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(15/04/2008 16:55:23)

SQLI et le Britannique Xype créent une joint-venture

La SSII française SQLI et l'anglaise Xype ont décidé d'allier leurs compétences au sein d'une joint-venture. Baptisée GEIE Xype-SQLI, elle sera contrôlée à parts égales par les deux partenaires. Elle a pour vocation de renforcer l'accompagnement des clients européens des deux sociétés, et du groupe EADS en particulier. SQLI apportera son expertise Internet, ses nouvelles offres SAP - elle dispose d'un pôle dédié depuis le rachat du cabinet EoZen en décembre 2007 - et de décisionnel. La SSII a également structuré ses méthodes CMMI (Capability maturity model integration), qui visent à améliorer les processus des sociétés de services en termes de délais, de gestion des projets, de gouvernance... Elle est certifiée CMMI 3 et compte déployer les niveaux 4 et 5 à l'ensemble de ses agences (22 en tout). SQLI couvrira la France, l'Espagne et le Maroc. Xype de son côté est spécialisé dans le conseil, l'intégration et la formation autour des environnements de PLM (Product Lifecycle Management), de la CAO (conception assistée par ordinateur)et des SGDT (système de gestion des données techniques). La SSII se chargera des projets en Grande-Bretagne et en Allemagne. (...)

(15/04/2008 15:22:27)

Annuels Infosys : la crise américaine ralentit l'activité

La SSII indienne Infosys Technologies a publié aujourd'hui des résultats annuels positifs, mais légèrement en dessous des attentes. Le chiffre d'affaires s'établit à 4,18 Md$, en hausse de 35%, contre 44% l'an dernier. Même constat pour le bénéfice net, également en progression de 36% à 1,4 Md$, contre 53% il y a un an. Ce ralentissement est particulièrement flagrant pour le quatrième trimestre de l'exercice fiscal. Le bénéfice net ne progresse que de 9,2%, pour atteindre les 312,4 M$. Il s'agit de la hausse la plus faible enregistrée par la société depuis sa création. Comme d'autres SSII indiennes, Infosys est frappée par la crise américaine liée aux crédits immobiliers à taux variable (subprimes). On observe par exemple que son activité en Amérique du Nord est passée de 62,3% à 60,7% entre décembre 2007 et mars 2008, alors qu'elle a légèrement progressé en Europe. Infosys est également victime de l'augmentation des salaires en Inde (+15%) ainsi que de la chute de la valeur du dollar. La société emploie 91 187 personnes dans le monde. (...)

(14/04/2008 18:50:35)

Le directeur technique d'AMD s'en va

Vendredi, Phil Hester a démissionné de son poste de directeur technique d'AMD, pour un autre poste dans une société encore inconnue. Pour l'instant, le fondeur californien n'a pas l'intention de le remplacer à ce poste. L'un des porte-parole d'AMD, Drew Prairie, explique ce choix par la structure même de la société : « Chacune de nos division a eu et continuera d'avoir ses propres directeurs techniques. Ces personnes sont responsables du développement des produits, de feuilles de routes des processeurs, etc... » Le rôle de Phil Hester, arrivé en septembre 2005 chez le fabricant de processeurs, après 23 ans passés chez IBM, était totalement différent, selon Drew Prairie : « Il ne dirigeait pas les opérations au jour le jour pour la société. Lui et son équipe voyait plus loin et aidaient à trouver une direction de développement, avec comme objectif premier l'accélération de la vitesse de calcul (NDLR : notamment en intégrant des processeurs spécialisés dans les puces AMD comme la fusion entre processeurs classiques et puces graphiques). » Par conséquent, l'équipe montée par Phil Hester devrait être dissoute et son personnel réaffecté en grande partie dans les différentes divisions du groupe. Pour les porte-parole d'AMD, ce départ n'a rien à voir ni avec les différents retards dans la sortie des produits, ni avec l'annonce de licenciements à venir. Ces derniers mois, le fondeur avait déjà vu partir deux autres dirigeants, David Orton, ex-directeur général d'ATI, et Henry Richards, vice président, responsable des ventes et du marketing. (...)

