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(04/12/2007 17:41:47)

Cinq réseaux communautaires Web 2.0 s'associent

Cinq sites communautaires viennent de lancer leur propre association (AOL, Dailymotion, Google, PriceMinister et Yahoo). Baptisée Asic (Association des services Internet communautaires), cet organisme a pour vocation de faire connaître les réseaux sociaux, et surtout de défendre les spécificités de leur activité. « Il s'agit de la première organisation française regroupant des sociétés de premier plan du Web 2.0 [pourtant nettement concurrents] et visant à promouvoir le nouvel Internet », peut-on lire dans un communiqué. L'association se donne pour but de promouvoir l'essor du Web 2.0, mais aussi de « faire comprendre les modèles techniques et économiques aux consommateurs, aux pouvoirs publics ainsi qu'aux acteurs économiques et culturels ». Une explication qui paraît plus rationnelle, au vu des problèmes rencontrés récemment par l'annonce très controversée de la plateforme publicitaire « comportementale », comme celle de Facebook. D'ailleurs Giuseppe de Martino, co-président de l'Asic et directeur juridique et réglementaire de Dailymotion n'a pas manqué de souligner que « les nouveaux usages d'Internet posent un certain nombre de questions légitimes concernant l'éducation des utilisateurs, la protection des enfants, la protection des données personnelles et la lutte contre la piraterie et la contrefaçon. Les acteurs que nous sommes doivent leur apporter des explications concrètes et efficaces ». La réponse est donc claire, l'Asic veut prouver la légitimité et la responsabilisation des sites communautaires dans les problématiques de protection de la vie privée. La nouvelle structure a par ailleurs fait savoir qu'elle était prête à accueillir de nouveaux membres. (...)

(04/12/2007 17:25:16)

L'Afdel prend en compte les nouveaux modèles d'édition de logiciels

Le 30 novembre, l'Afdel, association française des éditeurs de logiciels, a tenu sa 3e assemblée générale et reconduit à sa présidence Patrick Bertrand, directeur général de l'éditeur de progiciels de gestion Cegid. Avec la volonté d'être un interlocuteur de référence vis-à-vis des pouvoirs publics, l'Afdel veut démontrer le rôle actif des éditeurs dans la création de valeur et d'emploi. Vingt-quatre mois après sa création, sa mission est toujours aussi cruciale : il est indispensable de développer l'industrie hexagonale du logiciel. « C'est un métier passionnant, mais trop peu connu en dépit des réussites emblématiques qui l'illustrent, a commenté Patrick Bertrand. Il faut faire des technologies de l'information et de la communication une priorité nationale, a-t-il martelé. Mais pour changer les mentalités, il faut une véritable volonté politique et un engagement visible (...), rapprocher l'université de l'entreprise et multiplier les sources de financement. » Evoquant le rapport Olivennes sur le téléchargement illégal, il a également souligné l'importance de la propriété intellectuelle sur laquelle repose l'économie numérique. Prise en compte des nouveaux modèles économiques Le président de l'Afdel a rappelé la forte évolution du métier d'éditeur avec l'apparition de nouveaux modèles économiques. Une mutation qui amène l'Afdel a modifier ses critères de recrutement. Désormais, pourront adhérer les éditeurs qui retirent 50% minimum de leurs revenus de la commercialisation de leurs logiciels (ou du support et de la maintenance associée) ou de sites Web assimilables, sans distinction de modèle économique. A côté de la classique vente de licences, l'Afdel accueille ainsi les fournisseurs de solutions en ligne proposées en mode SaaS (software as a service), de logiciels en Open Source, d'applications embarquées et, même, ceux dont le modèle économique repose sur une rémunération par la publicité, le logiciel étant ici diffusé gratuitement. Par ailleurs, pour adhérer à l'association, il faut maintenant exercer une activité directe de recherche et développement en France (jusqu'à présent, l'Afdel acceptait que la R&D s'exerce de façon indirecte). Esker, Lefebvre Software, Sidetrade et Sparus au conseil d'administration L'Afdel compte aujourd'hui 124 membres. Lors de cette troisième assemblée générale, quatre nouveaux membres ont été élus au conseil d'administration : les éditeurs Esker, représenté par Michel Guyenot, Lefebvre Software, représenté par Viviane Ribeiro, Sidetrade, représenté par Olivier Novasque, et Sparus Software, représenté par Frank Delorme. Enfin, l'éditeur de solutions de PLM Dassault Systèmes est désormais représenté à la vice-présidence de l'Afdel par Philippe Forestier, vice-président exécutif Network Selling, aux côtés de François Potier, directeur général adjoint de Berger-Levrault (logiciels pour les collectivités publiques et le secteur de la santé), et de Pierre Violo, PDG de Xcalia (logiciel d'intermédiation pour créer des applications composites transactionnelles). (...)

