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(17/11/2011 09:22:46)
HP réorganise ses fonctions supports au sein de sa filiale CDS
Suivant une politique défini au plan européen, HP a filialisé ses opérations de supports, il y a un peu plus d'un an, sous le nom de HP CDS. CDS pour customer delivery services. Cette filiale traite trois grands types d'opération : support pour les produits ESSN (serveurs, stockage, réseau), support pour les produits IPG (impression), support et installation sur site pour les grands clients.
Les partenaires distributeurs de HP se voient parallèlement proposer « service one » annoncé au mois de juillet dernier, un programme spécialisé sur les prestations d'installation et de maintenance. HP s'organise donc pour internaliser dans sa filiale ou redéfinir pour ses partenaires les opérations de supports et de maintenance, sans que ces deux moyens de traitement, par CDS ou par les partenaires, n'entrent en conflit.
Les clients demandent un interlocuteur unique
«Les clients demandent un interlocuteur unique pour le support, note Olivier Labbé, responsable de l'activité support HP Technology Services, et les parcs à traiter ne sont pas forcément en totalité avec du matériel HP. Il y a toujours une partie que le partenaire ne peut traiter ». Il faut donc une vision globale et une répartition de la solution support entre CDS et le partenaire. Ce qui passe aussi par la ré-internalisation dans CDS de prestations de support auparavant externalisées.
La préoccupation de HP porte donc sur la nécessité de renouveler la notion de maintenance. « L'ancienne conception est aujourd'hui dépassée, note Olivier Labbé, derrière la notion de support nous voulons développer celle de durée de vie et de renouvellement du matériel. » HP veut étendre ses prestations sur sites pour aller vers le préventif. Le but c'est d'arriver à de moins en moins de pannes. Dans quelques années, on devrait nous payer plus cher pour de moins en moins de pannes...mais le marché n'est peut être pas encore mûr »glisse avec humour Olivier Labbé. Le ton est donné, la vraie maintenance a un prix et constitue un vrai business.
L'Etat lance un appel d'offres sur la maintenance des logiciels libres
La Direction des Systèmes d'Information et de Communication du Ministère de l'Intérieur, de l'Outre-Mer, des Collectivités Territoriales et de l'Immigration vient de publier un appel d'offres visant à trouver un prestataire assurant la maintenance des logiciels libres employés par l'Etat. Le marché public sera un accord cadre dont le montant estimé est de deux millions d'euros sur trois ans, ce montant étant sans engagement. Une prolongation d'un an est envisagée.
Les réponses devront parvenir au service acheteur avant le 9 janvier 2012. Il n'y aura qu'un seul allocataire au marché, éventuellement un groupement solidaire ou un groupement conjoint. La notification est prévue pour le 30 mars 2012.
Une dizaine de domaines sont à couvrir :
1 - Systèmes d'Exploitation et logiciels de base associés : Debian et CentOS, outil de virtualisation tel que KVM
2 - Serveurs de présentation et d'application : Apache, Tomcat, JonAS, CMS
3 - Langages et les frameworks de développement : JAVA, PHP, XML, Perl, Eclipse, Struts
4 - SGBD : PostgreSQL, MySQL
5 - Bureautique : OpenOffice
6 - Outils réseaux et supervision et exploitation : Ethereal, Jmeter, Nagios
7 - Outils de sécurité : Tripwire, OpenSSL
8 - Services d'annuaire et de messagerie : OpenLDAP, Sendmail
9 - Portails et gestion documentaire, knowledge management : Nuxeo, Ezpublish, Alfresco
10 - Indexation et recherche : Lucene, Zettair
La quasi-totalité des administrations centrales est concernée :
- les services du Premier Ministre ;
- la Cour des Comptes ;
- le Ministère des Affaires étrangères et européennes ;
- le Ministère de la Défense et des Anciens Combattants ;
- le Ministère de l'Ecologie, du développement durable, des transports et du logement ;
- le Ministère de la Justice et des Libertés ;
- le Ministère de l'Intérieur, de l'Outre-mer, des Collectivités territoriales et de l'Immigration ;
- le Ministère du Travail, de l'Emploi et de la Santé (secteur Santé) ;
- le Ministère du Travail, de l'Emploi et de la Santé (secteur Travail) ;
- le Ministère de l'Education nationale, de la Jeunesse et de la Vie Associative (secteur Education Nationale);
- le Ministère de l'Education nationale, de la Jeunesse et de la Vie Associative ( secteur Jeunesse et vie Associative) ;
- le Ministère de l'Agriculture, de l'alimentation, de la pêche, de la ruralité et de l'aménagement du territoire ;
- le Ministère de la Culture et de la Communication ;
- le Ministère des Solidarités et de la Cohésion sociale
- le Ministère de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche ;
- le Ministère de la Ville ;
- le Ministère des Sports.
