Flux RSS

Business

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

9034 documents trouvés, affichage des résultats 5861 à 5870.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(11/04/2008 14:01:32)

En forte croissance, le marché du PLM se redessine

En 2007, le PLM a affiché une croissance de 13,5%, plus importante que prévu. C'est le constat établi comme en 2006 par le cabinet d'études spécialisé Cimdata. Celui-ci estime que le marché mondial des outils de gestion du cycle de vie des produits (product lifecycle management, PLM) représente aujourd'hui 24,3 Md$, et devrait atteindre 40 Md$ en 2012 avec une progression annuelle moyenne de 9,8%. « Nous voyons de plus en plus les grandes entreprises lancer des projets majeurs de PLM complet, explique Ed Miller, président de Cimdata. Une attitude qui accentue la pression sur les éditeurs. » Pour Cimdata, le PLM complet correspond au PLM intégré dont les fournisseurs parlent depuis déjà longtemps mais qui reste encore peu pratiqué par les entreprises. Il s'appuie sur une vision globale et collaborative du cycle de vie des produits et non sur un vague puzzle accolant CAO, SGDT et workflow. Sur la totalité des ventes mondiales du PLM, les outils de conception assistée par ordinateur (CAO, CAO mécanique, etc.) continuent de représenter la plus grande part avec 16 Md$. La SGDT, gestion collaborative de documents techniques, qui ne compte que pour 7,5 Md$, présente cependant la plus forte croissance avec 16,3%. Chaque éditeur suit sa propre voie Du coté des acteurs, le marché a changé de visage après deux années de consolidation. « C'est très intéressant car les uns et les autres ne se positionnent plus comme des concurrents directs, analyse Ed Miller. Ce n'est plus CAO contre CAO, SGDT contre SGDT. Mais chacun suit sa propre voie. » Ainsi Dassault Systèmes, qui conserve de loin la première place du PLM mondial et du logiciel français, joue la carte de la 3D. Tout en continuant de pousser la technologie et les fonctions du PLM, l'éditeur imagine un design et une conception des produits virtuelle et en 3D. Elle permettrait à tout un chacun - au consommateur en particulier - d'intervenir facilement dans la chaîne. [[page]]Toujours deuxième, Siemens PLM Software, ex-UGS devenu filiale du géant allemand, a rassuré le marché. Il n'a pas disparu dans les méandres d'un groupe gigantesque pour lequel le PLM n'était pas d'un intérêt évident. Au contraire, il a fait évoluer toute son offre, rassurant sans doute ainsi sa clientèle. « On attend cependant encore de voir comment le PLM pourrait profiter des autres activités de Siemens, déplore Ed Miller. En particulier, celle des automatismes dans laquelle la division PLM est intégrée. » Numéro trois quelque peu malmené ces dernières années, PTC s'attache davantage aux entreprises qu'Ed Miller désigne comme « l'entrée de gamme des grands comptes ». Et côté offre, il se distingue dans la gestion documentaire technique, cruciale dans le monde industriel. Le grand retour des éditeurs de PGI Les éditeurs de PGI (Progiciel de gestion intégré) devraient quant à eux faire leur grand retour. Pour une raison bien simple : le PLM qui prend de l'ampleur dans les entreprises devra inévitablement s'intégrer avec le PGI. SAP a augmenté ses investissements en R&D technique sur le sujet et ses partenaires ont accru leur chiffre d'affaires. L'allemand a bien évidemment ainsi réagi à l'acquisition d'Agile par Oracle mi-2007. « Au départ, cette opération pouvait inquiéter. Mais Oracle a fait un excellent travail avec ce rachat, estime Ed Miller. Il a en particulier maintenu la cohérence de l'offre Agile. » Outre SAP et Oracle, de plus petits acteurs comme IFS et Infor pourraient aussi pointer le bout du nez dans le PLM. Enfin, du côté des utilisateurs, les marchés historiques du PLM demeurent les plus importants et continuent de croître : automobile (environ 1,8M d$), high tech et électronique (1,5 Md$), fabrication et assemblage (1,2 Md$), aérospatiale/défense (1,250 Md$), etc. Mais les secteurs qui n'ont pas besoin de CAO, comme l'agroalimentaire ou le textile, intéressés par le PLM depuis à peine plus de deux ans, ne sont pas en reste. Le premier, avec les biens de consommation et la pharmacie, atteint presque 600 000 dollars. Mieux encore, « les services financiers, encore inclus pour nous dans la catégorie « autres », commencent à apparaître significativement », constate Ed Miller. (...)

