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(17/04/2008 15:45:40)

Le président de Samsung inculpé d'abus de confiance

Lee Kun-hee, PDG du groupe sud-coréen Samsung, a été inculpé aujourd'hui pour abus de confiance et évasion fiscale, à l'issue d'une enquête lancée en janvier dernier. Un ancien cadre de la direction juridique avait en effet accusé une dizaine de dirigeants d'avoir constitué en douce une caisse noire de 200 M$. Une partie de cette cagnotte devait servir à corrompre de hauts fonctionnaires, l'autre devait être transférée sur un compte au nom du fils de Lee Kun-hee. Les procureurs n'ont pas retenu de charges concernant la corruption, mais Lee Kun-hee risque la prison à perpétuité pour les deux accusations dont il fait l'objet. Le PDG restera en liberté provisoire jusqu'au procès, la justice sud-coréenne estimant qu'une mise en détention immédiate ne pourrait qu'avoir un impact négatif sur l'économie du pays. Cette clémence n'est toutefois pas anodine. La justice sud-coréenne est réputée pour faire preuves d'indulgence vis à vis des « chaebols », ces grands conglomérats familiaux qui dominent le marché. Samsung génère 20% des exportations de la Corée du Sud, ce qui devrait jouer en la faveur de son PDG, d'après les analystes. En février 2007, le patron du constructeur automobile Hyundai avait été condamné à trois ans de prison pour des raisons similaires. Sept mois plus tard, sa peine était réduite en appel à un sursis. (...)

(17/04/2008 15:15:26)

Brainsonic acquiert Slideo

Spécialiste du rich média et de la Web TV, à la fois producteur de contenus et diffuseur, Brainsonic vient de s'offrir Slideo qui possède une plateforme collaborative d'échanges de slides, de vidéos et de contenus professionnels. Cette opération permettra tout simplement d'intégrer une dimension collaborative à la fois au niveau de la vidéo et du partage de slide. Il précise également que les produits et services des deux sociétés continueront à évoluer individuellement. Mais des scénarios d'usage mixtes, en faisant travailler et collaborer les deux plateformes, devraient rapidement être mis en place. Adossée à Axa Private Equity depuis janvier 2007, Brainsonic compte parmi ses clients Essilor, EMI, Société Générale, PPR, SFR, Alcatel,... Plus de 90 de ses clients évoluent dans l'informatique, 16 faisant partie du top 20 des éditeurs de logiciel mondiaux (IBM, Adobe, Microsoft, etc). La société travaille également en partenariat avec des agences comme Ogilvy, le groupe DDB et Publicis. Créée en 2006, Slideo s'adresse quant à lui uniquement aux professionnels avec, entre autres, une plateforme semblable à celle de Myspace ou Facebook qui permet aux entreprises de développer leur propre solution communautaire. (...)

(16/04/2008 17:44:40)