L'AEFE optimise le reporting de ses données avec Talend et Actuate
L'agence pour l'enseignement français à l'étranger (AEFE) gère 480 écoles, collèges et lycées établis hors de France, dans 130 pays, qui proposent un enseignement conforme à l'exigence des programmes de l'Éducation nationale française. Ces établissements, de la maternelle aux classes préparatoires, accueillent 300 000 élèves, dont 110 000 enfants d'expatriés français et 190 000 nationaux et étrangers tiers désirant bénéficier d'un enseignement du type de celui des écoles françaises. L'AEFE fonctionne avec 6 400 titulaires de l'Éducation nationale et 15 000 collaborateurs recrutés localement mais est rattachée au Ministère des Affaires Etrangères.
Les gestionnaires de l'agence utilisaient, pour le pilotage et les rapports, Microsoft Excel pour traiter des extractions brutes à partir des systèmes informatiques de production. De fait, les équipes informatiques étaient donc sollicitées pour effectuer régulièrement de telles requêtes, chaque décideur ayant ses propres exigences. Afin de développer l'autonomie des 100 à 150 décideurs concernés et, partant, leur réactivité, l'AEFE a décidé de déployer un véritable système décisionnel.
Une optimisation des reportings
Talend extrait les données de six systèmes : le SIRH, la paye du siège (système distinct du SIRH), la gestion des bourses scolaires, la comptabilité et le budget et la gestion de la formation continue. Les données sont stockées dans un infocentre puis un datawarehouse sous PostgreSQL. Enfin, les solutions d'Actuate sont sollicitées pour créer un cube, des cubeviews, des rapports, des générations de feuilles Excel (certains utilisateurs souhaitant conserver un traitement de ce type) et enfin un tableau de bord synthétique.
« Bien qu'il y ait peu d'indicateurs et une faible volumétrie, nous devions faire de très nombreux croisements de données et nous avions besoin de fluidité et de réactivité » souligne Maryam Khiali, chef de projet maitrise d'oeuvre pour le système d'information décisionnel (SID) de l'AEFE. Avec la solution implémentée, les utilisateurs peuvent aisément fabriquer des rapports à partir des cubeviews, la navigation au sein des données disponibles empruntant une logique d'explorateur de fichiers.
Le projet a été mené à partir de janvier 2011. Il a notamment permis à la directrice de l'AEFE de disposer d'un rapport avec les chiffres dont elle avait besoin pour une audition au Sénat en moins d'une demi-heure contre de nombreuses heures auparavant.
Eurocloud se penche sur le financement du cloud via une commission ad hoc
Avec l'aide de deux associés du cabinet KPMG, Eurocloud a mis sur pied une commission finances dont la première réunion se tiendra en fin de mois. Elle va traiter de sujets sensibles pour tous les éditeurs de taille moyenne. « Le succès de l'intervention de KPMG lors de nos derniers Etats Généraux montre que l'écosystème SaaS/cloud se pose des questions en matière de finances», souligne Henry-Michel Rozenblum, le délégué général d'Eurocloud.
La commission va sortir des Livre Blanc sur les finances du cloud et de ses acteurs. Des Livres Blancs rédigés par les membres de la commission. De nombreuses questions se posent déjà, par exemple : comment calculer un prix de vente de prestations en SaaS, les paramètres à prendre en compte dans sa facturation, la valorisation de l'entreprise, la trésorerie. Les experts de KPMG vont également apporter des précisions sur les prochaines normes européennes en préparation qui impacteront le SaaS.
La commission devrait aborder aussi des thèmes plus généraux, nous précise Henry-Michel Rozenblum, comme l'influence du SaaS sur le SI, ou le management d'une entreprise qui délivre du SaaS.
