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(30/10/2008 11:58:54)

Intel injecte 20 M$ dans deux sociétés chinoises spécialistes de l'énergie propre

Intel Capital a investi 20 M$ dans deux sociétés chinoises du secteur des technologies propres (clean techs), Trony Solar et NP Holdings. La répartition du montant entre les deux entreprises n'a pas été précisée. Trony Solar est spécialisée dans une technologie de cellules photovoltaïques qui produisent de l'électricité tout en jouant le rôle d'élément de construction. Avec l'investissement d'Intel, elle compte passer d'une production de 35 mégawatts annuels à 105 MW au début 2009. NP Holdings oeuvre de son coté, à l'optimisation du stockage de l'énergie, domaine dans lequel il possède de nombreux brevets de recherche. « L'économie mondiale est morose, mais l'innovation reste un moyen d'aider les entreprises à traverser la crise financière, a déclaré, Cadol Cheung, DG d'Intel Capital pour l'Asie et le Pacifique, dans le communiqué de l'entreprise. Nous n'avons pas l'intention de ralentir le rythme de nos investissements. » Arvind Sodhani, président d'Intel Capital et Vice président d'Intel ajoute que des tels investissements « dans les technologies propres sont relativement nouveau pour Intel mais que le secteur prenait une importance stratégique croissante pour l'avenir de l'entreprise. » « Encourager le développement de sources d'énergie indépendantes des fluctuations du prix du baril de pétrole » [[page]]Dans un climat économique difficile, Intel pourrait toutefois voir son enthousiasme pour le 'green' freiné par les craintes des investisseurs, comme c'est le cas pour Google. Ce à quoi le fondeur rétorque qu'il est aujourd'hui essentiel « d'encourager le développement de sources d'énergie indépendantes des fluctuations du prix du baril de pétrole ». Intel s'est déjà engouffré dans le créneau de l'énergie solaire en créant SpectraWatt, une société de développement des technologies de transformation de l'énergie solaire en électricité en mai dernier. Avec trois autres partenaires - Goldman Sachs Group (une des plus grandes banques d'investissement américaines), Solon AG (un fabricant allemand de modules solaires et de systèmes photovoltaïques) et le fond PCG Clean Energy and Technology Fund (CETF) - Intel a doté la nouvelle entité d'une enveloppe de 50 M$. (...)

(30/10/2008 08:53:38)

Markess : 47% des entreprises ont dématérialisé leurs factures en 2008

En 2008, 47% des entreprises privées et des administrations ont opté pour la dématérialisation de leurs factures, selon une étude réalisée par Markess International. Elles numérisent tout ou une partie de leurs factures entrantes ou sortantes. Pour les autres, 25% envisagent le même type de démarche d'ici à 2010, 21% n'ont rien prévu mais s'y intéressent et 7% n'y prêtent aucune attention. Le secteur privé est légèrement en avance sur le public, 52% des 200 entreprises interrogées avaient déjà sauté le pas en 2008 (contre 45% un an plus tôt). Le marché est essentiellement porté par la distribution et certaines industries (automobile, agro-alimentaire), mais la dématérialisation gagne de plus en plus de terrain dans des secteurs où les volumes de factures manipulées sont importants : les télécommunications, les services d'utilité publique (eau, gaz, électricité...), le transport et la logistique. La banque et l'assurance commencent à rattraper leur retard. Toutes les tailles d'organisations sont concernées. Les grandes (plus de 2000 salariés) sont les plus matures puisque 75% ont choisi de dématérialiser leurs factures. Mais 38% des PME se sont aussi laissées tenter, mais à un rythme moins soutenu que ce que le cabinet prévoyait il y a deux ans. Un meilleur suivi des factures et de séduisantes perspectives d'économies L'automatisation des processus comptables et financiers est la première raison qui motive les organisations dans cette voie de la dématérialisation (89%). Elle leur permet de suivre tout le cycle de vie de la facture et de vérifier si les processus de fabrication et de validation sont respectés. La perspective de réaliser des économies vient en deuxième position (76% des organisations interrogées). La dématérialisation réduit les coûts liés aux frais administratifs et aux ressources humaines ainsi qu'à l'archivage physique. Enfin, 53% soulignent enfin une accélération des processus de facturation. [[page]] Pour les factures sortantes, la liste des motivations est légèrement différente : 74% des organisations évoquent d'abord la réduction des coûts (traitement, production, relance pour le règlement, gestion des litiges, archivage...), 58% le besoin exprimé par leurs clients et 49% un service à forte valeur ajoutée à destination de la clientèle (outils de reporting, suivi et historique des factures, accès à des informations détaillées et personnalisées...). Dans les deux cas (factures entrantes/sortantes), le coût reste un motif incontournable, d'autant que grâce à la dématérialisation des factures les organisations peuvent rentabiliser des investissements logiciels déjà consentis pour d'autres projets, comme les transactions EDI (échange de données informatisées). Contrairement à d'autres projets informatiques, le retour sur investissements est relativement rapide. Pour 75% des organisations interrogées il n'excède pas les 12 mois. Des projets le plus souvent accompagnés par les éditeurs et les intégrateurs Pour les sociétés encore réfractaires à l'idée de la dématérialisation des factures, Markess International a relevé trois freins principaux: un volume de données à traiter insuffisant pour justifier un tel investissement, un cadre légal et réglementaire trop complexe et contraignant ou la résistance au changement des salariés. D'autant, dans ce dernier cas, que dématérialisation avec automatisation... et donc avec une diminution de la main d'oeuvre. Enfin, selon le cabinet, la plupart des projets sont accompagnés par deux prestataires, un éditeur mais aussi un intégrateur comme Accenture, Capgemini, Euriware, Ineum ou encore Logica. (...)