(14/04/2008 16:15:22)

Les SSII indiennes sont victimes de la crise américaine

Le ralentissement économique engendré par la crise des subprimes (crise liée aux crédits immobiliers à taux variable) aux Etats-Unis fait également des victimes en Inde. Les SSII - même les plus grosses, comme Wipro ou Infosys - et les éditeurs revoient en effet leurs prévisions à la baisse. « Cette tendance n'est pas près de changer, du moins à moyen terme », détaille Harit Shah, analyste chez Angel Broking. Les SSII indiennes sont en effet fortement positionnées sur le marché américain de l'externalisation de processus métier, il n'y a donc rien d'étonnant à ce qu'elles souffrent de la récession qui frappe le pays. Infosys publiera demain ses résultats pour le quatrième trimestre de l'année. Le bénéfice net s'établirait à 316 M$, selon Businessweek, en hausse de 10,4% par rapport à l'an dernier, et de 2,6% par rapport au trimestre précédent. La croissance de Wipro serait de 2,2% et celle de Tata Consultancy Services de 17,2%. Ces chiffres sont toujours dans le vert, mais nettement inférieurs aux flambées du CA et du bénéfice net (parfois plus de 40%) il y a un an. D'après Frédéric Giron, directeur de PAC (Pierre Audoin Consultants), les SSII et éditeurs français ne devraient pas être touchés d'une manière aussi drastique par la crise américaine : « Infosys par exemple a de nombreux contrats avec des banques aux Etats-Unis, notamment avec la Bear Streams, l'une des dernières à avoir fait faillite, d'où un impact direct sur la société indienne », explique-t-il. De son côté, la direction de Tata a déclaré le mois dernier que deux de ses quinze plus grands clients avaient gelé des projets de grande envergure. En France, Frédéric Giron préfère parler de décélération, et non pas de récession : « les carnets de commande des éditeurs et des SSII sont bien remplis pour 2008. La problématique de ces sociétés est surtout de recruter des profils qualifiés, pas de trouver des projets ». Pour 2009, Frédéric Giron se montre toutefois plus prudent. « Si la crise américaine se poursuit, elle finira par avoir une incidence en France », prévient-il. (...)

(14/04/2008 12:57:24)

IBM s'offre FilesX, spécialiste de la protection continue des données

L'éditeur israélien FilesX est tombé dans l'escarcelle d'IBM, pour un montant non communiqué. C'est la gamme Tivoli qui profitera du portefeuille technologique de FilesX, spécialisé dans la protection et la récupération des données des serveurs Windows. FilesX édite un catalogue de produits pour sauvegarder en arrière-plan les environnements Windows, et pour les restaurer selon plusieurs méthodes, qu'il s'agisse d'un seul fichier ou courriel, ou d'un serveur entier. FilesX, indique IBM, est donc aussi bien concerné par des récupérations d'erreurs ponctuelles que par des plans de continuité d'activité (PCA) ou de reprise d'activité (PRA) après désastre. HP proposait l'offre Xpress Restore de FilesX dans le cadre de sa stratégie « Adaptive data protection » (protection adaptative des données). Il pourra se tourner vers un des autres éditeurs distingués le mois dernier par Gartner comme « fournisseur cool » dans ce domaine : Diligent, ExaGrid Systems, Inmage, ou Sepaton. A propos de FilesX, l'analyste Dave Russell notait que le thème de la protection continue des données est surtout d'actualité dans les environnements Windows et Exchange, « exactement là où se concentre Xpress Restore ». Gartner a également apprécié la sauvegarde par incréments, « particulièrement efficace dans le cas de filiales distantes ». (...)

(14/04/2008 12:31:20)

La start-up française Iminent lève 2,4 millions d'euros

La start-up parisienne Iminent vient de réaliser un second tour de table d'un montant de 2,4 M€ auprès de son investisseur 360 Capital Partners, rejoint par I-Source, « séduit par le succès grandissant d'Iminent [NDLR : auprès de bêta-testeurs privés] », d'après Francis Cohen, président de la société. Iminent.com est une plateforme de services et d'extensions pour les utilisateurs de messagerie instantanée (comme celle de Windows ou de Yahoo). Elle leur permet d'enrichir leurs conversation et de créer du contenu (vidéo par exemple). La société, lancée en 2006 par les anciens fondateurs de Kiwee (un site de téléchargement d'avatars, d'émoticônes), avait déjà levé 3 M€ l'an dernier auprès de 360 Capital Partners. « Cette deuxième levée de fonds nous permettra de développer de nouveaux services, mais également de nous attaquer au marché américain », précise Francis Cohen. (...)

(11/04/2008 17:33:55)