(04/12/2007 17:22:50)

eBay France assigné en justice par un Conseil de ventes aux enchères

Le « Conseil de ventes volontaires de meubles aux enchères publiques » vient d'annoncer qu'il assignait eBay France en justice, pour infraction contre la loi de juillet de 2000 qui régule les actions des commissaires-priseurs en ligne et autonomes. D'après cette assignation, le site serait considéré comme étant un « opérateur de vente aux enchères comme un autre», devrait donc se déclarer comme tel, et se soumettre à la législation en vigueur pour poursuivre son activité. L'office de régulation reproche par exemple à eBay un risque concernant « la protection des consommateurs concernant les risques de fraude fiscale ou de la vente de marchandises de contrefaçon ». EBay se défend de manière véhémente contre cette accusation. « Cette assignation est complètement injustifiée, déclare Alexandre Menais, directeur juridique chez eBay France, certes nous avons inventé une nouvelle façon d'acheter et de vendre (eBay compte 10 millions d'adhérents en France), mais notre statut et notre activité ne s'apparentent en rien à celui des commissaires-priseurs classiques. » D'après eBay, la relation entre le vendeur et l'acheteur se fait de manière directe, sans l'intervention d'un tiers. « Nous ne sommes qu'un intermédiaire « neutre », qui se contente de mettre à disposition des internautes des outils de vente. Nous n'intervenons pas sur la durée de l'enchère, le vendeur n'est pas obligé de choisir l'offre la plus élevée, et nous ne nous chargeons pas de la livraison ». Alexandre Menais n'a d'ailleurs pas manqué de qualifier cette assignation de « vieille rengaine, peut-être en raison de l'aspect poussiéreux de certains membres du Conseil des ventes, qui n'ont pas su prendre en route le train du commerce en ligne », avant de souligner « eBay n'a jamais connu ce type de problème dans les 38 autres pays où il est présent ». Le Conseil a demandé la révision de la loi de juillet de 2000, afin de mieux définir le statut de sociétés de vente aux enchères prétendant être des courtiers. Ce sera au tribunal de grande instance de Paris de trancher dans les mois qui viennent. D'autres sites de ventes aux enchères seraient également visés par cette enquête. La date du procès n'est pas connue, mais chez eBay, on se déclare « sereins et confiants ». (...)

(04/12/2007 16:22:17)

