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(07/11/2011 17:12:08)

Six bonnes raisons d'essayer Fedora 16

Parmi les différentes distributions Linux, Fedora, la version communautaire de Red Hat Enterprise Linux, figure parmi les plus populaires, rappellent nos confrères de pcworld.com dans un de leurs blogs. Dans le classement du site spécialisé DistroWatch, qui propose un Top 100 des distributions (classées en fonction des clics enregistrés quotidiennement par chacune), Fedora figure à la troisième place sur les six derniers mois. Elle arrive derrière Mint et Ubuntu, devant Debian et openSUSE.

Il y a quelques jours, le projet auquel s'adosse cette distribution a annoncé que Fedora 16, également connue sous le nom de « Verne », avait officiellement été déclarée « Gold » et qu'elle serait livrée le mardi 8 novembre. PCworld USA note que ses fonctionnalités la rendent intéressante pour une utilisation en entreprise. Il distingue six bonnes raisons de la tester.

1 - Un choix de bureaux
Le projet Fedora a renoncé à mettre en oeuvre l'interface Unity d'Ubuntu, controversée. En revanche, on trouve dans Fedora 16, à la fois Gnome 3.2 et KDE Plasma Workspace 4.7 -qui comprend les espaces de travail Desktop et Netbook, les applications et la plateforme KDE. Il est vrai que Gnome 3 a lui aussi été controversé, mais il ne s'agit là que d'une option. Ses utilisateurs y trouveront un nouvel outil qui leur permet de passer de façon transparente d'une organisation de clavier à l'autre.

2 - Plus rapide et plus puissant
Suite à la mise en place, dans Fedora 15, du programme de gestion de services Systemd, l'équipe projet a amélioré l'intégration de ce dernier via des services Systemd natifs dans de nombreux composants logiciels. Cela se traduit par des temps de démarrage plus rapide et par des capacités d'administration plus puissantes.

3 - Sécurité renforcée
Fedora est peut-être l'une des distributions Linux les plus sécurisées grâce à l'insertion de Security-Enhanced Linux (SELinux) qui met en oeuvre divers dispositifs parmi lesquels des contrôles d'accès obligatoires. Des fonctions renforcées dans la version 16, avec les améliorations apportées à SELinux.

4 - Capacités cloud supplémentaires
Fedora 16 intègre HekaFS, une version prête pour le cloud de GlusterFS, ainsi qu'OpenStack et Pacemaker-cloud. On y trouve aussi Condor Cloud, une mise en oeuvre IaaS utilisant Condor et l'API Deltacloud, ainsi qu'Aeolus Conductor, une interface web et des outils pour créer et gérer des instances de cloud dans ces environnements.

5 - Un meilleur support de la virtualisation
La mise à jour de Fedora inclut un support étendu des réseaux virtuels et une mise à jour de Spice, conçue pour gérer des machines virtuelles, ainsi que le support de Xen et une meilleure capacité à scruter les systèmes de fichiers invités.

6 - Outils de développement
Pour les développeurs, Fedora 16 comprend des outils pour les environnements Ada et Perl, de même qu'un nouveau plug-in Python pour GCC et des API supplémentaires ou améliorées.

Un ensemble de fonctionnalités qui vient se placer au-dessus de Linux, et peut se compléter de logiciels tels que LibreOffice, Firefox et GIMP. Toujours intéressant à tester.

Crédit illustration : D.R.

(...)

(07/11/2011 15:04:39)

KPN cesse par précaution d'émettre des certificats SSL

Décidément la Hollande devient une berezina pour les autorités de certification SSL. Après Diginotar en septembre dernier, c'est au tour de l'opérateur KPN d'arrêter de proposer ses fameux certificats. Simona Petescu, porte-parole du groupe batave, a expliqué « lors d'un audit sur le site web public, plusieurs indications ont montré que quelqu'un l'avait préparé en vue d'une attaque en déni de service (DDOS) comme il y a quatre ans ». Elle ajoute pour rassurer que, « l'infrastructure backend utilisé pour générer les certificats ne semble pas avoir été affectée, même si une enquête est en cours dont les résultats seront connus prochainement ». Selon elle, « il ne semble pas que des faux certificats SSL aient été créés, mais par précaution nous avons cessé d'émettre des certificats et averti le ministère de l'Intérieur néerlandais. »

Les autorités intermédiaires de plus en plus ciblées

La division KPN Corporate Market est connue comme une autorité intermédiaire de certification, l'une des centaines d'entreprises et d'organisations du monde entier qui peuvent délivrer des certificats SSL pour le compte des autorités principales. Ces entreprises sont particulièrement prisées par les pirates qui peuvent émettre des faux certificats pour amener les internautes vers des sites en apparence vrais, mais capables de soustraire des informations personnelles et sensibles.