Création d'une fédération européenne du libre

Alexandre Zapolsky, PDG de Linagora, a annoncé lors de la conférence partenaires Ingres (qui s'est déroulée cette semaine à Prague) la création d'une Fédération européenne du libre. Baptisée OBOOE (Open source business organisation of Europe), elle regroupera les fédérations nationales des sociétés de services en logiciel libre. L'OBOOE compte déjà les fédérations allemande, belge, bulgare, espagnole, finlandaise, française, russe et suédoise. Elle représente ainsi quelque 1000 sociétés européennes (des PME dans 90% des cas). L'OBOOE participera aux prochaines rencontres Open Source, comme Linux Tag (qui se déroulera à Berlin du 28 au 31 mai prochains), et Paris Capitale du Libre, les 24 et 25 septembre. Le Linux Tag devrait d'ailleurs être l'occasion pour la fédération d'entériner légalement sa création. L'April, une association de défense du Libre qui compte plus de 2100 adhérents, salue l'initiative. « Il est utile que des professionnels partageant des problématiques communes se regroupent, commente Frédéric Couchet, délégué général de l'April, tout en s'interrogeant sur les « actions concrètes qui seront menées par cette fédération ». A cette question, Alexandre Zapolsky a deux réponses toutes faites : « nous allons travailler sur la notion de représentativité auprès de la Commission européenne, en lui proposant un interlocuteur unique, et nous allons mettre en place un réseau, afin de faciliter les échanges entre les sociétés ». Le siège de la fédération devrait se situer à Bruxelles. En France, Alexandre Zapolsky est également le fondateur de l'ASS2L (Association des sociétés de services en logiciels libres), qui s'est transformée en Fnill en mai 2007 (Fédération nationale des industries du logiciel libre), afin d'accueillir de grosses SSII. (...)

(11/04/2008 16:22:32)

Capgemini : direction et syndicats s'opposent encore

Retour à la case départ chez Capgemini ? Au lendemain des trois jours de discussion entre la direction et les organisations syndicales, rien n'a progressé, dénonce l'intersyndicale, qui appelle les salariés à se mobiliser de nouveau « pour tout mouvement de grève dans les semaines à venir ». Les revendications portent notamment sur une augmentation générale destinée à rattraper une perte du pouvoir d'achat depuis cinq ans. Un préalable que n'accepte par la direction de la SSII, qui a formulé d'autres propositions, dont certaines seront appliquées dès le mois prochain. L'intersyndicale dénonce « un simulacre
de négociation »
L'ampleur des mouvements du 28 mars et du 1er avril derniers avait décidé la direction à proposer trois jours de négociation, les 7, 8 et 9 avril. Dans leur communiqué daté du 10 avril, les représentants CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT et FO écrivent : « En fait la Direction nous a fourni des éléments destinés à préparer la NAO (Négociation Annuelle Obligatoire sur les salaires) pour fin 2008. [...] Devant l'intransigeance de la Direction, l'Intersyndicale n'a eu d'autre recours que d'interrompre ce simulacre de négociation, en revenant vers les salariés dans les Assemblées Générales qui vont se tenir à partir du jeudi 10 avril. » La direction de Capgemini ne voit pas les choses du même oeil. Philippe Tavernier, directeur général adjoint de Sogeti qui a mené les négociations avec les syndicats, reconnaît que certaines propositions relevaient bien des NAO. Toutefois, pour lui, « il ne s'agit absolument pas d'un simulacre de négociations. Nous avons proposé ces journées pleines et entières dès le 31 mars, et la réunion s'est bien tenue sur les trois jours. » Autre élément mis en avant par Philippe Tavernier, la direction a apporté « une dizaine de propositions qui relèvent directement ou indirectement des rémunérations et de l'évolution du coût de la vie. » Capgemini juge une augmentation générale « pas réaliste » Malgré cette apparente volonté de dialogue, les négociations ont achoppé sur la principale demande de l'intersyndicale. Les représentants des salariés réclament en effet une augmentation générale qui rattrapera la perte du pouvoir d'achat depuis cinq ans, un accord salarial pérenne, une revalorisation des frais professionnels et une refonte complète du système d'évaluation des salariés. La direction estime de son côté que « vouloir augmenter de 1 500 euros tout salaire inférieur à 50 000 euros ne constitue pas une revendication réaliste ». D'une part, parce que « les syndicats prennent en compte les résultats opérationnels du groupe dans son ensemble, et non les résultats en France ». Or, explique Philippe Tavernier, « le taux de rentabilité en France est un des plus faibles dans le groupe ». D'autre part, parce que Capgemini juge sa politique salariale équilibrée, des mesures existant déjà pour assurer des augmentations, notamment aux salaires les moins élevés. [[page]] Philippe Tavernier rappelle ainsi que le salaire moyen des quelque 21 000 salariés était de 39 462 E en 2007, et de 42 758 E si on ne prend en compte que la population des cadres, soit près de 16 000 personnes. Les augmentations de salaire se font de façon individualisée, « au regard de la performance et du potentiel ». Au total cette année, selon Capgemini, « à effectif constant l'augmentation de la masse salariale se monte à 2,8 % ». « En 2007, souligne encore Philippe Tavernier, 19,3 ME ont été consacrés à la performance collective des unités au travers de la participation (contre 12 ME en 2006). » Enfin, dit-il, des « mesures-filets ont été signées en 2006 avec quatre des cinq organisations de l'intersyndicale dans le cadre d'un accord courant jusqu'en 2010 ». Elles prévoient une augmentation automatique de 1,5% pour les gens touchant moins de 42 834 E et qui n'auraient pas été augmentés les trois dernières années, ainsi que 500 euros par an d'indemnité forfaitaire pour les 2% des gens de chaque branche touchant moins de 32 000 E. Capgemini propose des mesures de revalorisation applicables dès le 1er mai « Afin de concrétiser le dialogue », fait valoir Philippe Tavernier, Capgemini a proposé lors de ces trois jours de négociations de revoir à la hausse ces mesures de l'accord signé en 2006 ainsi que d'autres compléments de rémunération. Ainsi, ce sont 4% des salaires les plus bas qui seront concernés par l'augmentation de 500 euros par an, et le délai au-delà duquel la revalorisation devient automatique est raccourci de 3 à 2 ans. « Ces mesures qui touchent l'ensemble des collaborateurs de Capgemini seront appliquées dès le 1er mai », fait observer le directeur général adjoint de Sogeti. De même que trois autres mesures : la valeur faciale du ticket restaurant sera portée de 7 à 8 euros, « sachant que la participation patronale est de 60% » (le salarié y étant donc de sa poche aussi, remarque l'intersyndicale) ; le remboursement des indemnités kilométriques gagnera 3% (ce qui est calqué sur le barème du Fisc, dénonce là aussi l'intersyndicale) ; et les forfaits pour les frais de déplacement des non-cadres seront valorisés de 2%. La direction a communiqué ces décisions hier aux collaborateurs du groupe. Et fait savoir aux organisations syndicales qu'elle avait d'autres propositions dont elle entend discuter la mise en oeuvre. De nouvelles assemblées générales décideront si l'intersyndicale doit accepter ou s'en tenir à son préalable. (...)

