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(24/10/2007 12:58:16)
Gestion de la performance : Microsoft mise sur l'intégration avec Office
Pour le lancement français de Microsoft Office PerformancePoint Server 2007, mardi 23 octobre, les retardataires ont dû se rabattre sur les escaliers, dans cette salle de 500 personnes de l'UGC Ciné Cité retenue par l'éditeur. Cette offre de gestion de la performance économique vient compléter les outils décisionnels que Microsoft livre déjà avec sa base de données SQL Server (reporting, datamining, intégration de données et stockage analytique). Destinée d'abord aux contrôleurs de gestion et aux directions opérationnelles, même si l'éditeur ambitionne de l'étendre au plus grand nombre d'utilisateurs, elle apporte des fonctions de tableaux de bord, d'analyse interactive de données (des outils issus du rachat de ProClarity) et de planification (analyse prévisionnelle de l'activité d'une entreprise). La version française sera disponible le 02 novembre, mais les plus curieux peuvent déjà télécharger une version d'évaluation sur le site de l'éditeur. Une concurrence musclée Microsoft arrive ici sur un marché très convoité, et par les plus grands éditeurs (SAP, Oracle, SAS, Cognos). Les solutions de gestion de la performance, ayant effectivement vocation à sortir des directions financières pour toucher toute l'entreprise, ont fait l'objet de tous les appétits ces derniers temps. Rappelons que ces derniers huit mois ont vu, dans ce domaine bien précis, le rachat d'Hyperion par Oracle, de Cartesis par Business Objects, d'OutlookSoft (une offre basée sur les technologies Microsoft) par SAP, d'Applix par Cognos et, surtout, finalement, de Business Objects par SAP. En dépit de cette concurrence musclée, Microsoft semble avancer avec sérénité sur ce terrain. Comme souvent, le prix de son offre, inférieur à celui des autres solutions bâties surtout pour les grandes entreprises, le conforte dans sa certitude d'attirer l'attention. La tarification d'Office PerformancePoint Server démarre à 20 000 € et va jusqu'à 35 000 € avec une maintenance de trois ans. Elle est assortie d'un droit d'usage de 300 € par utilisateur. L'éditeur, confiant sur ses chances dans le décisionnel, avance une récente étude de Gartner qui vient de le créditer de la plus forte progression des fournisseurs de solutions d'analyse de données d'entreprise (en anglais, Business Intelligence). Mais, comme à l'accoutumée, Microsoft compte surtout pousser son offre de gestion de la performance grâce à l'intégration qu'elle propose avec les logiciels de sa gamme Office. Ainsi, c'est un add-in pour Excel qui permet d'exploiter l'outil de planification et de saisir les prévisions. Et pour partager les outils d'analyse et les tableaux de bord, on recourra au portail Sharepoint. Microsoft affiche ses ambitions. Aujourd'hui, seuls 18 % des utilisateurs ciblés par le décisionnel l'utilisent vraiment. L'objectif, selon Laurent Delaporte, directeur général adjoint de Microsoft, c'est de porter cette proportion à 40 %, en partie grâce à l'intégration des outils avec Office. [[page]] Des démonstrations didactiques Pour convaincre de la facilité d'utilisation de PerformancePoint, l'éditeur a misé sur des démonstrations didactiques. A l'UGC Ciné Cité, les officiants ont décortiqué la constitution et l'exploration d'un indicateur de performance (mixant chiffre d'affaires et prévisions de ventes), l'exploration des données et leur manipulation graphique selon différentes vues (les ventes de l'entreprise par pays, produits, commerciaux, en histogrammes variés et en quelques clics), ou encore, les mécanismes de collecte d'informations entre différents utilisateurs, pour les démarches de prévisions de ventes, par exemple. Microsoft signale un premier client français, signé en fin de semaine dernière. C'est une société de 170 collaborateurs intervenant dans le secteur du service à la personne. Et pour illustrer l'intérêt des grandes entreprises pour ses solutions décisionnelles, Microsoft avait convié TF1, Auchan et Energizer. Ce dernier sera l'un des tout premiers clients à déployer au niveau mondial le module de planification de PerformancePoint. Le fournisseur de piles témoigne de l'importance que revêtent les prévisions annuelles de ventes, définissant la stratégie de son entreprise sur l'année à venir. Combiné à divers autres critères, son catalogue de 2 300 références génère 13 millions de possibilités de prévisions. Energizer entend donc simplifier son processus de planification, lourd et long à réaliser, en s'appuyant sur un référentiel commun à toutes ses entités. (...)
