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(31/10/2008 17:47:11)
Dassault Systèmes maintient ses objectifs de croissance
Il semble bien que malgré les avertissements des analystes, Dassault Systèmes ne connaisse pas la crise. Il affiche en effet pour son troisième trimestre 2008 un chiffre d'affaires de 318,3 M€ en progression de 6% (10% à taux de change constant). La croissance de 12% des ventes de logiciel (à taux de change constant) est conforme aux objectifs exprimés par l'éditeur en début d'année. Les environnements de PLM, en particulier, sont en croissance de 11%. Bernard Charlès, directeur général, estime que cette progression est essentiellement dûe à sa stratégie de diversification vers de nouveaux secteurs. Acteur historique de la CAO, l'éditeur cible depuis toujours les industriels des secteurs automobile et aéronautique, par exemple. Mais en ouvrant ses logiciels de PLM à des biens qui ne nécessitent pas de conception mécanique (agroalimentaire, textile, etc.), il tente d'élargir son marché. Dassault Systèmes ne donne aucun chiffre pour appuyer sa démonstration mais annonce que le géant industriel Procter&Gamble adopte la gamme de PLM Enovia pour toute l'entreprise. Pour Bernard Charlès, la croissance de Dassault Systèmes doit aussi beaucoup au succès de ses solutions de collaboration et de simulation. Le dirigeant évoque enfin le renforcement de ses réseaux de distribution, en particulier celui dédié à la vente de PLM aux PME, et à la croissance de la base installée de clients. (...)
(31/10/2008 17:39:05)Performance financière : l'éditeur Tagetik s'installe en France
Spécialisé dans les applications de gestion de la performance financière (CPM, corporate performance management), l'éditeur italien Tagetik ouvre une filiale en France après s'être installé aux Etats-Unis, en Angleterre et en Allemagne ainsi que dans plusieurs autres pays européens. Le marché sur lequel il évolue a subi une forte concentration ces derniers mois puisque les principaux concurrents de Tagetik ne sont autres que Hyperion (racheté par Oracle), Cartesis, OutlookSoft (tous deux dans le giron de SAP désormais), Infor (avec l'offre MPC) et, depuis cette année, Microsoft. Une concurrence que connaît bien Bruno Leblanc, vice-président et directeur général de Tagetik France. Face aux produits établis, il avance avec Tagetik CPM une solution de conception récente (livrée en 2006), qui bénéficie de la vingtaine d'années d'expérience de son éditeur (à l'origine société de services) et déjà installée chez 300 clients dans le monde, dont la grande majorité en Italie (Pirelli, Gucci, Barilla, le groupe pharmaceutique Menarini, notamment). Un seul référentiel et modèle de données Mais surtout, le patron de la filiale française fait valoir que cette offre, appliquée à la gestion de la performance et à la gouvernance financière, couvre tout le spectre du CPM (élaboration budgétaire, planification, gestion prévisionnelle, consolidation légale, reporting de management, tableaux de bord, scorecarding, gestion des risques et de la conformité...) en s'appuyant sur un unique référentiel et un seul modèle de données. Alors que les plateformes de CPM concurrentes ont souvent été constituées par intégration à la suite de rachats. Bruno Leblanc souligne par ailleurs l'importance des applications analytiques et des fonctions pré-packagées, ces dernières représentant selon lui près de 90% de Tagetik CPM, ce qui permet de réduire le nombre de jours de consulting. Le prix de la maintenance est fixé à 20% annuels du coût des licences. (...)
