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(24/09/2008 13:53:22)

Le coup de froid se confirme dans les SSII indiennes

Les SSII indiennes sont touchées par la crise financière qui sévit Outre-Atlantique. Ce n'est pas un scoop, en avril dernier quelques grandes sociétés de services revoyaient déjà leurs prévisions à la baisse, et le syndicat indien des entreprises du logiciel et des services informatiques (Nasscom) avait anticipé un ralentissement de la croissance à l'automne. Les SSII indiennes sont toutefois prises de court par l'ampleur des retombées négatives sur leur business. Certaines d'entre elles réalisent jusqu'aux deux tiers de leur chiffre d'affaires aux Etats-Unis, dans les secteurs des banques, de la finance et des assurances, de surcroît. Pas étonnant donc que les remous financiers américains les atteignent de plein fouet. Les dernières catastrophes bancaires (faillite de Lehman Brothers, rachat de Merrill Lynch) ont précipité les événements. Légère réduction des effectifs Accentuée par la chute du dollar, qui gèle les exportations indiennes, ainsi que par la hausse des salaires en Inde, la crise conduit les SSII à se délester d'une partie de leur masse salariale. Après Wipro et Tata Consulting Services, c'est Satyam, quatrième SSII indienne, qui a récemment annoncé la suppression de 4 500 emplois, soit 9% de ses effectifs. Les résultats financiers publiés par ces SSII restent dans le vert, mais ils sont moins exceptionnels que les années précédentes. Sur le site du Nasscom, le président du syndicat indien Som Mittal ne cache pas son inquiétude. «Les incertitudes mondiales ont atteint leur paroxysme, [avec la combinaison de plusieurs facteurs] : la fluctuation des monnaies, la hausse sans précédent des tarifs du pétrole, la crise alimentaire et l'approche des élections américaines », écrit-il dans un message. Cap sur l'Europe continentale Si les SSII indiennes souhaitent se sortir de la crise, elles ont tout intérêt à ne pas mettre tous leurs oeufs dans le même panier. Il y a près d'un an, avant même que la crise américaine ne fasse autant de ravages, le cabinet Forrester désignait la France comme futur Eldorado de l'offshore indien. Certaines SSII indiennes commencent d'ailleurs à lorgner vers l'Europe, qui ne représente « que » 30,1% de leurs exportations (dont 17,8% en Grande-Bretagne). Infosys a, par exemple, racheté Axon, le spécialiste britannique de l'univers SAP. (...)

(24/09/2008 12:42:16)

Microsoft doublé par IBM au jeu de la marque IT la mieux valorisée

IBM supplante Microsoft et toutes les autres marques IT en termes de valorisation et de popularité. Du moins, si l'on se fie au classement 'Best global brands', publié par Interbrand, un spécialiste des études de marché. Comme l'an passé, l'institut a établi le palmarès des 100 acteurs économiques les plus puissants, classés selon leur valeur potentielle. Celle-ci, différente de la valorisation boursière, est une évaluation calculée par Interbrand à partir de projections transmises par des analystes, de documents financiers communiqués par les entreprises considérées et par les propres études de l'institut. Apple toujours absent du top 20 Derrière Coca-Cola, indéboulonnable lauréat, IBM s'arroge donc la deuxième marche du podium aux dépends de Microsoft, qui recule d'une place par rapport à 2007. Dans l'ensemble, les acteurs de l'IT sont fort bien représentés avec 15 apparitions dans les 40 premières positions du classement. Intel est septième, comme l'an passé, et Google clôture le top 10 en gagnant dix places. Plus étonnant, Apple ne parvient pas à dépasser la 24e position. Certes, la marque à la pomme gagne neuf places en un an, mais on pourrait penser qu'un groupe dont le succès repose largement sur la puissance de son nom aurait hérité d'un meilleur classement. D'autant que le regard porté par les consommateurs est évalué par Interbrand et entre en jeu dans le calcul de la valeur des marques. La popularité est donc un critère important, sinon déterminant. Cela explique la première position de Coca-Cola et la 8e de McDonald's. Mais laisse dubitatif sur la 17e position de Cisco, la 23e place d'Oracle ou la 31e marche occupée par SAP. Au-delà de la sphère IT, le classement reflète les grandes tendances de l'économie mondiale. Les marchés émergents s'avèrent, par exemple, être des générateurs de croissance et de nouvelles fortunes avides de produits de luxe. Des marques comme Ferrari, Porsche et Prada profitent de ces richesses naissantes en investissant le palmarès. Autre constatation, les services financiers sont à la peine avec HSBC, Merrill Lynch ou JP Morgan qui perdent tous des places par rapport à 2007. (...)