(24/10/2007 12:41:50)Sage repousse Sage Expo
Comme l'indique notre confrère www.distributique.com, Sage a décidé de décaler de 15 jours son salon partenaires Sage Expo prévu le 13 novembre. La manifestation a été reprogrammée au 27 novembre, toujours au CNIT à la Défense. L'éditeur invoque notamment la nécessité de disposer d'une surface plus grande afin de présenter dans de bonnes conditions ses logiciels et ses services, sans toutefois rejeter le fait que la simultanéité du salon ERP 2007 avec Sage Expo concours au report. (...)
(24/10/2007 11:03:07)EDF et Télécom Paris créent un laboratoire de recherche sur le décisionnel
GET/Télécom Paris et EDF R&D viennent d'annoncer la création d'un laboratoire commun, le « BILab », qui se consacrera à des travaux sur l'informatique décisionnelle. En août dernier, l'école d'ingénieurs et le fournisseur historique d'électricité avaient signé une convention prévoyant un partenariat de quatre ans entre les chercheurs de leurs deux entités. Les travaux du BILab se focaliseront plus particulièrement sur quatre thématiques : la gestion de contenu dans les entrepôts de données, l'analyse multi-dimensionnelle, la représentation et la gestion de flux de données et, enfin, la fouille d'informations de nature spatio-temporelle. Chez EDF, la recherche sur le décisionnel s'applique, d'une part, aux données issues de la consommation électrique et, d'autre part, à celles provenant de l'exploitation des centrales de production. L'objectif étant, dans le premier cas, d'en tirer profit pour la tarification et la maîtrise de l'énergie et, dans le second cas, de mieux maîtriser les coûts de production. Parmi les travaux déjà amorcés, le laboratoire annonce une recherche sur le traitement des flux massifs de données. Le BILab sera conjointement dirigé par Philippe Chabault, chef du département ICAME au sein d'EDF R&D, et Georges Hébrail du GET/Télécom Paris. (...)
(24/10/2007 09:32:40)Oracle/BEA : BEA se dit prêt à se vendre... plus cher
Visiblement, l'ultimatum d'Oracle a porté. Après que la firme de Larry Ellison a déclaré qu'elle mettrait un terme dimanche à son offre de 17 $ l'action sur BEA, ce dernier a réagi par un communiqué stipulant que l'éditeur de middleware n'était pas opposé à la vente. Enfin, cela s'entend, si Oracle relevait son offre : « Le conseil d'administration de BEA n'a pas indiqué qu'il s'opposerait à une transaction qui reflète de façon appropriée la valeur de BEA, à l'issue d'un processus raisonnable. » Oracle relèvera-t-il son offre ? Pour Ray Wang, analyste chez Forrester, « s'ils veulent vraiment dominer le marché du middleware, alors c'est une acquisition qu'ils devraient vouloir mener à terme ». Comme l'expliquaient nos précédents interlocuteurs, si BEA tombait dans d'autres mains, c'est Oracle qui se ferait distancer sur ce marché. (...)
(23/10/2007 17:54:02)Oracle/BEA : Oracle mettra un terme dimanche à son offre sur BEA
Oracle a fixé une limite à son offre d'acquisition de BEA : à partir de dimanche, son offre à 17 $ l'action, qui valorise l'éditeur à 6,7 Md$, ne sera plus valable. Oracle explique que le conseil d'administration de BEA a non seulement rejeté cette offre, mais aussi toutes les demandes d'entrevue, et qu'il n'a aucune envie de s'engager dans un long processus. On sait toutefois que l'éditeur n'a pas eu peur, pour ses précédents rachats, de repousser ses limites en termes de temps et d'argent. Et si Oracle mettait vraiment un terme à son offre, le mal aux yeux du public - en termes d'image pour BEA - est fait. (...)