Niji devient éditeur via sa filiale Kurmi
« Le meilleur creuset pour créer une entreprise, c'est quand même une entreprise et très peu le monde universitaire » lance Hugues Meili, PDG de la société de services Niji. Fort de ce principe, il a lancé l'idée il y a trois ans de créer une pépinière interne d'entreprise pour incuber de nouvelles activités, différentes mais complémentaires de son activité initiale, et destinées à être filialisées.
La première réalisation vient de voir le jour, avec la création de la filiale Kurmi Software. Un éditeur de logiciels destinés au monde de la convergence IP, le coeur d'activité de Niji. Le produit mis sur le marché par Kurmi sert à automatiser la gestion des bouquets de service créés par une entreprise pour cette convergence. Il facilite la gestion d'un écosystème multi-constructeur ou multi-éditeur.
Lancer un produit en le testant auprès des clients
Cette activité d'éditeur est différente de celle exercée initialement par Niji avec des investissements préalables nécessaires dans l'analyse du produit et sa réalisation. Le modèle économique se distingue également, Il faut une vision du marché, des définitions fonctionnelles du produit, une R&D forte. Dans l'édition, on lance un produit en le testant auprès des clients, dans le service on répond au besoin d'un client. Kurmi Software fonctionne donc bien différemment de Niji.
«Il s'agit donc avec Kurmi de mettre sur le marché un produit réalisé dans les règles de l'art, qui sera exporté à l'étranger, avec des partenaires distributeurs à valeur ajoutée » souligne Hugues Meili. Un produit distribué par trois types d'acteurs : technology vendors (Cisco, Alcatel-Lucent, Avaya et tous les acteurs de la convergence), les intégrateurs à valeur ajoutée (NextiraOne, OBS, Spie, Télindus etc ...), les cabinets conseils en tant que prescripteurs.
Kurmi a recruté un directeur général, Abdel Kander et emploie 26 personnes, 15 autres le seront en 2012. Sur 2011, cet éditeur réalisera un chiffre d'affaires de 3 millions d'euros, 5 sont prévus pour 2012. D'autres projets semblables, dont Niji ne précise évidemment pas l'activité, sont en « couveuses ».
Ventes de mobiles en berne, Samsung couronné sur les smartphones
Les trimestres passent et les ventes de téléphones mobiles (smartphones compris) perdent progressivement de leur dynamisme. Pour preuve, les derniers chiffres publiés par le Gartner au titre du troisième trimestre 2011 font apparaitre une progression du marché mondial de seulement 5,6% à 440,5 millions d'unités. Ce résultat s'inscrit dans la continuité du ralentissement enregistré lors des 1er et 2ème trimestres de l'année durant lesquels la hausse des ventes s'était respectivement établie à +19% et +16,5%. On est loin des performances trimestrielles de l'année 2010 lors de laquelle les ventes annuelles de mobiles avaient cru de 31,8%.
Même les ventes de smartphones, qui représentent désormais 26% du marché des mobiles en volume, sont prises dans la spirale du ralentissement. Au troisième trimestre 2011, elles se sont appréciées de 42% à 115 millions d'unités. Cette croissance reste, certes, vigoureuse. Mais elle s'avère tout de même bien inférieure à la hausse de 74% constatée lors du second trimestre 2011 et bien moindre encore que la progression de 85% dégagée lors du premier trimestre. « Le dynamisme des marché chinois et indien a contribué à tirer la croissance du marché mondial, explique Roberta Cozza, analyste au Gartner. Toutefois, la demande a marqué le pas en Europe de l'Ouest et aux Etats-Unis où de nombreux consommateurs attendent la sortie de nouveaux modèles vedettes pour passer à l'achat».
Samsung triple ses ventes, Nokia reste n°1 du mobile
Néanmoins toujours porteur, le segment des smartphones a vu émerger Samsung comme nouveaux numéro un mondial lors du troisième trimestre. Comparé à la même période en 2010, le coréen a triplé ses ventes de « téléphones intelligents » qui se sont ainsi élevées à 24 millions d'unités. Une belle performance que Gartner attribue aux smartphones de la gamme Galaxy qui couvrent désormais une large gamme de prix. Elle permet au fabricant de s'afficher en numéro deux mondial du mobile, tous types de combinés confondus avec 17,8% de parts de marché (PDM).