(24/09/2008 11:05:30)

Cisco met du SAN dans son Data Center 3.0

Sous le label Data Center 3.0, Cisco rassemble ses produits les plus récents destinés à « dynamiser » les infrastructures de services en s'appuyant sur un ensemble de ressources matérielles virtualisées (serveurs, stockages, réseau) et une optimisation des applications. Dans cette optique, Cisco s'attaque désormais au SAN en annonçant trois commutateurs MDS 900 Fibre Channel à 8Gb/s, en version 24 ports, 48 ports et 4/44 ports. Le tout s'installe dans un châssis Cisco 9500, comme les commutateurs précédents à 4 Gb/s et 2 Gb/s. Et fonctionne avec la dernière version du système d'exploitation SAN de Cisco, rebaptisée NX-OS. Ces modules seront vendus par les distributeurs agréés à partir du dernier trimestre 2008. Les prix de départ seront fixés par ces distributeurs. (...)

(24/09/2008 10:55:18)

La FFII décrète une journée mondiale contre les brevets logiciels

« Une coalition mondiale de plus de 80 sociétés informatiques, associations et développeurs a déclaré le 24 septembre "Journée mondiale contre les brevets logiciels". » Adversaire résolu de la brevetabilité des logiciels, la FFII (Fondation pour une infrastructure informationnelle libre) a décidé de relancer sa croisade aujourd'hui, en mémoire d'une décision adoptée par le Parlement européen il y a 5 ans. Ce jour-là, précise la FFII dans un communiqué, les eurodéputés adoptaient « une série d'amendements pour limiter la portée du droit des brevets et ainsi protéger les petites et moyennes entreprises (PME) du secteur informatique contre les effets dévastateurs de brevets logiciels multiples et triviaux ». A noter aussi qu'aujourd'hui débute la manifestation « Paris, capitale du Libre », où seront décernés les désormais traditionnels Lutèce d'Or. Le but : éradiquer les « patent trolls » Si les brevets permettent de protéger des inventions, ils sont souvent utilisés dans le seul but de verrouiller un marché (par le biais de menaces, telles que celles formulées par le patron de Microsoft à l'encontre des utilisateurs de Linux) ou de récolter des royalties. Certaines sociétés ont fait une spécialité d'amasser des brevets et de lancer des procédures contre des éditeurs ; on se souvient dernièrement de JuxtaComm, dans le domaine de l'ETL, qui a attaqué BO, Ascential, Microsoft, IBM, Intersystems, etc. En anglais, ces sociétés sont qualifiées de « patent-trolls », qui reprend le terme péjoratif désignant les éléments perturbateurs des forums en ligne. Pour Benjamin Henrion, initiateur de l'effort de coalition StopSoftwarePatents, exclure les logiciels du champ de la brevetabilité est « la meilleure solution pour se débarrasser des 'trolls' et des risques juridiques incontrôlables engendrés par les brevets logiciels ». L'OIN rachète des brevets pour protéger les développeurs et utilisateurs d'Open Source [[page]] Keith Bergelt, patron de l'Open Invention Network, prône de son côté une démarche opposée. Le but de l'OIN est en effet d'accumuler le plus grand nombre de brevets liés à l'Open Source en général et à Linux en particulier afin d'en protéger les utilisateurs. Cette entreprise, soutenue par plusieurs géants du secteur (IBM, Novell, Red Hat, HP, Intel, Sun, Dell, AMD, Fujitsu...) rachète à tour de bras des brevets logiciels qu'elle propose gratuitement sous licence à qui en fait la demande. La seule condition : s'engager à ne jamais attaquer Linux. Eduquer les fonds d'investissement pour éviter qu'ils financent les trolls Spécialiste de la finance et des problèmes de propriété intellectuelle, Keith Bergelt, arrivé récemment à la tête de l'OIN, estime que le problème vient d'un manque d'éducation sur le sujet. « Je crois moins dans une réforme du système des brevets que dans une prise de conscience de l'importance de l'Open Source », nous a-t-il déclaré. Il considère que son rôle est d'informer les fonds d'investissement sur le potentiel lié à Linux, afin d'éviter que ces derniers n'apportent leur argent à des « patent trolls ». Un bon premier pas, dit-il, serait que les fabricants d'appareils mobiles clament haut et fort que leurs produits fonctionnent sous Linux. Dans tous les cas, explique Keith Bergelt, « l'OIN n'attaquera pas unilatéralement sur la base des brevets qu'elle détient ». En revanche, l'entreprise se réserve le droit de contre-attaquer, si jamais un développeur, un éditeur ou un utilisateur d'Open Source était la cible d'une attaque en justice. En cela, l'OIN se veut une deuxième ligne de défense, venant après les conseils juridiques prodigués par le SFLC (Software freedom law center). (...)