La semaine dernière, une autorité intermédiaire de certification malaisienne nommée Digicert a révoqué 22 de ses propres certificats en raison de la faiblesse des clés de cryptage RSA. Dès jeudi, Mozilla et Microsoft ont supprimé tous les certificats émis par la société.

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(07/11/2011 14:31:46)

3 jours au lieu de 10 pour porter son numéro de mobile

L'Arcep annonce la simplification de la procédure de conservation des numéros mobiles lors du passage d'un opérateur à un autre, qui entre en vigueur le lundi 7 novembre. Désormais, la portabilité du numéro sera effectuée en trois jours ouvrables maximum, contre dix précédemment.

Dans le détail, la phase d'échange d'informations entre opérateurs est réduite à deux jours ouvrables au maximum et le délai de mise en oeuvre du portage tombe à un jour ouvrable. Tout retard pourra donner lieu à une indemnisation, sur demande de l'abonné et après vérification par l'opérateur.

Le dispositif prévoit également une disponibilité 24h/24 et 7j/7 des serveurs vocaux, au "3179", diffusant le code RIO (le Relevé d'identité opérateur, indispensable pour demander la conservation de son numéro de téléphone mobile).

Toutes ces dispositions ont été prises en application des directives européennes. Elles améliorent le dispositif mis en place par les opérateurs mobiles en 2007, qui comprend notamment le principe d'un guichet unique entre opérateurs.

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(07/11/2011 12:13:26)

Analyse de données : Tableau Software pousse ses pions en France

L'éditeur américain Tableau Software propage ses solutions décisionnelles sur le marché européen. A la tête de sa filiale européenne depuis décembre 2010, Bruno Saint-Cast, vice-président EMEA, indique que le chiffre d'affaires sur cette région a égalé au premier trimestre 2011 l'activité réalisée sur l'ensemble de l'Europe l'année précédente. La déclinaison française de l'offre, lancée fin juin, a été très bien accueillie sur l'Hexagone où les ventes du dernier trimestre sont équivalentes à celles des douze mois précédents. Créée en 2004 et installée à Seattle, Tableau Software est une société privée dirigée par Christian Chabot, co-fondateur avec Chris Stolte et Pat Hanrahan, responsables du développement. Elle compte 350 collaborateurs dans le monde et 6 500 clients dont une centaine en France, parmi lesquels BNP Paribas, Areva, Thalès, SNCF, GDF, EDF, Orange, Ipsos, le CEA ou encore, Sanofi. L'éditeur s'est déjà entouré d'intégrateurs bien implantés sur ce marché comme Sopra, Micropole, Keyrus (partenaire historique), ou encore Mydral, qui compte parmi les plus actifs, et sous peu, Business & Decision.

Visualisation interactive avec VizQL

L'analyse des données se fait en mémoire ou en connexion avec la base. On peut combiner plusieurs sources en une seule vue. L'éditeur utilise la technologie VizQL pour visualiser les données sur un mode interactif. Parmi les acteurs de la Business Intelligence (BI) qui mettent l'accent sur la facilité d'exploration des données (outils de Data discovery), Tableau Software est placé par Gartner aux côtés d'acteurs comme QlikTech et Tibco/Spotfire, notamment. Le cabinet d'études insiste sur les fonctionnalités de visualisation interactive de l'offre, mises au service de l'analyse, des tableaux de bord, de la diffusion d'information et des applications analytiques.
Technologie de visualisation interactive VizQL exploitée par Tableau Software
La technologie de visualisation interactive VizQL, issue de l'Université de Stanford.

Selon les enquêtes menées par Gartner auprès des utilisateurs de Tableau, la facilité d'usage du logiciel est souvent mise en avant, de même qu'un coût de mise en oeuvre intéressant et un déploiement aisé sans assistance des ressources IT. En revanche, Gartner pointe des capacités moins développées sur le reporting de production, l'analyse prédictive ou les meta-données (couche sémantique).