Mandriva joue la carte UMPC pour développer Linux sur le poste client

Linux joue un rôle clé sur le segment des ordinateurs ultra-portables à bas prix (UMPC) qui s'annoncent comme une déferlante dans l'industrie informatique. La « gratuité » du système d'exploitation contribue en effet à la mise sur le marché de ces machines à un prix inférieur à 300 €, voire moins lorsqu'elles sont associées à un forfait de haut débit mobile. L'éditeur français Mandriva a saisi très tôt l'opportunité de prendre une place de choix sur ce segment des ordinateurs personnel où l'OS libre a pour la première fois plus d'une longueur d'avance sur Windows. Au Nigéria, sa distribution Linux a ainsi été livrée sur 17 000 exemplaires du Classmate PC d'Intel à l'éducation nationale. Mieux encore, « étant la seule distribution Linux certifiée sur ce type de machines au niveau mondial, nous nous attendons à être un partenaire de premier plan pour Intel lorsqu'il lancera sa deuxième de génération de Classmate PC aux Etats-Unis et en Europe », indique Gaurav Parakh, le vice président du département OEM de Mandriva. L'éditeur n'a toutefois pas attendu qu'Intel destine son UMPC aux pays industrialisés pour avancer ses pions en Europe. Il est ainsi partenaire de l'espagnol Airis dont le portable de 7'', déjà commercialisé sur son marché domestique, va être très prochainement disponible en France chez le distributeur The Phone House. Toujours en France, il s'est associé au groupe Dexxon qui devrait livrer en juin l'UMPC Gdium équipé de Mandriva Linux. [[page]]Lorsqu'il ne dispose pas d'accords cadres avec les fabricants d'UMPC, Mandriva n'hésite pas à entrer par la petite porte sur leur plate-forme. C'est notamment le cas avec Asus et son EeePC sur lequel est installé la distribution Linux de Xandros. « Nous avons certifié l'EeePC sur Mandriva Linux 2008 Spring. De fait les utilisateurs d'EeePC basés dans des pays où notre distribution est la plus populaire peuvent l'installer sur leurs ordinateurs, d'autant que Xandros ne dispose pas d'un support dans tous les pays », explique Gaurav Parakh. « Microsoft ferait mieux de créer un nouvel OS pour l'UMPC » Comme pour tout projet articulé autour d'un système d'exploitation Linux, c'est sur la fourniture de services aux fabricants que l'éditeur se rémunère. Pour leur compte, il met en place un support utilisateur, développe et maintient une image de sa distribution conçue pour leur plates-formes matériel, fournit un support de troisième niveau au fabricants eux-mêmes... Au delà de cet apport financier immédiat, Mandriva voit aussi dans le phénomène UMPC une occasion pour Linux de compter sur le segment de l'ordinateur personnel. « Aujourd'hui Linux ne pas fait l'objet d'un déploiement en masse sur les PC comme c'est le cas pour Windows. Le modèle de l'UMPC va peut-être nous permettre de renverser la tendance. D'une part, en fournissant un ordinateur sous Linux à des individus qui n'avaient encore jamais utilisé de PC. D'autre part, en amenant des gens déjà familiers de Windows à découvrir un nouvel OS », explique Gaurav Parakh. Microsoft n'a toutefois pas dit son dernier mot. L'éditeur a en effet annoncé qu'il allait maintenir Windows XP jusqu'en 2010, exclusivement pour les UMPC, faute de pouvoir faire fonctionner Vista sur ces machines. « Microsoft tente d'aller sur ce marché en proposant aux clients un système d'exploitation qu'il va maintenir à un coût minimum, mais sans faire les mises à jour essentielles qui permettent de profiter des dernières technologies », estime Gaurav Parakh. Pour lui, un éditeur avec autant de moyens que Microsoft ferait mieux de créer une nouvelle plate-forme pour l'UMPC ou adapter son OS Windows. Sur un marché naissant comme celui de l'UMPC, il est encore trop tôt pour pronostiquer la victoire d'un OS sur l'autre. Une chose est sure toutefois : si le prix continue d'être un critère déterminant sur le marché de l'UMPC, Microsoft devra chercher une solution pour fournir une plate-forme performante et peu onéreuse aux fabricants. (...)

(16/04/2008 17:21:03)

Trimestriels Intel : légère perte de vitesse

Intel a indiqué hier que son bénéfice net trimestriel était en baisse de 12% par rapport à l'an dernier (1,44 Md$). Le fondeur reste toutefois dans le vert, avec un chiffre d'affaire en hausse de 9% (9,67 Md$) par rapport au premier trimestre 2007. Ces chiffres sont toutefois en deçà des attentes des analystes. Pour rappel, Intel est également en proie à de nombreux procès depuis 2001. Pour le deuxième trimestre 2008, la société reste optimiste, et table sur un chiffre d'affaires stable, entre 9 et 9,6 Md$. Cette prudence tient compte d'une baisse significative des revenus rapportés par les mémoires flash NOR, en raison de la transaction portant sur la société Numonyx. (...)

(16/04/2008 15:46:37)

Le Gartner invite les entreprises à se méfier du mariage entre SaaS et open source