Trois associations s'insurgent contre la vente liée

Alors que Luc Chatel, le secrétaire d'Etat à la Consommation, n'est pas favorable à ce que la loi réglemente spécifiquement la vente liée dans le domaine de l'informatique, et qu'il conditionne l'action de la DGCCRF à l'issue d'une action judiciaire intentée par l'UFC Que Choisir, trois associations tirent la sonnette d'alarme. L'Aful (Association francophone des utilisateurs de Linux et logiciels libres), l'April (Association de promotion et de défense du logiciel libre) et Scideralle (Recherche appliquée en logiciels libres pour l'éducation) viennent ainsi d'envoyer une lettre ouverte au secrétaire d'Etat, dans laquelle les rassemblements s'indigent contre les propos tenus par ce dernier dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale. Répondant à une question des députés Martine Billard et Jean-Yves le Déaut, Luc Chatel indiquait ainsi que si les juges n'appliquent pas strictement le code de la consommation - qui proscrit la vente liée - c'est avant tout pour garantir le bon fonctionnement de l'ordinateur. « Nous nous élevons solennellement contre l'argument fallacieux avancé une fois encore d'un prétendu intérêt du consommateur pour tenter de justifier la vente liée dans le domaine informatique », assènent les trois associations. Celles-ci expliquent, dans leur argumentaire, que lier l'achat d'un ordinateur à l'obligation de payer des licences pour des logiciels ou OS préinstallés nuit à l'ensemble des consommateurs. Ces derniers sont en effet privés d'information sur l'existence d'autres logiciels, sur les prix des licences qu'ils sont amenés à payer et se trouvent, de fait, éloignés d'une vraie situation de concurrence. Même problème du côté des entreprises. La vente liée les prive, selon les signataires de la lettre ouverte, de sommes qu'elles pourraient consacrer à la formation des salariés ou au développement d'applications par des acteurs locaux. L'April, l'Aful et Scideralle estiment que la vente forcée de logiciels intégrés au matériel avant l'importation engendrerait des dépenses de l'ordre de 500 M€. Enfin, l'Etat lui-même pâtit de cette pratique. Qu'il s'agisse des administrations ou des collectivités territoriales, la vente liée induit un coût supplémentaire supporté par le contribuable de « plusieurs centaines de millions d'euros annuellement ». Face à cette situation, et à l'apparente volonté de statu quo affichée par Luc Chatel, les associations réclament « au gouvernement français de faire appliquer sans délai le code de la consommation ». Celui-ci, dans son article 122-1, dispose : « il est interdit (...) de subordonner la vente d'un produit à l'achat d'une quantité imposée ou à l'achat concomitant d'un autre produit ou d'un autre service. » Si Luc Chatel paraît aujourd'hui estimer suffisante l'inaction des tribunaux pour faire respecter ce principe, il se faisait le héraut, lorsqu'il n'était encore que député, d'un double étiquetage chez les distributeurs afin d'informer les consommateurs de ce que pesaient les logiciels dans le prix qu'ils s'apprêtaient à payer pour leur ordinateur. (...)

(04/12/2007 15:54:58)

Polémique autour de l'attitude de Sun vis-à-vis d'OpenDS

Le torchon brûle entre la direction de Sun Microsystems et l'un de ses ex-salariés, également un des co-responsables du projet libre OpenDS qui porte sur la réécriture en Java de Sun Directory Server, l'actuel serveur d'annuaire LDAP de Sun. Dans une lettre ouverte, Neil Wilson, un des cofondateurs et un des quatre administrateurs originels du projet, dénonce l'attitude de Sun. Selon lui, Sun, qui a licencié pour raisons économiques les quatre administrateurs du projet OpenDS, les a menacés de les priver d'indemnités de licenciement s'ils n'abandonnaient pas le contrôle du projet OpenDS au profit de salariés de Sun. Le projet OpenDS, qui était à cheval entre le Texas et Grenoble, où se trouvait déjà la majorité de ses développeurs, vient d'être entièrement consolidé au sein du Directory Server engineering group à l'antenne grenobloise des Sun Labs. Dans cette antenne, une quarantaine de développeurs travaille sur les annuaires LDAP depuis 1996. Désormais libéré de tout lien contractuel avec Sun, Neil Wilson raconte ces pressions. Selon lui, elles expliquent pourquoi il a totalement disparu du projet. L'affaire peut paraître anecdotique, mais Neil Wilson était tout de même l'architecte du projet et avait écrit de sa main 50% du code existant. Son retrait brutal risque de ralentir la maturation d'OpenDS. Par ailleurs, dans le milieu très "politique" de l'Open Source, la façon dont est présenté le comportement de Sun l'expose à des critiques acerbes. La polémique, qui semble s'envenimer à la lecture des échanges entre Neil Wilson et Simon Phipps, Chief Open Source Officer chez Sun, attire les concurrents. C'est ainsi que des participants au projet OpenLDAP prennent la défense de Neil Wilson. Sun accusé de dévoyer l'esprit de l'Open Source ? Neil Wilson pousse les feux dans ce sens. Toute proportion gardée, cela rappelle les cris d'orfraie qui avaient été entendus lors de la signature de l'accord entre Microsoft et Novell, éditeur de Suse et traite à la cause... (...)