Renforcer le poids de l'Europe dans les revenus

Début janvier 2011, la société a communiqué un chiffre d'affaires proche de 40 millions de dollars, en progression de 106% sur un an. Pour l'instant, l'Europe ne pèse encore que 10% des revenus globaux de l'éditeur. L'objectif est de faire progresser sensiblement cette part pour la porter à 20 ou 25% d'ici un à deux ans, projette Bruno Saint-Cast. « Nous remportons deux à cinq affaires par semaine en Europe en ce moment », précise le responsable du marché EMEA(*). De ce côté-ci de l'Atlantique, l'éditeur se retrouve souvent face à l'offre QlikView et dit ne pas perdre d'affaires contre des tenants du marché BI. Bruno Saint-Cast évoque pour l'expliquer un rythme de nouveautés plus élevé chez Tableau Software que chez certains concurrents, une mise en oeuvre plus simple et une plus grande autonomie de l'utilisateur final. Quant aux applications, elles sont « d'une variété inouie », souligne-t-il. De la comptabilité analytique à la GRH, en passant par la gestion de la qualité, les analyses de marché, le support aux ventes, les tableaux de bord de performances... Aux Etats-Unis, la solution BI est utilisée pour  analyser les trajets des ouragans, la criminalité (à Seattle) ou les micro-crédits.

Avec la version Tableau Desktop du logiciel (environ 1 500 euros), l'utilisateur non-informaticien accède à ses données en quelques instants, pointe le responsable EMEA. La version Serveur permet de partager les tableaux de bord en mode web (à partir de 7 500 euros pour dix utilisateurs nommés minimum). Ces produits peuvent être testés gratuitement pendant quinze jours. La tarification comprend la maintenance de la première année, fixée ensuite à 25%.

(*) Bruno Saint-Cast fut précédemment DG de Salesforce.com France et vice-président EMEA de Brio Technology.

Crédit illustration : Tableau Software

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(07/11/2011 10:30:50)

Trimestriels Osiatis : Une croissance encore au rendez-vous

Osiatis publie les résultats de son troisième trimestre et des neuf premiers mois de l'année. La SSII affiche des résultats constamment au-dessus de la barre des 10% : +11,9% au 1er trimestre, +16,3 au deuxième, +16,3 au troisième (dont 13,2% à périmètre constant). Sur neuf mois, le chiffre d'affaires cumulé se monte à 205,4 millions d'euros, en progression de 14,9%, dont 10,6% en organique.

La France représente 88% de l'activité. Sur neuf mois, l'activité a progressé de 18%, de 13% en organique. Les services aux infrastructures  ont progressé de 17% et de 14% en organique, les développements et nouvelles technologies de 24,1% et de 6,8% en organique.

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(07/11/2011 10:20:15)

Trimestriels Alcatel-Lucent : Rechute et tour de vis supplémentaire

Alcatel-Lucent publie les résultats de son troisième trimestre fiscal, une période correspondant à la fin de plan de redressement. Elle correspond aussi à une dégradation de l'économie. Autant dire qu'Alcatel-Lucent, qui avait entamé son redressement il y a trois ans, avec l'arrivée de Ben Verwaayen à sa tête, annonce une rechute.

Le chiffre d'affaires sur ce troisième trimestre se monte à 3,8 milliards d'euros, en baisse de 6,8%. L'activité baisse de 18,4% en Asie-Pacifique et de 11,6% en Europe. La marge d'exploitation ajustée se retrouve à  4% contre 5% attendus. La marge brute se monte à 36,3% au Q3, elle était de 33,8% au même trimestre de 2010 et de 35,8% au 2ème trimestre 2011. Toutefois, le bénéfice net sur le trimestre s'élève à 194 millions d'euros, signe que la rentabilité est préservée.

L'action est en repli et Ben Verwaayen entame un nouveau discours. « Compte tenu de l'incertitude du climat économique, nous allons entamer des actions plus radicales », il a prévu de réduire encore les coûts de 500 ME en 2012, 200 sur les coûts fixes, 300 sur les couts variables.

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(07/11/2011 09:59:01)

Les PME innovantes conscientes de la dégradation des aides publiques

Menée de juillet à septembre, l'étude du cabinet Sogedev, a permis d'interroger 206 PME. Elle porte sur l'application depuis janvier 2011, de la Loi de Finances adoptée il y a un an. Les PME innovantes se montrent à la fois très au courant des dispositifs prévus et très conscientes d'être désavantagées (avec les modifications de cette Loi de Finances 2011) par rapport aux grands comptes.