(10/04/2008 18:44:10)

Linux continue de croître sur sa base installée

Parrainée par la Fondation Linux à l'occasion de son deuxième sommet annuel, l'étude IDC sur le rôle des serveurs Linux en entreprise révèle que les dépenses devraient passer de 21 milliards de dollars en 2007 à 50 milliards en 2011. Ces chiffres, qui incluent le matériel, les services et les logiciels, ne semblent pas étonner Al Gillen, analyste à IDC, pour qui l'écosystème Linux est aujourd'hui devenu une réalité en entreprises. Pour IDC, cette augmentation des environnements Linux serait essentiellement alimentée par l'accroissement de la base installée existante, les serveurs n'étant plus cantonnés au rôle technique de DNS, DHCP et serveurs Web. Linux serait en effet en passe de s'imposer sur des serveurs de PGI ou encore de GRC et donc de jouer un rôle plus important dans l'hébergement des applications métier de l'entreprise. La croissance des serveurs Linux à caractère applicatif devraient passer de 9 à 17,7% entre 2001 et 2011 selon IDC. Une belle opportunité pour les développeurs, communautés et entreprises soutenant des projets open source. Le cabinet d'étude cite à titre d'exemple le renforcement de la collaboration entre Novell et SAP autour de Suse Linux Enterprise. Une offre logicielle limité à 4% du total Toutefois, l'offre logicielle sur Linux ne représente encore que 4% (10 milliards de dollars) d'un marché total estimé à 242 milliards de dollars. D'ici 2011, cette part devrait atteindre 9%, soit 31 milliards d'un marché global de 330 milliards de dollars. Soit un taux de croissance annuel des dépenses logicielles sur Linux de 35,7% entre 2006 et 2001. Une croissance qui ne dépassera pas celle de Windows, aussi florissante soit elle. IDC estime que le système d'exploitation de l'open source a peu de chance d'atteindre un jour la taille du marché de Windows. Sur le long terme, Microsoft pourrait même se montrer un adversaire redoutable s'il réussi à remporter les projets de migration des plateformes Unix existantes. Linux devra également compter avec la concurrence d'OpenSolaris, autre système d'exploitation libre. Enfin, les entreprises semblent moins intéressées par la compilation de leur propre Linux que par les distributions payantes. Ces dernières tirent en effet la croissance annuelle des environnements Linux, estimée à 8,2% entre 2007 et 2012. (...)

(10/04/2008 15:49:38)

Cegid se renforce sur les logiciels d'hôtellerie et restauration

Déjà implanté sur le marché des logiciels pour l'hôtellerie et la restauration, sur lequel il a réalisé l'an dernier 10 ME (4% de son chiffre d'affaires), le Lyonnais Cegid vient d'acquérir l'éditeur GD Informatique, spécialisé sur le segment de l'hôtellerie indépendante. Cette société iséroise de 18 salariés a réalisé 1,5 ME de chiffre d'affaires en 2007 et compte 350 clients. Ses logiciels WinHôtel+ et WinRestau vont venir renforcer l'offre Cegid Business Line et seront distribués par le réseau d'agences et de partenaires du groupe. GD Informatique a également mis au point un système de réservation de chambres sur Internet. Cette solution hébergée, qui a été référencée par la Fédération Internationale des Logis (Logis de France), s'inscrit tout à fait dans la stratégie SaaS de Cegid qui, depuis deux ans, fait monter en puissance la fourniture de solutions en ligne. Sur son dernier exercice, l'activité « on demand » a représenté environ 5% de son chiffre d'affaires. Cegid entend également offrir un ensemble de services (assurance multirisque, conseil sur la retraite, bilan patrimonial.) aux PME du secteur de l'hôtellerie-restauration, dans la droite ligne de ce qu'il prévoyait de mettre en place en faisant entrer l'assureur Groupama à son capital en décembre dernier. (...)