(24/09/2008 10:29:04)

Les entreprises relèvent leur niveau d'exigence vis à vis de l'infogérance

Le marché de l'infogérance devrait passer en France de 5,9% de croissance en 2007 (où il représentait 5,6 milliards d'euros de chiffre d'affaires) à 6,4% pour 2008. C'est la prévision du cabinet Pierre Audoin Consultants (PAC). Sans progresser de manière très forte, ce marché confirme son dynamisme, supérieur à celui de l'ensemble des services informatiques. Derrière cette donnée globale, le cabinet PAC observe plusieurs tendances de fond. D'abord, la croissance est désormais le fait d'une multiplication de petits contrats. Finis ou presque les méga contrats, à l'exception de celui signé en 2007 par IBM avec CMA-CGM et AGF. Les petits contrats se retrouvent aussi bien dans les grands comptes sur une partie de leurs activités que dans de grosses PME. Deuxième tendance de fond, l'infogérance change de nature. « La demande se modifie en faveur d'une infogérance de transformation des infrastructures et des systèmes », analyse Elisabeth de Maulde, présidente de Pierre Audoin Consultants. « Avant, le principal argument de l'infogérance c'était la réduction des coûts, maintenant ce procédé permet au-delà de cette réduction des coûts, d'optimiser le système d'information. » Les clients se montrent ainsi très exigeants. PAC note « la maturité du marché en termes de volume d'affaires, d'industrialisation des prestations, de structuration et de normalisation des process et de comportement des entreprises vis-à-vis de l'infogérance ». Le cabinet relève aussi plusieurs éléments qui montrent la difficulté de ce marché pour les prestataires de services. 18 mois à 2 ans pour signer un contrat [[page]] Les contrats se négocient de manière plus ardue. Désormais, il faut compter entre dix huit mois et deux ans pour en négocier un. Le client met son prestataire sur le gril au plan financier ou en termes de prestations. Il se montre plus rigoureux en termes de contenu, de sélection des prestataires, de modes de delivery. La durée des contrats est elle-même réduite, passant de 5 à 3 ans en moyenne. Des contrats plus que jamais enrichis de possibilités de révision annuelle. Les clients ne se privent pas non plus pour mettre en oeuvre plus facilement des possibilités de « réversibilité ». En clair, quand il signe un contrat, le prestataire s'engage à fournir les bons niveaux de documentation au client. Si ce dernier décide de changer de prestataire, le nouveau venu pourra plus facilement reprendre le contrat pour un périmètre équivalent. Comme le dit Elisabeth de Maulde avec humour, « c'est comme pour un contrat de mariage, où on prévoit le divorce ». Ces différentes données rendent le marché de l'infogérance encore plus sélectif. Cinq grands acteurs cumulent 47% du marché, le n°1 IBM truste 21% des parts. En dehors d'eux, difficile d'exister. Plusieurs acteurs ont même disparu, Getronics s'est vendu à APX, CS a cédé sa division infogérance à BT. Là encore, les contraintes sont redoutables. « Vous ne pouvez plus suivre sur un tel marché sans une certaine [[page]] taille au plan européen « note Elisabeth de Maulde. Reprise de la guerre des prix Les prestataires sont également soumis à une sévère guerre des prix. Certains comme Osiatis en ont fait l'argument principal de leurs très décevants résultats annuels. Elle a toujours existé mais reprend et explique le recours au nearshore ou au offshore. « Les SSII n'ont pas beaucoup de choix, relève Elisabeth de Maulde, soit elles ont recours au nearshore et au offshore, soit elles réduisent leurs marges ». Dernière observation de PAC, les SSII françaises sont un peu moins investies dans ce mouvement d'infogérance que leurs homologues européennes. C'est en fait une attitude générale de méfiance à l'égard de toute forme d'externalisation, infogérance ou autre. Les pays de l'Europe du nord et la Grande-Bretagne sont de grands adeptes du BPO et de la TMA. Le secteur public anglais a de plus en plus recours à l'infogérance, contrairement à son homologue français resté très frileux. « Sur l'ensemble des marchés de l'externalisation, la France est encore loin de la moyenne européenne, avec 34% de prestations externalisées en moyenne en France contre 41% en moyenne en Europe de l'ouest ou du nord » souligne PAC. (...)