(04/12/2007 14:46:05)

La plateforme de virtualisation de Sun disponible dès le 10 décembre

Annoncé au lendemain d'OpenWorld, xVM Ops Center, la console de gestion de virtualisation de Sun arrivera dès la semaine prochaine. En effet, la société en publiera gratuitement le code source dès le 10 décembre sur son site dédié : www.openxvm.org. Et le 8 janvier 2008, la version commerciale sera disponible pour tous. Gratuite, elle sera accompagnée par une offre de support allant de 100 à 350 $ par serveur administré. Pour l'instant, xVM Ops Center v1.0 permet d'administrer des serveurs x86 et Sparc tournant sous Linux et Solaris. Le support de Windows est prévu, mais aucune date n'a encore été officiellement annoncée. (...)

(04/12/2007 12:02:13)

Windows Server 2008 ne séduit pas, selon Gartner

John Enck, analyste chez Gartner, a un avis plutôt tranché sur le futur Windows Server 2008 : « Si vous êtes sous Windows Server 2003, prenez votre temps (ndlr : pour migrer). Ce nouveau système n'est pas le changement radical et ultime que nous avons déjà connu. » Et les responsables de data center semblent du même avis. Deux sondages différents montrent qu'ils sont peu pressés à adopter cet OS. Ainsi, sur les 687 responsables interrogés par Network World, 50 % ne comptent pas y passer dans un proche avenir, contre 13 % qui veulent l'adopter dans les 12 mois après sa sortie en février, et 9 % dans les deux ans suivant la sortie. Et 19 % déclare avoir juste entamé leur réflexion sur une éventuelle migration. Lors du dernier symposium Gartner à Las Vegas, un sondage rapide dans la salle - après le discours de John Enck - montre que 73 % des directeurs informatiques n'ont pas l'intention de le tester ou de le déployer dans l'immédiat. Parmi les raisons de cette méfiance, 68 % des responsables interrogés par Network World craignent une non-compatibilité avec leurs applications déjà installées, et 65 % une migration coûteuse. 43 % d'entre eux ont également des craintes liées à la sécurité et 34 % d'entre eux ne voient pas de « killer app » justifiant ce passage. Plusieurs réponses par sondé - en faveur comme en défaveur de Windows Server 2008 - étaient autorisées. En faveur de l'adoption, la sécurité et les nouveautés sont également à l'honneur, avec 44 % des sondés qui disent vouloir utiliser NAC (Network Access Control). Plus prosaïquement, 37 % d'entre eux affirment qu'il est de toute façon temps d'acheter de nouveaux serveurs. Et rejoignent en cela John Enck qui rappelle que les utilisateurs de Windows Server 2000 « devraient se sentir un peu nerveux. Vous utilisez un produit qui arrivera en fin de vie à l'orée 2010 ». Encourageant Microsoft à positionner son système d'exploitation sur ce marché. Quant aux utilisateurs de Windows NT 4.0, il n'a qu'un conseil : « Upgradez ». (...)