Sur le premier point, 64% des PME interrogées déclarent mener des projets innovants, 73% d'entre elles bénéficiant d'aides publiques en faveur de l'innovation. Des scores élevés. A contrario, 28% des PME estiment ne pas avoir suffisamment de temps pour solliciter ces aides publiques, 11% assurent en pas avoir les compétences internes suffisantes. « C'est en effet chronophage et très complexe, note Thomas Gross, directeur associé de Sogédev,  pourtant, l'impact de ces aides est positif, permettant aux entreprises innovantes de lancer leurs projets et de procéder à des recrutements qu'elles n'auraient pas réalisés».

Malgré cette base solide, la Loi de Finances 2011 est venue créer, par une série d'amendements, une instabilité pour les PME innovantes. Dans l'étude, elles se montrent très conscientes de la dégradation des aides. Les taux du CIR (dispositif fiscal où l'Etat rembourse une partie des dépenses consacrées par l'entreprise à l'innovation) ont été ramenés (pour les entreprises entrants dans le dispositif) de 50 à 40% des sommes engagées la première année, de 40 à 35 la seconde, à partir  1er janvier 2012. Conséquences : des reports de conception de nouveaux produits et des reports d'embauches. 

La trésorerie des PME innovantes pénalisée

Par exemple, le CIR pouvait être remboursé dès le 2 janvier suivant la période du CIR (par exemple au 2 janvier 2011, pour les dépenses de 2010), depuis le 1er janvier dernier c'est seulement au dépôt de la liasse fiscale que peut être demandé le remboursement du CIR (par exemple 2012 sur les dépenses de 2009). Ce n'est plus du tout la même visibilité pour les PME qui témoignent de difficultés de trésorerie, due à ces modifications de la Loi de Finances.

Sur l'aspect JEI (qui porte sur les cotisations patronales de sécurité sociale), les PME doivent faire face à une autre forme d'instabilité. Elle vient du nouveau calcul dégressif d'exonérations sur les cotisations Urssaf et sur le plafonnement des exonérations de charges. Deux tiers des PME interrogées se déclarent impactée. Cette dégressivité des charges se situe maintenant à partir de la 4ème année, avant c'était la 8ème année.  Ce nouveau dispositif  vide le statut de son intérêt. Si le statut de JEI disparaissait, c'est le tiers des entreprises qui pourraient licencier.

Les nouvelles dispositions jouent directement sur la trésorerie des entreprises, elles introduisent une grande instabilité pour des PME jugées pourtant essentielles. Ces dispositions sont jugées injustes car les grandes entreprises (grâce à meilleur lobbying auprès des parlementaires ?) ne sont pas concernées. Tout cela au nom de la réduction des dépenses de l'Etat.  

Les définitions précises du Crédit Impôt Recherche (sur Industrie.gouv.fr) et du statut de la jeune entreprise innovante (sur Urssaf.fr)

Illustration : La fiche pratique de la JEI et le guide du crédit impôt recherche 2011 (crédit : D.R.)
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(04/11/2011 17:20:40)

Le lancement de Solaris 11 prévu le 9 novembre

Oracle a prévu de présenter la version 11 de son système d'exploitation Solaris le mercredi 9 novembre prochain. Sur son site, il propose déjà de s'enregistrer pour le webcast associé à l'événement de lancement qui se tiendra à New York, en présence de Mark Hurd, président du groupe, et de John Fowler, vice-président exécutif, responsable de la division Systèmes. La conférence web, titrée « Comment construire sa prochaine génération de datacenter dans le cloud », débutera à 16 h, heure de Paris. Oracle indique qu'il sera possible, à cette occasion, de « chatter » avec l'équipe de développement de l'OS.

L'OS destiné au SuperCluster T4-4

Oracle a déjà évoqué Solaris 11 sur OpenWorld début octobre, indiquant que cette version fonctionnerait à la fois sur les serveurs à base de processeurs Sparc T et x86. C'est l'OS destiné aux serveurs Sparc T4 et au système haut de gamme SuperCluster T4-4 qui intègrera jusqu'à 128 coeurs. Or, l'actuel Solaris 10 ne peut pas gérer au-delà de 512 threads et quelques téraoctets de mémoire principale, a rappelé John Fowler.  Il sera aussi mis à l'oeuvre dans l'appliance de base de données Exadata Database Machine X2-2 et X2-8, de même que dans l'appliance de middleware Exalogic Elastic Cloud. Ces systèmes peuvent déjà fonctionner avec la version Express de Solaris 11 qu'Oracle a lancé en novembre 2010. Solaris 11 sera aussi un composant essentiel de l'appliance de stockage Sun ZFS utilisée, selon Oracle, par près de 3 000 entreprises.