(31/10/2008 16:50:06)PlaNet Finance distingue Neocaster pour ses videos interactives
PlaNet Finance, l'organisation créée par Jacques Attali pour soutenir et faire progresser le microcrédit, a décerné cette semaine à des micro-entrepreneurs du monde entier ses premiers « International Microfinance Awards » en incluant dans son palmarès une catégorie « Nouvelles technologies ». La SSII Sogeti, partenaire de l'événement, s'est associée à la remise de ce prix en particulier, qui a été attribué à deux lauréats ex-aequo. D'une part, au Français Alain Kaplan, dont la société Neocaster a développé un logiciel pour créer des vidéos interactives et des programmes de WebTV pour les entreprises. D'autre part, au Chinois Luo Chaoshuan, qui de son côté tire parti des nouvelles technologies dans le secteur de l'automobile. Le projet Néocaster est né à Sevran en Seine-Saint-Denis, et a été soutenu financièrement par PlaNet Finance et Créo-ADAM Sevran dans le cadre du programme « Entreprendre en Banlieue ». Des bureaux ont également été mis à sa disposition pendant un an. « On n'obtient jamais un micro crédit sur la totalité du projet et l'entrepreneur doit défendre son business plan devant une commission, explique Alain Kaplan. L'aide porte sur 30 à 40% du besoin et uniquement si l'entreprise a obtenu un crédit bancaire. » L'aspect sociétal du projet, un critère important de sélection [[page]]Pour les « International Microfinance Awards », l'aspect sociétal de l'engagement a tout autant compté que la qualité des projets. Les critères de choix portaient principalement sur la dimension personnelle de l'entrepreneur (sa motivation, son esprit d'initiative, son autonomie), la dimension financière du projet (rentabilité, capacité de croissance, remboursement régulier du prêt accordé) et sa dimension sociale (création de lien social, notamment, dans le cas de Néocaster). Après avoir établi les spécifications de son logiciel début 2005, Alain Kaplan a recruté un premier développeur et commencé le développement début 2007. Sa solution, livrée en juin de la même année, permet d'ajouter à un flux vidéo des données et des fonctions d'interactivité, comme le chapitrage. La société Neocaster s'est adossée à l'opérateur européen NeoTelecoms afin de bénéficier de sa plateforme de diffusion pour héberger les contenus vidéos, destinées à des applications professionnelles, notamment de formation. Pour Alain Kaplan, le recours à un partenaire industriel aussi important que NeoTelecoms était indispensable. Le logiciel est disponible en ligne et peut être utilisé par des non-informaticiens pour créer les contenus en 'rich media'. «L'utilisateur peut chapitrer la vidéo lui-même de façon indépendante et nous nous appuyons sur des plug-in standards». Parmi les clients de Neocaster figurent notamment l'Ordre des Experts-comptables Région Paris Ile de France qui a mis en place la Web TV Canal-Expert. (...)
(31/10/2008 16:18:23)Vers un coup de froid sur les embauches en SSII
La crise économique risque-t-elle d'avoir des conséquences sur l'emploi dans les SSII et chez les éditeurs de logiciels ? C'est en tout cas ce qu'a avancé Syntec Informatique, la semaine dernière, à l'occasion de la présentation d'e-competences framework, premier référentiel européen des métiers informatiques. « Le contexte économique actuel va inciter les entreprises du secteur à ralentir le rythme de leurs embauches, estime Alain Donzeaud, président de la commission sociale et formation du syndicat professionnel Syntec Informatique. Certaines d'entre elles ont déjà réagi en décidant de stopper leurs recrutements. » Ainsi, il y a quelques semaines, l'éditeur SAP annonçait un gel de ses embauches et de ses investissements, en raison d'une chute soudaine de son activité. Effet moutonnier et baisse des tarifs de prestations Pour le représentant du syndicat des SSII et des éditeurs de logiciels, un effet « moutonnier » joue déjà sur le comportement des entreprises, un peu comme dans la fable du trappeur et de l'indien qui s'influencent mutuellement sur la rigueur de l'hiver qui arrive. « Ce dicton repose sur des croyances simples que chacun prête aux autres et que tous finissent par appliquer. Comme dans la fable, le pessimisme est contagieux et joue un rôle non négligeable dans l'attitude de certaines entreprises. » L'autre effet pouvant jouer dans la balance concerne la renégociation des tarifs des prestations. « On s'achemine vers une pression sur les tarifs des fournisseurs qui doivent répondre à la demande de clients qui pour certains ne seront pas au mieux de leur forme, prévient Alain Donzeaud. Partant du principe que l'offshore constitue une porte de sortie permettant de pallier cette situation, cela contribuera au ralentissement du rythme des recrutements. » (...)
(31/10/2008 12:46:27)Trimestriels : saigné à blanc, Sun a du mal à digérer MySQL
Pire que prévu. Sun Microsystems avait prévenu que ses résultats trimestriels ne seraient pas conformes aux attentes, mais les analystes ne prévoyaient pas un tel carnage. Le chiffre d'affaires perd 7,1%, à 2,99 Md$. C'est en dessous des 3,05 Md$ déjà revus à la baisse il y a dix jours par Jonathan Schwartz, PDG de la société. Quant au résultat net, il bascule radicalement dans le rouge. Sun doit éponger une perte de 1,67 Md$, alors qu'un an plus tôt il enregistrait un bénéfice de 89 M$. « Globalement, le trimestre a été difficile, a laconiquement commenté Jonathan Schwartz lors d'une conférence téléphonique avec les investisseurs. Nous avons ressenti un ralentissement de la demande en Amérique du Nord, en Europe et en Asie Pacifique. » Sun impute ses mauvais résultats aux difficultés rencontrées par le secteur des services financiers, particulièrement touché par la crise financière mondiale, et où il réalise la majorité de son chiffre d'affaires. Les revenus générés par la finance ont baissé de 20% aux États-Unis. Sun souffre également du ralentissement de la vente de serveurs, un pôle qui engendre 45% de son CA. Rachat de MySQL : des lendemains désenchantés [[page]]Mais accuser la crise ne suffit pas. Sun a également dû faire face aux frais de restructuration engendrés par le rachat de MySQL pour 1 Md$en janvier dernier. Enthousiaste, Jonathan Schwartz déclarait alors que grâce cette acquisition Sun entamait « une nouvelle ère Internet » et se positionnait désormais « au centre du Web ». L'optimisme du PDG de Sun est aujourd'hui déboulonné par des résultats qui frisent la crise. Sun doit en outre juguler l'hémorragie qui frappe sa direction. Après le départ de deux co-fondateurs de MySQL qui ont pris le large face aux orientations stratégiques prises par Sun, c'est au tour d'Andy Bechtolsheim, co-fondateur de Sun de faire ses valises. Il a préféré prendre la tête d'Arista, une start-up spécialisée dans le « cloud networking ». Concernant l'impact des ces résultats sur sa politique de recrutement, Sun n'a pas souhaité apporter davantage de précisions. (...)