D'après le Gartner, d'ici 2010 neuf prestataires SaaS (Software as a Service) sur dix s'appuieront sur l'offre open source afin de réaliser des économies. Systèmes d'exploitation, serveurs d'application, bases de données... tout serait bon dans le libre pour réduire les coûts d'infrastructure. Mais Robert Desisto, analyste au Gartner, apporte un important bémol. Les prestataires SaaS n'ont pas l'intention de faire bénéficier leurs clients de ces économies en logiciel, préférant réinvestir les bénéfices en R&D ou simplement... les garder. Pour mener à bien une telle stratégie, les prestataires SaaS chercheront à stimuler le développement Open Source, toujours selon le Gartner, de plusieurs manières. Ils pourraient par exemple adopter prématurément des solutions encore en test ou en bêta. Pour le cabinet de consultants, ce penchant pour l'open source pourrait, à terme, poser bien des problèmes aux utilisateurs finals. Il cite ainsi Salesforce et SugarCRM, deux prestataires qui permettent aux utilisateurs de développer des extensions de logiciels commerciaux du marché pour les partager ensuite. Ces exemples pourraient se répandre et à terme, les prestataires proposeraient des solutions qui ressembleraient à du logiciel libre, auraient le goût du logiciel libre, mais n'en seraient pas vraiment. Les développeurs qui conçoivent ces extensions peuvent en effet adopter une démarche lucrative et demander un paiement en échange de leur travail. La facturation du service d'application reposant sur un coeur payant et des briques diverses et variées, payantes ou non, risque d'engendrer des modèles hybrides complexes à gérer pour les prestataires SaaS. Des clients en infraction sans le savoir Pis encore, les clients pourraient utiliser du code payant sans le savoir et donc se trouver en infraction vis-à-vis des législations anti-piratage ! Pour le Gartner, une seule solution : les entreprises doivent s'impliquer, voire s'ingérer dans la manière dont leur prestataire travaille avec l'open source. Et ce d'autant plus que les directions informatiques perdent le contrôle et la visibilité quand les services ventes ou marketing décident seules d'utiliser une solution SaaS. Ces dernières ne sont pas forcément les mieux placées pour surveiller les ajouts de code et juger de leur qualité. Malheureusement, une fois l'application externalisée, les services informatiques auront bien du mal à récupérer le contrôle si l'entreprise n'est pas directement impliquée dans les choix effectués par son prestataire... (...)

(16/04/2008 13:06:27)

Annuels Teamlog : la SSII progresse et recrute grâce au Web 2.0

La SSII française Teamlog a réalisé un chiffre d'affaires de 161,5 M€ en quasi conformité avec ses objectifs publiés en février dernier. Le résultat opérationnel courant bondit quant à lui de 59%, et représente 8,2% du chiffre d'affaires. En 2007, Teamlog a également créé une filiale en Ukraine et lancé une campagne de recrutement sur Second Life. Si les résultats sont encore difficiles à estimer, la SSII juge toutefois que cette stratégie n'est pas anodine : « le recrutement via ces nouveaux médias devient incontournable. Les SSII devront s'y adapter », note Guy Mamou-Mani, président du conseil de surveillance Teamlog et DG du groupe Open, qui détient 92,3% du capital de Teamlog. Pour 2008, la SSII envisage une stratégie très offensive, à renfort de plusieurs acquisitions. Prochain objectif : atteindre les 450 M€ de chiffre d'affaires en 2010. (...)

(16/04/2008 12:22:27)

Christine Lagarde autorise le rapprochement entre SFR et Neuf Cegetel

L'acquisition de Neuf Cegetel par SFR vient d'être validée par les autorités de surveillance de la concurrence. Dans un communiqué daté du 15 avril, Christine Lagarde, ministre de l'économie, de l'industrie et de l'emploi autorise en effet le rapprochement annoncé en décembre dernier . Le communiqué officiel du Ministère précise les exigences exprimées à l'encontre de la nouvelle entreprise. « Le ministre a veillé à ce que tous les risques d'atteinte à la concurrence soient neutralisés [...] En particulier, les parties se sont engagées à permettre aux distributeurs concurrents l'accès à 8 nouvelles chaînes, qui s'ajoutent aux 7 chaines déjà mises à disposition depuis l'opération de rachat de TPS. Neuf Cegetel accueillera à l'avenir, sur sa plate-forme ADSL, un distributeur indépendant de télévision sans exclusivité : cet engagement renforcera un éditeur de contenus en lui permettant d'accéder à une base d'abonnés substantielle et est de nature à susciter la création de nouvelles chaînes. En outre, Neuf Cegetel offrira à un fournisseur d'accès Internet un accès à la téléphonie mobile. » (...)