En perte de vitesse avec une part de marché de 23,9% (-4,3 points), Nokia conserve de son côté sa place de numéro un de l'ensemble du marché du mobile. Pour Gartner, le fabricant finlandais a connu le plus dur lors du second trimestre 2011, considérant que le troisième trimestre a permis de voir des signes d'amélioration. Reste à savoir lesquels. En outre, le marketing commun de Nokia et de Microsoft visant à promouvoir la nouvelle gamme de smartphones sous Windows Lumia devrait encore améliorer la situation du finlandais lors du dernier trimestre 2011.
Quatrième fabricant de mobiles derrière LG (4,8% de PDM), Apple n'a vu sa part de marché progressé que de 0,7 points à 3,9% en dépit de la hausse de 21% de ses livraisons sur le trimestre.
Android passe la vitesse supérieure
Du côté des OS mobiles, Android a réussi une percée spectaculaire en s'arrogeant 52,5% de part de marché au troisième trimestre 2011 contre 25,3% un an plus tôt. Inversement, celle de Symbian a été quasiment divisée par deux à 16,9%. L'iOS d'Apple a également reculé, n'affichant plus que 15% de parts de marché contre 16,6% au troisième trimestre 2010. La plate-forme d'Apple a pâtit de l'attentisme des consommateurs qui préfère repousser le renouvellement de leurs smartphones pour acquérir la prochaine version de l'iPhone.
Huawei en passe de racheter sa co-entreprise avec Symantec
Huawei et Symantec ont annoncé avoir conclu un accord permettant à Huawei de racheter les 49% détenus par Symantec dans une joint-venture conclue en 2008 afin de proposer des solutions de sécurité, de stockage et d'administration système. Prix de la transaction: 530 millions de dollars. Les deux entreprises relèvent avoir été en discussion au sujet de l'avenir de cette joint-venture, actuellement déficitaire, depuis plusieurs mois, et être parvenues à la conclusion qu'il était préférable de ne conserver qu'un seul propriétaire.
«L'intégration des solutions de sécurité et de stockage de Huawei Symantec avec les produits de Huawei va renforcer la position de leader de Huawei dans le domaine du cloud computing», s'est réjoui Guo Ping, président adjoint de Huawei. «Symantec a atteint les objectifs fixés il y a quatre ans, et sort de cette joint venture avec un bon retour sur investissement et une meilleure pénétration du marché chinois» a pour sa part relevé Enrique Salem, président et CEO de Symantec.
Préoccupations sécuritaires aux Etats-UnisL'accord doit encore être approuvé par les autorités américaines, et devrait être finalisé au premier trimestre 2012. Selon certains analystes, les autorités américaines ne devraient pas s'opposer à cette transaction au vu du fait que la joint venture est établie à Hong Kong et non sur sol chinois. Les médias américains se font néanmoins l'écho de préoccupations sécuritaires et relèvent que Huawei a par le passé déjà dû renoncer à plusieurs acquisitions sur sol américain au vu de pressions exercées par les autorités américaines.
ICTJournal.ch
Windows 8 Embedded : Microsoft dévoile son agenda
Microsoft va permettre aux développeurs de travailler sur une version preview de Windows 8 pour les systèmes embarqués au cours du 1er trimestre 2012. L'objectif est de proposer des produits dans les trimestres suivant le lancement de l'OS pour les PC. Ainsi, la prochaine version Enterprise sera publiée un trimestre après la sortie officielle de Windows 8 prévue en 2012, a déclaré Ben Smith, directeur de la gestion des programmes pour Microsoft Windows Embedded Entreprise. La version Standard sortira trois trimestres après a-t-il ajouté.
Ben Smith a refusé de révéler quels sont les changements qu'apporteront les prochaines versions, mais il a souligné qu'ils utiliseront les technologies « interface utilisateur naturelle » (NUI), un terme utilisé par Microsoft pour décrire les produits qui s'appuient sur le toucher, les gestes ou la parole pour compléter les commandes, comme la manette de jeu Kinect. A noter que Windows Embedded Standard fonctionnera sur les processeurs ARM. Sur la partie technique, Windows Embedded se concentre sur les principaux éléments du système d'exploitation, jusqu'au noyau, et améliore le système de fichiers afin de pouvoir traiter les données générées par un ensemble de dispositifs. L'équipe de Ben Smith travaille également en étroite collaboration avec Windows Azure pour s'assurer que les clients puissent inclure aisément le cloud computing dans leurs systèmes intelligents. Visual studio sera aussi concerné pour créer des applications.