(03/12/2007 18:16:31)

Windows Vista fête son premier anniversaire sans éclat

Le 30 novembre 2006, Microsoft parvenait enfin à lancer Vista auprès de ses grands comptes clients. D'ultimes retards l'empêchaient d'en faire autant auprès du grand public avant le mois de janvier 2007. Malgré cinq années de gestation, le Windows le plus ambitieux d'une dynastie fondée en 1985 avec Windows 1.0 fête sa première année d'existence sans être parvenu à convaincre : trop lent et trop gourmand pour les critiques les plus objectifs, trop paranoïaque et trop hautain pour les opposants plus acerbes. Faute d'alternative facile à prendre (Linux est trop complexe pour les utilisateurs lambda et MacOS reste rivé à une plateforme unique), Microsoft jouait pourtant sur du velours. Sauf qu'il s'avère que, face à un OS aussi décevant - et au parc de logiciels compatibles aussi restreint - c'est Windows XP le concurrent le plus coriace. Microsoft clame avoir écoulé 88 millions d'exemplaires de Vista depuis son lancement. C'est peu à l'aune des plus de 250 millions de micros qui vont se vendre cette année, surtout si l'on se souvient que Microsoft a tout fait pour forcer la main des fournisseurs de PC et portables pour qu'ils ne laissent d'autre choix que Vista à leurs clients. Et 88 millions, c'est une goutte d'eau par rapport au parc installé. On n'entend d'ailleurs plus aucun responsable de Microsoft depuis janvier dernier pour pérorer sur le fait que Vista "outperfom" [fait mieux que] soit ses propres prévisions, soit XP en son temps. Microsoft a longtemps gardé le secret sur la date de sortie de la première mise à jour d'envergure, le Service Pack (SP), expliquant qu'il ne fallait pas l'attendre pour déployer Vista. Maintenant que le SP1 pour Vista arrive, c'est d'autant plus le moment de passer à Vista explique Microsoft. Pourtant, selon une batterie de tests réalisée par Devil Mountain Software, XP est plus performant que Vista, avec ou sans SP1 et quelque soit la quantité de mémoire mise à disposition des deux systèmes d'exploitation. L'écart, de un à deux, est incontestable. Bien sûr, Vista finira sans doute par équiper la majorité des micros. Mais il ne devra pas cette réussite à ses qualités techniques. Plus triste encore, comme le fait remarquer le blog technologie du Wall Street Journal, Vista aura perdu la guerre de l'opinion publique. (...)

(03/12/2007 18:04:20)

Terminaux de paiement : Ingenico et Sagem Sécurité se rapprochent

Les fabricants français de terminaux de paiement Ingenico et Sagem Sécurité (filiale de Safran) viennent d'annoncer leur rapprochement. Les deux sociétés présentent leurs activités comme fortement complémentaires, tant du point de vue des gammes de produits, que de l'implantation géographique et des équipes commerciales. A eux deux, les fournisseurs ont réalisé en 2006 un chiffre d'affaires proforma de 646 M€. La transaction est soumise à l'accord des autorités de régulation de la concurrence, à l'approbation du conseil de surveillance de Safran qui doit se rassembler mi décembre, ainsi qu'à l'accord de l'assemblée générale des actionnaires qui sera convoquée en mars 2008. (...)

(03/12/2007 17:49:44)

Ed Zander démissionne de Motorola

L'équipementier télécoms Motorola a annoncé vendredi la démission de son directeur général Ed Zander et son remplacement par Greg Brown, directeur général délégué du groupe, à compter du 1e janvier 2008. Ed Zander continuera néanmoins d'exercer ses fonctions de président du conseil d'administration de l'entreprise, jusqu'au mois de mai 2008. Pour Jeff Kan, un analyste indépendant basé à Atlanta, ce départ est la conséquence de l'échec partiel d'Ed Zander en tant que CEO d'une des plus importantes entreprises du secteur, au moment où le secteur des technologies a amorcé un virage, et où le groupe aurait dû être plus en phase avec les transformations des besoins de ses clients. « L'industrie de la téléphonie mobile évolue de plus en plus, sur le modèle de l'industrie de la mode, assure Jeff Kan. Ce qui est commercialement pertinent aujourd'hui, peut ne plus l'être demain. » (...)

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