(30/10/2008 18:08:39)PDC 2008 : Ray Ozzie, architecte en chef de Microsoft, donne sa vision d'Azure
L'architecte en chef de Microsoft, Ray Ozzie, a officiellement enfilé les souliers que chaussait Bill Gates, devenant ainsi le leader du vaste réseau de développeurs de l'entreprise, essentiel à l'activité de Windows. A ce titre, il a prononcé le discours d'ouverture de la Professional Developers Conference (PDC) à Los Angeles lundi, et a présenté Windows Azure, l'environnement de 'cloud computing' de Microsoft. Nos confrères de IDG News Services ont pu le rencontrer et lui demander des détails sur les annonces de la conférence. Lire l'entretien avec Ray Ozzie. (...)
(30/10/2008 16:41:40)Open Wide recherche une vingtaine d'ingénieurs Open Source
Pour accompagner les entreprises dans la mise en oeuvre de solutions en environnements libres, la SSLL Open Wide envisage de recruter une vingtaine de spécialistes du monde Open Source. Les postes à pourvoir sont basés dans les agences lyonnaise et parisienne du groupe et répondront aux besoins des trois entités du groupe. Pour le pôle systèmes d'information de la SSLL, des chefs de projet Java/ J2EE, des ingénieurs expérimentés en développement Java J2EE, des ingénieurs Java junior et des spécialistes du développement sont recherchés. La division OS4I d'Openwide (produits et services destinés aux industriels) recrute des ingénieurs Linux bas niveau, développement Kernel temps réel et Linux embarqué. Enfin Accelance, l'activité infogérance de la SSLL, sera renforcée par des ingénieurs systèmes et réseaux spécialistes des environnements Linux et Open Source. Des postes sont également ouverts aux stagiaires. Rappelons qu'actuellement, il est difficile de recruter dans l'univers très spécifique de l'Open Source. Dans un dossier sur l'emploi dans les logiciels libres, le site Lemondeinformatique.fr pointait les tensions actuelles du marché de l'emploi dans l'Open Source, en particulier sur les technologies PHP et les compétences multiples. (...)
(30/10/2008 16:20:12)Trimestriels : Bull se maintient grâce à ses activités Services et solutions
Bull a publié un chiffre d'affaires de 240,7 M€ au troisième trimestre de l'année, en retrait de 1,1% par rapport à la même période en 2007. L'activité Services et Solutions est la plus rentable (46% du revenu global), en hausse de 7,5%. Le matériel et les solutions systèmes (28% du CA) progressent de 5,4 points alors que les activités de maintenance et les produits tiers dégringolent (respectivement -7,1% et -39,2%). Les prises de commandes ont augmenté de 3,3% en un an. Quant au bénéfice net et à la marge opérationnelle, Bull ne souhaite pas fournir de détails en dehors des résultats semestriels et annuels. Au premier semestre de l'année, le résultat net s'établissait à 4,5 M€, en hausse de 15% par rapport à 2007. Par zones géographiques, la France génère toujours plus de la moitié des revenus de Bull (58%), en hausse de 6% par rapport à l'année dernière. L'Europe Centrale et de l'Est enregistre une belle percée (+24,2%) mais sa part dans le CA de Bull reste minime (7%). Dans le reste du monde en revanche, les compteurs sont dans le rouge : -12,6% pour l'Europe occidentale et -5,7% aux Etats-Unis et en Amérique du sud. Le calcul haute performance et le Green IT, deux priorités pour Bull Bull a l'intention de se renforcer sur certains secteurs, comme le stockage, la sécurité et le calcul haute performance, les énergies vertes, et d'en abandonner d'autres (il a récemment cédé Medicaid, sa filiale spécialisée dans les solutions médicales, à Ingenix). Le groupe a racheté s+c (science + computing), une société allemande spécialisée dans le calcul intensif. Le premier centre de simulation numérique haute performance d'Allemagne (le Forschungszentrum Jülich) a choisi Bull pour fournir l'un des supercalculateurs les plus puissants en Europe. Il sera utilisé dans plusieurs domaines scientifiques, comme la recherche de nouvelles molécules et de nouveaux médicaments, l'origine de l'Univers et la physique des hautes énergies, ainsi que le développement de technologies pour lutter contre le réchauffement climatique. Le Green IT est un autre axe que Bull souhaite développer, notamment avec son offre « Bio data center ». A cet effet, le groupe français a allié son pôle R&D avec celui de SAP, afin d'améliorer l'efficacité de leurs environnements. Bull s'est également rapproché d'APC Schneider Electric pour proposer aux entreprises des audits énergétiques de leurs datacenters et les aider à optimiser leurs performances globales. Pour 2008, le groupe reste optimiste et espère réaliser un bénéfice opérationnel compris entre 25 et 27 M€, et ce malgré les remous financiers qui agitent la sphère IT. (...)