(30/10/2008 08:53:21)

Trimestriels : Software AG aborde la crise en forme

L'éditeur allemand Software AG aborde la crise actuelle en bonne forme. Il a clos son troisième trimestre sur une nette amélioration de son résultat d'exploitation qui passe de 20,5% à 27% du CA. Software AG doit cette performance aux hausses des ventes de licences (+18% à 67,8 M€) et de l'activité maintenance (22% à 70,2 M€). Ces deux sources récurrentes de revenus génèrent 77% du CA total. La division Enterprise Transactions Systems (ETS, qui commercialise la base de données Adabas et Natural) réalise un CA de 101 M€, en hausse de 15% (56% du CA total). ETS recueille les fruits d'un important contrat signé avec la Banco do Brazil. Sur les 63,7 M€ de revenus attendus sur quatre ans et demi, 10,3 M€ sont inscrits dans les comptes d'ETS de ce trimestre. La division SOA, baptisée WebMethods à la suite du rachat de cette société à la mi-2007 pour 546 M$, progresse de +13% à 79 M€ (44% du CA total). (...)

(29/10/2008 16:57:00)

Trimestriels : Samsung parvient à résister au retournement de ses marchés

Au troisième trimestre, Samsung a pris de plein fouet la crise de surproduction sur les composants et le début du retournement des marchés électroniques grand public. Sa marge brute s'effondre. Elle passe de 12% il y a un an à 5%. La raison principale de cette chute réside dans une baisse de 74% du résultat d'exploitation de la division semi-conducteurs, suivie par celle de 44% sur les écrans LCD et de 15% sur les produits télécoms. Toutefois, dans le marasme qui affecte le marché des mémoires, Samsung affirme être la seule société à éviter de passer dans le rouge. Samsung compense une baisse de 5% de son CA semi-conducteurs (essentiellement due à une baisse de 15% sur les mémoires) par des hausses de CA sur les écrans LCD (+20%), les produits télécoms (+26%) et les produits finis à base d'écran (téléviseurs, moniteurs, +29%). Pour son activité mémoire, Samsung subit le contrecoup de la morosité du marché. L'activité DRAM souffre à la fois du ralentissement de la croissance du marché des PC et d'un plafonnement de la quantité de mémoire installée. Après être passée de 1,7 Go à 2 Go par système au cours des six premiers mois, elle stagne à 2,1 Go. Pour le prochain trimestre, Samsung n'anticipe qu'une croissance de 6% des ventes de micro-ordinateurs, contre 15% habituellement. Les mémoires flash (NAND) voient leur prix fortement baisser. Mais Samsung compte sur l'arrivée de nouveaux produits au quatrième trimestre pour entretenir la demande. Sur les écrans LCD, Samsung annonce une baisse des livraisons des modèles de grande taille (téléviseurs) par rapport au trimestre précédent (-3% à 24,6 millions). En revanche, l'engouement pour les appareils nomades (GSM, Netbooks) propulse les livraisons à 35,4 millions d'unités (+40% par rapport au trimestre précédent). L'activité LCD de Samsung évolue sur un marché où les prix sont en nette chute par rapport au trimestre précédent : -30% sur les écrans 19 pouces, -24% sur les écrans 15,4 pouces et -11% sur les écrans 40 pouces, selon Display Search. La production de téléphones portables progresse de 22% sur un an. Samsung annonce avoir passé le cap des 50 millions d'unités livrées (51,8 millions) malgré un tassement de la croissance du marché (+ 5% seulement par rapport au trimestre précédent). Le prix moyen de vente baisse de 6% à 135$. (...)