(15/04/2008 18:05:39)

Sogeti invite ses collaborateurs à un brainstorming virtuel

Sogeti suit les pas d'IBM et de ses « jam sessions », pratiques empruntées à l'univers du jazz et transformées en forums de discussion rassemblant divers interlocuteurs. Pour inciter l'ensemble de ses troupes - soit 18 000 collaborateurs répartis dans 14 pays - à dialoguer sur l'avenir de leur entreprise, le spécialiste des services d'informatique et d'ingénierie de proximité, membre du groupe Capgemini, vient en effet de lancer un brainstorming virtuel sur son site Internet. Du 15 au 17 avril 2008, un espace collaboratif de discussion, dont le principe a été développé par IBM, vient ainsi d'être créé à leur intention. Le but étant de mettre à profit la créativité des collaborateurs, où qu'ils soient dans le monde, pour faire germer des idées sur l'avenir de Sogeti, autour de quatre thèmes : les clients, les collaborateurs, les technologies et la responsabilité sociale de l'entreprise. La société de services s'engage à concrétiser dans les mois suivants les idées qui valoriseront le plus l'entreprise, ses salariés et son environnement. Jacques Attali a participé au coup d'envoi de ce brainstorming international via un webcast en direct à 9 h 00 depuis le siège parisien de la SSII : « Je suis enchanté que Sogeti soit pionnier dans ce genre d'interaction avec ses collaborateurs et que la responsabilité sociale d'entreprise soit au centre de ces discussions, a-t-il commenté, en tant que président de PlaNetFinance, organisation de solidarité soutenue par le groupe Sogeti. Je crois fermement qu'en regroupant des équipes locales en une seule et même équipe virtuelle, la communication au niveau international et la qualité du processus d'innovation ne peuvent s'en trouver que durablement améliorées. » [[page]] Jacques Attali a ensuite insisté sur la rapidité croissante des process innovants, en particulier sur Internet, la téléphonie, les biotechnologies et les nanotechnologies. Sur la question de la responsabilité sociale de l'entreprise, il appelle à réfléchir sur la façon de garder ses talents, démarche essentielle de survie. Luc-François Salvador, PDG du Groupe Sogeti, dirige personnellement cette initiative : « Les technologies de réseaux sociaux du Web 2.0 ouvrent de grandes opportunités pour réfléchir, ensemble, à notre futur, et rendent possible la collaboration autour de nouvelles idées. Avec de tels outils, chaque collaborateur sera un contributeur actif de ce dialogue créatif qui devrait apporter un grand nombre de solutions concrètes pour accélérer notre croissance et apporter quelques changements clés. ». Le procédé semble avoir déjà porté ses fruits : c'est à l'issue d'une « jam session » conduite en 2004, qu'IBM a décidé de revoir la définition de son organisation en Europe. Chez Sogeti, le brainstorming semble avoir séduit les salariés, puisqu'en fin de matinée, 5 000 collaborateurs étaient connectés, dont 2 000 Français. Le thème qui revient le plus souvent ? Le respect de l'environnement, cité par de nombreux internautes qui souhaitent vivement renforcer la Green IT chez Sogeti. (...)

(15/04/2008 17:00:35)

Cisco prononce l'oraison funèbre de sa marque Linksys

Cisco devrait se débarrasser plus tôt que prévu de la marque Linksys. Racheté en 2003 par Cisco, Linksys est devenu la marque de produits pour les PME dans le giron du leader des équipements réseau. Une marque qui pose aujourd'hui de plus en plus problème. En juillet 2007, le PDG de Cisco John Chambers avait annoncé sa disparition mais « à terme », soit après quelques années. Le problème proviendrait du fait que Cisco commercialise des produits destinés aux PME sous les deux marques (Cisco et Linksys), ce qui sèmerait la confusion d'après Rick Moran, vice-président marketing des solutions PME de Cisco. Ce dernier reconnaît également qu'au sein du réseau de distribution, les partenaires ont du mal à faire la promotion des deux marques, privilégiant toujours l'une ou l'autre. Résultat, les deux divisions de Cisco travailleront désormais en étroite collaboration avec une feuille de route commune et cohérente entre les deux gammes et, à terme, une évolution vers une marque unique. Pour l'heure, aucune date n'a encore été fixée mais Rick Moran prévoit une évolution rapide, sans rupture pour préserver l'acquis de la marque Linksys et en conservant le réseau de distribution actuel. Selon Rick Moran, la seule différence sera dans l'apparition d'un nouveau nom et dans le support : Cisco pour un support illimité et Linksys pour des produits prêts à l'emploi et faciles à utiliser. (...)

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