(30/10/2008 16:09:18)Numérisation : Google dédommage les auteurs américains de 125 M$
Google vient de mettre un point final au différend qui l'opposait à deux puissantes associations américaines d'auteurs et éditeurs. Au coeur du litige, le service de numérisation et d'indexation de livres issus de bibliothèques universitaires d'outre-Atlantique, proposé par le géant du Web jusqu'alors au mépris des droits d'auteur. Pour éteindre l'action engagée par l'Authors Guild et l'Association of American Publishers, Google s'est fendu d'un chèque de 125 M$. La résolution de ce conflit initié en 2005 constitue « le plus grand accord de l'histoire de l'édition américaine », a estimé Paul Aiken, le directeur général de l'Authors Guide, convaincu de l'intérêt qu'il représentera « pour l'ensemble des parties, dont les lecteurs, en rendant l'accès aux ouvrages plus facile. » Un différend éteint uniquement aux Etats-Unis L'accord prévoit que Google débourse 125 M$, essentiellement pour la création d'un organisme, le Book Rights Registry - auquel les auteurs et éditeurs choisiront de s'inscrire pour toucher une partie des revenus générés par le service du pantagruélique moteur de recherche. Les ayants droit pourront choisir de mettre en ligne de larges portions de leurs ouvrages - et plus seulement de courts extraits - et les internautes auront la possibilité d'acquérir les livres présentés. En outre, le groupe de Mountain View intègrera des publicités dans sa plateforme d'ouvrages numérisés, accroissant d'autant les revenus susceptibles d'être reversés aux auteurs et éditeurs. Grâce à la signature de cet accord, Google devrait être en mesure d'enrichir sensiblement la quantité d'ouvrages présentés dans son service 'Recherche de livres'. Le différend qui vient de s'éteindre ne concerne cependant que les ayants droit américains. En France, Google est poursuivi pour des faits similaires par le Syndicat national de l'édition et les éditions de la Martinière depuis 2006. (...)
(30/10/2008 12:44:21)Oracle achète à son tour un expert des règles métier
Oracle vient de s'offrir une solution de gestion des règles métier : l'éditeur a signé un accord d'acquisition - pour un montant non communiqué - avec RuleBurst, qui avait racheté il y a un peu moins d'un an Haley Systems. Cette fusion avait positionné cet éditeur en quatrième position du marché du BRMS (Business rules management system, système de gestion des règles métier), derrière Fair Isaac, le numéro un du secteur, Ilog et Computer Associates. Mais il conservait une taille modeste : environ 25 développeurs en R&D, plus de 40 personnes dans les services et autant en ventes et marketing. L'annonce intervient quelques mois après qu'Ilog a accepté de passer dans le giron d'IBM et un an après que SAP a racheté Yasu Technologies. Toutefois, ce n'est pas l'angle du BRMS qu'Oracle retient dans son annonce. L'éditeur préfère mettre en avant les solutions métier développées par Haley et RuleBurst, dans trois grandes directions : la gestion des risques et des règles de conformité, la gestion des droits des administrés et la gestion des droits des assurés. Haley devrait continuer de fonctionner comme une entité gérée par son CEO actuel, lequel deviendrait vice-président senior d'Oracle (le fondateur de l'éditeur, Paul Haley, n'exerce plus de fonction opérationnelle depuis la fusion avec RuleBurst). Les technologies d'automatisation devraient quant à elles être infusées dans l'ensemble des applicatifs d'Oracle. l'offre de gestion de la relation client, Siebel CRM, embarque déjà la technologie d'Haley depuis un accord signé en 2005. (...)
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