(29/10/2008 12:23:30)

Trimestriels STMicro : la création de Numonyx taillade le bénéfice

STMicroelectronics a publié des résultats trimestriels décevants. Alors que les analystes interrogés par Reuters s'attendaient à un bénéfice net de 133 M$, le fabricant franco-italien de semi-conducteurs bascule dans le rouge avec une perte sèche de 289 M$, contre un bénéfice de 187 M$ l'an dernier. Le chiffre d'affaires s'établit à 2,46 Md$, soit une hausse de 10,9% par rapport à la même période de l'année dernière (+2,7% par rapport au deuxième trimestre 2008), toujours inférieur aux attentes du marché. La marge brute atteint 913 M$, soit 37,2% du chiffre d'affaires, en baisse de 1,9% Ces mauvais résultats sont partiellement dus aux frais de restructuration engendrés par la création de Numonyx en mars dernier, une co-entreprise regroupant les activités mémoire Flash de STM avec celles d'Intel. Cette naissance a essentiellement saigné STMicroelectronics, en lui infligeant une charge de 344 M$. Les chiffres d'Intel restent dans le vert, même s'ils souffrent d'un léger ralentissement. Un mois après la création de Numonyx, STM a dû éponger d'autres dépenses en fusionnant ses activités sans fil avec le Néerlandais NXP au sein d'une même entité, dont il détient 80%. Pas de croissance à deux chiffres pour l'ensemble de l'année Pour le reste de l'année, le fabricant reste prudent et renonce même à un objectif de croissance à deux chiffres. « Nous ne sommes pas à l'abri des grands défis que l'économie mondiale doit affronter aujourd'hui », a déclaré Carlo Bozotti, PDG de STMicroelectronics avant d'ajouter que « des mesures ont été prises ». Il s'agit notamment de réduire la fabrication de semi-conducteurs afin d'améliorer le contrôle des stocks et de répondre de manière plus adéquate à la demande. Pour l'ensemble de l'année, STM espère enregistrer un chiffre d'affaires en hausse de 6,2% à 8,6% à périmètre constant (en excluant les activités NXP). La marge opérationnelle devrait quant à elle atteindre 38,8%. (...)

(29/10/2008 12:12:14)