(11/04/2008 17:44:41)

STMicroelectronics et NXP unissent leurs activités sans fil

Le fondeur franco-italien STMicrolectronics (STM) va fusionner ses activités dans le domaine des technologies sans fil avec celles du néerlandais NXP, en créant une joint-venture dont il contrôlera 80% du capital. En déboursant 1,55 Md€ cash dans cette opération, STM créé ainsi une société qui devrait figurer parmi les leaders du marché, derrière Intel, Texas Instrument ou encore Qualcomm, les trois géants des puces pour périphériques sans fil. La nouvelle société devrait employer 9000 personnes (STM emploie 50 000 personnes dans le monde), et son siège social se situera en Suisse. Aussitôt l'opération annoncée, Christine Lagarde, ministre des Finances, s'est félicitée de ce partenariat : « L'accord conclu avec NXP s'inscrit dans la vision stratégique commune aux actionnaires publics italiens et français de STMicroelectronics, reposant sur un modèle intégré de recherche et de production ». De fait, les composants pour périphériques sans fil représentent un marché important de 14% du total des puces vendues dans le monde, STM et NXP ayant généré ensemble un chiffre d'affaire de 3 milliards de dollars sur ce segment en 2007. Selon Leif-Olof Wallin, vice-président de la recherche chez Gartner, cette annonce n'est pas une surprise : " les fournisseurs de composants ont été soumis à une grande pression sur les prix. S'unir est une façon d'y faire face." (...)

(11/04/2008 13:50:59)

Intel dans le collimateur de l'UFC-Que Choisir

Après la Commission européenne et la justice américaine, c'est au tour de l'UFC-Que Choisir de s'en prendre à Intel. L'association de consommateurs a en effet déposé hier une requête auprès du juge de l'Etat du Delaware. Elle ne pointe pas directement du doigt les pratiques anti-concurrentielles du fondeur vis à vis d'AMD, mais estime que ces méthodes nuisent finalement aux acheteurs. Trois raisons sont invoquées : Intel bride le choix du consommateur, profite de sa position dominante pour faire flamber les prix et freine l'innovation dans ce secteur. Intel est placé sous la loupe de la Commission européenne depuis 2001, pour abus de monopole sur le segment des microprocesseurs x86 (le fondeur détient 80% des parts de marché). Enquêtes, perquisitions et accusations se sont multipliées ces sept dernières années, en Europe mais aussi aux Etats-Unis et au Japon. En juillet 2005, AMD saisissait la justice américaine pour abus de position dominante. Intel aurait en effet soudoyé de nombreux constructeurs de PC pour qu'ils intègrent ses puces, et non pas celles d'AMD. Il aurait également fait pression sur de grands revendeurs pour placer de préférence dans leurs rayons des PC équipés en Intel. En juillet 2007, le rapport de l'enquête réalisée par Bruxelles confirmait que le fondeur bafouait les lois anti-trusts et concurrentielles. , via des pratiques commerciales douteuses. Plus récemment encore, ce sont les bureaux d'Intel en Allemagne qui ont été examinés par la Commission européenne. Dans un communiqué, l'UFC-Que Choisir a indiqué que si Bruxelles condamne Intel, l'association envisagerait de « demander réparation, éventuellement par voie judiciaire ». (...)

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