(23/10/2007 17:21:05)MySQL ouvre sa feuille de route à ses clients français
Plus d'une centaine de personne s'est rendue aujourd'hui à la première conférence utilisateurs de MySQL en France. Au menu, les évolutions technologiques de la base de données Open Source, et des témoignages d'utilisateurs (Crédit Mutuel, Skyblog, Alcatel-Lucent), dans le cadre prestigieux d'un hôtel du 16e arrondissement parisien. Robin Schumacher, responsable du développement produit, a évoqué le matin la feuille de route de MySQL, indiquant que Falcon, le moteur transactionnel maison, serait en disponibilité générale fin 2008, début 2009. L'éditeur suédois avait commencé ses travaux sur Falcon à la suite du rachat par Oracle d'Innobase, l'éditeur de son moteur transactionnel le plus utilisé, InnoDB. La sécurité, sujet majeur de la version 7 Autres améliorations ou nouveautés promises avec la version 6 de MySQL, des fonctions liées à la haute disponibilité, avec des possibilités de réplication semi-synchrones (nécessitant une validation de l'enregistrement, ou 'commit'), voire synchrones pour une évolution de la solution distribuée DRDB (distributed raw block device). La version 7, censée arriver un an après, mettra pour sa part l'accent sur la sécurité : gestion des groupes et des rôles, cryptage transparent des données, audit des données, support des systèmes d'authentification externes... Il s'agit, nous a expliqué David Axmark, confondateur et vice-président de MySQL, d'un besoin essentiel pour les acteurs de la banque. Guère intéressé par une stratégie à la EnterpriseDB, qui consiste à se rendre totalement (ou du moins, le plus possible) compatible avec Oracle car « cela demande énormément d'efforts », David Axmark préfère se concentrer « sur ce qui compte le plus, les nouveaux projets » plutôt que de viser un marché de migration. S'intégrer dans une architecture de sécurité distribuée, où les informations s'échangent avec le protocole SAML, est donc un pré-requis pour ces nouveaux projets. Le support spécifique de XML viendra... quand les besoins seront exprimés Côté innovations technologiques, David Axmark croit surtout dans l'optimisation. Ainsi, Falcon est optimisé pour les processeurs multicoeurs - même si David Axmark regrette que les bus mémoire et les systèmes d'exploitation soient en retrait sur ce sujet. L'autre credo de MySQL est la variété de réponses à un variété de besoins, une approche opposée à celle que revendique par exemple le docteur Stonebraker, qui explique que le stockage vertical est l'avenir des bases de données. « C'est stupide, pourquoi augmenter le niveau de complexité, alors qu'on peut faire les choses simplement. » Ainsi, pour lui, hormis lorsqu'une application requiert du décisionnel en temps réel, « par exemple pour proposer une offre à un client en train de payer à une caisse », il vaut mieux séparer les bases de production et d'analyse. « Surtout que cela ne coûte pas cher d'avoir 1 To sur un PC pour y analyser les données. » Robin Schumacher a en effet rappelé que MySQL offre une dizaine de moteurs de stockage différents, et que plusieurs éditeurs tiers proposent les leurs : InnoDB et SolidDB pour le transactionnel, Infobright et NitroEDB pour le datawarehouse, DB2 sur plateforme IBM i5... Quant à un moteur spécifique pour XML, il ne faut pas l'attendre de si tôt, la faute aux clients qui n'ont pas une idée précise de ce qu'ils veulent, estiment Kaj Arnö, vice-président responsable des relations avec la communauté Open Source, et David Axmark. « Dès que nous aurons des requêtes spécifiques, nous le ferons », indique Kaj Arnö. (...)
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