ par an. Une manne pour une société qui, épuisée d'avoir lutté pour résister aux velléités d'acquisition de Microsoft pendant plusieurs mois, n'a pu que publier des résultats financiers en berne lors du dernier trimestre. Et s'apprête à supprimer plusieurs centaines de postes. (...)

(03/11/2008 11:31:35)

Encore mal connue et mal vendue, la ToIP progresse lentement en France

La pénétration de la ToIP en France (téléphonie sur IP) est constante d'une année à l'autre mais reste faible. Pour 2008, 16% des sites interrogés (soit 78 000 sites et 431 000 accès télécoms) sont en ToIP. C'est 4% de plus qu'en 2007, une progression représentant 20 000 nouveaux sites. Les TPE (6 à 9 salariés) sont à 18% de pénétration, les moyennes entreprises (10 à 499 salariés) à 14%, les grands comptes (plus de 50 salariés) à 18%. Par taille d'entreprise, sur les petites structures (celles de moins de dix salariés), Scholé remarque une forte pénétration des box ADSL (Live Box d'Orange, 9Pass de l'ex NeufCegetel etc.) qui comptent pour 42% dans l'équipement des TPE. 27% d'entre elles ont des passerelles IP, 16% des IPBX, 4% seulement du Centrex. 21% ne répondent pas et 4% ne savent pas. A l'échelon supérieur, dans les structures de 10 à 499 salariés, la 'box' tombe à 33%. Les logiciels de téléphonie présentent un taux de pénétration de 67% dans les moyennes entreprises et de 60% dans les grands comptes. Les passerelles IP en revanche atteignent 45% de parts de marché dans les moyennes entreprises et 53% dans les grands comptes (au-delà de 500 salariés). Les IPBX sont respectivement à 20 et 16% de parts de marché, le Centrex à 8 et 4%. Satisfaction relative des utilisateurs [[page]] En terme de satisfaction, 65% de ceux qui ont adopté la ToIP la jugent d'aussi bonne qualité que les solutions traditionnelles, 30% la trouvent moins bonne et 5% seulement meilleure. Toute la partie services arrive en tête des éléments de satisfaction. Parmi eux, on retrouve le partage de documents (cité par 31% des interrogés), la messagerie unifiée (29%), le travail collaboratif (25%), les annuaires mutualisés (21%). Conclusion du cabinet d'études : le marché évolue lentement, il faut l'aider, donc comprendre les freins au développement de la ToIP et trouver les arguments pour accélérer le rythme. Scholé Marketing a identifié des éléments qui vont dans ce sens. Constructeurs et installateurs peuvent prendre appui d'abord sur le renouvellement des équipements. Un tiers des PABX sont à renouveler Un tiers du parc de PABX doit être renouvelé : 19% ont 9 ans et plus, 12% de 6 à 8 ans. Pour le reste, 29% ont entre trois et cinq ans et 38% des PABX installés ont moins de trois ans. Dans le même ordre d'idées, 40% des établissements ont un câblage datant de six ans et plus. Ce pourcentage monte à 55% pour les entreprises de plus de 500 salariés. Autre « bonne nouvelle », c'est-à-dire susceptible de déclencher des décisions d'investissement, la consommation téléphonique est jugée coûteuse. 35% des entreprises trouvent leur facture élevée ou trop élevée, cette proportion grimpe à 46% dans les grands comptes. 41% des entreprises multi-sites et 38% de celles équipées en IP déclarent également leur facture télécoms trop élevée. Au total, Scholé Marketing a noté 4% d'intentions de migration dans les entreprises en faveur de solutions de ToIP. Ce pourcentage est une moyenne. Dans les grands comptes, il grimpe à 19%, reste à 10% pour celles entre 10 et 499 salariés et plonge à 1% en dessous de 10 salariés. Des chiffres plutôt faibles. Manque de notoriété et freins technologiques [[page]] Manque de notoriété et freins technologiques Scholé a donc cherché à identifier les arguments qui défavorisent encore la ToIP : elle n'est pas assez connue (par 30% seulement des sites interrogés), et quand elle est connue c'est surtout pour les box grand public. Plus grave, les offres professionnelles ne sont connues que par 15% des sites interrogés. Les freins sont liés également à des facteurs technologiques. 48% des sites interrogés invoquent la mauvaise qualité de la voix, 45% l'investissement trop onéreux, 42% la dépendance vis-à-vis du réseau Internet, 31% la nécessité de refondre le réseau de données, 25% la sécurité. Rien d'étonnant à voir 57% des interrogés évoquer une technologie encore peu mature. 90% des entreprises mettent en avant les économies escomptées avec la ToIP Du côté des avantages, un argument balaye tous les autres : les économies. 90% des entreprises le mettent en avant. Loin derrière, on trouve l'indépendance vis-à-vis des opérateurs (26%) et les services offerts (26%). Les économies escomptées tiennent à la communication (70%), les services de maintenance et d'exploitation (45%), le câblage (34%). A l'évidence, l'écosystème concerné (opérateurs, constructeurs, installateurs, intégrateurs) a du pain sur la planche. Les relations entre ces différents acteurs sont probablement à optimiser s'ils veulent vendre d'avantage de solutions en ToIP. (*) Méthodologie de l'enquête : L'Observatoire a été lancé en 2007 avec une première enquête portant sur 5 000 entreprises. Pour 2008, Scholé Marketing enquête en deux vagues (3 200 enquêtes au total, une en mai et une autre en cours) auprès des établissements, donc des sites de production. (...)

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