(10/04/2008 13:01:08)

39 390 postes de cadres et ingénieurs informatiques ouverts en 2008

Pour sa septième édition, l'enquête BMO (besoins en main d'oeuvre) réalisée par l'Unédic a dénombré 39 390 projets de recrutement d'ingénieurs et cadres dans l'informatique en 2008, sur un total de 1 298 142. Cette catégorie professionnelle se classe en 6ème position des métiers rassemblant le plus d'intentions d'embauches, derrière l'hôtellerie, les agents d'entretien, les animateurs sociaux culturels, les caissiers et les employés de maison. Chaque groupe se divise en deux catégories - effectifs permanents et activité saisonnière. Pour les cinq premiers groupes, ce sont surtout les embauches saisonnières qui tirent les chiffres vers le haut, alors que pour l'informatique, elles restent anecdotiques (352 à peine, soit 0,9%, contre 25% en moyenne). L'étude souligne par ailleurs que la demande de personnel qualifié est à la hausse, mais difficile à contenter. 62,8% des ingénieurs et cadres de l'informatique sont difficiles à recruter, contre 56% l'an dernier. Des disparités géographiques sont également signalées. Les difficultés de recrutement concernent essentiellement l'Ile-de-France, qui réunit à elle seule deux tiers des intentions d'embauche. Le Munci, association des professionnels informaticiens, met toutefois en garde contre l'optimisme affiché de cette étude, et ce pour trois raisons. D'une part à cause du turn-over en constante progression, notamment dans les SSII. Il ne s'agirait donc pas de véritables créations d'emploi, mais de remplacement de postes régulièrement vacants. Le Munci pointe également du doigt les critères de recrutement, qui sont de plus en plus exigeants, à la fois en termes de formation, de salaire et d'âge (toujours plus jeunes, blindés de diplômes mais sous-payés), d'où les difficultés à dénicher la perle rare. Le Munci relève enfin que l'enquête a été soumise à plus de 1,5 million d'établissements affiliés à l'assurance-chômage, mais n'a obtenu que 355 174 réponses (soit 23,3%)... ce qui peut statistiquement sembler peu fiable. L'enquête Besoins en main-d'oeuvre (BMO) est une initiative de l'Unédic, réalisée auprès de 30 institutions de l'Assurance chômage (Assédic et Garp) et le concours du Crédoc (Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie). (...)

(09/04/2008 17:19:38)

Rumeurs de rachat autour de Citrix

La hausse spectaculaire du cours de l'action Citrix (de 30,60 dollars à 32,94 dollars) au Nasdaq hier a de quoi surprendre. « L'action a pris deux dollars, ce qui est plutôt rare. Il y a beaucoup de bavardages sur le marché, » affirme Jeff Gavin, analyste financier chez Avian Securities. Pour lui, les rumeurs autour d'un éventuel rachat de Citrix par IBM ou Cisco ne sont pas étrangères à cette évolution. « Nous ne savons pas si ces rumeurs sont fondées, mais elles sont sensées, » explique-t-il. « Nous pensons que Citrix, notamment depuis qu'il a racheté XenSource, est devenu une véritable menace pour VMware. » Et qu'il serait donc susceptible d'attirer la convoitise d'un des deux géants qui voudrait s'aventurer sur le marché de la virtualisation. Prudence, toutefois En revanche, s'il l'on avait déjà envisagé un rachat par Microsoft après l'absorption de XenSource par Citrix, l'éditeur de Windows n'est plus sur la liste des acquéreurs potentiels. Pour Jeff Gavin, Microsoft est déjà occupé à racheter Yahoo, il a son propre hyperviseur et « il préfère conserver Cisco comme partenaire. » Pour un autre analyste financier, qui tient à rester anonyme, l'acheteur le plus naturel serait IBM qui a « davantage de connexions avec l'activité principale de Citrix. » Il reste toutefois prudent en soulignant qu'il y a déjà eu de nombreuses rumeurs de rachats autour des spécialistes de la virtualisation en raison de la consolidation croissante de ce marché. Et de conclure : « Je n'ai aucune raison de croire ces rumeurs. » (...)

(09/04/2008 17:19:15)

Face à Microsoft, Yahoo reçoit le soutien d'un gros actionnaire

Nouvel épisode dans la saga Yahoo/Microsoft. La future mariée est décidée à résister. Après les échanges de quelques lettres croustillantes, oscillant entre propositions mielleuses, menaces et ultimatum, Yahoo a refusé l'offre d'achat de Microsoft, estimant qu'elle « sous-évalue la société ». Elle trouve aujourd'hui le soutien de poids de son deuxième actionnaire, la société Legg Mason, qui n'entend pas faire baisser le prix, voire chercherait même à l'augmenter. D'après le Wall Street Journal, Ben Miller, en charge du dossier, est prêt à aller jusqu'à s'engager dans un proxy fight (littéralement bataille de mandats, ce mécanisme consiste à obtenir les procurations des actionnaires de l'entreprise cible afin de peser davantage lors des votes en assemblée générale, et de modifier la composition du conseil d'administration), si Microsoft ne revoit pas son offre à la hausse. Toujours aussi placide et en marge de l'OPA de Microsoft, Yahoo a annoncé le rachat de la société de services Web Indextools. Située aux Etats-Unis et en Hongrie, cette entreprise développe des outils de mesure et d'analyse et d'audit de trafic Internet. (...)