PDC 2008 : Microsoft montre enfin Seven et propose une version d'Office en ligne

A l'occasion de sa conférence PDC 2008, Microsoft a dévoilé hier une toute première mouture du très attendu Windows 7 (prévu pour fin 2009). Cette version est une pré-bêta technique destinée aux développeurs pour mettre au point les services qui tourneront sur le système. La nouveauté la plus spectaculaire réside dans une interface utilisateurs Windows Touch. « Windows Touch offre la possibilité de manipuler tous les objets graphiques instanciés par Windows avec tous les doigts des deux mains, détaille Bernard Ourghanlian, directeur technique et sécurité de Microsoft France. Cela permettra à plusieurs personnes de manipuler les éléments sur un même écran. » En termes d'ergonomie, Windows Touch obligera Microsoft à modifier son menu « démarrer », à revoir la barre des tâches, à agrandir les icônes, etc. L'éditeur devrait fournir rapidement un kit de développement pour adapter ou écrire des applications « touch ready », ainsi que des outils pour que les constructeurs préparent des PC ou des mobiles utilisant cette interface. Un accès direct au système d'information de l'entreprise depuis n'importe où [[page]] Microsoft prévoie aussi pour les utilisateurs professionnels un « Direct Access » qui permettra une connexion directe via IPv6 entre le poste de travail, où qu'il se trouve, et le système d'information de l'entreprise, sans démarrage de VPN. Dans la même veine, mais pour une utilisation à la maison, Seven intègrera une fonction « home group » facilitant le partage des documents multimedia entre tous les PC et périphériques mobiles de la famille. Microsoft garantit une totale compatibilité sur Seven des pilotes de périphériques et des applications validés sur Vista. Ceux qui ont souffert avec ce dernier pousseront sans doute un soupir de soulagement... Sans plus de précisions, l'éditeur assure aussi des gains de performances , notamment au moment du chargement, ainsi que de nombreux nouveaux dispositifs d'économie d'énergie. Word et Excel en versions allégées et en ligne En complément, l'éditeur proposera en même temps qu'Office 14, fin 2009 au plus tôt, des versions en ligne de Word, Excel, Powerpoint et OneNote (des versions préliminaires seront disponibles fin 2008). Sur le même principe qu'Outlook Web Access, ces outils Office Live Workspace permettront à un utilisateur de travailler sur ses documents depuis n'importe quel lieu, avec une version allégée de sa bureautique néanmoins très proche d'Office en matière d'ergonomie. Les applications Office Web seront accessibles aussi bien depuis Internet Explorer 8, que Firefox ou Safari, comme tient à le préciser Microsoft. Le grand public y accèdera par le biais d'Office Live. Les entreprises disposant un contrat de licences en volume assorti d'une « software assurance » y auront accès directement. Microsoft a prévu deux autres modèles économiques : un accès gratuit financé par la publicité ou un modèle par abonnement. Une bêta de Live Mesh pour Windows et Windows Mobile est déjà disponible en ligne, pour permettre la synchronisation des documents quels qu'ils soient entre différents PC et périphériques de toutes sortes. ENfin, heureux « pré-bêta testeurs » de Windows 7, les participants à la PDC 2008 ont aussi reçu une version pré-bêta de Windows Server 2008 R2 (migration à chaud de machines virtuelles, économie d'énergie, etc.) (...)

(29/10/2008 09:52:03)

Toujours peu de seniors chez les informaticiens

Dans l'informatique, le taux d'activité des seniors est toujours beaucoup moins élevé que dans d'autres secteurs. C'est ce que montre encore une fois la Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques (Dares, Ministère du Travail) dans une note d'octobre 2008 sur l'emploi et le chômage des 50-64 ans en 2007, intitulée « Premières informations, premières synthèses ». D'après ce document, les métiers de l'informatique - techniciens et ingénieurs en SSII et dans les entreprises clientes - font partie de ceux qui comptent le moins de seniors. Ainsi, en 2006-2007, sur une population de 314 000 ingénieurs informatique, 13% étaient des seniors (dont 11,8% de femmes). Chez les techniciens de l'informatique, la part des 50 ans et plus était légèrement plus élevée, avec 14,7% de seniors (hommes et femmes) sur 143 000. Plus étonnant, dans le classement établi par la Dares, l'informatique côtoie de familles professionnelles qui sont très éloignées du secteur : en effet, sont également cités les ouvriers de gros oeuvre et du bâtiment, l'armée, la police, les pompiers, les caissiers et employés de libre service. Peu de seniors dans une industrie IT de 40 ans d'âge [[page]] Si ces chiffres paraissent élevés, ils restent à relativiser selon le Syntec Informatique . Pour le syndicat des SSII et des éditeurs de logiciels, le secteur IT ne ferait pas partie des plus discriminants : « Dans nos métiers, les plus de 50 ans sont plutôt fortement représentés en tant que chefs de projets très expérimentés ,d'architectes ou de consultants de très haut niveau, estime Alain Donzeaud, président de la commission affaires sociales et formation de Syntec. Par ailleurs, cette industrie ayant 40 ans d'âge, il est naturel que les plus de 50 ans soient moins présents, suite à un effet de rotation naturel. En outre, l'informatique a longtemps été considérée comme une industrie de passage, où peu de personnes décident de vieillir, à l'inverse de secteurs comme la banque ou l'administration.» Reste que dans le secteur des services informatiques la moyenne d'âge reste très jeune et s'élève à 34 ans environ. Pour réajuster la balance, le gouvernement a prévu des mesures pour inciter les entreprises à conserver ou à embaucher leurs salariés seniors. Les entreprises et les branches qui n'auront pas conclu d'accords sur la gestion des âges et l'emploi des seniors d'ici au 31 décembre 2009 pourraient bien verser une pénalité de 1% de leur masse salariale. (...)

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