(23/09/2008 17:04:12)

Les géants de l'IT multiplient les rachats d'actions

Microsoft et HP partagent avec Nike un point commun. Outre le fait que ce sont des groupes réalisant plusieurs milliards de dollars de chiffre d'affaires, ces trois sociétés viennent d'annoncer de lourds programmes de rachat de leurs propres titres. HP prévoit ainsi de dépenser 8 Md$ pour ce type d'opération, une somme équivalente à celle qui avait déjà été débloquée en novembre 2007. Du côté de Microsoft, ce sont 40 Md$ qui seront dépensés à cette fin d'ici à 2013. Là encore, ce n'est pas une première, le géant de Redmond ayant procédé de la sorte en 2006. Enfin, en 2007, IBM faisait de même pour plus de 10 Md$. « Ces annonces illustrent la confiance en la croissance du groupe à long terme et notre engagement à reverser des capitaux à nos actionnaires », avance Microsoft pour justifier sa dépense. Le groupe indique qu'il versera, pour le trimestre en cours, un dividende en hausse de 18% à ses actionnaires. Profiter d'un marché morose pour viser une relution [[page]]Si les programmes de rachat d'actions sont en effet un instrument qu'utilisent les entreprises pour afficher leur optimisme et la confiance qu'ils ont en l'avenir, ils doivent également être regardés à l'aune du contexte économique. En l'occurrence, c'est un euphémisme d'affirmer que les marchés boursiers sont moroses, les valeurs technologiques n'échappant pas au marasme généralisé. Et les variations des cours de ces dernières tiennent davantage au marché qu'aux performances des sociétés considérées. Dans ces circonstances, un rachat d'actions est pertinent à plusieurs égards. Il peut contribuer, dans un premier temps, à relever la valeur du titre en provoquant sa raréfaction. Surtout, comme c'est le cas pour Microsoft, l'opération permet d'utiliser une partie d'une confortable trésorerie. Même si Microsoft « a versé 115 Md$ à ses actionnaires au cours des cinq dernières années par le biais d'une combinaison de rachat d'actions et de dividendes », il continue d'être assis sur un riche trésor de guerre. Plutôt que de laisser dormir cet argent, il apparaît judicieux de profiter de cours relativement faibles pour mettre la main sur ses propres titres. Cela permet de réaliser une éventuelle plus value en comptant sur une prochaine remontée des cours. Ou, là encore, de viser une relution qui profitera in fine aux actionnaires. (...)

(23/09/2008 15:23:12)

McAfee met la main sur Secure Computing, spécialiste de la sécurité des réseaux d'entreprise

McAfee, numéro deux du marché de la sécurité derrière Symantec, va acheter Secure Computing, spécialiste des équipements de sécurité pour les réseaux. L'offre s'élève à 465 M$. Les 22 000 clients de Secure Computing viendront étoffer les "quelques milliers" que compte McAfee dans le domaine de la sécurité des réseaux (pare-feu, passerelles web et mail sécurisées). De plus, Secure Computing, qui emploie 900 salariés, compte beaucoup de grandes entreprises parmi ses clients. Les analystes saluent la dimension stratégique du rapprochement. Le marché de la sécurité s'oriente vers des suites logicielles et des offres de plus en plus globales. Le temps où McAfee ne proposait qu'un antivirus est bien loin. Toutefois, ils n'en émettent pas moins quelques réserves sur la reprise de Secure Computing. D'une part, ils attendent de voir comment et dans quels délais les deux lignes de produits vont fusionner. D'autre part, ils soulignent que Secure Computing, né dans le giron d'Honeywell pour répondre aux besoins de sécurité de la NSA (National Security Agency), peine sur un secteur de plus en plus concurrentiel où il doit désormais se colleter à des mastodontes comme Cisco ou Juniper. La société a perdu la moitié de sa valeur en bourse en 2008. Dave deWalt arrivé à la tête de McAfee au printemps 2007, en provenance d'EMC, conduit depuis une active politique de croissance externe (rachats de Onigma, Reconnex et SafeBoot). Jon Oltsik, analyste à l'Enterprise Strategy Group prédit que McAfee devrait encore étendre ses compétentes dans les domaines de la sécurité de la gestion des informations, de celle des applications et des bases données, voire même dans la gestion des identités. Dans cette perspective, il cite les cibles potentielles suivantes : ArcSight, Application Security, Chosen Security, Courion et LogRhythm. (...)

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