Accompagner les systèmes intelligents
« Windows 8 ne représente pas seulement du potentiel d'innovation dans l'expérience PC, mais aussi dans le monde des appareils spécialisés », a déclaré Ben Smith. Windows Embedded est une famille de systèmes d'exploitation adaptés pour des appareils utilisés, tels que les équipements médicaux, les banques, les machines industrielles. La firme de Redmond souhaite voir le champ d'application de Windows Embedded évoluer pour intégrer plus d'appareils, y compris les objets du quotidien tels que les réfrigérateurs et même les thermomètres équipés de processeurs. Ces derniers sont devenus plus puissants, mais aussi moins chers et physiquement plus petits, précise Ben Smith en ajoutant que l'amélioration de la connectivité font que les appareils sont connectés en permanence à Internet. Cela signifie pour le dirigeant la mise en place de véritable système intelligent, capable de collecter des données sur un réseau et leur mise à disposition auprès des entreprises ou des utilisateurs pour améliorer leurs interventions.
Le marché des systèmes intelligents augmentera de façon significative au cours des prochaines années, passant de 800 millions d'unités aujourd'hui à plus de 2,3 milliards d'ici 2015, selon IDC. Les livraisons de dispositifs embarqués dépassent déjà celles des téléphones portables et des PC, et IDC prévoit que le marché des systèmes intelligents pèsera bientôt 520 milliards de dollars.
Salesforce.com acquiert Model Metrics, spécialiste de la mobilité dans le cloud
Salesforce.com a annoncé l'acquisition de Model Metrics. Les termes financiers de l'acquisition n'ont pas été divulgués, mais l'éditeur s'attend à conclure la transaction dans son quatrième trimestre fiscal clos le 31 janvier.
Model Metrics est une entreprise basée à Chicago et comprend plus de 500 clients. Elle a réalisé plus de 1000 déploiements des solutions de Salesforce.com pour les entreprises de toutes tailles. Elle a indiqué en début de mois que 80% de ses clients ont des projets d'intégration des smartphones et tablettes dans leurs déploiements cloud. Ces projets de mobilité ont été multipliés par 6 en 2011 souligne Model Metrics. En conséquence, elle a étoffé son expertise sur le mobile en proposant des offres multi-plateforme. Ainsi, elle a développé des applications pour iPhone, iPad et quelques terminaux Android pour donner un accès hors-ligne aux données de Salesforce.com
(...)
Trimestriels Iliad : Prêt pour l'arrivée de Free Mobile début janvier
Le groupe Iliad a présenté ses résultats pour le troisième trimestre 2011. Le chiffre d'affaires est en progression de 5% à 537 millions d'euros. Côté abonnés, Free a recruté 93 000 personnes dont 20 000 issues de la migration des ex clients Alice. Cela représente 27% de parts de marché des recrutements nets en France et le groupe compte 4,8 millions d'abonnés au haut débit. En ce qui concerne l'ARPU, il est stable 35,5 euros pour les abonnés Free traditionnels, mais à plus de 38 euros pour les possesseurs de la Freebox Revolution.
En attendant l'offre de Free Mobile
Si les résultats trimestriels montrent une bonne santé d'Iliad, les regards vont se tourner vers le prochain lancement de l'offre Free Mobile. Xavier Niel, fondateur du groupe Iliad n'a pas donné beaucoup d'indication dans un entretien à Libération en indiquant juste que « On aura l'offre la plus complète, la moins chère et qui nous assurera la viabilité pour vingt ans » et d'ajouter sur les personnes connaissant le modèle économique (prix, abonnement, etc...) « il y a quatre personnes dans la confidence. (...) aucun des managers n'a la vision du jeu de construction, qui sera révélé sous peu ».
Pour autant, la question de la date agite toujours la websphere et selon nos confrères de Mac4ever, l'offre serait dévoilée le 2 janvier 2012. L'accord d'itinérance conclu entre Iliad et Orange sera effectif en janvier 2012.
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