(09/04/2008 15:55:15)

EDS a racheté une SSII britannique spécialisée sur la sécurité

La SSII américaine EDS vient d'acquérir la Britannique Vistorm Holdings, société de services spécialisée dans l'administration de la sécurité informatique et la protection de l'information. Le montant de la transaction n'a pas été précisé. Vistorm gardera son autonomie et sera dirigée par son équipe actuelle. Cette société créée en 1991 emploie 220 personnes outre-Manche et réalise un chiffre d'affaires d'environ 100 M$. EDS a indiqué qu'il fusionnerait ses ressources investies dans la sécurité au Royaume-Uni avec celles de cette nouvelle entité. L'Américain regroupera ainsi 400 personnes pour couvrir la zone EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique) sur un marché de la sécurité qu'il juge « stratégique et prioritaire » pour lui à l'échelle mondiale. En 2007, EDS a réalisé un chiffre d'affaires de 22,13 Md$ en 2007. Elle emploie 138 000 personnes dans le monde. (...)

(09/04/2008 09:56:04)

2 000 postes menacés par le rapprochement SFR-Neuf Cegetel

Le rachat par SFR de Neuf Cegetel pourrait entraîner dans son sillage de lourdes suppressions d'emplois. C'est du moins ce qui est à craindre selon la Lettre de l'Expansion, qui, sans préciser l'origine de l'information, indique que l'acquisition de l'ensemble des parts du groupe Louis Dreyfus dans Neuf Cegetel par SFR risque de se traduire par la disparition de 2 000 postes. Un plan qui concernerait 600 salariés de SFR oeuvrant pour le déploiement des antennes GSM et 1 400 autres répartis au sein des services clients des deux entités. Aussitôt après la diffusion de ce qui n'est encore qu'une rumeur, SFR s'empressait d'apporter sa réponse, sous la forme d'un démenti catégorique : « Aucun plan de licenciement n'est envisagé et aucun objectif de réduction d'effectif n'est fixé », assure l'opérateur. SFR a pourtant présenté, le 26 mars en comité central d'entreprise, un accord de méthode prévoyant un plan de départs volontaires, qualifié de « plan social déguisé » par la CGT. Dans son communiqué publié en début de semaine, le futur propriétaire de Neuf Cegetel assure cependant que « le dialogue social est permanent au sein de l'entreprise et se poursuit conformément aux pratiques d'ouverture et de concertation en vigueur chez SFR. » (...)

(09/04/2008 09:24:52)

Annuels Smile : le CA a doublé et l'offre s'est étoffée

Résultats 2007 Chiffre d'affaires : 14,24 M€ (+57,8%) Résultat net : 576 307 € (+38,6%) L'intégrateur de solutions en Open Source Smile a publié des résultats supérieurs à ses prévisions : le chiffre d'affaire a plus que doublé, pour atteindre les 14,24 M€, le résultat net est également en progression à 576 307 € (+38,6%) et la marge opérationnelle s'affiche à 8% (contre 7,1% un an plus tôt). L'actualité de Smile a été marquée cette année par deux acquisitions : la Web agency E-dition en juillet, puisle cabinet de conseil Ingénieurs et Consultants en novembre. Smile a également créé en décembre un Observatoire du Web. Totalement gratuit, cet outil de monitoring permet de placer des sites sous surveillance, afin d'en suivre les performances (temps d'affichage de la page, disponibilité du site, technologie utilisée...). Côté services et produits, l'offre de Smile s'est élargie, avec le lancement de nouvelles gammes d'outils système, de virtualisation, de GED (gestion électronique de documents) ainsi que d'une entité baptisée Agence Media Interactive (e-marketing, conseil éditorial, hébergement de données...). Smile compte 329 clients, soit 101 de plus qu'en 2006. La SSII a également étendu sa couverture nationale en ouvrant trois agences, à Lyon, Nantes et Bordeaux. Elle est déjà implantée à Paris et Montpellier. Smile compte 220 collaborateurs. Pour 2008, la société vise un chiffre d'affaires de 21,3 M€ pour une marge opérationnelle stable, à 8%. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >