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(12/03/2008 09:49:54)
Neuf Cegetel présente un bilan positif et des ambitions en VoIP professionnelle
Neuf Cegetel a présenté aujourd'hui ses résultats financiers détaillés pour l'année 2007 avec un chiffre d'affaire de 3,35 milliards d'euros, en croissance de 16% par rapport à 2006. « Nous sommes le seul opérateur alternatif en Europe a avoir atteint une telle taille », s'est félicité Jacques Veyrat, PDG de Neuf Cegetel, lors de la conférence de presse. Le résultat net est de 262 millions d'euros, amélioré de 23% par rapport à 2006. Dans le détail, l'activité grand public est en croissance de 65% sur l'année, grâce à l'acquisition du FAI Club Internet. Neuf Cegetel possède désormais 3,2 millions de clients raccordés en haut débit. Les objectifs pour 2008 sont une croissance supérieure à 20% pour l'activité grand public. Dans ce cadre, le groupe indique notamment qu'il entend avoir raccordé un million de foyers en FTTx d'ici à la fin de 2009. Neuf Cegetel comptait déjà 130 000 logements raccordés en fibre optique fin 2007, pour 20 000 abonnés. Quant à la croissance de son activité aux entreprises, elle devrait être comprise entre 5% et 10%. Un revenu moyen mensuel par abonné haut débit de plus de 36€ HT En 2007, un 1 050 000 nouveaux abonnés haut débit ont rejoint Neuf Cegetel (dont environ 600 000 grâce à l'acquisition de Club Internet) ; le groupe annonce ainsi 21% de part de marché fin 2007 contre 17% fin 2006. L'année dernière, le groupe Neuf Cegetel a géré près d'un million de migrations de clients dont 70% ont concerné des migrations des marques AOL et Cegetel vers la marque Neuf, qui regroupe désormais 80% des clients haut débit du groupe ; 30% ont été des migrations vers l'offre 100% Neuf Box. Ces migrations devraient simplifier les offres et les systèmes de gestion, et donc réduire les coûts. Le revenu moyen par abonné haut débit est en croissance de près de 10% et dépasse 36€ HT/mois sur le quatrième trimestre 2007. [[page]] 37% de marge sur le marché professionnel Côté entreprises, le nombre de sites raccordés a augmenté de 34 000 en un an, soit une croissance similaire à celle de 2006, pour s'élever fin 2007 à 173 000 sites. « Nous avons la même croissance qu'Orange. Sur le second semestre, nous avons réalisé 15 000 liens, et Orange en a réalisé 18 000 », a relevé Jacques Veyrat. La croissance des revenus a atteint 7% alors que Neuf Cegetel estime que le marché est en décroissance d'environ 5%. « Notre marge commerciale est de 37% sur le segment des entreprises. C'est notre marché le plus rentable, nous aimerions atteindre la même marge sur les offres grand public », a indiqué le PDG. L'opérateur estime détenir aujourd'hui de 15 à 20% du marché des entreprises. La croissance en 2008 viendra des offres de voix sur IP puisque 40% des lignes de données déployées sont désormais à la fois utilisées pour les données et la voix. Les offres de VPN IP atteignent leur maturité. Cette année verra également le développement des offres de convergence qu'il s'agisse de fixe-mobile ou de ToIP. En 2007, les revenus venus des clients entreprises ont pesé 1,04 milliard d'euros, dont 503 millions pour la donnée, 418 millions pour la téléphonie traditionnelle, et 118 millions pour les autres produits. Par rapport à 2006, la donnée est en croissance de 13%, la téléphonie classique de 2% et les autres produits en décroissance de 1%. Un nouveau terminal GSM-Wifi-TNT [[page]] En 2007, Neuf Cegetel a poursuivi le déploiement de son réseau d'accès WiFi, qui comprend désormais un million de hot spots. Il pousse toujours sa gamme de terminaux hybrides GSM-WiFi TWIN qui comprend 8 modèles. Cette gamme va prochainement accueillir le premier terminal GSM-WiFi doté d'un récepteur TNT, offrant l'accès à un portail de 30 chaînes TV, avec réception en intérieur en WiFi et en extérieur via la TNT. Dans le domaine de la VOD, le groupe annonce aujourd'hui sa nouvelle plateforme Neuf VOD, plus étoffée. Pour les entreprises, Neuf Cegetel proposera un nouveau pack Internet fixe et mobile destiné aux PME et qui sera lancé prochainement. Cette solution comprendra une offre de messagerie collaborative, et intégrera l'ensemble des communications fixes et mobiles (Wifi, 3G+, Edge, GPRS) de l'entreprise, au tarif de 129 €/mois par utilisateur. L'offre sera revendue en indirect par le réseau de 400 revendeurs de Neuf Cegetel. « Nos partenaires régionaux sont les interlocuteurs privilégiés des PME », a souligné Michel Paulin, directeur général de Neuf Cegetel. Des investissements tirés par le grand public L'activité Opérateurs a connu une baisse sensible du chiffre d'affaires (-17%, et -6% hors impact des acquisitions d'AOL France et Club Internet). Les investissements ont représenté 414 millions d'euros en 2007, reflétant le programme de fibre à la maison et la migration des clients vers la marque Neuf. En 2008, malgré le ralentissement de la croissance du marché du haut débit, Neuf Cegetel investira en portant la couverture du réseau de dégroupage à 2 000 URA (centraux téléphoniques) avant fin 2008 (contre 1 707 fin 2007) et en accélérant le déploiement du FTTx, pour 300 millions d'euros. Fin 2007, l'endettement net de Neuf Cegetel s'élevait à 937 millions d'euros, contre 1000 millions au 30 juin 2007. (...)
(11/03/2008 18:00:48)HP soutient symboliquement l'action de PlaNet Finance
HP France veut contribuer, même modestement, à l'effort de formation engagé par PlaNet Finance. Cette association a été créée il y a dix ans par Jacques Attali pour conseiller et assister les acteurs mondiaux de la microfinance (institutions spécialisées, banques, gouvernement...). Rappelons que ces derniers soutiennent financièrement le développement des microentrepreneurs et proposent également des services d'épargne, de crédit et d'assurance aux personnes à faible revenu, principalement dans les pays du Sud. Présente par l'intermédiaire d'affiliés dans 38 pays, l'association a mis en place des programmes d'accès à la microfinance dans quelque 60 pays. Lors d'une conférence de presse, ce matin, Jacques Attali a rappelé combien il était important, en France aussi, de voir se développer le réseau de TPE. « Il est possible de créer 300 000 entreprises », estime le président de PlaNet Finance. « Des structures qui démarrent à petite échelle, sur une idée originale, mais qui ont vocation à se développer sur le marché national », souligne-t-il en citant en exemple le cas d'une entreprise de recyclage de cartouches d'encre pour photocopieurs. Pour accompagner les acteurs de la microfinance, le centre de formation français de l'association, situé à Saint-Ouen (93), organise des cursus mensuels sur la gestion des risques, la microassurance, la bonne gouvernance des IMF (institutions de microfinance) ou encore la connaissance des systèmes d'information de gestion. Un centre dont l'équipement est désormais renforcé par le partenariat noué avec HP France qui apporte deux armoires mobiles, chacune contenant neuf PC portables et un Tablet PC, une imprimante multifonctions et un vidéoprojecteur. Un premier engagement, encore limité, qui mériterait d'être développé. (...)
(11/03/2008 17:51:57)Fusion Google / DoubleClick : feu vert de Bruxelles
La Commission européenne a rendu son verdict, elle ne mettra pas de bâtons dans les roue de Google dans son projet d'acquisition de DoubleClick, une régie publicitaire en ligne. Ce rachat a fait l'objet d'une enquête de moins de trois mois. Bruxelles a finalement estimé que cette fusion ne donnait pas lieu à des pratiques restrictives et anticoncurrentielles vis-à-vis des acteurs présents sur le marché, et ne présentait pas de préjudice pour les internautes. Un avis que ne partagent pas des associations de protection de la vie privée, qui ont déjà manifesté leur désaccord. (...)
(11/03/2008 16:56:22)Microsoft crée un projet communautaire pour tester l'interopérabilité d'OOXML et ODF
A moins d'un mois de la validation, ou non, par les instances nationales d'OpenXML en tant que norme ISO, Microsoft a discrètement inauguré le 6 mars son projet Document Interoperability Initiative. Le principe premier de cette opération est de créer un fort mouvement communautaire autour des tests d'interopérabilité entre formats. En rassemblant, dans un premier temps dans ses labos de Cambridge, revendeurs, développeurs, éditeurs, Microsoft espère bien pousser ses techniciens, tant partenaires que détracteurs, à « remonter leurs manches et tester l'interopérabilité des implémentations de formats de façon à identifier les problèmes qui en découlent, ou dans les technologies de traducteurs utilisées pour croiser les formats », comme l'indique Jean Paoli, gourou XML et responsable des architectures XML de Microsoft dans un communiqué. C'est donc à Cambridge, dans les laboratoires de l'éditeur, que seront en premier disséquées, grandeur nature, les solutions existantes ou en devenir. Avec pour objectif final, « créer des batteries de tests des implémentations ainsi que des modèles d'interopérabilité ». Le 10 mars, un deuxième laboratoire étendra les tests. Puis un troisième verra le jour à Berlin en avril. « Le labo de Cambridge évaluera l'interopérabilité des implémentations existantes d'Open XML et d'ODF sur de multiples plateformes et solutions sous Mac OS X, Palm OS, Symbian OS, Linux, Windows Mobile et iPhone », indique Microsoft. Novell, Mark Logic QuickOffice, Dataviz et Nuance Communications ont par ailleurs donné le coup d'envoi des tests dans le centre anglais. [[page]] Document Interoperability Initiative, une autre façon d'aborder les problèmes techniques Il faut également préciser que le dernier round entre instances nationales a été houleux à Genève fin février. La trop grande quantité de commentaires à examiner étant inversement proportionnelle au temps disponible. Au final, seuls 20% des commentaires émis ont été scrutés, laissant certains sur leur faim à l'issu de la semaine, comme l'indique notre confrère www.cio-online.com. Document Interoperability Initiative pourrait alors convaincre que techniquement, les éventuels problèmes techniques peuvent encore être abordés. En parallèle au Document Interoperability Initiative, Microsoft a annoncé la version 1.1 du convertisseur OpenXML / ODF pour Excel et Powerpoint. Rajoutant, comme l'éditeur l'indique dans un communiqué, une pierre aux principes d'interopérabilité énoncés le 21 février dernier. (...)
(11/03/2008 15:36:44)336 milliards de données personnelles récupérées en un mois par cinq sites
On savait déjà que les sites Internet se servaient des données collectées par les clics des internautes pour affûter leurs campagnes de publicité en ligne, aujourd'hui on connaît l'ampleur du phénomène. D'après une étude réalisée par ComScore pour le New York Times, en l'espace d'un mois, 336 milliards d'informations ont ainsi été récupérées par les serveurs de Google, AOL, Microsoft, MySpace et Yahoo. Ce dernier détient d'ailleurs la palme du nombre d'informations collectées (110 milliards), soit 811 par internaute qui s'est connecté au site de recherche en ligne. Jusqu'à présent, ComScore se contentait de classer les sites Internet en fonction de leur popularité, en se basant principalement sur le nombre de visiteurs par mois. Aujourd'hui il pousse l'étude plus loin, en comptabilisant le nombre de données, apparemment anodines, mais jugées « personnelles » (comme l'achat d'un livre, le choix d'un voyage, d'un vêtement) transmises aux serveurs de quinze célèbres sites Internet. Les internautes peu inquiets par le ciblage comportemental De nombreuses associations de protection des données personnelles ont déjà tiré la sonnette d'alarme, mais ComScore estime que du côté des internautes l'inquiétude est loin d'être au rendez-vous. Et pour cause : contrairement à Facebook, qui a, selon le cabinet, clairement communiqué sur Beacon, son outil de ciblage publicitaire comportemental (après, rappelons-le, avoir fait l'objet d'une vaste polémique), sur les autres sites la collecte de données reste relativement peu visible pour l'utilisateur. Les sites Internet se dotent de plus en plus d'outils pour analyser le comportement des internautes, afin de mieux cibler l'envoi de publicités. En avril 2007, Google a racheté DoubleClick (une agence de publicité en ligne) pour 3,1 Md$ avant de se rapprocher de Publicis, puis en mai Microsoft s'est payé aQuantive pour 6 Md$, Yahoo s'est offert BlueLithium pour 300 M$ et AOL a racheté Quigo pour la même somme. (...)
(11/03/2008 15:13:03)Iomega refuse d'être acheté par EMC
C'est en la refusant que Iomega a rendu publique l'offre de rachat émise par EMC. Sa direction estime que le constructeur de produits de stockage vaut plus que les 178 M$ proposés. Sans préjuger de l'issue, le prix de l'action a bondi de 50% à l'annonce de cette nouvelle, permettant ainsi à certains d'empocher une belle plus-value. Dans les années 80, Iomega lança un système de stockage basé sur des disques souples sous cartouche (technologie Bernoulli). La société, souvent en difficulté, a ensuite lancé les lecteurs Zip et Jazz, qui représentaient de grandes avancées par rapport aux disquettes 3,5 pouces et ont fait sa renommée. Dernièrement, sa stratégie s'est orientée sur des produits de stockage en réseau (NAS) pour indépendants et TPE. C'est la visibilité de la marque Iomega auprès des particuliers et des petites sociétés qui intéresse EMC, interlocuteur traditionnel pour les solutions de stockage pour grandes entreprises. (...)
(11/03/2008 12:31:24)Le Syntec heureux d'un si beau Cebit
Deux jours après la clôture du Cebit, c'est un Syntec Informatique tout sourire qui dresse son bilan de l'édition 2008 de la Deutsche Messe et sert de chambre d'écho aux voeux pieux prononcés par Nicolas Sarkozy lors de son passage à Hanovre.
En dépit du manque d'engagements concrets pris par le président français, le Syntec se réjouit de la reconnaissance du rôle joué par les TIC dans la croissance économique en Europe. Une importance claironnée conjointement par l'édile français, la chancelière allemande et le président de la Commission européenne, à l'occasion de la soirée d'inauguration du Cebit. La coopération franco-allemande, indispensable aux yeux des représentants des deux Etats, est un autre motif de satisfaction pour le Syntec, qui y voit un facteur de renforcement de la compétitivité européenne. Cette proximité entre les deux rives du Rhin doit notamment s'appuyer sur les « clusters », qu'il s'agisse des pôles de compétitivité français ou des Kompetenznetze allemands, tous capables de doper le recours aux TIC pour stimuler l'activité de l'ensemble des secteurs économiques. Selon Jean Mounet (en photo ci-dessus), président du Syntec, les entreprises allemandes et françaises doivent notamment mettre l'accent sur trois domaines « pour prendre des positions de leadership mondial » : les systèmes embarqués, la mobilité et la sécurité.
Si le président français reconnaissait à demi-mot, dans son allocution devant les éminences de Basse-Saxe, ses connaissances parcellaires du monde IT (parlant des machines capables de réaliser « un million de milliards d'opérations par seconde » comme d'un Eldorado), le Syntec ne lui en tient pas rigueur et pourrait revendiquer sans rougir une place au sein du club des fans de Nicolas Sarkozy. Il n'est ainsi pas question, pour la chambre patronale, de relever le caractère anecdotique des intentions annoncées par le chef de l'Etat : le haut débit pour tous en 2012, un PC dans 70% des ménages en 2010. Tout juste pourrait-on voir l'ombre d'un reproche dans ce panégyrique lorsque le Syntec rappelle que le président français a oublié d'évoquer la création d'un ministre de l'IT, un poste « qu'il reste à nommer ». (...)
Forrester et le CXP pointent le coût de support révisé de SAP
SAP vient de modifier les modalités de maintenance de ses applications de gestion pour ses nouveaux clients, avec le programme Enterprise Support. Certains analystes, parmi lesquels figurent Forrester et le CXP, jugent que les utilisateurs risquent de surpayer le service fourni. A partir du deuxième trimestre de cette année, les nouveaux ralliés aux progiciels de SAP ne pourront en effet plus bénéficier du support de base (Basic support), facturé annuellement 17% du prix de la licence payée. A la place, ils se verront proposer un support 7j/7 et 24h/24 certes plus étendu -comportant notamment un engagement de service (SLA) sur les temps de réponse, mais aussi plus coûteux, correspondant à un taux annuel de 22% (un prix équivalent à l'actuel support Premium de SAP). En revanche, il n'est pour l'instant pas prévu que les conditions changent pour les clients ayant déjà contracté leur maintenance. Les analystes font évidemment remarquer qu'à 22%, le coût de support des solutions SAP se retrouve au niveau de celui d'Oracle, l'offre de l'éditeur allemand perdant dès lors cet avantage compétitif sur son rival américain. Sur son blog, Vincent Lieffroy, analyste au CXP, précise qu'il juge « insuffisante » la proposition de valeur de la maintenance de la plupart des éditeurs, parmi lesquels Oracle et SAP. S'il considère tout à fait « justifié de payer pour un service de support », il rappelle que le coût de la maintenance est aussi censé inclure des évolutions fonctionnelles et technologiques. A cet égard, il juge que les nouveautés apportées dans le cadre de la maintenance par les éditeurs ne justifient généralement pas un tarif aussi élevé. Quant à Ray Wang, analyste chez Forrester, il met en garde les actuels bénéficiaires d'un contrat de support Basic à 17%. Selon lui, l'éditeur allemand pourrait bien chercher à harmoniser ses taux de maintenance à 22% sur l'ensemble de sa base. Bill Wohl, vice-président de SAP, rappelle que rien de tel n'est actuellement prévu. Lui ne présente pas ce nouveau programme de support comme une augmentation de tarif mais comme une adaptation de l'offre à la demande des clients. Selon une récente enquête de Forrester, un peu plus de la moitié des 215 professionnels interrogés estiment que 16% constituerait le plus juste taux de maintenance annuel pour les applications, alors que 1/5e des sondés situent plutôt ce seuil entre 10 et 12%. (...)
(10/03/2008 17:13:00)Osiatis recrute 800 nouveaux collaborateurs
Après avoir annoncé 800 recrutements en 2007, la SSII Osiatis - 3 000 collaborateurs, quarante implantations en France, cinq filiales européennes - poursuit sur sa lancée en tablant sur un nombre de recrutements équivalent pour 2008. Les personnes recrutées, dont 60 % seront des jeunes diplômés de niveau Bac +2 à Bac + 5, interviendront dans les trois domaines de l'offre d'Osiatis : l'infogérance et la TM/A (Tierce maintenance applicative), l'ingénierie applicative et d'infrastructures ainsi que la maintenance des systèmes critiques. Il s'agira, pour la division infrastructure, de chefs de projet, de consultants avant-vente, d'ingénieurs toutes technologies (Microsoft, Unix...), d'experts en messageries (Exchange 2000/2003....), d'administrateurs de bases de données (Oracle Unix), de techniciens (hotline, assistance aux utilisateurs, maintenance des serveurs), d'administrateurs/ intégrateurs de systèmes, d'experts techniques, d'ingénieurs systèmes et d'ingénieurs commerciaux. Des chefs de projet, des consultants, des architectes techniques, des ingénieurs de développement, et des analystes sont également recherchés pour Osiatis pour renforcer l'activité d'ingénierie. (...)
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