En revanche, Solaris 11 ne fonctionnera pas avec les anciens serveurs Sparc basés sur des processeurs UltraSparc-I à IV+, ainsi qu'Oracle en avait averti ses clients (cf ci-dessous).

Oracle a averti que Solaris 11 ne supporterait pas les UltraSparc


Selon Oracle, plus de ses 600 clients auraient déjà déployé, en production, des bêtas avancées de cette version 11, dans différents secteurs d'activité, notamment les services financiers, le secteur public et les communications. L'éditeur propose parallèlement un programme de formation pour aider les clients et les partenaires à effectuer leur migration vers Solaris 10 depuis les versions 10 et antérieures.

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(04/11/2011 17:03:07)

Recap IT : Facebook infiltré, iOS 5 va recharger les batteries, HP teste les charmes d'ARM

En cette semaine de Toussaint, à tout seigneur, tout honneur, place de choix à ce qui fait peur, effraye, donne des sueurs froides aux DSI, la sécurité. Et il faut avouer que l'actualité est encore riche en la matière. Le malware Duqu continue sa propagation selon Symantec, alors qu'un laboratoire de recherche hongrois explique que ce logiciel exploite une faille zero-day du kernel de Windows. Microsoft dit travailler dessus, mais le correctif n'est pas présent dans le traditionnel Patch Tuesday, disponible la semaine prochaine. On a appris aussi qu'un serveur du MIT avait été détourné pour compromettre plus de 100 000 sites web. Des chercheurs ont réussi à infiltrer Facebook grâce à des robots capables de collecter une grande quantité de données (250 Go). Même le système captcha utilisé par des sites très populaires a été trompé par des chercheurs. Les experts en sécurité tentent de trouver des parades et simulent des cyber-attaques comme cela a été le cas pour l'opération Cyber Atlantique 2011 avec des Européens et les Etats-Unis.

HP Slate rebondit, Gmail loupe son entrée sur App Store, iOS 5 va recharger les batteries


Même à la Toussaint, on ne meurt jamais complètement. HP a ainsi annoncé le lancement de sa tablette Slate 2 à destination des professionnels, quelques jours après avoir indiqué qu'il ne céderait pas son activité PC. De grands espoirs reposent sur Android 4, beaucoup de constructeurs de téléphonie mobile estiment qu'Ice Cream Sandwich devrait réduire la fragmentation de l'OS mobile de Google. Il lui reste quand même un peu de travail à accomplir quand on regarde le loupé de l'application Gmail sur iOS. A peine apparue sur l'App Store, l'appli a été retirée très vite par la firme de Mountain View en raison d'un bug technique. La grogne a été palpable aussi pour les utilisateurs d'iPhone 4S qui ont constaté une baisse substantielle de l'autonomie de leur terminal. En cause, un bug sur iOS 5 et plus exactement sur la gestion du fuseau horaire. Apple a pris en compte les récriminations et proposera un correctif sur la prochaine mise à jour de son OS mobile. La firme de Cupertino en profitera pour corriger aussi une faille de sécurité touchant l'iPad 2 et sa smart cover. Enfin, citons la volonté d'Ubuntu d'aller vers les tablettes et les smartphones dans les prochaines années.

HP teste des puces serveurs ARM, Sortie de VMware aux élections du JCP


Pour effrayer ses partenaires, rien ne vaut un petit tour chez la concurrence. HP s'est essayé au procédé en testant un serveur intégrant des puces Calexda qui sont basées sur l'architecture ARM. Pour autant, le constructeur ne tourne pas le dos à son partenaire Intel, notamment sur Itanium. HP a également annoncé cette semaine la nomination d'un nouveau DSI en la personne de Craig Flower.

Les élections au sein du comité exécutif du JCP
(Java Community Process) ont été l'occasion de constater les forces en présence. VMware n'a pas été élu, mais reste contributeur Java avec SpringSource. Twitter et Azul System y font par contre leur entrée. Floraison

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